En ce 62 Volcan 3733, Lord Stark envoya son frère Benjen à la corporation avec une mission clair. Il représentait là Winterfell et tous les états qui subissaient des raids quotidiens par le seigneur noir et ses armées. Ainsi, Benjen Stark quitta Winterfell pour se rendre au sénat. Arrivé en transport nordien, il se présenta à l'accueil afin de faire ouvrir une salle comme la coutume l’exigeait. Une fois n'est pas coutume, une jeune femme l'accompagna à l'étage et ouvrit le lieu ou des débats houleux s'annonçait. On se demandait presque si le grand conseil ne recrutait pas qu'au physique.
Benjen remercia l'hôtesse et pris possession de la salle. D'une pression sur une télécommande, les volets s'ouvrirent, quelques lumières s'allumèrent et des écrans se mirent à retransmettre des tonnes d'informations. Il indiqua sur un clavier le sujet principal qui animerait cette salle. C'est alors qu'un message électronique fut envoyé à tous les dirigeants pour les prévenir de l'ouverture des débats.
Après quelques heures d'attente, Benjen avait rassemblé quelques diplomates et plusieurs dirigeants dans la salle. Il se leva et prit la parole.
Mon message s'adresse au seigneur noir de l'Iwashika Sakasuza.
Même si son nom très théâtrale peut inspirer de l'appréhension, ce sont ses actes que nous jugeons aujourd'hui. Les forces militaires se sont rendu coupable de nombreux massacres. Je citerai notamment des victimes sur Adramelech ou sur le Shinsekai Yori. L'Infinite qui malgré que sa bannière ne soit pas officiellement déclarée parmi nous, est désormais acquit à la cause des Guerriers de Varuna. La liste que j'énonce n'est pas exhaustive. Si nous devions entendre tous les dirigeants ayant subit des raids destructeurs qui ont coûter la vie à de nombreux citoyens innocents, nous serions obligé d'installer des lits picots afin de s'installer durablement.
Plus personnellement, vos intrusions ou tentatives d'intrusion dans notre système bancaire et cela quotidiennement est inacceptable. Vous ne pouvez pas espérer imposer votre loi à toute la galaxie. C'est pourquoi, aujourd'hui, nous, les Guerriers de Varuna, vous offrons une ultime chance d'échapper à notre justice. Nous vous avons fait la démonstration que nous pouvions nous unir face à vous. D'autres états attendent avec impatience de vous le démontrer aussi.
Vous pouvez venir ici reconnaître vos crimes, vous en excuser sincèrement et en personne. Vous pouvez signer ici votre réédition et promettre la paix à vos victimes. Nous insistons bien pour que vous veniez en personne. Entendre des pantins mi-diplomate, mi esclave n'a aucun intérêt dans des situations aussi grave.
Sinon, vous pouvez vous préparer à recevoir le châtiment que vous méritez.
Je vous laisse le temps de la réflexion. Mais prenez garde à votre choix. Il s'agit bien là d'un ultimatum pas d'un avertissement.
Benjen se retira du promontoire réservé aux orateurs. Il avait montré un regard déterminé tout le long de son discours. Il attendait maintenant la réaction du Seigneur noir.
Ultimatum au seignoir noir
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Lord Stark
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Ultimatum au seignoir noir
L'hiver vient !!!
Re: Ultimatum au seignoir noir
Activez les boucliers orbitaux immédiatement et prévenez les officiers de tenir l'armée prête !
Sur les écrans de contrôles, une flotte de guerre vient d'apparaitre.
Le Seigneur Noir.
Je savais que cette salle allait poser des problèmes mais de là à venir avec sa flotte de guerre. Nous sommes la Corporation! Il n'osera pas !
Monsieur! Une communication en provenance de l'un des solars de l'Iwachika Sakazusa.
Prévenez les techno-pirates, il ne doit pas franchir nos protections pendant la communication.
Les services de piratage sont prévenus et opérationnels monsieur.
Bien, passez la communication sur l'écran de contrôle principal.
Le projecteur se met à diffuser l'image mais ne laisse apparaitre qu'un écran noir.
Réglez les données immédiatement !
Monsieur, tout est déjà parfais. Cela ne provient pas du système.
L'homme se retourne, observe ses données puis soudain, s'immobilise.
Derrière lui, sur l'écran noir, sont apparus deux yeux rouges.
Retourne toi humain et fait moi face !
Lentement, il se retourne. Ses yeux arrivés à l'écran de communication, il se ressaisit soudain.
