[Les Sous-Sols] Où est la liste ?
Modérateur : Modérateurs
[Les Sous-Sols] Où est la liste ?
Sitlum, le Maître Espion, avait accompli son premier objectif. Trouver, au sein du quartier commerçant, l’accès au marché noir ; et, une fois à l’intérieur de ce repère de contrebandier, trouver le marché aux esclaves, ceux du lucre et non de la luxure. Il avait ainsi pu, en se faisant passer, comme à son habitude, pour ce qu’il n’était pas, déceler certains numéros de code d’esclavagistes. Mais comment trouver le nom de ces dirigeants ? Où trouver ce répertoire ? Le délateur était persuadé que l’organisation secrète de vendeurs d’esclaves ne l’avait pas créé, les numéros étaient trop grands. 4000 et quelques, ils ne pouvaient avoir autant de clients ! Ces numéros correspondaient à autres choses. Qui pouvaient posséder une telle base de recensement ? Une seule organisation avait les capacités de posséder une telle base de données : la corporation galactique elle-même !
C’est ainsi que se profila le nouvel objectif de Sitlum : trouver ce listing.
Le voyage se termina donc dans le quartier commerçant pour se diriger un peu plus vers le centre de la cité. Une fois arrivé devant le grand édifice surprotégé, siège de tous les dirigeants qui aiment se vautrer dans le confort, les discussions futiles et les projets de lois futiles, Le Maître Espion dû à nouveau utiliser ses talents d’illusionnistes pour se faufiler. D’abord, trouver une proie, attendre l’un des habitués de ce lieu ‘saint’, si je puis dire sans vexer le scepticisme de mon personnage.
Voici une petite Dame qui s’avance vers l’entrée, elle avait oublié ses gardes du corps visiblement. Tout d’abord, l’illusionniste espion lance discrètement une sonde mentale (pour les novices en magie, c’est un sort qui se mentalement, d’où la faciliter à rester discret…). Sitlum apprend ainsi qu’il espionne l’Impératrice Zanadède, représentante également du feu état Azerty. Une proie plus facile serait difficile à trouver. L’illusionniste s’apprête alors à lancer son fameux sort, le Chronogél. Quelques psalmodies et gestes insolites plus tard, tout autour de lui, tout le quartier s’immobilise. Tant d’énergie est dépensée dans cette galaxie pour que tout soit bien immobile, alors qu’en donnait juste l’illusion est tellement plus facile. La magie ne durant que quelques minutes, le Maître espion ne perd pas de temps. Il s’approche de sa proie, sort de sous une couture de sa manche gauche une aiguille qu’il plante, après avoir pris le temps de soigneusement visé, derrière le lobe de l’oreille gauche de la petite femme. Celle-ci sera paralysée durant plus ou moins deux heures. Un peu de télékynésie et la voilà dans un recoin de la rue, rajouté à cela un sort temporaire d’invisibilité, notre Maître espion est maintenant près à rompre son chrono-gél.
Non, pas tout à fait, il faut désormais qu’il se déguise, sorts d’illusions à l’appui. Chronogél retiré, l’Impératrice s’identifie devant les méca-gardes avant de rentrer dans le Siège de la Corportation. Il faut maintenant retrouver son chemin dans ce dédale de couloir. Le Maître espion eut alors une lueur d’illumination, ou plutôt, n’exagérons pas, une simple idée… L’Impératrice n’était pas une grande habituée des lieux. Sitlum plonge sa main gauche (elle était gauchère) dans sa poche et… bingo… un plan ! Magie de l’illusion, tu nous surprendras toujours ! Sitlum prit le temps de s’installer dans l’un des nombreux fauteuils qui décoraient le sas d’entrée pour étudier plus en détails ce plan…
[…]
C’est ainsi que se profila le nouvel objectif de Sitlum : trouver ce listing.
Le voyage se termina donc dans le quartier commerçant pour se diriger un peu plus vers le centre de la cité. Une fois arrivé devant le grand édifice surprotégé, siège de tous les dirigeants qui aiment se vautrer dans le confort, les discussions futiles et les projets de lois futiles, Le Maître Espion dû à nouveau utiliser ses talents d’illusionnistes pour se faufiler. D’abord, trouver une proie, attendre l’un des habitués de ce lieu ‘saint’, si je puis dire sans vexer le scepticisme de mon personnage.
Voici une petite Dame qui s’avance vers l’entrée, elle avait oublié ses gardes du corps visiblement. Tout d’abord, l’illusionniste espion lance discrètement une sonde mentale (pour les novices en magie, c’est un sort qui se mentalement, d’où la faciliter à rester discret…). Sitlum apprend ainsi qu’il espionne l’Impératrice Zanadède, représentante également du feu état Azerty. Une proie plus facile serait difficile à trouver. L’illusionniste s’apprête alors à lancer son fameux sort, le Chronogél. Quelques psalmodies et gestes insolites plus tard, tout autour de lui, tout le quartier s’immobilise. Tant d’énergie est dépensée dans cette galaxie pour que tout soit bien immobile, alors qu’en donnait juste l’illusion est tellement plus facile. La magie ne durant que quelques minutes, le Maître espion ne perd pas de temps. Il s’approche de sa proie, sort de sous une couture de sa manche gauche une aiguille qu’il plante, après avoir pris le temps de soigneusement visé, derrière le lobe de l’oreille gauche de la petite femme. Celle-ci sera paralysée durant plus ou moins deux heures. Un peu de télékynésie et la voilà dans un recoin de la rue, rajouté à cela un sort temporaire d’invisibilité, notre Maître espion est maintenant près à rompre son chrono-gél.
