L'éternité dérobée.

Tout le role-play qui ne rentre dans aucune autre catégorie

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Cerrsae
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L'éternité dérobée.

Message par Cerrsae »

Quelques 25.000 années avant notre ère...quelque part sur une des 5 planètes du système Galactica, qui s'appela système nébulique, puisqu'à cette époque une nébuleuse fut la voisine proche de notre système.

A cette époque, la technologie telle que vous la connaissez aujourd'hui, se limitait à des vaisseaux d'explorations et de quelques unités offensives, qui feraient rire plus d'un. Mais pour l'époque, ce fut assez dissuasif, voire offensif pour quelques peuplades.
Par contre, la magie était reine, bien plus qu'à présent. Les mages et les Maîtres, se disputaient des territoires aussi vastes que riches.
Je vécus à cette époque, ne soyez pas choqué...j'ai 25.225 ans et je ne ressemble pas encore à ces vieillards qui sont prêts à être accueillis par le Tout-Puissant.

Toutefois, la loi dite de "μαγικός", qui se dit magikos, interdisait aux mages ou aux Maîtres, d'utiliser la magie contre les mortels, à savoir contre les êtres vivants autres que les magiciens.

Me voici donc, moi, Cerssae, Maître de la magie antique, ayant survolé les temps ancéstraux, ayant vu et vécu des choses que nul ne pourrait imaginer. Je suis Maître de la magie antique, immortel, jusqu'à il y a 150 ans.
Il faut savoir que la mages et les Maîtres sont des êtres lumineux, possèdant le savoir, possèdant la puissance, mais ô combien solitaire! pas de famille, pas d'amis au sens propre, que des amis de circonstences, pas d'âme soeur...μαγικός nous l'interdisait également. Nous errions parmi le temps, à la recherche du savoir ultime, du pouvoir ultime. D'après nos recherches de l'époque, ce savoir universel se trouverait dans des sphères qui seraient éparpillées à travers le système. Chaque Maître se metta à la tâche, essayant de trouver ces artéfactes.

Moi, je fus sur Désertica, appellée à l'époque άμμος (Ammos), ce qui équivaut au mot "sable". Mes mages qui travaillaient pour moi à l'époque, trouvèrent un parchemin dans des ruines. Après traduction, il s'avèra que les sphères étaient au nombre de cinq, une sur chaque planète du système Nébulique. Ainsi, lorsque la traduction alla plus loin, le seul moyen de localiser les sphères, était de réciter un chant lors d'une éclipse lunaire avec άμμος. Lors des fouilles et de la bonne nouvelle de cette trouvaille, le hasard voulait que l'éclipse allait se produire quelques heures plus tard ce jour là.

Le soir tombé, je me dirigeai vers le temple d'Errecas, Dieu du lucre et de tout ce qui profite à autrui. Entouré de mes mages, du Roi de l'époque et de quelques gardes royaux, je me placai sur le plus haut point du temple; c'était une structure carrée, montée comme une pyramide. A sa base, des escaliers nombreux et au sommet de ces escaliers, une entrée. Celle-ci fut soutenue par des socles d'un marbre blanc, décorés par des figurines angéliques et diaboliques. Dans l'antre de ce temple, des joyaux, des bougies, tapisseries. A l'intérieur du temple d'Errecas, se trouvait également une tapisserie représentant le système Nébulique avec ses 5 planètes, des tracés géométriques...

Je montai sur l'estrade qui donnait juste au milieu du temple, au-dessus de moi, une ouverture vers le ciel et là, se tenait la lune d'άμμος. Je sortis alors le parchemein sur lequel nous avions traduit le chant à réciter lors de l'éclipse, tout en ne sachant pas exactement ce qui arriverait.
L'éclipse fut imminente...je chantai donc,

Με τις εξουσίες της One, παντοδύναμος, πανταχού παρούσα, αιώνια πηγή κάθε δημιουργία, από το Θεό, αφέντης της σελήνης, και από τον Θεό, κυνηγός Κέρατα του Ήλιου, από τις εξουσίες των οινοπνευματωδών των λίθων, των πλοίαρχος στοιχεία βασίλεια, από τη δύναμη της αστέρια εκεί πάνω και τη γη εδώ, είναι ένα τέτοιο ευλογημένο τόπο, το χρόνο, όπως είμαι μαζί σας.

Δείξε μας τις γνώσεις του αντικείμενα, τα από σας, είμαστε.


