Kerbasi Etxebarrieta se dirigeait d'un pas décidé vers l'amphithéâtre corporatif. C'était sa première intervention en ce majestueux lieu. Jamais le Président de l'Assemblée Fédérale des Euskal Herri ne s'était déplacé hors de Desertica.
L'ancien rôdeur du désert portait la tenue traditionnelle de Buru. Il était coiffé d'une sorte de béret d'un rouge éclatant. Il portait également un étrange knout cosaque qu'il avait récupéré dans les ruines de Gouliaï-Polié , la nouvelle capitale de son peuple.
Il s'installa au perchoir afin d'être entendu par tous. En sa qualité de chef d'état , il attendait des réponses. Réponses qui ne pourraient être fournies que par les membres de cette étrange Commission chargées de traquer certains crimes corporatistes.
Mesdames , Messieurs , Commissaires Corporatistes,
Je suis le Président de l'Assemblée Fédérale des Euskal Herri. Mon nom est Kerbasi Etxebarrieta.
Je m'adresse a vous aujourd'hui car d'étranges rumeurs nous sont venues. Les forces Corporatistes se seraient "occupées" de certains soi-disant "délinquants". Des états-voyous disent même certains racontars.
Que le Grand Conseil et ses hommes de main , les membres de la Commission de Contrôle , refassent leur apparition afin de faire baisser une criminalité d'état de plus en plus présente est certes une bonne chose. Chose attendue depuis fort longtemps si nous devons en croire les archives Makhnoviennes...
Oui tout cela est bien. La justice , nous seront tous d'accord , doit triompher.
Mais il est une chose qui est intolérable.
C'est l'atteinte aux libertés , libertés données par le peuple.
Ainsi l'échange de ressources , l'aide au développement seraient interdits par les lois Corporatistes?
Ainsi la défunte Makhnovtschina n'aurait jamais du accéder aussi "facilement" a la puissance qu'elle détenait parce qu'elle était tombée sur un "grand frère" ayant la bonté de la pousser vers le firmament?
Surtout qu'a l'époque , toujours d'après ces mêmes archives , la Makhnovtschina était déjà un état dont les textes fondamentaux étaient anciens. Elles ne pouvaient donc , en aucuns cas , prétendre à la tolérance dont fait preuve la Commission a l'égard des "jeunes" états.
Ainsi même lorsque la culpabilité des fautifs serait établie , l'Archimage éprouverait la nécessité d'appliquer de sévères peines alors que le délit n'a été commis qu'une fois sans aucune intention de récidiver?!
Ainsi le Grand Conseil n'a t'il aucun respect pour les chefs d'états? Condamner en catimini et sans aucunes possibilités d'avoir un débat public est il une garantie de voir l'ordre s'imposer en notre univers?
C'est pourquoi nous demandons a la Commission de Contrôle de rendre publique toutes ses décisions et les débats ayant menés a la condamnation d'un état.
Nous demandons aussi que le ou les fautifs puissent être défendus par leurs pairs chefs d'états.
Nous ne nions pas qu'il est nécessaire d'avoir des règles. Nous comprenons parfaitement que l'ordre doit etre restauré a travers cette fameuse commission.
Seulement il est intolérable que l'arbitraire en soit le corolaire direct. Tout comme le secret ne doit plus être la solution.
L'Archimage est connu pour son ton cassant et ses réponses en faux-fuyant. Nous espérons qu'il n'en sera pas ainsi , une fois de plus , pour ces événements qui nous concernent TOUS.