Non, pas tout à fait, il faut désormais qu’il se déguise, sorts d’illusions à l’appui. Chronogél retiré, l’Impératrice s’identifie devant les méca-gardes avant de rentrer dans le Siège de la Corportation. Il faut maintenant retrouver son chemin dans ce dédale de couloir. Le Maître espion eut alors une lueur d’illumination, ou plutôt, n’exagérons pas, une simple idée… L’Impératrice n’était pas une grande habituée des lieux. Sitlum plonge sa main gauche (elle était gauchère) dans sa poche et… bingo… un plan ! Magie de l’illusion, tu nous surprendras toujours ! Sitlum prit le temps de s’installer dans l’un des nombreux fauteuils qui décoraient le sas d’entrée pour étudier plus en détails ce plan…
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Re: Où est la liste ?
Bien, il faut probablement se rendre dans le second sous-sol, la zone la plus sécurisée. Mais comment faire ? Caméras, portes gardées, contrôles d’identité en tout genre… Comment passer ? La naine Zanadrède ne disposait pas de suffisamment de pouvoir pour entrer dans cette zone. Son corps, trop large par rapport à sa longueur, ne permettait pas non plus une amplitude de mouvement nécessaire pour se faufiler discrètement. Il fallait résolument changer d’apparence. Mais qui ? Derrière le plan se trouvait le logo de la corporation, mais pas de photos holographiques. Où en trouver ?
La communication est la source de toutes les vérités, Zanadrède parti donc en direction de l’agent préposé à l’accueil :
- Bonjour Mademoiselle.
- Bonjour Madame, en quoi puis-je vous renseigner?
- Voilà, je désirerais me rendre dans la chambre de vous savez qui, il m’attend pour… vous savez quoi…
Sitlum n’avait aucune idée de ce qu’il demandait mais savait pertinemment que les obsédés du pouvoir étaient souvent obnubilés par la chair. Zanadrède étant moins gâtée par la nature que son interlocutrice, il n’allait sans dire qu’elle allait se retrouver dans la chambre du plus détraqué des Grands Conseillers… La voluptueuse demoiselle écourta les pensées de l’espion pour reprendre le dialogue :
- Ah oui, bien sûr, Percelet Belmor vous attend. Vous savez comment vous y rendre ?
- Non, je suis désolée, c’est la première fois qu’il fait appel à mes services.
- Bien, montrez-moi votre plan.
Ce qu’il fit…
- Sa chambre est ici, dit-elle en pointant son marqueur laser. Vous voulez sans doute sa carte holographique pour le reconnaître.
- Je vous en prie, je n’en demandais pas tant mais oui, c’est avec plaisir.
Zanadrède salua aimablement l’hôtesse avant de partir en direction de…
Oh, cette tête lui est familière. Cet homme, il l’avait vu dans le marché noir, sur le marché aux esclaves, mais pas celui du lucre… D’après les rumeurs, il cherchait des femmes, non pas pour lui, il les avait en horreur. Il était le fournisseur de son père. En effet, ce dernier était le monarque d’un petit état et avait pour vice, au plus grand damne de la Reine, de coucher chaque jour avec une femme différente, et jamais deux fois avec la même. On comprend ainsi beaucoup mieux les complexes de son fils, seul légitime et grand chanceux car le Roi, assumant avec la plus grande ferveur ses convictions, n’avait touché la toison royale qu’une seule fois… On comprend également beaucoup mieux l’origine du vulgaire mot ‘Fuck’. Il vient d’une loi désuète réhabilitée par ce Roi. Ce n’est autre que l’abrégé de ‘Fornication Under Control of the King’ ; loi lui permettant de s’approprier par le biais d’une milice, la Fuck’Team, les femmes qu’il désirait. Et Percelet n'était autre que le chef de cette milice, toujours selon les rumeurs.
Excusez quelque peu ce narrateur qui s’oublie et revenons un peu à notre personnage. Le voici donc... mais, où est-il passé ? Voilà que pendant que je vous racontais ces quelques histoires sans intérêt vraiment, notre cher Sitlum, moins intéressé que vous par ces ragots de bas-étage, avouez-le, à continué son chemin.
[…]
La communication est la source de toutes les vérités, Zanadrède parti donc en direction de l’agent préposé à l’accueil :
- Bonjour Mademoiselle.
- Bonjour Madame, en quoi puis-je vous renseigner?
- Voilà, je désirerais me rendre dans la chambre de vous savez qui, il m’attend pour… vous savez quoi…
Sitlum n’avait aucune idée de ce qu’il demandait mais savait pertinemment que les obsédés du pouvoir étaient souvent obnubilés par la chair. Zanadrède étant moins gâtée par la nature que son interlocutrice, il n’allait sans dire qu’elle allait se retrouver dans la chambre du plus détraqué des Grands Conseillers… La voluptueuse demoiselle écourta les pensées de l’espion pour reprendre le dialogue :
- Ah oui, bien sûr, Percelet Belmor vous attend. Vous savez comment vous y rendre ?
- Non, je suis désolée, c’est la première fois qu’il fait appel à mes services.
- Bien, montrez-moi votre plan.
Ce qu’il fit…
- Sa chambre est ici, dit-elle en pointant son marqueur laser. Vous voulez sans doute sa carte holographique pour le reconnaître.
- Je vous en prie, je n’en demandais pas tant mais oui, c’est avec plaisir.