Ce chant fait appel au pouvoir des Dieux, de la Lune et des Terres, invoquant ainsi leur pouvoir, afin de nous montrer où se trouve le savoir universel.
Tout à coup, une lueurre de plus en plus forte se produisit, celle-ci descendit tout droit de l'ouverture dans le plafond du temple. Elle se réfléchissa sur un des mirroirs du temple pour finir sa course sur la tapisserie. Là, des points blancs très lumineux se placèrent sur les planètes de notre système, 1 point lumineux par planète. 5 mages se détachèrent du groupe et regardèrent attentivement cette tapisserie.
Tout à coup, tout cessa, comme si rien ne s'était jamais passé.

Je fixai mes mages et je compris, nous avons la localisation des 5 sphères. Le plus curieux fut que la sphères d'άμμος se trouva dans le temple, sous l'ôtel des sacrifices...
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Cerrsae
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Re: L'éternité dérobée.

Message par Cerrsae »

Les sphères...il fallait absolument que les cinq sphères soient réunies sous un même endroit, lors d'un alignement des 5 planètes. Cet alignement ne se produit qu'une fois tous les 225 ans.
J'avais donc encore 153 ans devant moi pour y arriver, moi et mes sbires.

La vie à cette époque, fût très différente de ce qu'elle est aujourd'hui; à l'époque les chefs d'états et de gouvernement s'occupèrent de gérer leurs états respectifs en faisant des guerres pour étendre leur territoire et leur suprématie, gérer leurs économies et nouer des liens diplomatiques pour le bien des peuples.
Moi, je fais pas partie de ce groupe de personnes que je considèraient à l'époque comme unités négligeables, qui au final, nous servaient. Non, moi et mes semblables faisions partie de la guilde des Maîtres. Maîtres de la magie et de la puissance surnaturelle.
La loi de Magikos était de vigueur et nul ne pouvait l'enfreindre, sauf en cas d'extrême urgence et pour le salut de la guilde des Maîtres. Les mortels eux, ne devaient compter que sur leur propre technologie et nulle magie ne faisait partie de leur stratégie militaire, tout le contraire aujourd'hui, mais cela est une autre histoire...

Les Maîtres jouissent de la vie éternelle, nulle mort ne pouvant les déchirer du Tout. Non, rien....sauf....

Je cherchai donc ces sphères avec les autres Maîtres de la galaxie et il nous fallut bien plus que 150 années, en fait après 6500 ans environ, nous y parvîmes.
Ce jour, où les 5 planètes de Galactica allaient s'alligner, nous, les Maîtres étions rassemblés sur Vertana, qui s'appelait à l'époque, το πράσινο (La Verte), planète de la naissance magique, mère de tout ce qui vit et qui meurt en cette galaxie.
L'endroit choisi, fut un ancien temple dédié à notre mère à tous, Gaia. Un temple au dimension que l'on qualifierait d'exagéré pour notre époque.

Je me sentai très flaté, j'étais celui qui alla réveiller les sphères, celui qui alla répandre la sérénité en ce monde, celui qui alla apporter la chose dont tout le monde rêvait: la révélation!
Je fus celui qui alla apporter....désastre et malheur sur notre galaxie...

Les recherches sur ces σφαίρες (les sphères) , se sont étalé sur ces 6500 années et nous apportâmes quelques éclaircissement supplémentaires; à savoir que celles-ci gardèrent en son sein le pouvoir d'illuminer les Hommes, leur apportant la paix et le savoir, une sérénité éternelle et une richesse spirituelle. De plus, elles allèrent apporter une richesse non commensurable, car la famine diparaîtrait et tous viveraient dans la luxure sans devoir se soucier du lendemain.
Les recherches nous mirent aussi en garde: la gourmandise de l'Homme n'est pas mesurable et il est préférable que jamais ces sphères ne soient réunies, tant que les Hommes seraint vivants. mais il était hors de question d'éradiquer cette espèce, Gaia empêcherait quiconque de détruire ce qu'elle créa.
La cérémonie des sphères elle, devait se dérouler d'une manière extrêmement précise, à savoir que l'alignement des planètes devait être parfait et que la fin de l'invocation devait correspondre à cet alignement.
D'après les scientifiques de l'époque, l'alignement parfait ne serait parfait que pendant 5 minutes.

Dans le temple, les Maîtres se réunirent; au nombre de 75,autour de l'ôtel de Gaia. L'ôtel se trouvait au centre de celui-ci. La salle centrale était ronde, un cercle parfait, où se réunirent aussi les sbires les plus fidèles des différents Maîtres.
Les Hommes eux, furent interdits d'entrée, seul les immortels et leurs sbires avaient accès au temple de Gaia.

