La Black Powder compagnie
Publié : 14 août 2019, 14:52
Au milieu des étoiles régnait le silence le plus intense qui soit. Dépourvu d’air, l’espace donnait la sensation de vivre un rêve éveillé, flottant au milieu de tout et rien, juste ici, là où une escarmouche remplie de convictions venait d’avoir lieu il y a à peine quelques minutes.
En regardant avec attention aux milieu de ces nombreux débris, on distinguait deux combinaisons spatiales enveloppant des humains de sexe opposé évanouis parmi ce cimetière de métal.
La femme repris connaissance et semblait paniquée, elle regarda dans tous les sens et tenta tant bien que mal de rejoindre une grosse plaque de blindage renforcé non loin. Avec une multitude de grands mouvements des bras elle se mit malgré elle à effectuer de multiples pirouettes avant de s’écraser comme une mouche sur son objectif. Elle se sentis plus qu’idiote d’avoir autant de mal à avancer de quelques mètres dans l’espace avec ses bras alors qu’elle parcourait des milliers de kilomètre chaque jour à bord de son vaisseau. Elle posa les mains sur sa poitrine et décrocha son étiquette en tissu indiquant son grade et son nom.
C’est ainsi que dans l’espace, au milieu de nulle part, s’éclipsèrent les quelques lettres cousues indiquant « Amiral Nuxia ». Celle-ci même qui venait de réaliser la situation désastreuse dans laquelle elle se trouvait maintenant, perdue, sans vaisseau, sans radio…
Nuxia tendit le bras droit et ferma les yeux, de sa paume, jaillit des éclairs généré par une onde électro magnétique, peu à peu des pièces et débris éparpillés s’assemblèrent jusqu’à former une petite navette totalement fonctionnelle et prête à ramener notre petite dame à la maison. Nuxia ouvrit les yeux une fois tout ceci terminé, elle soupira en disant :
« Si seulement tout se passait comme dans mon imagination… »
Après un petit moment de déprime solitaire, elle se ressaisit et regarda encore une fois tout le champ de débris autour d’elle, elle compris instantanément que finalement, son imagination n’était pas si stupide que cela.
Saisissant une vis, venant probablement d’un reste de canon ultra-dimensionnel ou alors simplement de la cuvette des WC, elle attendit qu’un petit rocher s’écarta de son champ de vision et une fois son adversaire en vue, bien qu’encore inconscient, lança de toute ses force la petite pièce de métal dans sa direction.
Le manque d’air dans l’espace priva notre princesse de son moment de gloire, en effet, sans son, impossible de savoir si la force d’impact était suffisante, elle se dit un instant que même avec le bruit d’un canard en plastique elle aurait pu estimer le résultat.
Au moment où elle pose à nouveau son regard sur l’homme, celui-ci, en pleines possession de sa conscience, termina un geste de lancer tel l’as d’une équipe de baseball local jouant en combinaison spatial.
N’ayant eu le temps d’esquiver, le bras gauche de notre amiral fût touché, petite déchirure de la combinaison, sang et petite plaie, il ne manquait que les larmes et la voix pour représenter la mauvaise chute d’un enfant de 3 ans.
S’agitant tel le singe au milieu de la jungle, elle fit tous les mouvements que les articulations de son corps lui permettaient de faire afin d’expliquer à son ancien ennemi, qu’ils devaient maintenant coopérer pour bâtir une navette avec les débris alentours.
Celui-ci, bien qu’assoiffé de sang et de combats, pris le temps de réfléchir. Entre deux propositions de duels plutôt amusant, il décida de faire confiance et de suivre les recommandations de la femme aux gestes de singe. Plutôt amusé par tout ceci et remplis d’impatience de retourner au front, il se hâta aussi vite qu’il s’arrêta net. Indiquant le chiffre trois avec sa main, il rappela à son ex-duelliste que leur escarmouche pris fin à cause de l’intervention d’un troisième vaisseau passant par-là qui les percuta tous les deux.
Nos deux humains se mirent à fouiller ensemble les débris, et finirent par mettre la main sur un robot inconnu. Une fois réparé, et baptisé « Burger », à cause de sa tête déformée qui donnait l’impression que son nez était un bon steak entre deux tranches de pain, le robot s’exprima au travers d’hologrammes. L’homme se présenta en premier au nom d’« Apocalypto » , et Nuxia le suivit. N’ayant de nom configuré dans sa mémoire, « Burger » décidât d’afficher l’image d’un hamburger. Il apprit ainsi aux deux êtres vivants qu’il était commandé à distance et que ceux-ci ne pouvaient pas être secouru avant 3 semaines. Il s’excusa aussi pour le défaut de son radar de vol qui ne lui permit pas d’éviter cet accident de l’espace.
Fou de rage Apocalypto voulu désintégrer d’humanoïde, Nuxia s’interposa et lui fit entendre raison. Ensemble ils décidèrent d’œuvrer à la construction d’une navette avec les épaves des 3 vaisseaux.
Après plusieurs jours de travail intensif, tout en se nourrissant des minéraux traités par le modificateur de molécules de Burger, notre fine équipe tomba sur un tonneau de poudre à canon utilisé pour les tirs de boulets explosif dans l’espace.
Apocalypto y vit l’occasion d’un duel, il mit le « feu aux poudres » en lançant cette matière noire au visage de ses nouveaux camarades. Après un moment de pure folie et rigolade, et une fois leur nouveau camouflage hautement explosif terminé, nos trois énergumènes décidèrent de former la « Black Powder » compagnie, en quête de recherche de Duels et combats sanguinaires, d’innovations et de matière première.