Bonjour Seigneur Noir. Vous avez quelque peu troublé notre orbite avec votre flotte. Veuillez excuser les mesures prises.
(Une goutte de sueur perle sur le front de l'homme)
Pourriez-vous nous informez sur la raison de la venue de votre armée?
Un message à mes ennemis.
Mais encore ? Pourriez-vous me préciser vos intentions ?
Prevenez les. J'arrive.
La communication se coupe. L'homme reste figé quelques secondes.
Monsieur ! Nos indicateurs viennent de nous avertir qu'une fissure à été créée dans le bouclier.
Un transporteur est passé et semble aller se poser au statio-port 10.
Alertez les gardes ! Que tous se regroupent au sas d'entrée 10. Si c'est lui, sa magie ne fonctionnera pas ici.
Le transporteur vient d'atterrir monsieur.
Les gardes nous rapportent que le Seigneur Noir en est sortit et qu'il est accompagné d'une créature.
Comment ça une créature ?
Devant l'entrée numéro dix.
Je vous présente Gork. Ma plus belle trouvaille. Un démon du voile que j'ai adopté lors d'un passage éclair.
L'Ombre sourit.
Vous n'avez aucun moyen de l'arrêter. Il ne craint ni la magie ni vos balles et utilise le voile à sa guise.
Mais je viens en paix avec la Corporation. Même si je vous le concède, vous êtes inutiles à souhait.
Je viens pour les Guerriers de Varuna.
Emmenez moi à la salle maintenant ou je ferais de cet endroit une montagne de cadavre lorsque enfin j'aurais ma relique.
Escortez étroitement par l'armée régulière de la Corporation, Le Seigneur Noir est dirigé vers la salle de l'Ultimatum.
Arrivé aux portes, il sourit une dernière fois en regardant les gardes puis franchit les lourds battant avec Gork.
Enfin me voila.
Dans la salle, nombres de Seigneurs sont là.
A peine entré l'Ombre observe les réactions de sa venue.
Certains frémissent, d'autres reculent et enfin certain se dressent fièrement.
L'Ombre s'empare de l'estrade avec Gork assis à ses cotés.
Observant l'assemblée quelques secondes, il lance soudain un regard accusateur.
Ou sont les Guerriers ?
Je ne voix ici que des pleutres qui se regroupent pour s'auto proclamer justiciers.
Serait-ce l'orthographe de l'Adramelèche ou le vocabulaire du Shinsekai yori qui vous ont inspiré?
Vous diffusez un Ultimatum ? Celui de stopper mes recherches et pillages en somme ?
Mais avez vous compris que ceci n'est rien. La guerre sera dévastatrice en comparé à mes quelques actes isolés.
Ainsi, JE VOUS LANCE A VOUS GUERRIERS DE VARUNA MON ULTIMATUM !
Repliez vous dans vos terriers, démantelez votre alliance et aidez moi à trouver ma relique.
Si vous acceptez, je serais clément.
Si vous refusez, je passerais nuits et jours à faire de vos états des cendres éternels.
Vous vouliez ma venue. Je suis ici.
Mon armée est aux portes de la Corporation ainsi que celle de l'Effervescence, du Kiaranah et de l'Aress.
A la sortit de cette salle. J'enverrais l'ordre ou non de vous anéantir tous!
Choisissez !
Vous qui vouliez être des justiciers, je vous donne l'occasion de me prouver votre valeur.
Ou peut être, avez vous une autre solution?
J'attendrais patiemment avec Gork votre réponse.
Sur les écrans de contrôles, une flotte de guerre vient d'apparaitre.
Le Seigneur Noir.
Je savais que cette salle allait poser des problèmes mais de là à venir avec sa flotte de guerre. Nous sommes la Corporation! Il n'osera pas !
Monsieur! Une communication en provenance de l'un des solars de l'Iwachika Sakazusa.
Prévenez les techno-pirates, il ne doit pas franchir nos protections pendant la communication.
Les services de piratage sont prévenus et opérationnels monsieur.
Bien, passez la communication sur l'écran de contrôle principal.
Le projecteur se met à diffuser l'image mais ne laisse apparaitre qu'un écran noir.
Réglez les données immédiatement !
Monsieur, tout est déjà parfais. Cela ne provient pas du système.
L'homme se retourne, observe ses données puis soudain, s'immobilise.
Derrière lui, sur l'écran noir, sont apparus deux yeux rouges.
