Parlons Inovation

Le sénat galactique accueille toutes formes de débats politiques qui s'adressent à une importante partie des états de la galaxie. Il est situé dans le cœur du siège et comprend plus de cent salles.

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Faerlina
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Inscription : 01 mars 2008, 17:33

Parlons Inovation

Message par Faerlina »

La noire prêtresse se promenait tranquillement dans les petits couloires du sénat galactique et regardait le merveilleux panorama qu’offraient tous ces beaux murs gris et miteux a sa vue grandiose. Elle fut soudain frappé d’horreur en voyant un habille malandrin tanté de voler une bourse a un noble chef d’état qui discutait tout seul avec son interphone d’affaire d’état probablement en rapport avec l’augmentation du prix de vente des plumes de cobra dans les contrées sèches d’Aquablue.

Farlina fut tenté de le prévenir de l’agression inopiné a venir de cet être vile et redoutable que devait être se discret voleur, vêtue de rouge et de jaune, courent et sotant un peut partout derrière l’attentif chef d’états aux affaires importantes. Mais elle se ravisa soudain. En effet, a force de sotiller n’importe où, le voleur se pris les pieds dans un tapi fraichement lavé par une femme de ménage qui faisait probablement se travaille peut gratifiant pour nourrir une famille de 14 enfants, probablement tous mort née, sans qu’elle ne s’en rende compte. Mais ceci est une autre histoire, le malandrin s’étala donc de tout son long, s’accrochant aux vêtements du génial diplomate, qui sans doute avait régler son affaire, qu’il voulait piller, et tous deux disparurent en tombant dans les escaliers.

Désespéré et proche de l’étouffement en raison d’une crise de fou rire qu’elle souhaitait ardemment cacher, la prêtresse bifurqua donc vivement dans la première salle qu’elle trouva et se permis de laisser échapper se long râle, signe qu’elle savourait a nouveau l’air qui passait par sa trachée. C’est alors qu’elle remarqua une famille de souris qui se baladait au hasard des rangé, a la recherche, sans doute, de quelques nourriture, voué a leur survie, et c’est sans aucune gène que notre bien heureuse prêtresse les massacras toutes a grand coup de gourdin, sortie de nulle part, dont l’effet principale fut d’éclabousser tout les sièges alentours de divers poiles et morceaux de boyaux, absolument immonde.

Et c’est, Sans prévenir, que Faerlina se dirrigea vers le pupitre de paroles pour commencer un long et interminable discourt, qui, comme toujours, commence par une introduction étrange que nous passerons sous silence. Pendant ce temps, quelque part sur vertana, une femme achète des poivrons bleu a un marchant pour la faible somme de 200 crédit les 10 kg, ses chefs d’état ayant réussit a augmenter considérablement son pouvoir d’achat.
Faerlina, commença enfin son discourt, d’une voie dont personne n’a rien a faire de la description.


« Comme je le disais, et comme tout le monde le dit : L’heur est grave ! Vous n’etes plus capable de vous débrouiller sans vous servir de vos cercles aussi pathétique que votre intellect. Vous plagiez bêtement le génie militaire d’hommes et de femmes qui se sont creuser la cervelle pour en arriver a créé une composition d’armée déséquilibré. Le déséquilibre engendre la puissance, et c’est pour cela qu’ils étaient invincibles. Votre bête plagiat n’a fait qu’affaiblir vos forces !

Oui, viles serpent, je n’ai pas peur de vous le dire, vous n’etes que des faibles, ingnar et stupides ! »


En parlant de stupidité, 7 personnages sortie de nulle part arrivèrent dans un grand fracas dans la salle, tous en rond autour d’une espèce de couronne étrange, et vibrante, en forme de carotte, de crabe et d’autres facésie. Ils avaient pour point commun une barrette a cheveux en forme de lapin, a l’exception d’une grosse créature qui l’avait accrocher, en raison de l’absence complet de cheveux, dans ses poiles d’oreilles.
Et celui qui se prenait pour le chef de groupe, armé d’un sandwich qui, a l’odeur, devait etre au thon peut frai suggéra qu’ils s’étaient encor trompé de destination, aussi ils disparurent a nouveau, laissant une jambe d’origine inconnu au sol. Et comme personnes n’avait rien remarquer, Faerlina repris :


« Oui, vous et vos hégémonies, vous et vos stratégie commercial futile, vous etes incapable de vous sortir les yeux des poches, et vous ne voyez que votre gratifiant reflet dans un miroir. Vous etes incapable d’être inovant. Stupide.