Zanadrède salua aimablement l’hôtesse avant de partir en direction de…
Oh, cette tête lui est familière. Cet homme, il l’avait vu dans le marché noir, sur le marché aux esclaves, mais pas celui du lucre… D’après les rumeurs, il cherchait des femmes, non pas pour lui, il les avait en horreur. Il était le fournisseur de son père. En effet, ce dernier était le monarque d’un petit état et avait pour vice, au plus grand damne de la Reine, de coucher chaque jour avec une femme différente, et jamais deux fois avec la même. On comprend ainsi beaucoup mieux les complexes de son fils, seul légitime et grand chanceux car le Roi, assumant avec la plus grande ferveur ses convictions, n’avait touché la toison royale qu’une seule fois… On comprend également beaucoup mieux l’origine du vulgaire mot ‘Fuck’. Il vient d’une loi désuète réhabilitée par ce Roi. Ce n’est autre que l’abrégé de ‘Fornication Under Control of the King’ ; loi lui permettant de s’approprier par le biais d’une milice, la Fuck’Team, les femmes qu’il désirait. Et Percelet n'était autre que le chef de cette milice, toujours selon les rumeurs.
Excusez quelque peu ce narrateur qui s’oublie et revenons un peu à notre personnage. Le voici donc... mais, où est-il passé ? Voilà que pendant que je vous racontais ces quelques histoires sans intérêt vraiment, notre cher Sitlum, moins intéressé que vous par ces ragots de bas-étage, avouez-le, à continué son chemin.
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Re: Où est la liste ?
Ah, le voilà, il sort d’un appartement pour drones, plus communément appelé dans la classe sociale en-dessous sous le nom de placard à balai. Ce n’est plus la petite Zanadréde mais le belle, zut beau, Percelet qui désactive l’illusion posée sur la caméra qui scrutait les allées et venues des drones dans cette appartement.
C’est ainsi, sous l’apparence de ce jeune homme, que notre espion traversera les couloirs en dandinant son oh combien beau postérieur. Sous cette carapace, Sitlum avait bien du mal à se contenir ; une telle démarche ne lui était pas très familière et chaque était un intense effort de concentration afin de reproduire correctement l’attitude de ce conseiller.
Il passa ainsi de couloirs en couloirs, se remémorant sans cesse le plan qu’il avait étudié auparavant. Il arriva finalement devant un garde, de noir vêtu et fusil plasma à la main. Derrière lui, une porte ; celle de l’ascenseur qui permet de descendre dans l’aile B du sous-sol de la Corporation, aile qui n’est accessible qu’aux Grands Conseillers. Quelques pas encore… Ca y’est, Sitlum est face au garde. Il ne connaît néanmoins pas la voie de Percelet et ne peut donc pas l’imiter. Comptant sur son apparence identique et sur son beau regard, Sitlum, plutôt que de fixer le garde dans les yeux, feinte en observant tendrement l’entrejambe de celui-ci, apparemment gâté par Dame Nature à moins qu’il ne porte une coquille en guise de protection. Gêné, ce dernier prend la parole :
_ Humm, Monsieur Belmor, veuillez relever vos yeux afin que l’on procède au contrôle rétinien.
Obéissant, le Conseiller lève les yeux vers le faisceau lumineux tenu par le garde. Le faisceau photonique s’éteint quelques secondes plus tard, le regard tombe aussitôt vers ce qui serait pour le vrai Conseiller une belle œuvre d’art, visiblement, il n’y a pas de coquille.
_ Vous pouvez passer, bonne journée Monsieur Belmor.
Le garde était encore plus gêné et Sitlum encore plus pressé. La montée dans l’ascenseur se passera de description. Notre espion ne m’en laisse pas le temps.
Les portes s’ouvrent sur l’aile B. Un plan de cette zone est affiché juste en face. Parfait, car le plan n’indiquait pas clairement les zones sécurisées. Sitlum, main gauche sur la hanche, genou droit fléchi, calcule ainsi son itinéraire. Droite, gauche, droite, 2ème porte.
Sitôt dit, sitôt fait, voilà une démarche atypique : rapide et aussi sensuel que possible. Le voici devant la porte qui recèle toutes les grandes vérités. Un frisson parcours le dos de notre délateur, si proche du but, enfin ! Il ouvre, rentre, referme. Et devant lui, la salle d’archive papier. Quel meilleur endroit pour masquer des documents accessibles aux meilleurs pirates. En effet, couché sur papier, rangé dans les tiroirs de ces armoires. Tout, tout était là ! Sitlum en ouvre quelques uns, rien que des documents très très intéressant, mais rien de ce qu’il cherche. Une bonne heure passe ainsi. Zappons-là, à moins que vous ne vouliez lire quelques centaines de fois ‘il ouvre, il regarde, il referme’… Je vous épargnerai cette torture, vous trépignez autant que le délateur de lire la suite et vous vous dites : allez le narrateur ! Accélère un peu, on veut savoir ! Oui, et bien c’est ce que je fais alors un peu de calme, je ne peux raconter plus vite.
DONC, Sitlum ouvre finalement LE tiroir (ça vous va comme ça !). Et dans celui-ci se trouve, classé, état par état, toutes les informations confidentielles, celles qui ne doivent pas voir le jour bien sûr. Une heure passa afin de pouvoir faire un tri. Ca y est tout était prêt, tout était analysé. Il était remarquable de voir que la plupart des esclavagistes s’était regroupé ensemble, sous un faux prétexte, il rechercherait le légendaire Saint Graal. Objet convoité depuis la nuit des temps et dans toutes les galaxies. Ceux qu’on nommait Chevalier furent les premiers à chercher cet objet miraculeux mais la comparaison s’arrête là. Comment une alliance peut-elle comporter autant d’esclavagistes ! Cela saute aux yeux, la Corporation aurait dû réagir et à pourtant préférer ranger ses dossiers cachés. Je ne leur pardonnerai jamais, Sitlum non plus d’ailleurs. Un sort d’attaché-case plus tard, Sitlum range les dossiers des états esclaves dans les dossiers des esclavagistes, pour éviter de trier à nouveau. 4865, 4412, 4805, 3008, ceux-là, leurs dossiers étaient sacrément bien remplis, mais il y en avait d’autre, plus léger comme le 5477, le 3498, le 3586, le 4818 et bien d’autres encore, mais leur lecture serait fastidieuse.