Retourne toi humain et fait moi face !
Lentement, il se retourne. Ses yeux arrivés à l'écran de communication, il se ressaisit soudain.
Bonjour Seigneur Noir. Vous avez quelque peu troublé notre orbite avec votre flotte. Veuillez excuser les mesures prises.
(Une goutte de sueur perle sur le front de l'homme)
Pourriez-vous nous informez sur la raison de la venue de votre armée?
Un message à mes ennemis.
Mais encore ? Pourriez-vous me préciser vos intentions ?
Prevenez les. J'arrive.
La communication se coupe. L'homme reste figé quelques secondes.
Monsieur ! Nos indicateurs viennent de nous avertir qu'une fissure à été créée dans le bouclier.
Un transporteur est passé et semble aller se poser au statio-port 10.
Alertez les gardes ! Que tous se regroupent au sas d'entrée 10. Si c'est lui, sa magie ne fonctionnera pas ici.
Le transporteur vient d'atterrir monsieur.
Les gardes nous rapportent que le Seigneur Noir en est sortit et qu'il est accompagné d'une créature.
Comment ça une créature ?
Devant l'entrée numéro dix.
Je vous présente Gork. Ma plus belle trouvaille. Un démon du voile que j'ai adopté lors d'un passage éclair.
L'Ombre sourit.
Vous n'avez aucun moyen de l'arrêter. Il ne craint ni la magie ni vos balles et utilise le voile à sa guise.
Mais je viens en paix avec la Corporation. Même si je vous le concède, vous êtes inutiles à souhait.
Je viens pour les Guerriers de Varuna.
Emmenez moi à la salle maintenant ou je ferais de cet endroit une montagne de cadavre lorsque enfin j'aurais ma relique.
Escortez étroitement par l'armée régulière de la Corporation, Le Seigneur Noir est dirigé vers la salle de l'Ultimatum.
Arrivé aux portes, il sourit une dernière fois en regardant les gardes puis franchit les lourds battant avec Gork.
Enfin me voila.
Dans la salle, nombres de Seigneurs sont là.
A peine entré l'Ombre observe les réactions de sa venue.
Certains frémissent, d'autres reculent et enfin certain se dressent fièrement.
L'Ombre s'empare de l'estrade avec Gork assis à ses cotés.
Observant l'assemblée quelques secondes, il lance soudain un regard accusateur.
Ou sont les Guerriers ?
Je ne voix ici que des pleutres qui se regroupent pour s'auto proclamer justiciers.
Serait-ce l'orthographe de l'Adramelèche ou le vocabulaire du Shinsekai yori qui vous ont inspiré?
Vous diffusez un Ultimatum ? Celui de stopper mes recherches et pillages en somme ?
Mais avez vous compris que ceci n'est rien. La guerre sera dévastatrice en comparé à mes quelques actes isolés.
Ainsi, JE VOUS LANCE A VOUS GUERRIERS DE VARUNA MON ULTIMATUM !
Repliez vous dans vos terriers, démantelez votre alliance et aidez moi à trouver ma relique.
Si vous acceptez, je serais clément.
Si vous refusez, je passerais nuits et jours à faire de vos états des cendres éternels.
Vous vouliez ma venue. Je suis ici.
Mon armée est aux portes de la Corporation ainsi que celle de l'Effervescence, du Kiaranah et de l'Aress.
A la sortit de cette salle. J'enverrais l'ordre ou non de vous anéantir tous!
Choisissez !
Vous qui vouliez être des justiciers, je vous donne l'occasion de me prouver votre valeur.
Ou peut être, avez vous une autre solution?
J'attendrais patiemment avec Gork votre réponse.
Re: Ultimatum au seignoir noir
Bien des jours se sont écoulés depuis la venue du seigneur Ares dans l'enceinte du Sénat. Après avoir était averti par missive extra-planétaire qu'un ultimatum avait été déposé contre son chef en ce lieu, celui-ci décida de revenir en tant que cette fois-ci, qu'allié du Seigneur Noir. Malgré les consignes de sécurité et de défense qui sont établies à la corporation, sa flotte avait accompagné celle de ses compatriotes.
Des cliquetis se faisaient entendre dans les couloirs... Le commandant en second qui accompagnait le guerrier affichait un sourit taquin au tintement qui résonnait près de lui.
* Fichtre, faut vraiment que je pense à faire écarteler cet armurier qui n'est pas capable d'entretenir mon armure. De plus, voila que je vais me faire remarquer au sein même de la corporation. L’écartèlement n'est peut être pas suffisant pour cette peine. * pensait le tyran qui régnait en lui.