De l'utilité de l'etrange [U2]
Modérateur : Modérateurs
Re: De l'utilité de l'etrange [U2]
Un courant d’air glacial… Un souffle qui donne des frissons, qui fait trembler les muscles… Un froid qui s’immisce en vous alors que l’atmosphère en elle-même ne perd que quelques degrés… Ce changement annonce l’arrivée de Sarexiel lorsqu’il est dans un de ses mauvais jours… Et rien que pour confirmer cela, les portes claquèrent violement sur le mur lorsqu’elles furent poussées par le Grand Conseillé… Une petite habitude qu’il avait pris d’un certain Deathscythe…
Il se dirigea droit vers l’estrade, ne regardant rien ni personne. Son regard était quant à lui empli de colère. Ses yeux habituellement d’un bleu de glace semblait virer légèrement au rouge…
Messieurs, je pense que vous m’aurez reconnu, mais je vais tout de même me présenter par politesse. Je me nomme Sarexiel, Grand Conseillé et Haut Commissaire assigné à la recherche des infractions aux règles corporatistes.
Sachez tout d’abord que tout le remue ménage fait autour de cette affaire dans les couloirs m’a mis de très mauvaise humeur… Je vais cependant essayer de répondre calmement aux questions que se pose Mr… Quel est votre nom déjà ? Ah oui, Kerbasi Etxebarrieta. Veuillez excuser mon oubli, j’ai déja du mal avec les prénoms de plus de cinq lettres, alors deux mots entiers…
Peu importe, comme je le disais donc, je vais tenter de vous renseigner très cher. En effet, la traque aux infractions à pris une nouvelle tournure dernièrement avec l’instauration de nouvelles règles et d’une investigation plus poussée et plus intensive. Ces derniers jours, nous avons identifié un état en infraction, malgré le traité de respect des lois qu’il a signé. Cet état à transgressé l’interdiction de financement d’un autre état en développement alors que lui-même n’avait pas terminé sa propre installation sur ses terres. Nous avons donc appliqué la punition prévue pour ce genre d’infraction, qui est la destruction pure et simple de l’état incriminé, ainsi qu’un blocus sur les états financés, avec suppression des ressources versées plus une grosse amende.
Apparemment, cela dérange… Avouez qu’il y a de quoi être surpris. Pendant longtemps, le Grand Conseil était la cible de tous pour son inaction, son manque d’implication et de surveillance de l’activité des états, et lorsque nous répondons aux attentes, nous sommes à nouveau ciblés. Quelle étrangeté.
Sarexiel fit une courte pause. Sa colère semblait s'être éloignée au fur et à mesure de ses paroles. Mais était-ce bien le cas?
Mais je m’éloigne il me semble, le sujet porte plus sur la raison de la sanction et la forme sous laquelle elle est appliquée. Tout d’abord, je vais tenter de vous expliquer pourquoi le financement d’un état par un autre est interdit dans certaines conditions. Un état n’ayant pas terminé son propre développement qui finance déjà un autre état cours à sa perte. Il ne pourra établir de base économique et militaire stable, se développera dans la misère et l’instabilité. Que risque-t-il d’en résulter ? Nous risquons de tomber dans le système d’esclavagisme qui fait déjà tant parler de lui. Un état instable est bien plus sensible à ce genre de menace qu’un état stable. Nous souhaitons donc par cette interdiction limiter ces risques. Chaque état se doit de favoriser son propre développement avant de penser à aider au développement d’un autre état. Je pense que cette règle est parfaitement justifiée, je ne m’étendrais donc pas plus dessus.
Passons maintenant à la forme. Le dossier que la commission monte, le jugement et l’application de la sentence. Messieurs, si nous rendons publique les informations que nous avons avant jugement, les risques sont de voir les incriminés détruire les preuves, les contrer ou même pire, tenter de trouver des explications et de se justifier. Nous ne pouvons nous permettre de laisser des poissons passer au travers des mailles du filet. De plus, en révélant ces informations, nous donnons les armes aux contrevenants pour éviter nos pièges et nos moyens d’investigation. Pour faire simple, révéler ces informations revient à nous tirer une balle dans le pied… Si ce n’est même directement dans la tête.
Ensuite, en ce qui concerne le jugement et la condamnation, ou acquittement, seul l’Archimage Terluan est en mesure de se prononcer. Nous, membres de la commission ne faisons que réunir les preuves, rien de plus. Alors en quoi avoir peur ? Il a toujours eut droit sur tout. Nous ne sommes pas en démocratie ici, dois-je vous le rappeler ?