Les dossiers et les noms des esclaves peinait fortement Sitlum, il ne s’attendait pas à une telle liste. Vous voudriez des noms, vous en avez marre des codes. Bien, noté néanmoins que la Corporation utilise la même codification que les vendeurs du marché noir, étrange n’est-ce-pas ! Alors de esclaves… en veux-tu, en voilà : Tiger, Nouvelle République, Zonewar, Corum, Krondor, The Dark-State, L’étoile noire, Viper-SSS, Thrawn, Furia il y a quelques temps, Landofchaos, Gallia, Alamard, Cosa Nostra (Comment celui qui régné sur la galaxie il y a si peu de temps a peu tombé aussi bas…), Angelou, Crysalis, Kingkai City, Dune, Arabiahne, Earthian, Nouvelle République, Occitania, Veloce City, Nassyrie, Stoudemire, Warabiot, Esphesme (son dirigeant avait une si belle plume, ainsi, ni la puissance militaire du Cosa Nostra, ni la plume légendaire du dirigeant d’Esphesme n’auront suffi à les faire tomber dans l’esclavage), Patriotik, Dawn of War, Shuttle X, Miyard, Asgaroth, Eclairnoir, Mordor, … On va en rester là, reposez vos yeux, calmez-vous, pensez à votre pauvre cœur d’humain.
Sitlum range tout ça dans son attaché-case, ouvre la porte, sors… la suite quand vous serez remis de vos émotions.
[…]
C’est ainsi, sous l’apparence de ce jeune homme, que notre espion traversera les couloirs en dandinant son oh combien beau postérieur. Sous cette carapace, Sitlum avait bien du mal à se contenir ; une telle démarche ne lui était pas très familière et chaque était un intense effort de concentration afin de reproduire correctement l’attitude de ce conseiller.
Il passa ainsi de couloirs en couloirs, se remémorant sans cesse le plan qu’il avait étudié auparavant. Il arriva finalement devant un garde, de noir vêtu et fusil plasma à la main. Derrière lui, une porte ; celle de l’ascenseur qui permet de descendre dans l’aile B du sous-sol de la Corporation, aile qui n’est accessible qu’aux Grands Conseillers. Quelques pas encore… Ca y’est, Sitlum est face au garde. Il ne connaît néanmoins pas la voie de Percelet et ne peut donc pas l’imiter. Comptant sur son apparence identique et sur son beau regard, Sitlum, plutôt que de fixer le garde dans les yeux, feinte en observant tendrement l’entrejambe de celui-ci, apparemment gâté par Dame Nature à moins qu’il ne porte une coquille en guise de protection. Gêné, ce dernier prend la parole :
_ Humm, Monsieur Belmor, veuillez relever vos yeux afin que l’on procède au contrôle rétinien.
Obéissant, le Conseiller lève les yeux vers le faisceau lumineux tenu par le garde. Le faisceau photonique s’éteint quelques secondes plus tard, le regard tombe aussitôt vers ce qui serait pour le vrai Conseiller une belle œuvre d’art, visiblement, il n’y a pas de coquille.
_ Vous pouvez passer, bonne journée Monsieur Belmor.
Le garde était encore plus gêné et Sitlum encore plus pressé. La montée dans l’ascenseur se passera de description. Notre espion ne m’en laisse pas le temps.
Les portes s’ouvrent sur l’aile B. Un plan de cette zone est affiché juste en face. Parfait, car le plan n’indiquait pas clairement les zones sécurisées. Sitlum, main gauche sur la hanche, genou droit fléchi, calcule ainsi son itinéraire. Droite, gauche, droite, 2ème porte.
Sitôt dit, sitôt fait, voilà une démarche atypique : rapide et aussi sensuel que possible. Le voici devant la porte qui recèle toutes les grandes vérités. Un frisson parcours le dos de notre délateur, si proche du but, enfin ! Il ouvre, rentre, referme. Et devant lui, la salle d’archive papier. Quel meilleur endroit pour masquer des documents accessibles aux meilleurs pirates. En effet, couché sur papier, rangé dans les tiroirs de ces armoires. Tout, tout était là ! Sitlum en ouvre quelques uns, rien que des documents très très intéressant, mais rien de ce qu’il cherche. Une bonne heure passe ainsi. Zappons-là, à moins que vous ne vouliez lire quelques centaines de fois ‘il ouvre, il regarde, il referme’… Je vous épargnerai cette torture, vous trépignez autant que le délateur de lire la suite et vous vous dites : allez le narrateur ! Accélère un peu, on veut savoir ! Oui, et bien c’est ce que je fais alors un peu de calme, je ne peux raconter plus vite.
DONC, Sitlum ouvre finalement LE tiroir (ça vous va comme ça !). Et dans celui-ci se trouve, classé, état par état, toutes les informations confidentielles, celles qui ne doivent pas voir le jour bien sûr. Une heure passa afin de pouvoir faire un tri. Ca y est tout était prêt, tout était analysé. Il était remarquable de voir que la plupart des esclavagistes s’était regroupé ensemble, sous un faux prétexte, il rechercherait le légendaire Saint Graal. Objet convoité depuis la nuit des temps et dans toutes les galaxies. Ceux qu’on nommait Chevalier furent les premiers à chercher cet objet miraculeux mais la comparaison s’arrête là. Comment une alliance peut-elle comporter autant d’esclavagistes ! Cela saute aux yeux, la Corporation aurait dû réagir et à pourtant préférer ranger ses dossiers cachés. Je ne leur pardonnerai jamais, Sitlum non plus d’ailleurs. Un sort d’attaché-case plus tard, Sitlum range les dossiers des états esclaves dans les dossiers des esclavagistes, pour éviter de trier à nouveau. 4865, 4412, 4805, 3008, ceux-là, leurs dossiers étaient sacrément bien remplis, mais il y en avait d’autre, plus léger comme le 5477, le 3498, le 3586, le 4818 et bien d’autres encore, mais leur lecture serait fastidieuse.