La cérémonie prit son cour, la nuit tomba et les planètes s'approchait de la ligne d'alignement.
Les incantations commencèrent, les sphères étaient placées sur l'ôtel de Gaia selon une disposition bien précise; un pentacle dessiné sur l'ôtel et les sphères aux extrémités.
Elles étaient belles, brillantes, de couleurs vives, des sphères vivantes; elles changèrent de couleur et étaient protégées par des anneaux qui tournoyaient autour de celles-ci...l'incatation, telle décrite dans les archives trouvées sur différents sites des planètes de notre système.

Je me sentis élevé au rang de prophètes, je sentais toute mon âme vibrer, mon corps se flaîtrir, mes yeux devinrent brillants, mes mains tremblantes....moi Cerssae allait répandre la sérénité...
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Cerrsae
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Re: L'éternité dérobée.

Message par Cerrsae »

10.000 années ont passée.....enfin, les ruines que furent jadis ici bas, au Temple de Gaia disparurent. 10.000 années de souffrance, de douleurs, de misère firent place à une rennaissance.
Les esprits maléfiques qui prirent possesion de la Galaxie tout entière furent enfin bannies. La population galacticane avait baissé de 75%..morts, désolation et une geurre interminable qui ne voyait aucune victoire pour les humains, ni même pour nous, les Maîtres....

Cette incantation malencontreuse cachait en vérité une damnation éternelle, laissant apparaître dans les cieux de l'actuelle Vertana, une déchirure spatio-temporelle de laquelle des êtres d'ombres faisaient leur apparition. Celles-ci immédiatement commencèrent à s'en prendre à la population présente, les emportant vers le repos ad vitam eternam.

Les sphères elles, disparurent sous nos yeux sans jamais plus que personnes ne les entrevoient....jusqu'à....cela est une autre histoire.

Les sphères avaient fait leur travail, la folie des Maîtres, dont je fais parties, n'avait plus de limite...nous avions plongé la Galaxie toute entière dans une crise profonde et nous ne savions pas comment y faire face. Jamais nous n'avions eu à faire à de telle créature. Aucun écrit y faisait allusion, du moins nous le croyions, jusqu'à ce qu'un de mes acolytes, après des recherches minutieuses, trouva un manuscrit datant de la période post civilisée.
Après traduction, nous eûmes la chance de trouver enfin à qui, ou plutôt à quoi, nous avions à faire; des créatures venant d'un monde parallèle qui trouvèrent un passage ouvert par l'incantation.
Cette incantation était maline, celle ou celui qui l'avait écrit, voulait que ces créatures fassent leur apparition en notre sein. Le pourquoi, nous ne le saurons jamais.

Toujours est-il, que pendant dix mille ans, les 5 planètes, plongèrent dans une période noire. Les créatures se nourissaient de notre pouvoir, la magie ne leur faisait pas peur, au contraire, elle les renforça!

Dans cette guerre qui tourna à l'avantage de ces créatures qui furent les Τα πλάσματα του σκιές, ceux qui plus tard portèrent le nom d'Ekeliens, les créatures de l'ombre, nous parvîmes à trouver la solution pour les écarter à jamais de notre chemin. Pas question de magie, mais de la science. Une ouoverture de brèche spatio-temporelle, grâce à la technologie. Cette prouesse technologique fut élaborée sur Aquablue et il ne fût pas certain que cela fonctionne, mais nous avions plus rien à perdre.

Les peuples de Galactica oublièrent pour des années, l'animosité qui les accompagna quotidiennement. Par l'union, nous allions vaincre. La seule condition à l'utilisation de cet appareil, fut que celui-ci devait être détruit par la suite ainsi que les plans de construction. De plus, je devais m'assurer que plus aucun ingénieur, technicien eut le moindre souvenir de ces plans et donc j'émetais, ainsi que mes pères, la condition, que tous ceux ayant participer de loin ou de près à ce projet, devait être exposé aux chants de l'oubli. Tout souvenir serait ainsi bannit de leur mémoire. Les différents chefs d'état de l'époque, acquièssèrent et ainsi donc, la fin des Ekeliens fut proche et ainsi fut!

La reconstruction battait son plein, et durant de longues années, aucune guerre n'éclata, les états ayant fortement à faire.