Cependant, je dois vous accorder que les incriminés pourraient éventuellement avoir droit à une défense. Mais ce n’est pas moi qu’il faut convaincre, c’est Terluan lui-même.
Pour terminer, détrompez vous mon cher Kerbasi Etxebarrieta, l’arbitraire n’a pas sa place à la commission. Seuls les contrevenants contre lesquels nous avons des preuves irréfutables sont condamnés. Si le dossier n’est pas suffisant pour prouver les infractions, il n’est tout simplement jamais révélé, nous nous contentons de surveiller régulièrement le contrevenant pour confirmer ou infirmer sa culpabilité.
Voila, je pense avoir répondu à la plupart de vos interrogations. Si j’en ai oublié, n’hésitez pas à me le rappeler, je vous répondrai. Ce ne sera pas avec joie, mais je le ferai, car mon rôle me l’impose.
Bien, au suivant. Ceux qui veulent s’exprimer ici sont les bienvenus. Cependant, veillez à rester correct et ne pas me faire sortir de mes gonds, je peux devenir très agressif…
Sarexiel quitta le micro et s’apprêta à descendre de l’estrade lorsqu’il se prit les pieds dans sa longe toge et dégringola les marches sous les rires des chefs d’état ici réunis… Encore un évènement qui n’allait pas améliorer son humeur…
Il se dirigea droit vers l’estrade, ne regardant rien ni personne. Son regard était quant à lui empli de colère. Ses yeux habituellement d’un bleu de glace semblait virer légèrement au rouge…
Messieurs, je pense que vous m’aurez reconnu, mais je vais tout de même me présenter par politesse. Je me nomme Sarexiel, Grand Conseillé et Haut Commissaire assigné à la recherche des infractions aux règles corporatistes.
Sachez tout d’abord que tout le remue ménage fait autour de cette affaire dans les couloirs m’a mis de très mauvaise humeur… Je vais cependant essayer de répondre calmement aux questions que se pose Mr… Quel est votre nom déjà ? Ah oui, Kerbasi Etxebarrieta. Veuillez excuser mon oubli, j’ai déja du mal avec les prénoms de plus de cinq lettres, alors deux mots entiers…
Peu importe, comme je le disais donc, je vais tenter de vous renseigner très cher. En effet, la traque aux infractions à pris une nouvelle tournure dernièrement avec l’instauration de nouvelles règles et d’une investigation plus poussée et plus intensive. Ces derniers jours, nous avons identifié un état en infraction, malgré le traité de respect des lois qu’il a signé. Cet état à transgressé l’interdiction de financement d’un autre état en développement alors que lui-même n’avait pas terminé sa propre installation sur ses terres. Nous avons donc appliqué la punition prévue pour ce genre d’infraction, qui est la destruction pure et simple de l’état incriminé, ainsi qu’un blocus sur les états financés, avec suppression des ressources versées plus une grosse amende.
Apparemment, cela dérange… Avouez qu’il y a de quoi être surpris. Pendant longtemps, le Grand Conseil était la cible de tous pour son inaction, son manque d’implication et de surveillance de l’activité des états, et lorsque nous répondons aux attentes, nous sommes à nouveau ciblés. Quelle étrangeté.
Sarexiel fit une courte pause. Sa colère semblait s'être éloignée au fur et à mesure de ses paroles. Mais était-ce bien le cas?