Les dossiers et les noms des esclaves peinait fortement Sitlum, il ne s’attendait pas à une telle liste. Vous voudriez des noms, vous en avez marre des codes. Bien, noté néanmoins que la Corporation utilise la même codification que les vendeurs du marché noir, étrange n’est-ce-pas ! Alors de esclaves… en veux-tu, en voilà : Tiger, Nouvelle République, Zonewar, Corum, Krondor, The Dark-State, L’étoile noire, Viper-SSS, Thrawn, Furia il y a quelques temps, Landofchaos, Gallia, Alamard, Cosa Nostra (Comment celui qui régné sur la galaxie il y a si peu de temps a peu tombé aussi bas…), Angelou, Crysalis, Kingkai City, Dune, Arabiahne, Earthian, Nouvelle République, Occitania, Veloce City, Nassyrie, Stoudemire, Warabiot, Esphesme (son dirigeant avait une si belle plume, ainsi, ni la puissance militaire du Cosa Nostra, ni la plume légendaire du dirigeant d’Esphesme n’auront suffi à les faire tomber dans l’esclavage), Patriotik, Dawn of War, Shuttle X, Miyard, Asgaroth, Eclairnoir, Mordor, … On va en rester là, reposez vos yeux, calmez-vous, pensez à votre pauvre cœur d’humain.
Sitlum range tout ça dans son attaché-case, ouvre la porte, sors… la suite quand vous serez remis de vos émotions.
[…]

Re: Où est la liste ?
Sitlum sort, euh, zut, j’ai encore des choses à dire pourtant. Ce n’est pas grave, hop, chrono-gél ! Il ne s’attendait pas à celle-là, le délateur ! Et oui, on peut être narrateur et magicien en même temps, c’est mon cas. Pour ma part, je ne suis pas illusionniste mais plutôt lecteur, comme vous à la différence près que je lis le passé et le futur, les bons présages et les mauvais augures. Donc, je vais continuer à vous raconter deux ou trois petites choses pendant que Monsieur Belmor reste ainsi avec une jambe en l’air et une fesse de travers.
Tout d’abord, excusez-moi pour mon débit un peu rapide pour raconter cette épopée, je me fais parfois mal comprendre. Je vous excuse aussi pour votre lecture parfois survolée, d’autant plus que je vous ai quelque peu pressé. Ainsi, certaines incompréhensions ont été faites par certains. Par exemple, lorsque je cite l’état Esphesme, je parlais bien de l’état et non de son Dirigeant qui, depuis, a remporté les élections d’un autre état qu’il dirige encore actuellement.
Certains pensent également que tous ces noms ne sont que farandoles ! Ne vous ai-je pas habitué aux rumeurs depuis que vous me lisez. Certains le sont, pour embellir cette histoire, en tant que narrateur, j’ai juste voulu gâter vos yeux et voir à travers vos écrans vos sourires, grimaces et larmes ! J’ai même vu certaines choses que je n’aurais pas voulu voir, bande de pervers ; je ne pensais pas que l’on pouvait tant jouir à la vue de mots qui se mêlent les uns aux autres ! Vous voulez des noms de ces rumeurs. Bien, je vais vous en donner un. Le Dirigeant de la Légion Noire, en réalité, avait pris un galataxi pour rentrer chez lui et ne s’est pas amusé à pousser son chasseur sur je ne sais combien de kilomètres. Mais la rumeur est plus drôle que la vérité, avouez-le.
L’histoire que je vous narre appartient également au passé, vous vous en rendrez compte par la suite si vous êtes quelque peu attentifs à la trépignante vie de la Corporation, et vous pourrez prendre part dans un futur proche, à cette histoire du passé, en racontant ce qui se passe dans le présent. J’en ai perdu quelques-uns là, mais vous comprendrez plus tard, ne vous inquiétez pas.
Et vu que cette histoire appartient au passé, quelques modifications sont à faire pour la rendre un peu plus concrète dans votre présent, en tant que lecteur. Ainsi, l’état d’Asgaroth, sus-cité, n’existe plus, il aurait finalement péri sous l’oppression de son maître. Certains de mes collaborateurs ont suscité un intérêt sur la Fédération de l’Améthyste et ont ainsi prouvé l’innocence du Miyard et du Thrawn, du moins pour les temps actuels, je laisse ceux que ça intéresse voir les évènements du passé.
Il est à noter que nombre d'esclaves sont désormais placés sous la protection de la Corporation (il y aurait bien des choses à dire là-dessus mais je préfère me taire que d’avoir, dans un futur proche, des migraines atroces en entendant vos hurlements). Ainsi, the Dark-state, Viper-sss, Landofchaos, Arabiahne, Dawn of War, sont autant d’états libérés (temporairement ?) grâce à la Corporation.
Je voudrais aussi parler de l’Areia, esclavagiste et abolitionniste, qui, tourmenté par sa morale et cette double facette, a préféré abandonné sa ou ses causes. Ainsi, le Méphysia, son esclave, s’est trouvé il y a peu émancipé par son oppresseur. Espérons qu’un autre esclavagiste ne lui tombe pas dessus…
Je tiens à noter également que je ne cache pas le Dirigeant qui me paie pour raconter cette histoire et qui finance les escapades de notre magicien. Je ne suis qu’un porte-parole, récoltant les propos de tous et n’affichant pas d’état pour ne pas afficher d’alliance, afin de préserver une certaine équité, si cela est possible.