Notre existance à nous, les Maîtres, fut menacée; en effet, les différents peuples de la Galaxie, nous en voulaient à nous les Maîtres, d'avoir rendu possible ce carnage, mais l'Homme oublia vite que c'est lui qui voulut le pouvoir des sphères, croyant ainsi se saisir du Pouvoir.
Nous, les Maîtres, nous nous rendîmes sur Vertana, dans un monde où les Hommes ne pourraient nous trouver.
Des siècles passèrent et je fus le seul à quitter notre monde, ceci sans en avertir mes pères, qui auraient certainement interdit ceci. Car nous avions décidé de ne jamais plus quitter notre monde, pour celui des Hommes, êtres ingrats et ignorants.
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Cerrsae
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Re: L'éternité dérobée.

Message par Cerrsae »

...des années passèrent et je pus me faufiler dans les méandres humains en observant ici et là, dans les différentes contrées, le développement de ces humains si ingrats.
Mon existence devint celui d'un nomade, rencontrant des êtres parfois mal attentionnés, parfois des gens dont la bonté n'égalait que leur beauté...comme Epahelia, femme aux allures de déesse et qui croyait pouvoir réunir le monde pour atteindre un havre de paix.
Nous sommes en 2727, soit 1000 années en arrière, période riche en évènement et en développement technologique.
A cette époque, je fus assez bel homme, mon apparence laissait reflèter un âge qu'on jugerait de 25 ans aux yeux des humains. J'avais les cheveux noirs, longs, les yeux bleus vifs. Mon apprence jeune, je ne la devais qu'à la magie. Nous les Maîtres, sommes éternels; nous voyons la naissance et la mort des êtres et des choses; rien ne pouvait nous tuer, non rien...sauf...

Epahelia, femme aussi belle que le jour sur Vertana et aussi déterminée que la nuit sur Volcano; une force intérieure crasse, une détermination sans frontière...une femme dont je me suis épris et que j'ai aimé jusqu'à...

Elle fonda une congégration qui vite prit de l'influence dans notre monde; des chefs d'états de toute part s'allièrent à sa cause. Elle et moi, marchions côte à côte pour le même but: la liberté, la paix, la justice. Je devins un homme influent au sein de celle congrégation qui vite devint une alliance d'états puissants et qui se battait avec conviction et acharnement.
Etant donné que la cause me paraissait juste, il fallait absolument persévérer vers la victoire finale; pour ce faire j'usai de mes pouvoirs afin de donner force et croyance aux valeureux guerriers des différents états. Ce pouvoir allait s'avérer être néfaste pour nous; la résistance se fit de plus en plus forte et de telle façon que nos ennemis gagnaient du terrain.

Il aurait dû me paraître clair que jamais la nature humaine devait être sous-estimée, jamais elle ne devrait être prise à la légère. Epahelia et moi avions gagner l'amour, mais celui-ci alla se terminé avec cette croisade.
Une douleur, profonde et longue, un souffle et ce fut...que son âme puisse à jamais trouver la paix dont elle rêvait.

Ma tristesse était telle que, j'essayai de la réscuciter grâce au rituel ιεροτελεστία Ἅιδης, rite qui ne peut être pratiqué qu'avec l'autorisation des Maîtres réunis. J'outrepassai donc cette interdiction, trop grande fut ma peine. Mourrir je voulus, mais point je pus....µ

Mors-moi, mort moi,
Une seule fois suffira,
Mors-moi, mort moi,
J'entamerai mon voyage vers l'au-delà.

Serre-moi, serre-moi,
Enlace-moi encore une fois,
Serre-moi, serre-moi,
Jusqu'à étouffer de toi.

Mors-moi, mort-moi,
La pénétration de tes crocs dans mon bras,
Mors-moi, mort-moi,
Et ton sourire lorsque mon sang coulera.

Laisse-la, laisse-la,
Cette cruelle trace de toi,
Laisse-la, laisse-la,
Enlace-moi juste une dernière fois.

Ce rite commença donc et devait ne durer qu'une demi-journée. Mais dès le début de celui-ci, une nuée de poussière envahit l'endroit où ma belle reposa et devant moi les 11autres Maîtres! je fus stupéfait et je compris: ce rite de la vie ne pouvait pas se faire sans le consentement explicite de tous. Notre loi punissait tout entrave et ainsi fut!

A jamais je suis banni du cercle très fermé des Maîtres, à jamais je perds mon apparence, à jamais je porterai les cicatrices de mon méfait, à jamais j'èrrerais dans ce monde d'humains, à jamais je perds mon immortalité; tel est mon destin; mon éternité dérobée...
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Cerrsae
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Re: L'éternité dérobée.