" Serviteur, annonce ma venue auprès des seigneurs de l'alliance des Guerriers de Varuna, et ne traîne pas en route, je ne suis guère patient.
Quelques minutes plus tard le serviteur revint essoufflé :
- Seigneur Ares, les membres de l'alliance sont prévenus de votre demande.
- Merci bien, mais même les plus fainéants de mes guerriers même s'ils ne sont pas les moins valeureux me servent plus rapidement que tu viens de le faire. Ils iraient jusqu'à ramper au sol pour moi or tu m'as fais patienter et tu reviens seulement essoufflé. Cela ne m'étonne point que tu ne sois qu'un simple servant.
Après ces répliques remplies de dédain, il rentra dans la salle où se tenaient les représentants de la dite alliance.
Après s'être arrangé pour éviter tout cliquetis de son armure, il annonça d'un ton grave mais hautain :
- On va passer les politesses en tout genre, les paroles inutiles et les flatteries sous la croupe. Si je suis ici, c'est pour vous dire à quel point cette comédie est un numéro de cirque comparée aux faits réels. Je vais vous les énumérer pour que même les plus simples d'esprit parmi vous puissent comprendre où nous en sommes.
Premièrement : En l'espace de 7 jours, mes forces armées et les vôtres se sont affrontées à de nombreuses reprises dans les espaces aériens et sur les terres de mes alliés. Dois-je en conclure qu'une guerre est déjà d'actualité entre nos peuples ? Ou bien est-ce là un aveu de votre part que vous vous comportiez comme celui que vous dédaignez ?
Deuxièmement : Vous imposez un "Ultimatum" à notre cher maître tout en faisant acte de guerre sans qu'une réponse ait été donnée. Dois-je en conclure là aussi qu'une guerre est menée par vos troupes dans les sombres recoins de notre univers comme des rats cherchant la lumière ?
Troisièmement : Vous osez vous appeler "Guerriers" mais est-ce qu'un seul d'entre vous peut réellement se faire nommer ainsi ? Par guerrier, nous pouvons entendre honneur, justice ainsi que courage. Or dans vos rangs, aucune de ces qualités n'est présente. Si vous étiez des hommes d'honneur, vous ne vous attaqueriez pas à plusieurs contre un ennemi. Si vous étiez des hommes de lois alors vous devriez guerroyer pour des actes que vous même vous n'auriez point fait. Courageux, un mot qui doit vous être inconnu au vue de vos actions.
Vous ne pouvez vous opposer à notre quête sans en subir de lourdes conséquences. Alors choisissez prudemment votre avenir car l'enfer n'est pas loin ne l'oubliez pas, il est bien plus proche de vos hommes, de vos femmes et de vos enfants qu'il ne l'a jamais été auparavant."
Des cliquetis se faisaient entendre dans les couloirs... Le commandant en second qui accompagnait le guerrier affichait un sourit taquin au tintement qui résonnait près de lui.
* Fichtre, faut vraiment que je pense à faire écarteler cet armurier qui n'est pas capable d'entretenir mon armure. De plus, voila que je vais me faire remarquer au sein même de la corporation. L’écartèlement n'est peut être pas suffisant pour cette peine. * pensait le tyran qui régnait en lui.
" Serviteur, annonce ma venue auprès des seigneurs de l'alliance des Guerriers de Varuna, et ne traîne pas en route, je ne suis guère patient.
Quelques minutes plus tard le serviteur revint essoufflé :
- Seigneur Ares, les membres de l'alliance sont prévenus de votre demande.
- Merci bien, mais même les plus fainéants de mes guerriers même s'ils ne sont pas les moins valeureux me servent plus rapidement que tu viens de le faire. Ils iraient jusqu'à ramper au sol pour moi or tu m'as fais patienter et tu reviens seulement essoufflé. Cela ne m'étonne point que tu ne sois qu'un simple servant.
Après ces répliques remplies de dédain, il rentra dans la salle où se tenaient les représentants de la dite alliance.
Après s'être arrangé pour éviter tout cliquetis de son armure, il annonça d'un ton grave mais hautain :
- On va passer les politesses en tout genre, les paroles inutiles et les flatteries sous la croupe. Si je suis ici, c'est pour vous dire à quel point cette comédie est un numéro de cirque comparée aux faits réels. Je vais vous les énumérer pour que même les plus simples d'esprit parmi vous puissent comprendre où nous en sommes.