Mais vous avez oublier qui commende ! »


Et soudain, il y eut un grand fracas, dans lequel Faerlina disparut. Elle s’était en faite ascise au fond de la salle pendant l’explosion des lampes de la rangé centrale, qui avait fait bien du bruit et de la poussière. Quel calamité, ces surcharges manatiques….
Lord Faust
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Inscription : 26 avr. 2008, 14:48

Re: Parlons Inovation

Message par Lord Faust »

"Ahahahah ! Ahahahah ! Ahahahahaaaarg... Kso !"

La petite voix grinceuse se manifestait dans un semblant moqueur et âcre. Il n'y avait pour la qualifer que peu d'épithètes et d'adjectifs d'un intérêt commun à tous. Il n'y avait dans ses sens qu'une infime partie, une once d'humanité. Sa voix, comme déchirante ne voulait s'accorder sur aucune. Deux personnages venaient de se rendre dans la salle d'un récepteur aux plus odieuses condamnations. D'une récepteuse. D'un noir chocolat noisette, d'un accordement meringue citronnée, la gente dame ne voulait pas rire ! Kanada découvrant son véritable visage avait d'abord accordé son importance à un intru du système galactique, puis, après lui avoir botté les fesses de manière magistrale, il s'installa sobrement dans une salle avant d'être dérangé par une délégation de bonshommes et de bonnes femmes à l'écritau de la Fédération contre la Tonte des Poules pendant les fêtes de Désertan sur Vertana. Il termina son long périple dans une salle quoi que plus sérieuse, du moins plus intéressante : un loooong débat opposan les latins de la Vae Victis auquel Kanada avait sorti une définition du Dura lex Take Manix (quand la loi dure prend une capote Manix, ndla) ahurissante, et les Cendreux Funestes assemblés dans un cocktail explsif aux Fada de l'Hémistiche. Qu'ils avaient muette d'ailleurs, le monsieur qui ressemblait au maître du mal effectuant son pieux discours devant une assemblé de singe ahurie à l'éloquence précoce. Bref, c'était se munissant de son valeureux secrétaire et ministre Ehjin, que le môme de quinze ans parcourait avec colère les couloirs. Il avait enfin trouvé un débat plutôt intéressant, au titre plutôt marrant, Parlons Innovation.

Pénétrant dans la pièce sans ménage, ma discrétion n'étant pas de mise, son imposante majesté toisait son collocataire d'un regard de moine. Que voulait-il lui, et ses gros yeux de morts ? Que voulait-il, lui et son français déplorable ! Ahah ! On se moque, on complote, on chuchotte, on dénonce mais quand la langue fourche, on reprend ses mots et on s'essuit avec !
La main d'Ehjin calma l'enfant qui commençait à s'énerver intérieurement. Finalement, lorsqu'il écouta avec attention les propos de la méchante sorcière aux yeux couleur dragibus et au nez fondant d'un noir réglisse tout à fait délectable, il fut attiré par cette simplicité d'esprit, cette vue du monde tout à fait novatrice.

"Elle a raison !"

"Sir, nous n'avons jamais eu de cercle..."

"Ah oui ? Ah oui... C'est pas grave, elle a raison quand même !"

Kanada sourit grâcieusement à son conseiller, qui comme à son habitude, rougissait de honte d'avoir un maître comme celui-là. Mais depuis tout ce temps déjà, Kanada avait largement appris à se soustraire des états d'âme de personnage filiforme et droit, un peu trop juste, un peu trop honnête. A chaque fois qu'il faisait un coup bas, Ehjin ne cessait de le rappeler ordre, jouant avec sa conscience, le poids qu'il aurait à porter. Avec un si petit poids dans la tête, il avait encore de la place...