Pour revenir quelques peu sur les pseudos-chevaliers cherchant désespérément le Saint Graal, et ils feraient mieux de chercher la rédemption sans quoi ils ne pourront jamais s’approcher du divin objet ; je tiens à taire les rumeurs concernant le Sertahi et à poser un doute sur l’identité d’Alamard, méfiez-vous des illusionnistes, Sitlum n’est pas le seul.
Que dire d’autre ? Ah, je tiens à féliciter certains états pour leur générosité, tout comme Terre Divine qui se montre d’un altruisme à toute épreuve pour les Cendres Célestes. Je pourrais donner d’autres noms mais on m’accuserait de choisir au hasard. [censure]
Voilà, je vais pouvoir libérer Sitlum pour que l’histoire suive son cours.
[...]
Tout d’abord, excusez-moi pour mon débit un peu rapide pour raconter cette épopée, je me fais parfois mal comprendre. Je vous excuse aussi pour votre lecture parfois survolée, d’autant plus que je vous ai quelque peu pressé. Ainsi, certaines incompréhensions ont été faites par certains. Par exemple, lorsque je cite l’état Esphesme, je parlais bien de l’état et non de son Dirigeant qui, depuis, a remporté les élections d’un autre état qu’il dirige encore actuellement.
Certains pensent également que tous ces noms ne sont que farandoles ! Ne vous ai-je pas habitué aux rumeurs depuis que vous me lisez. Certains le sont, pour embellir cette histoire, en tant que narrateur, j’ai juste voulu gâter vos yeux et voir à travers vos écrans vos sourires, grimaces et larmes ! J’ai même vu certaines choses que je n’aurais pas voulu voir, bande de pervers ; je ne pensais pas que l’on pouvait tant jouir à la vue de mots qui se mêlent les uns aux autres ! Vous voulez des noms de ces rumeurs. Bien, je vais vous en donner un. Le Dirigeant de la Légion Noire, en réalité, avait pris un galataxi pour rentrer chez lui et ne s’est pas amusé à pousser son chasseur sur je ne sais combien de kilomètres. Mais la rumeur est plus drôle que la vérité, avouez-le.
L’histoire que je vous narre appartient également au passé, vous vous en rendrez compte par la suite si vous êtes quelque peu attentifs à la trépignante vie de la Corporation, et vous pourrez prendre part dans un futur proche, à cette histoire du passé, en racontant ce qui se passe dans le présent. J’en ai perdu quelques-uns là, mais vous comprendrez plus tard, ne vous inquiétez pas.
Et vu que cette histoire appartient au passé, quelques modifications sont à faire pour la rendre un peu plus concrète dans votre présent, en tant que lecteur. Ainsi, l’état d’Asgaroth, sus-cité, n’existe plus, il aurait finalement péri sous l’oppression de son maître. Certains de mes collaborateurs ont suscité un intérêt sur la Fédération de l’Améthyste et ont ainsi prouvé l’innocence du Miyard et du Thrawn, du moins pour les temps actuels, je laisse ceux que ça intéresse voir les évènements du passé.
Il est à noter que nombre d'esclaves sont désormais placés sous la protection de la Corporation (il y aurait bien des choses à dire là-dessus mais je préfère me taire que d’avoir, dans un futur proche, des migraines atroces en entendant vos hurlements). Ainsi, the Dark-state, Viper-sss, Landofchaos, Arabiahne, Dawn of War, sont autant d’états libérés (temporairement ?) grâce à la Corporation.
Je voudrais aussi parler de l’Areia, esclavagiste et abolitionniste, qui, tourmenté par sa morale et cette double facette, a préféré abandonné sa ou ses causes. Ainsi, le Méphysia, son esclave, s’est trouvé il y a peu émancipé par son oppresseur. Espérons qu’un autre esclavagiste ne lui tombe pas dessus…
Je tiens à noter également que je ne cache pas le Dirigeant qui me paie pour raconter cette histoire et qui finance les escapades de notre magicien. Je ne suis qu’un porte-parole, récoltant les propos de tous et n’affichant pas d’état pour ne pas afficher d’alliance, afin de préserver une certaine équité, si cela est possible.
Pour revenir quelques peu sur les pseudos-chevaliers cherchant désespérément le Saint Graal, et ils feraient mieux de chercher la rédemption sans quoi ils ne pourront jamais s’approcher du divin objet ; je tiens à taire les rumeurs concernant le Sertahi et à poser un doute sur l’identité d’Alamard, méfiez-vous des illusionnistes, Sitlum n’est pas le seul.
Que dire d’autre ? Ah, je tiens à féliciter certains états pour leur générosité, tout comme Terre Divine qui se montre d’un altruisme à toute épreuve pour les Cendres Célestes. Je pourrais donner d’autres noms mais on m’accuserait de choisir au hasard. [censure]
Voilà, je vais pouvoir libérer Sitlum pour que l’histoire suive son cours.
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Re: [Les Sous-Sols] Où est la liste ?
[...]
Ellassar venait de pénétrer dans le Marché Noir. Bien des années plus tôt, le Maitre Espion Sitlum avait lui aussi emprunté ce chemin.
Armes et drogues diverses étaient toujours les marchandises les plus prisées dans ce repaire de mal-famés. Mais d'après ce que pouvait entendre Ellassar un peu partout dans la Galaxie, les Esclaves étaient également un marché toujours aussi prometteur.
Accompagné par deux Assassins, Ellassar entra dans le Marché aux Esclaves. Ils se dirigèrent vers ce qui semblait être une sorte de Corporation Galactique des Bas Fonds et prirent une Table.
Juste après s'être désaltéré, un homme dont le visage était caché par un masque gris vint s'assoir à leur table.