Premièrement : En l'espace de 7 jours, mes forces armées et les vôtres se sont affrontées à de nombreuses reprises dans les espaces aériens et sur les terres de mes alliés. Dois-je en conclure qu'une guerre est déjà d'actualité entre nos peuples ? Ou bien est-ce là un aveu de votre part que vous vous comportiez comme celui que vous dédaignez ?
Deuxièmement : Vous imposez un "Ultimatum" à notre cher maître tout en faisant acte de guerre sans qu'une réponse ait été donnée. Dois-je en conclure là aussi qu'une guerre est menée par vos troupes dans les sombres recoins de notre univers comme des rats cherchant la lumière ?
Troisièmement : Vous osez vous appeler "Guerriers" mais est-ce qu'un seul d'entre vous peut réellement se faire nommer ainsi ? Par guerrier, nous pouvons entendre honneur, justice ainsi que courage. Or dans vos rangs, aucune de ces qualités n'est présente. Si vous étiez des hommes d'honneur, vous ne vous attaqueriez pas à plusieurs contre un ennemi. Si vous étiez des hommes de lois alors vous devriez guerroyer pour des actes que vous même vous n'auriez point fait. Courageux, un mot qui doit vous être inconnu au vue de vos actions.
Vous ne pouvez vous opposer à notre quête sans en subir de lourdes conséquences. Alors choisissez prudemment votre avenir car l'enfer n'est pas loin ne l'oubliez pas, il est bien plus proche de vos hommes, de vos femmes et de vos enfants qu'il ne l'a jamais été auparavant."
Re: Ultimatum au seignoir noir
Ainsi donc, vous avez peur de nous? Débuta Norg, Chef Suprême du Molky.
Cette interrogation apparaissait dans un blanc général de la salle du sénat. Toutes les personnes présentes en ce lieu tournaient leur tête, de droite à gauche, cherchant d'où provenait cet écho. Norg se trouvait dans la position du lotus, ses mains jointes. Il expirait profondément, poussant parfois un léger "HÔmmmmm". Il décroisa ses jambes et commença à se lever. Il se retourna ensuite vers le régent de l'Iwachika Sakasuza et rétorqua de suite après:
Pourquoi êtes vous énervez? Notre ultimatum vous effraie tant que ça? Pourtant, vous devez bien vous douter qu'un jour, vos victimes finiraient par se rebeller. On récolte ce que l'on sème, c'est bien connu.
Il leva ses bras, comme à son habitude afin de relever ses manches et s'avança vers le centre de la salle, en direction des émissaires du Rédempteur.
Dîtes moi, qu'est ce qu'un justicier d'après vous? Une personne qui combat le crime? Une personne qui implique la loi? Sachez qu'un justicier en réalité, n'est ni plus ni moins qu'une personne voulant se venger. C'est une personne qui n'a peur de rien et qui est prête à tout pour imposer ce qu'elle pense juste. Et non pas de prouver leur valeur en quittant le navire...Comme vous aimez le démontrer.
Il éleva la voix. Celle si résonna dans toute la salle:
Et vous pensiez quoi en franchissant la porte du sénat ? Que vous alliez faire changer d'opinion vos victimes et que tout le monde allait se prendre par la main et repartir la fleur au fusil ? Vos paroles sont du poison ! J'ai hâte de voir votre "soi-disant" Ultimatum à l'œuvre. Venez donc tâter de ma flotte. Depuis le début vous la sondez, matin et soir sans rien oser faire. Et les pleutres ce seraient nous ? C'est dommage que votre âme soit aussi noire que la noirceur elle-même, vous auriez pu vous regardez dans le miroir et voir de vous même quelle infâme créature vous êtes devenue.
Il rebroussa chemin, abaissant ses bras et joignit ses mains.
Les membres des Guerriers de Varuna se sont portés volontaire pour stopper vos agissements nauséeux. Notre Ultimatum est là pour mettre le "Holà". En plus de ça, votre relique n'est qu'un coup monté. Une excuse bidouillée pour expliquer vos pillages. Même si pour vous, le terme "pillage" est un bien grand mot. Vous devez pas récolter grand chose en pillant les plus démunis. C'est comme puiser de l'eau dans un puit asséché. Cela ne donnera jamais rien. Persistez dans l'échec, ça vous va tellement bien.
Il s'approcha alors du seigneur Ares, le montrant du doigt.