Mais je m’éloigne il me semble, le sujet porte plus sur la raison de la sanction et la forme sous laquelle elle est appliquée. Tout d’abord, je vais tenter de vous expliquer pourquoi le financement d’un état par un autre est interdit dans certaines conditions. Un état n’ayant pas terminé son propre développement qui finance déjà un autre état cours à sa perte. Il ne pourra établir de base économique et militaire stable, se développera dans la misère et l’instabilité. Que risque-t-il d’en résulter ? Nous risquons de tomber dans le système d’esclavagisme qui fait déjà tant parler de lui. Un état instable est bien plus sensible à ce genre de menace qu’un état stable. Nous souhaitons donc par cette interdiction limiter ces risques. Chaque état se doit de favoriser son propre développement avant de penser à aider au développement d’un autre état. Je pense que cette règle est parfaitement justifiée, je ne m’étendrais donc pas plus dessus.
Passons maintenant à la forme. Le dossier que la commission monte, le jugement et l’application de la sentence. Messieurs, si nous rendons publique les informations que nous avons avant jugement, les risques sont de voir les incriminés détruire les preuves, les contrer ou même pire, tenter de trouver des explications et de se justifier. Nous ne pouvons nous permettre de laisser des poissons passer au travers des mailles du filet. De plus, en révélant ces informations, nous donnons les armes aux contrevenants pour éviter nos pièges et nos moyens d’investigation. Pour faire simple, révéler ces informations revient à nous tirer une balle dans le pied… Si ce n’est même directement dans la tête.
Ensuite, en ce qui concerne le jugement et la condamnation, ou acquittement, seul l’Archimage Terluan est en mesure de se prononcer. Nous, membres de la commission ne faisons que réunir les preuves, rien de plus. Alors en quoi avoir peur ? Il a toujours eut droit sur tout. Nous ne sommes pas en démocratie ici, dois-je vous le rappeler ?
Cependant, je dois vous accorder que les incriminés pourraient éventuellement avoir droit à une défense. Mais ce n’est pas moi qu’il faut convaincre, c’est Terluan lui-même.
Pour terminer, détrompez vous mon cher Kerbasi Etxebarrieta, l’arbitraire n’a pas sa place à la commission. Seuls les contrevenants contre lesquels nous avons des preuves irréfutables sont condamnés. Si le dossier n’est pas suffisant pour prouver les infractions, il n’est tout simplement jamais révélé, nous nous contentons de surveiller régulièrement le contrevenant pour confirmer ou infirmer sa culpabilité.
Voila, je pense avoir répondu à la plupart de vos interrogations. Si j’en ai oublié, n’hésitez pas à me le rappeler, je vous répondrai. Ce ne sera pas avec joie, mais je le ferai, car mon rôle me l’impose.
Bien, au suivant. Ceux qui veulent s’exprimer ici sont les bienvenus. Cependant, veillez à rester correct et ne pas me faire sortir de mes gonds, je peux devenir très agressif…
Sarexiel quitta le micro et s’apprêta à descendre de l’estrade lorsqu’il se prit les pieds dans sa longe toge et dégringola les marches sous les rires des chefs d’état ici réunis… Encore un évènement qui n’allait pas améliorer son humeur…
Re: De l'utilité de l'etrange [U2]
Le pas lourd, le regard vide, des larmes creusant de lourds sillons sur des joues rougies pas une colère sans limite...
L’individu vêtu d’une armure de combat noir rehaussée de magnifique décorations d’or ne pris même pas la peine de demander de s’adressé aux hôtesses d’accueil et entra directement dans la salle portant le titre « de l’utilité de l’étrange ».
Deux personnes semblaient être au centre de l’attention des diplomates, dirigeants ou autre curieux présent...
SILENCE !!!!
Son entrée était tellement inattendu et indisposante que tous se tournèrent vers lui pour voir un être aisément qualifiable de misérable malgré son accoutrement guerrier plus que remarquable.
Tout en se dirigeant vers l’estrade il prit la parole d’une voix marquée par une tristesse sans limite.
Hier soir, alors que je dirigeais un raid nocturne mon copilote ma avertit que les contacts avec mon Etat, l’Atuzil avaient été rompus.
Il sembla contenir un torrent de larmes avant de continuer.