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Cerssae, le Maître du Zylon...des années se sont écoulé et le Maître èrra de lieux en lieux, son âme vidée d'un côté par ces autres Maîtres sans aucunes profondes miséricordes pour ses desseins qui furent de son point de vue louables. Sa bien aimée à jamais perdues dans les méandres du néant. Du néant oui, car nul ne peut savoir ce qui l'attend dans l'autre monde. Ces dieux qui furent crées de toute pièce pour remplir le coeur des Hommes! le coeur des Hommes, parlons-en!
Qu'ont-ils fait de leur vie, de la vie d'autrui? Les guerres éclatent de toute part, l'esclavage fait rage, les enfants sont envoyés au travail alors qu'ils sont l'avenir des futures générations. Oui, il y a de belles choses également, mais mis dans la balance, leur vie est gaspillée.

Depuis que les Maîtres ont dérobé l'éternité à Cerssae et que celui-ci désormais devra errer avec un visage métamorphosé, il se devait se trouver un but et celui-ci il l'avait trouvé asez rapidement.
Son éternité fut dérobée, mais pas ses pouvoirs de magie; en effet, les Maîtres n'avaient pas ce pouvoir, pour des raisons d'équilibre. Si cela fut possible, une confrontation entre les Maîtres n'étaient pas exclues. Or ainsi, l'équilibre des pouvoirs étaient maintenus.
Cerssae se rendit sur Vertana. Il devait instrumentaliser son pouvoir se doter d'un objet qui le rendrait plus fort pour accomplir son dessein. Dans la forêt de Jade, au confin du pôle sud de la planète, se trouvaient les arbres μαγεία, ce qui équivaut à magique. Ce qui caractérisait ces arbres, rares en ces lieux, c'est que leurs bois ne pouvaient être extrait qu'avec la main d'un Maître, nul autre être n'avait accès à ce précieux bois.
Je posai donc la paume de ma main sur lui, imaginai la forme que mon instrument aurait et après quelques secondes, un bâton d'une longueure supérieure à ma taille se retrouva dans cette main posée sur ce géant boiseux.

En route pour Aquablue à présent, planète des forces aquatiques, des forces pures, pure comme l'e*u bleue de son hôte. Arrivée sur un rivage d'une petite île, je trempai mon bâton dans cette e*u transparente. Un mini tourbillon naissait autour de l'extrémité de mon bâton, comme si cet océan voulait avaler ma chose.
Je récitai la psalme aquableusienne des anciens: Αυτό μου δίνει αυτή την καθαρότητα του νερού, το νερό την υποστήριξη της διαφάνειας των πραγμάτων.
Sur l'extrémité du bâton, une boule de cristal de la couleur de ce fluide qui la créée.

Sur Galactica, le coeur de la vie en cette galaxie, je trouvai un larbin de terre laissé à l'abandon. Je décidai donc de m'en emparer afin d'y installer le nouvel ordre. L'état nouvbellemnt crée, le Zylon, commença son existence.
Le Zylon, nom étrange pour un état, mais afin d'accèlérer son dévelloppement, je pris la décision de faire appel à des machines, machines utilisées par nos ancêtres, les Zylons. Très éfficaces, peu coûteuses, elles serviraient ma cause. Notre cause, car en cette Galaxie, je ne fus le seul à poursuivre le but que je m'étais fixé. C'est ainsi que je trouvai des alliés en les Brumes Oniriques. Des Hommes et des Femmes avec une détermination farouche, débrouillards, éfficace, persévérants...bref, pour atteindre ce but, toutes ces qualités étaient primordiales. Mais il fut une qualité encore bien plus importante: l'union dans les bons et les mauvais moments et cela, personne ne pourra jamais nous l'ôter, personne sauf....la mort.


Le but des Hommes devait toujours s'accompagner par une divinité. Nombreuses elles étaient, et chacune se sentait flatée d'être la bannière d'un état, d'une alliance. Stozec...cela sera Stozec. Il incarnait notre esprit de fête, de luxure, d'épanouissement. Notre développement lui était chèr. Il fut aussi celui qui créea le breuvage le plus prisé de tous: le bérichampagne; boisson d'une saveur telle, que celui qui y goûta, à jamais il serait prisonnier de son liquide.

Chaque soir, je pensai à mon Amour, un amour qui me fut enlevé, interdit de vivre à cause d'une bande de magiciens qui étaient trop attachés à leurs ancestrales lois et coutumes. Je hais ce genre de magiciens ! qu'ils brûlent en enfer! qu'ils brûlent....bientôt un ordre nouve*u.
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