Ce fut le début d’une belle brochette
En regardant avec attention aux milieu de ces nombreux débris, on distinguait deux combinaisons spatiales enveloppant des humains de sexe opposé évanouis parmi ce cimetière de métal.
La femme repris connaissance et semblait paniquée, elle regarda dans tous les sens et tenta tant bien que mal de rejoindre une grosse plaque de blindage renforcé non loin. Avec une multitude de grands mouvements des bras elle se mit malgré elle à effectuer de multiples pirouettes avant de s’écraser comme une mouche sur son objectif. Elle se sentis plus qu’idiote d’avoir autant de mal à avancer de quelques mètres dans l’espace avec ses bras alors qu’elle parcourait des milliers de kilomètre chaque jour à bord de son vaisseau. Elle posa les mains sur sa poitrine et décrocha son étiquette en tissu indiquant son grade et son nom.
C’est ainsi que dans l’espace, au milieu de nulle part, s’éclipsèrent les quelques lettres cousues indiquant « Amiral Nuxia ». Celle-ci même qui venait de réaliser la situation désastreuse dans laquelle elle se trouvait maintenant, perdue, sans vaisseau, sans radio…
Nuxia tendit le bras droit et ferma les yeux, de sa paume, jaillit des éclairs généré par une onde électro magnétique, peu à peu des pièces et débris éparpillés s’assemblèrent jusqu’à former une petite navette totalement fonctionnelle et prête à ramener notre petite dame à la maison. Nuxia ouvrit les yeux une fois tout ceci terminé, elle soupira en disant :
« Si seulement tout se passait comme dans mon imagination… »
Après un petit moment de déprime solitaire, elle se ressaisit et regarda encore une fois tout le champ de débris autour d’elle, elle compris instantanément que finalement, son imagination n’était pas si stupide que cela.
Saisissant une vis, venant probablement d’un reste de canon ultra-dimensionnel ou alors simplement de la cuvette des WC, elle attendit qu’un petit rocher s’écarta de son champ de vision et une fois son adversaire en vue, bien qu’encore inconscient, lança de toute ses force la petite pièce de métal dans sa direction.
Le manque d’air dans l’espace priva notre princesse de son moment de gloire, en effet, sans son, impossible de savoir si la force d’impact était suffisante, elle se dit un instant que même avec le bruit d’un canard en plastique elle aurait pu estimer le résultat.
Au moment où elle pose à nouveau son regard sur l’homme, celui-ci, en pleines possession de sa conscience, termina un geste de lancer tel l’as d’une équipe de baseball local jouant en combinaison spatial.
N’ayant eu le temps d’esquiver, le bras gauche de notre amiral fût touché, petite déchirure de la combinaison, sang et petite plaie, il ne manquait que les larmes et la voix pour représenter la mauvaise chute d’un enfant de 3 ans.
S’agitant tel le singe au milieu de la jungle, elle fit tous les mouvements que les articulations de son corps lui permettaient de faire afin d’expliquer à son ancien ennemi, qu’ils devaient maintenant coopérer pour bâtir une navette avec les débris alentours.
Celui-ci, bien qu’assoiffé de sang et de combats, pris le temps de réfléchir. Entre deux propositions de duels plutôt amusant, il décida de faire confiance et de suivre les recommandations de la femme aux gestes de singe. Plutôt amusé par tout ceci et remplis d’impatience de retourner au front, il se hâta aussi vite qu’il s’arrêta net. Indiquant le chiffre trois avec sa main, il rappela à son ex-duelliste que leur escarmouche pris fin à cause de l’intervention d’un troisième vaisseau passant par-là qui les percuta tous les deux.
Nos deux humains se mirent à fouiller ensemble les débris, et finirent par mettre la main sur un robot inconnu. Une fois réparé, et baptisé « Burger », à cause de sa tête déformée qui donnait l’impression que son nez était un bon steak entre deux tranches de pain, le robot s’exprima au travers d’hologrammes. L’homme se présenta en premier au nom d’« Apocalypto » , et Nuxia le suivit. N’ayant de nom configuré dans sa mémoire, « Burger » décidât d’afficher l’image d’un hamburger. Il apprit ainsi aux deux êtres vivants qu’il était commandé à distance et que ceux-ci ne pouvaient pas être secouru avant 3 semaines. Il s’excusa aussi pour le défaut de son radar de vol qui ne lui permit pas d’éviter cet accident de l’espace.
Fou de rage Apocalypto voulu désintégrer d’humanoïde, Nuxia s’interposa et lui fit entendre raison. Ensemble ils décidèrent d’œuvrer à la construction d’une navette avec les épaves des 3 vaisseaux.
Après plusieurs jours de travail intensif, tout en se nourrissant des minéraux traités par le modificateur de molécules de Burger, notre fine équipe tomba sur un tonneau de poudre à canon utilisé pour les tirs de boulets explosif dans l’espace.
Apocalypto y vit l’occasion d’un duel, il mit le « feu aux poudres » en lançant cette matière noire au visage de ses nouveaux camarades. Après un moment de pure folie et rigolade, et une fois leur nouveau camouflage hautement explosif terminé, nos trois énergumènes décidèrent de former la « Black Powder » compagnie, en quête de recherche de Duels et combats sanguinaires, d’innovations et de matière première.
Ce fut le début d’une belle brochette