"Y'en ras le cul ! Je commence à me les chauffer ! Vos cercles pathétiques sont tout à fait humains ! Sortez un peu de votre cocon ! Soyez plus que des hommes ! Vous êtes des dirigeants, des puissances sur pattes ! La seule différence entre vous et le système c'est ce que vous avez entre les jambes et qui vous humanise juste assez pour vous rappeller qu'avoir un cercle ne vous empêchera pas de bai..."

"Sir !"

"... comme tout le monde ! Pourquoi tous les matins je suis obligé de manger les même chocapic ? Alors je change de marque, je change même de magasin, je vais chez Leclair Galactique avec Marque Eclair, ou encore chez Intramarché, les Mousses en l'air, Leader Nice, ou Middle, mais non ! Toujours les mêmes ! Alors c'est plus Nesty ou Quel ogre, oui ! Mais ce sont toujours vos ridicules fleurs de chocolat, vos pétales de maïs transgénique, dans votre lait puant ! Moi j'veux des céréales en forme de pomme de terre ! Je veux des gros mots sur les boites ! Je veux des gouts melon, des gouts spaguettis ! J'v'eux plus de lait de vache ! Buvons du Bérichamp au petit dèj ! Avec des tartines de roblochon !"

Devant un tel rateau de plat, Exquise commençait à avoir faim. Son estomac se crispait alors que seule la faim commençait à animer son discours. Il regardait le public parfois déconcerté, parfois écoeuré. Il ne savait plus ce qu'il disait, mais il en avait pleinement conscience.

"Qui veut parler innovation ! Changez votre vie, ne gardez pas la même monotonie journalière ! Vos mages sont décadents, alors que vous clones sont près à se battre ! Laissez tomber le nucléaire, balancez de la vache Qui Rit, et préparez votre bouclier anti-charcuterie ! Nous devons évoluer. En restant dans l'immobilisme nous mourrons ! Ahahah ! Je me marre de votre stagnante latence, votre immobile réaction. Vos mots vous portent, mais ce n'est que croyance, en utilisant toujours les mêmes arguments vous ne faites que rabaissez votre propre démonstration ! On dirait des enfants de huit ans : c'est toujours celui qui a la plus grande qui est le plus fort. Eh ! Votre armée c'est pas votre bi...""Sir !"" ! Vous jouez pas avec comme vous voulez, les règles de la physique ne sont pas toujours respectée, et pour une fois, prouvons-nous que nous pouvons voler sans avoir besoin de réacteur, prouvons-nous que nous n'aurons pas besoin de ces intellectuelles pugnaces et effrayants pour remporter les plus belles victoires ! Prouvez-moi que nous sommes capable de manger autre chose que des chocapic dans un bol de lait, mais des frites sauce vinaigrette dans une coupe de bérichamp au p'tit déj ! Prouvez-moi que notre si belle langue a encore d'énormes secrets pour vous, et que votre rhétorique tout comme votre rixe, ne sont faites encore qu'à ce jour, que de multiples amours !

Je rime, ou je prose ! Qu'importe, dans ce monde je dose. Les poèmes me chatouillent, leur sens m'éclabousse : je cède en douce ! Vous ne le voyez pas, vous ne l'entendez pas, mais ma rime est présente, et dans c'est dans l'antre de Dante que finiront vos magouilles !
Ah que je veux surprendre, que vos cercle suspendre, leurs opérations de farfouillent ! Battez-vous comme des hommes, ne mangez pas tout la pomme, et gardez-en pour demain. Car demain vous verrez, que la pomme fânée, sera remplacée par un magnifique pommier."


Il se plia en deux, comme s'il s'attendait à une foule d'applaudissement. Innover, c'étaint finalement la clé, et il s'en amusait bien. Sa grossièrte identique au personne pourrait lui valoir des réponses abusives, mais il s'en foutait.

"N'oubliez pas qu'innovation ne rime pas toujours avec vulgarité, mais plutôt avec motivation ! Cependant, et pour me pardonnez, Seigneurs et Dames, je vous emmerde !"

Il fit un clin d'oeil à Ehjin, qui appuya sur un petit bouton et lui balança une cape noire. Une musique des grands jours envahissaient la salle, et sous son manteau noir, Kanada suivait dans sa burlesque pièce de théâtre, la princesse d'un noir chocolaté.
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