J’ais immédiatement ordonné à ma petite armada de faire demis tour et ce que je vis en arrivant à l’endroit où devait se tenir mon Etat, le lieux qui m’as vus grandir et devenir le dirigeant que je suis, était au delà de toute imagination...
Un lourd silence c’était fait dans la salle alors que la situation digne du pire des romans de passions semblait se jouer.
Rien.... le vide.... le néant....
Cette fois ci rien ne pus retenir ses larmes
mon Etat, MON peuple, exterminée ! Réduite en atomes !!!!
Son regard au pars avant plein de souffrance changea en un regard haineux
Et tout cela est de la faute du Grand Conseille qui selon ses lois me définit comme étant un ignoble dirigeant coupable, et même HAUTEMMENT coupable puisqu’ils ont jugé la peine capital adapté à mon énorme faute, d’avoir participé au financement de deux Etats, l’Empire Cylon et Galya.
Il reprit sa respiration, sembla se calmé et continua
Maintenant je vais vous resituer l’histoire tel qu’elle c’est déroulé.
J’ais effectivement envoyé 300 unités d’acier à mes 2 compagnons et j’ose utilisé le mot compagnons et non tout simplement alliés car des liens aussi fort que le plus pur des acier nous unit.
Pourquoi cette envoie?
Normalement cet acier devait être rémunéré à un taux certes en dessous de sa vraie valeur mais à un taux acceptable. Malheureusement mes deux frères d’arme n’avaient actuellement plus un crédit en poche et fidèle à nos valeurs de fraternité j’ais pris la décision de leurs en faire cadeau.
Je savais que plus tard des qu’ils auraient les moyens ils m’auraient remboursés aux double de la somme initialement prévu car on a toujours fonctionné comme ça.
Son ton bien que tremblant et hésitant devenait de plus en plus audible
Si j’aurais réellement voulu finacer un Etat ça n’aurait certainement pas été eux car selon le classement de la corporation ce ne sont certainement pas les plus puissant et, j’aurais donné la totalité de mes ressource à une seul personne et non la moitié à chacun.
Voila, j’ais dit ce que j’avais à dire, je ne sais pas si le Grand Conseil à le pouvoir de défaire ce qui à été fait mais je vous en supplie ;
Il tomba à genoux face à ce qu’il reconnu comme étant le Grand Conseillé Sarexiel
Vous avez dit que vous ne reteniez pas les mots de plus de 5 lettres alors retenez celui la je vous en conjure... Pitié....
Sans mon peuple je ne suis plus qu’une coquille vide incapable de vivre, ma raison à disparus, mon amour c’est brisé. Si vous êtes un tant sois peu humain vous devez me comprendre.... je l’espère.
Il se releva lourdement, descendit les marches, s’effondra au sol et parvient dans ce qui sembla être un effort surhumain à se hissé sur une chaise.
C’est avec une voix déformée par un torrent de larme qu’il articula
Je me nomme Teotihuacan No’Alar de la disparus Atuzil.... je remercie le Président de l'Assemblée Fédérale des Euskal Herri, Kerbasi Etxebarrieta pour avoir pris les devant de ma défense...
Le No’Alar, malgrès son prestigieux titre ainsi exposé se prit la tête entre les deux mains, se recourba et plongea dans un profond mutisme...
Ploc..ploc..ploc..ploc...
Seul le bruit de ses larmes se fracassant sur le sol perturba le silence...
L’individu vêtu d’une armure de combat noir rehaussée de magnifique décorations d’or ne pris même pas la peine de demander de s’adressé aux hôtesses d’accueil et entra directement dans la salle portant le titre « de l’utilité de l’étrange ».
Deux personnes semblaient être au centre de l’attention des diplomates, dirigeants ou autre curieux présent...
SILENCE !!!!
Son entrée était tellement inattendu et indisposante que tous se tournèrent vers lui pour voir un être aisément qualifiable de misérable malgré son accoutrement guerrier plus que remarquable.
Tout en se dirigeant vers l’estrade il prit la parole d’une voix marquée par une tristesse sans limite.