- Bien le Bonjour à toi Seigneur du Dros Delnoch.
Ainsi on l'avait reconnu.
- J'ai entendu parlé des pluies nucléaires qui s’abattent sur ton état. Dommage..très Dommage. Tes Armées affaiblies... Obliger de cacher ta faiblesse derrière des millions de leurres...
Dommage, très Dommage. Peut-être souhaiterais-tu un petit coup de pouce... j'ai justement là un..
-Je ne suis pas venu ici pour chercher un esclave. Mais pour avoir des informations sur un esclave.
Que peux-tu me dire sur 692 ?
- 692, mon Bon Maitre ?
Ellassar sortit une liasse de 10 000 Crédits. Le Vendeur chercha une fiche dans ses affaires et la tendit au Seigneur du Delnoch. Entre temps, des rideaux de velours noirs avaient été tendus et les cachaient aux yeux des autres marchands.
Ellassar conserva la fiche et commanda une autre pinte de Bery-Bière. Il n'y avait qu'ici que l'on pouvait trouver cet alcool.
[...]
Ellassar venait de pénétrer dans le Marché Noir. Bien des années plus tôt, le Maitre Espion Sitlum avait lui aussi emprunté ce chemin.
Armes et drogues diverses étaient toujours les marchandises les plus prisées dans ce repaire de mal-famés. Mais d'après ce que pouvait entendre Ellassar un peu partout dans la Galaxie, les Esclaves étaient également un marché toujours aussi prometteur.
Accompagné par deux Assassins, Ellassar entra dans le Marché aux Esclaves. Ils se dirigèrent vers ce qui semblait être une sorte de Corporation Galactique des Bas Fonds et prirent une Table.
Juste après s'être désaltéré, un homme dont le visage était caché par un masque gris vint s'assoir à leur table.
- Bien le Bonjour à toi Seigneur du Dros Delnoch.
Ainsi on l'avait reconnu.
- J'ai entendu parlé des pluies nucléaires qui s’abattent sur ton état. Dommage..très Dommage. Tes Armées affaiblies... Obliger de cacher ta faiblesse derrière des millions de leurres...
Dommage, très Dommage. Peut-être souhaiterais-tu un petit coup de pouce... j'ai justement là un..
-Je ne suis pas venu ici pour chercher un esclave. Mais pour avoir des informations sur un esclave.
Que peux-tu me dire sur 692 ?
- 692, mon Bon Maitre ?
Ellassar sortit une liasse de 10 000 Crédits. Le Vendeur chercha une fiche dans ses affaires et la tendit au Seigneur du Delnoch. Entre temps, des rideaux de velours noirs avaient été tendus et les cachaient aux yeux des autres marchands.
Code : Tout sélectionner
Numéro: 692
Planète: Vertana
Esclavagiste: Inconnu
Production: Mana/Nourriture
Création: 10 Mois
Taille: Stationnaire
Armée: Non
Peuple: Aucune Activité depuis 10 Mois
Inquiété par la Commission: Non
Ellassar conserva la fiche et commanda une autre pinte de Bery-Bière. Il n'y avait qu'ici que l'on pouvait trouver cet alcool.
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J'ai beau être un râleur, Kalyso reste la meilleure !
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Re: [Les Sous-Sols] Où est la liste ?
Note à la Censure :
[...]
692
73
408
933
154
527
1263
Dès que sa pinte fut terminée, Ellassar adressa de nouveau la parole au Commerçant. Les informations qu'il allait demandé était probablement les plus chers du Marché Noir. Il se renseignait sur les agissements d'esclavagistes qui au fur et à mesure des années étaient passés Maitres dans l'Art de l'Esclavage. C'était presque des pionniers du Marché Noir. Il tendit une enveloppe lourdement chargée: 450 000 Crédits et prononça un nom.
Le vendeur devint aussitôt tendu et alerte.
- Seigneur, sais-tu que tu t'attaques à des forces qui te dépassent ? Si tu arrives à faire tomber 1 état esclave, c'est 3 qui ré-apparaissent. Nonobstant, le Client est Roi. Saches que ses numéros sont vrais et que toi aussi tu peux les trouver.
Il regarde à droite puis à gauche. Nous montre un chemin. Nous fait passé 7 portes blindés où nous sommes fouillés à chaque fois. Et pour finir, nous pénétrons dans une petite salle souterraine possédant 5 sorties secrètes.
- Ces états sont puissants. Ils payent grassement des Guildes pour éliminer tout les adversaires politiques qui se dressent sur leurs chemins ou qui se renseignent un peu trop. Prenons un verre, car l'Histoire de ces états esclavagistes et longues et compliqués. Ils usent de subterfuges permettant de brouiller la Commission de Contrôle.
Les Contrebandiers avaient même effectué un Arbre pour pouvoir mieux se repérer.

- Vous êtes certain de vos informations ?
- Sur ma vie !! Il y aurait même un autre esclavagiste, mais ils ne sont pas passés par mes services pour l'obtenir, nous ne sommes donc pas certain. Mais l'Arbre est confirmé, la Guilde des Criminels n'a qu'une parole.
Ellassar contemplait l'Arbre. Si Sitlum était ici, il penserait probablement que rien n'a changé.
Si seulement...
Sitlum...
[...]
[/size]Hell a écrit : N'oubliez pas qu'en RP, il ne s'agit pas du joueur mais d'un personnage, donc arrêtez de vous offusquer pour ca. Si vous n'avez réellement rien à vous reprocher, RP pour répondre agressivement, mais HRP, vous restez courtois, correcte et poli.
Les gaminerie, y'en a par dessus la tête "ouiiiiin, machin il m'a balancé alors que j'ai rien fait" "ouaaaaah, le chouineur, il pleure sa maman". BORDEL MAIS VOUS VOUS CROYEZ OU, TOUS??????????