Et puis vous ! Haussa t-il la voix. Vous pensez réellement savoir ce que c'est qu'une guerre? Vous pensez réellement avoir subit un affrontement? J'aimerai vous poser une question plus pertinente. Pensez-vous que vous avez plus d'honneur que n'importe qui d'autres? Vous pensez être courageux? La dernière fois que j'ai proposé un duel, c'était au seigneur Jadesam de l'Effervescence. La flotte mère était sous son nez et il n'a rien voulu oser. Vous ne valez pas mieux que nous, sachez le.
Il se plaça de façon à ce que le seigneur Noir et celui de l'Ares puisse le voir et répliqua:
Nous nous sommes portés volontaire afin de mettre un terme à vos agissements. Notre Ultimatum, nous l'avons mis en place et il sera maintenu, que cela vous plaise ou non. Sachez ceci, la cruauté vous sera rendu au centuple. Et notre avenir, c'est nous qui le choisissons maintenant...
Cette interrogation apparaissait dans un blanc général de la salle du sénat. Toutes les personnes présentes en ce lieu tournaient leur tête, de droite à gauche, cherchant d'où provenait cet écho. Norg se trouvait dans la position du lotus, ses mains jointes. Il expirait profondément, poussant parfois un léger "HÔmmmmm". Il décroisa ses jambes et commença à se lever. Il se retourna ensuite vers le régent de l'Iwachika Sakasuza et rétorqua de suite après:
Pourquoi êtes vous énervez? Notre ultimatum vous effraie tant que ça? Pourtant, vous devez bien vous douter qu'un jour, vos victimes finiraient par se rebeller. On récolte ce que l'on sème, c'est bien connu.
Il leva ses bras, comme à son habitude afin de relever ses manches et s'avança vers le centre de la salle, en direction des émissaires du Rédempteur.
Dîtes moi, qu'est ce qu'un justicier d'après vous? Une personne qui combat le crime? Une personne qui implique la loi? Sachez qu'un justicier en réalité, n'est ni plus ni moins qu'une personne voulant se venger. C'est une personne qui n'a peur de rien et qui est prête à tout pour imposer ce qu'elle pense juste. Et non pas de prouver leur valeur en quittant le navire...Comme vous aimez le démontrer.
Il éleva la voix. Celle si résonna dans toute la salle:
Et vous pensiez quoi en franchissant la porte du sénat ? Que vous alliez faire changer d'opinion vos victimes et que tout le monde allait se prendre par la main et repartir la fleur au fusil ? Vos paroles sont du poison ! J'ai hâte de voir votre "soi-disant" Ultimatum à l'œuvre. Venez donc tâter de ma flotte. Depuis le début vous la sondez, matin et soir sans rien oser faire. Et les pleutres ce seraient nous ? C'est dommage que votre âme soit aussi noire que la noirceur elle-même, vous auriez pu vous regardez dans le miroir et voir de vous même quelle infâme créature vous êtes devenue.
Il rebroussa chemin, abaissant ses bras et joignit ses mains.
Les membres des Guerriers de Varuna se sont portés volontaire pour stopper vos agissements nauséeux. Notre Ultimatum est là pour mettre le "Holà". En plus de ça, votre relique n'est qu'un coup monté. Une excuse bidouillée pour expliquer vos pillages. Même si pour vous, le terme "pillage" est un bien grand mot. Vous devez pas récolter grand chose en pillant les plus démunis. C'est comme puiser de l'eau dans un puit asséché. Cela ne donnera jamais rien. Persistez dans l'échec, ça vous va tellement bien.
Il s'approcha alors du seigneur Ares, le montrant du doigt.
Et puis vous ! Haussa t-il la voix. Vous pensez réellement savoir ce que c'est qu'une guerre? Vous pensez réellement avoir subit un affrontement? J'aimerai vous poser une question plus pertinente. Pensez-vous que vous avez plus d'honneur que n'importe qui d'autres? Vous pensez être courageux? La dernière fois que j'ai proposé un duel, c'était au seigneur Jadesam de l'Effervescence. La flotte mère était sous son nez et il n'a rien voulu oser. Vous ne valez pas mieux que nous, sachez le.
Il se plaça de façon à ce que le seigneur Noir et celui de l'Ares puisse le voir et répliqua:
Nous nous sommes portés volontaire afin de mettre un terme à vos agissements. Notre Ultimatum, nous l'avons mis en place et il sera maintenu, que cela vous plaise ou non. Sachez ceci, la cruauté vous sera rendu au centuple. Et notre avenir, c'est nous qui le choisissons maintenant...