Hier soir, alors que je dirigeais un raid nocturne mon copilote ma avertit que les contacts avec mon Etat, l’Atuzil avaient été rompus.
Il sembla contenir un torrent de larmes avant de continuer.
J’ais immédiatement ordonné à ma petite armada de faire demis tour et ce que je vis en arrivant à l’endroit où devait se tenir mon Etat, le lieux qui m’as vus grandir et devenir le dirigeant que je suis, était au delà de toute imagination...
Un lourd silence c’était fait dans la salle alors que la situation digne du pire des romans de passions semblait se jouer.
Rien.... le vide.... le néant....
Cette fois ci rien ne pus retenir ses larmes
mon Etat, MON peuple, exterminée ! Réduite en atomes !!!!
Son regard au pars avant plein de souffrance changea en un regard haineux
Et tout cela est de la faute du Grand Conseille qui selon ses lois me définit comme étant un ignoble dirigeant coupable, et même HAUTEMMENT coupable puisqu’ils ont jugé la peine capital adapté à mon énorme faute, d’avoir participé au financement de deux Etats, l’Empire Cylon et Galya.
Il reprit sa respiration, sembla se calmé et continua
Maintenant je vais vous resituer l’histoire tel qu’elle c’est déroulé.
J’ais effectivement envoyé 300 unités d’acier à mes 2 compagnons et j’ose utilisé le mot compagnons et non tout simplement alliés car des liens aussi fort que le plus pur des acier nous unit.
Pourquoi cette envoie?
Normalement cet acier devait être rémunéré à un taux certes en dessous de sa vraie valeur mais à un taux acceptable. Malheureusement mes deux frères d’arme n’avaient actuellement plus un crédit en poche et fidèle à nos valeurs de fraternité j’ais pris la décision de leurs en faire cadeau.
Je savais que plus tard des qu’ils auraient les moyens ils m’auraient remboursés aux double de la somme initialement prévu car on a toujours fonctionné comme ça.
Son ton bien que tremblant et hésitant devenait de plus en plus audible
Si j’aurais réellement voulu finacer un Etat ça n’aurait certainement pas été eux car selon le classement de la corporation ce ne sont certainement pas les plus puissant et, j’aurais donné la totalité de mes ressource à une seul personne et non la moitié à chacun.
Voila, j’ais dit ce que j’avais à dire, je ne sais pas si le Grand Conseil à le pouvoir de défaire ce qui à été fait mais je vous en supplie ;
Il tomba à genoux face à ce qu’il reconnu comme étant le Grand Conseillé Sarexiel
Vous avez dit que vous ne reteniez pas les mots de plus de 5 lettres alors retenez celui la je vous en conjure... Pitié....
Sans mon peuple je ne suis plus qu’une coquille vide incapable de vivre, ma raison à disparus, mon amour c’est brisé. Si vous êtes un tant sois peu humain vous devez me comprendre.... je l’espère.
Il se releva lourdement, descendit les marches, s’effondra au sol et parvient dans ce qui sembla être un effort surhumain à se hissé sur une chaise.
C’est avec une voix déformée par un torrent de larme qu’il articula
Je me nomme Teotihuacan No’Alar de la disparus Atuzil.... je remercie le Président de l'Assemblée Fédérale des Euskal Herri, Kerbasi Etxebarrieta pour avoir pris les devant de ma défense...
Le No’Alar, malgrès son prestigieux titre ainsi exposé se prit la tête entre les deux mains, se recourba et plongea dans un profond mutisme...
Ploc..ploc..ploc..ploc...
Seul le bruit de ses larmes se fracassant sur le sol perturba le silence...
Dernière modification par Atuzil le 01 oct. 2008, 05:40, modifié 1 fois.
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Duanration
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- Inscription : 19 févr. 2008, 20:34
Re: De l'utilité de l'etrange [U2]
Ses doigts glissèrent avec douceur sur son bras. De l’échine jusqu’aux orteils en passant par son sexe en érection il eut un frisson tant la sensation fut douce.