Si ce post pose problème à qui que ce soit, MP.
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692
73
408
933
154
527
1263
Dès que sa pinte fut terminée, Ellassar adressa de nouveau la parole au Commerçant. Les informations qu'il allait demandé était probablement les plus chers du Marché Noir. Il se renseignait sur les agissements d'esclavagistes qui au fur et à mesure des années étaient passés Maitres dans l'Art de l'Esclavage. C'était presque des pionniers du Marché Noir. Il tendit une enveloppe lourdement chargée: 450 000 Crédits et prononça un nom.
Le vendeur devint aussitôt tendu et alerte.
- Seigneur, sais-tu que tu t'attaques à des forces qui te dépassent ? Si tu arrives à faire tomber 1 état esclave, c'est 3 qui ré-apparaissent. Nonobstant, le Client est Roi. Saches que ses numéros sont vrais et que toi aussi tu peux les trouver.
Il regarde à droite puis à gauche. Nous montre un chemin. Nous fait passé 7 portes blindés où nous sommes fouillés à chaque fois. Et pour finir, nous pénétrons dans une petite salle souterraine possédant 5 sorties secrètes.
- Ces états sont puissants. Ils payent grassement des Guildes pour éliminer tout les adversaires politiques qui se dressent sur leurs chemins ou qui se renseignent un peu trop. Prenons un verre, car l'Histoire de ces états esclavagistes et longues et compliqués. Ils usent de subterfuges permettant de brouiller la Commission de Contrôle.
Code : Tout sélectionner
Numéro: 73-Esclavagiste
Planète: Galactica
Production: Inconnu
Création: 16 Mois
Taille: En Mouvement.
Armée: Oui
Peuple: Ce peuple aide, finance et cache des esclavagistes.
Inquiété par la Commission: Non
Code : Tout sélectionner
Numéro: 154-Esclave
Planète: Aquablue
Production: Inconnu
Création: 16 Mois
Taille: " En Sommeil "
Armée: Non
Peuple: Ce peuple est en mouvement quotidien, changeant de planète et d'état régulièrement après la destruction du précédent. Ainsi, après un effort de Guerre intense contre lui, le 154 peut-être de nouveau dans la bataille environ 48h après avoir abandonné son ancien état. Tandis que ses ennemis sont épuisés financièrement et militairement, le 154 possède des réserves importantes sur ses états esclaves en sommeil. Le 154 combattra jusqu'à la mort, infligeant le maximum de dégats avant d'aller diriger l'un de ses états en sommeil.
Inquiété par la Commission: Non
Code : Tout sélectionner
Numéro: 408 Esclavagsite
Planète: Galactica
Production: Inconnu
Création: 12 Mois
Taille: En Mouvement.
Armée: Oui
Peuple: Ce peuple est également en mouvement quotidien, changeant de planète et d'état régulièrement après la destruction du précédent. Ainsi, après un effort de Guerre intense contre lui, le 408 agit de la même manière que le 933 et il peut lui aussi être de nouveau dans la bataille environ 48h après avoir abandonné son ancien état. Alors que ses ennemis sont épuisés financièrement et militairement, le 408 les frappes en plein coeur avec ses réserves importantes sur ses états esclaves en sommeil. Le 408 combattra jusqu'à la mort, infligeant le maximum de dégâts avant d'aller diriger l'un de ses états en sommeil.
Inquiété par la Commission: Non
Code : Tout sélectionner
Numéro: 527 Esclave
Planète: Vertana
Production: Inconnu
Création: 9 Mois
Taille: En Mouvement.
Armée: Oui
Peuple: Ce peuple est abandonné depuis plusieurs mois déjà. Son dirigeant a disparu de la Corporation Galactique. Cependant, avant son départ, il a offert le 527 et le 933 a l'esclavagiste 408. Les rumeurs parlent d'une production d'Armes de Destruction massives... La vérité c'est que le 408 est un état esclave en sommeil. La Commission de Contrôle l'a déjà pris dans ses filets. Et l'Archimage a ordonné au 408 de libérer le 527. Cependant ses ordres n'ont pas été exécuté. Sombrant petit à petit dans le " Sommeil ", 527 vient de se réveiller récemment, suite au transfert du 154 vers le 933.
Inquiété par la Commission: Oui et Non
Code : Tout sélectionner
Numéro: 933 Esclave
Planète: Vertana
Production: Inconnu
Création: 6 Mois
Taille: En Mouvement.
Armée: Oui
Peuple: Après la destruction du 154, ce dernier a été s'installer sur son état esclave le 933. Celui-ci avait été préparé durant une phase de " sommeil ". Toutes les recherches magiques, scientifiques ont été effectué. Une armée de destruction préparée. Des Iems chauffés en Silos. 48h après la destruction du 154, le 933 devenait sa nouvelle base opérationnel.Et tandis que ses ennemis étaient épuisés, le 933 débutait sa nouvelle phase.
Inquiété par la Commission: Non
Code : Tout sélectionner
Numéro: 1263 Esclave
Planète: Galactica
Production: Inconnu
Création: 2 Mois
Taille: En Mouvement.
Armée: Oui
Peuple: Armée de Destruction
Inquiété par la Commission: Non

- Vous êtes certain de vos informations ?
- Sur ma vie !! Il y aurait même un autre esclavagiste, mais ils ne sont pas passés par mes services pour l'obtenir, nous ne sommes donc pas certain. Mais l'Arbre est confirmé, la Guilde des Criminels n'a qu'une parole.
Ellassar contemplait l'Arbre. Si Sitlum était ici, il penserait probablement que rien n'a changé.
Si seulement...
Sitlum...
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J'ai beau être un râleur, Kalyso reste la meilleure !