Re: Ultimatum au seignoir noir
Les discussions interminables n'en finissaient plus entre les Redempteurs et les Varuna. Beaucoup de paroles et de menaces en l'air autour de ces ultimatums respectifs mais aucun acte concret et pour une absence totale de résultats. Vanalth commençait à être fatigué de tous ces discours de façade. En tant qu'Etat indépendant, il avait sa liberté de parole, et après avoir envoyé ses troupes au front en Iwachika, il décida d'intervenir :
"Bonjour, je suis le Commandeur du Vanalthein,
Qu'en diable allez-vous arrêter de faire semblant? Vous parlez depuis des heures, essayant de vous intimider les uns les autres. L'Ombre Noire n'arrêtera pas ces exactions simplement parce que vous lui demandez. A un moment, il faut savoir agir, trancher, prendre une décision, même si cela doit couter la vie à de nombreux soldats. A force de tergiverser, on a l'impression que vous n'êtes pas prêts à aller jusqu'au bout de vos idées, de vous battre pour elle.
Pour ma part, je n'ai personnellement rien contre l'Ombre Noire. Néanmoins depuis 3 jours, voilà qu'il envoie des chasseurs pour accéder à mon système informatique et me voler quelques crédits. Après un premier hacking sur mon Etat, je lui ai demandé de laisser nos serveurs tranquille. Mais il est revenu. J'ai donc demandé au Lieutenant-Colonel Sarah Fréchi de préparer nos troupes et de les envoyer en Iwachika afin de détruire quelques bâtiments.
Je n'appartiens à aucune alliance et pourtant j'en ai déjà fait plus que vous, les soi-disants "Guerriers" du Varuna. Je ne prétends pas détenir la vérité, simplement moi quand je dis quelque chose, je le fais. Peut-être que je recevrai des représailles et je me tiens prêt. Au moins j'aurai riposté et tenté de "raisonner" l'Ombre Noire afin que mon Etat puisse se développer en paix. Je ne compte sur aucune aide extérieure et continuerai à agir de manière indépendante."
"Bonjour, je suis le Commandeur du Vanalthein,
Qu'en diable allez-vous arrêter de faire semblant? Vous parlez depuis des heures, essayant de vous intimider les uns les autres. L'Ombre Noire n'arrêtera pas ces exactions simplement parce que vous lui demandez. A un moment, il faut savoir agir, trancher, prendre une décision, même si cela doit couter la vie à de nombreux soldats. A force de tergiverser, on a l'impression que vous n'êtes pas prêts à aller jusqu'au bout de vos idées, de vous battre pour elle.
Pour ma part, je n'ai personnellement rien contre l'Ombre Noire. Néanmoins depuis 3 jours, voilà qu'il envoie des chasseurs pour accéder à mon système informatique et me voler quelques crédits. Après un premier hacking sur mon Etat, je lui ai demandé de laisser nos serveurs tranquille. Mais il est revenu. J'ai donc demandé au Lieutenant-Colonel Sarah Fréchi de préparer nos troupes et de les envoyer en Iwachika afin de détruire quelques bâtiments.
Je n'appartiens à aucune alliance et pourtant j'en ai déjà fait plus que vous, les soi-disants "Guerriers" du Varuna. Je ne prétends pas détenir la vérité, simplement moi quand je dis quelque chose, je le fais. Peut-être que je recevrai des représailles et je me tiens prêt. Au moins j'aurai riposté et tenté de "raisonner" l'Ombre Noire afin que mon Etat puisse se développer en paix. Je ne compte sur aucune aide extérieure et continuerai à agir de manière indépendante."
Re: Ultimatum au seignoir noir
Ils ont raison Subim ...
L'Ombre se retourne mais il n'y a personne.
La voix qu'il vient d'entendre ...
Son prénom depuis des lustres oublié ...
Il élève alors la voix :
Qui vient de parler !
Dans la salle, les régents présents le dévisage.
Qui vient de me parler !?
Mais alors qu'il finit sa phrase, tout disparait autour de lui. La salle en un instant se transforme et change d'aspect.
Sous ses yeux, l'Univers tout entier lui apparait.
Ne le vois tu pas Subim ? Ils ont raison. Tu étais censé les aider. Tu entraines leur chute et la tienne.
Qui es-tu ? Comment fais-tu cela ? Moi même je ne peux utiliser ma magie au Sénat !