Cantonné trois années durant aux taches administratives du conseil, il en était désormais devenu un véritable membre depuis la mort tragique d’un certains Helmut (Von de son prénom).
Le récemment nommé Grand Conseillers voulait prendre la parole. Pour se faire il fut contraint de se rendre jusqu’à l’estrade, offrant à tous l’infâme physique qui depuis toujours avait été son calvaire.
En effet le pauvre homme avait été haït par la nature. Dés 8 ans sa dentition avait ouvert le chantier de la laideur à l’origine de son aspect abjecte d’aujourd’hui. Ses dents étaient si énormes qu’il était incapable de garder la bouche fermée et qu’il était aisé de deviner la forme de ses incisives à travers ses joues. A 11 ans, une pluie d’acné avait ravagée son visage, faisant littéralement disparaitre son nez et son menton. Sa croissance pris fin à 15 ans, age auxquels ses hormones lui jouèrent un vilain tours et déclenchèrent chez lui une pilosité excessive.
Ainsi était-il. Petit, trapu, le visage ingrat, et le corps recouvert de poil. Ses amis d’école (qui avaient tentés de l’assassiner à plusieurs reprises, dont une fois avec un vibo-masseur… Enfin, bref), le surnommaient autrefois « Baboune », tant sa fourrure était importante. C’est pourquoi il ne prenait même plus la peine de s’habiller, ses parties intimes étant parfaitement recouvertes et cachées. Il portait seulement un sac à dos vert fluo.
Mon nom est Proutesky Hehuch. Je suis Grand Conseiller.
Il exhiba fièrement un objet, perdu dans l’immensité du pelage de sa mains, faisant qu’il était difficile d’en distinguer ne serait-ce que les reliefs.
Mais mon identité importe peu.
Premiere précision, le Grand Conseil n’a condamné personne, ce fut l’affaire de la commission. Bien qu’une partie du Grand Conseil y siege ce sont deux organismes distincts bien que lié dans un certain sens. Je n’en fais pas partouse…partie je veux dire.
Une envie soudaine lui fit marquer une pause de quelques secondes.
Vous avez tous signés. Vous, votre Etat, son peuple. Vous avez signé nos règles lorsque nous avons accepter de vous reconnaitre. Lorsque l’on s’engage à suivre un règlement il faut subir les cunil…conséquences de son manquement à son contenu.
Proutesky poussa très fort et la crotte se figea au milieu de ses poils, nul ne serait en mesure de la repérer au fin fond de cette jungle pileuse.
Quand bien même il serait interdit de regarder des films à caractère pornographique que vous seriez obligé de suivre cette règle… Le Grand Conseil vous reconnait en tant qu’Etat et vous donne les moyens d’assumer une existence en tant que telle. En échange elle vous impose d’obeir à ses règles.
Mais sachiez que les lois ne sont pas rigides (Pas comme moi *héhé*). Le règlement vie. Et quand je dis qu’il vie je ne parle pas de pénis !
Aucune femme n’approchait Proutesky, le sexe l’obsédait. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il savait qu’un « vis » pouvait désigner un pénis.
Je veux bien dire qu’elle suit le peuple dans la mesure de son intérêt.
Il se décida à laisser échapper quelques gouttes d’urines. Mais il faudra qu’il lave son poil avec ferveur afin qu’il soit doux comme il l’aime.
Bref, là ou je veux en venir c’est qu’il n’est pas lieu de juger le jugement puisqu’il est directement associé à une phrase simple. En cela j’aimerais vous conseiller de depenser votre energie à proposer des solutions alternatives aux limitations qui sont imposés aux Etats.
Doucement, avec agilité et prudence, l’Homme/singe, avant de retourner à sa place s’isola dans un coin d’où il retira les quelques immondices éjectés par ses orifices.
Cantonné trois années durant aux taches administratives du conseil, il en était désormais devenu un véritable membre depuis la mort tragique d’un certains Helmut (Von de son prénom).
Le récemment nommé Grand Conseillers voulait prendre la parole. Pour se faire il fut contraint de se rendre jusqu’à l’estrade, offrant à tous l’infâme physique qui depuis toujours avait été son calvaire.
En effet le pauvre homme avait été haït par la nature. Dés 8 ans sa dentition avait ouvert le chantier de la laideur à l’origine de son aspect abjecte d’aujourd’hui. Ses dents étaient si énormes qu’il était incapable de garder la bouche fermée et qu’il était aisé de deviner la forme de ses incisives à travers ses joues. A 11 ans, une pluie d’acné avait ravagée son visage, faisant littéralement disparaitre son nez et son menton. Sa croissance pris fin à 15 ans, age auxquels ses hormones lui jouèrent un vilain tours et déclenchèrent chez lui une pilosité excessive.
Ainsi était-il. Petit, trapu, le visage ingrat, et le corps recouvert de poil. Ses amis d’école (qui avaient tentés de l’assassiner à plusieurs reprises, dont une fois avec un vibo-masseur… Enfin, bref), le surnommaient autrefois « Baboune », tant sa fourrure était importante. C’est pourquoi il ne prenait même plus la peine de s’habiller, ses parties intimes étant parfaitement recouvertes et cachées. Il portait seulement un sac à dos vert fluo.
Mon nom est Proutesky Hehuch. Je suis Grand Conseiller.
Il exhiba fièrement un objet, perdu dans l’immensité du pelage de sa mains, faisant qu’il était difficile d’en distinguer ne serait-ce que les reliefs.
Mais mon identité importe peu.
Premiere précision, le Grand Conseil n’a condamné personne, ce fut l’affaire de la commission. Bien qu’une partie du Grand Conseil y siege ce sont deux organismes distincts bien que lié dans un certain sens. Je n’en fais pas partouse…partie je veux dire.
Une envie soudaine lui fit marquer une pause de quelques secondes.
Vous avez tous signés. Vous, votre Etat, son peuple. Vous avez signé nos règles lorsque nous avons accepter de vous reconnaitre. Lorsque l’on s’engage à suivre un règlement il faut subir les cunil…conséquences de son manquement à son contenu.
Proutesky poussa très fort et la crotte se figea au milieu de ses poils, nul ne serait en mesure de la repérer au fin fond de cette jungle pileuse.
Quand bien même il serait interdit de regarder des films à caractère pornographique que vous seriez obligé de suivre cette règle… Le Grand Conseil vous reconnait en tant qu’Etat et vous donne les moyens d’assumer une existence en tant que telle. En échange elle vous impose d’obeir à ses règles.
Mais sachiez que les lois ne sont pas rigides (Pas comme moi *héhé*). Le règlement vie. Et quand je dis qu’il vie je ne parle pas de pénis !
Aucune femme n’approchait Proutesky, le sexe l’obsédait. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle il savait qu’un « vis » pouvait désigner un pénis.
Je veux bien dire qu’elle suit le peuple dans la mesure de son intérêt.
Il se décida à laisser échapper quelques gouttes d’urines. Mais il faudra qu’il lave son poil avec ferveur afin qu’il soit doux comme il l’aime.
Bref, là ou je veux en venir c’est qu’il n’est pas lieu de juger le jugement puisqu’il est directement associé à une phrase simple. En cela j’aimerais vous conseiller de depenser votre energie à proposer des solutions alternatives aux limitations qui sont imposés aux Etats.
Doucement, avec agilité et prudence, l’Homme/singe, avant de retourner à sa place s’isola dans un coin d’où il retira les quelques immondices éjectés par ses orifices.
Re: De l'utilité de l'etrange [U2]
...
Qui n'entend qu'une cloche n'entend qu'un son
J'ai un autocollant "Soulis 4ever" sur ma voiture depuis 1897 !
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