L'Univers bouge soudainement. L'Ombre se retrouve sur une planète qu'il ne reconnait pas.
L'endroit est dévasté par des cratères et des ossements ...
Vois ton œuvre d'Ombre...
Volcano ?
Par ta faute, le futur ne sera que désolation et tristesse Subim.
Comment est-ce possible ? Ou sommes nous réellement et qui es-tu pour réussir à introduire mon esprit ainsi ?
IL SUFFIT SUBIM !
L'Ombre Maudit tombe à genoux. Sur ces épaules, une pression sans précédent l'a mit à terre et le force à y resté.
Que fais-tu Subim ? Tu vas entrainé notre perte !
Le Seigneur Noir, toujours à genoux s'aperçoit soudainement que son corps est revenu.
Il lève une main à son visage et peut y distinguer de la peau, des ongles ...
Subim ... ne te rappelles-tu pas qui tu étais autrefois ?
Le décors de nouveau change et Subim se retrouve projeté dans un champs vertanien qu'il reconnait immédiatement.
Mibu ?
Mais alors qu'il prononce ce nom, Subim se rend immédiatement compte que sa voix à changé. Elle n'est plus caverneuse et haineuse mais calme et chaleureuse.
Comment est-ce possible ? Mon corps, ma voix, ma ..., ma maison ...
Subim toujours à genoux sent soudainement quelque chose de chaud couler sur sa joue.
Une larme ?
Comprends tu Subim?
Tu étais un enfant heureux Subim et tes parents étaient fiers de toi !
Alors que la voix parle, Subim les aperçoit...
Ils sont là, à quelques dizaines de mètres de lui. Ils semblent heureux et jouent avec leur enfant.
Moi ?
Oui Subim. Cet enfant est ce que tu étais.
Mais alors qu'il tend la main, de nouveau le décors change.
Le champs vert se transforme en une terre aride et stérile. Sous ses pieds, le sol se met à trembler.
Il se retourne et voit apparaitre une armée d'humain criant des mots tels que : pour la liberté, pour Varuna !
Mais alors qu'il les entends hurler, un autre son vient retentir dans le ciel et sous ses pieds le sol redouble de tremblements.
Une autre armée se présente. Une armée menaçante faite de créatures démoniaques et à leur tête ... Lui.
L'Ombre Maudit, le Seigneur Noir ...
Mais le décor change encore.
Il ne laisse apparaitre que du noir. Tout ce qui l'entoure est noir et froid.
Reprend toi Subim.
Lève la tête Ombre, il n'est pas trop tard ...
Ils ont raison ...
La voix s’éteint sur ces quelques mots.
Immédiatement L'Ombre se retrouve entouré de Seigneurs et le noir laisse place au sénat.
Il n'a pas bougé d'un pouce depuis le début et les Régents présents le dévisage tous.
Il lève une main face à son visage mais n'y voit que cette masse de magie noir habituelle.
Voilà bien longtemps que je t'ai perdu ...
L'Ombre semble étrangement absent lorsqu'il s'avance et monte sur l'estrade. A ses côtés, Gork redouble de vigilence. Son maître semble absent.
Le temps passe et l'Ombre reste immobile sur l'estrade sans mot dire.
Quelques minutes passées, il observe l'assemblée.
J'accepte.
L'Ombre porte son regard sur Ares.
Oui. Nous abdiquons et acceptons sans plus de contrainte vos conditions.
Le retrait des armées va être engagé et j'enverrais des émissaires porter la nouvelle de notre reddition aux membres des rédempteurs.
L'Ombre commence à descendre de l'estrade puis s'arrête en chemin.
Je m'excuse. Je me suis fourvoyé.
Mais ne m'en demandez pas plus. Je vais stopper mes pillages et me retirer dans mes cavernes.
Mais sachez le, un jour, c'est vous qui viendrez me chercher.
L'Ombre, sans se retourner, se retire.
Son transporteur et son armée disparurent des écrans de la corporation.
Le sénat. Il ne voulait plus en entendre parler.
Il n'y retournerait plus avant longtemps ....
L'Ombre se retourne mais il n'y a personne.
La voix qu'il vient d'entendre ...
Son prénom depuis des lustres oublié ...
Il élève alors la voix :
Qui vient de parler !
Dans la salle, les régents présents le dévisage.
Qui vient de me parler !?
Mais alors qu'il finit sa phrase, tout disparait autour de lui. La salle en un instant se transforme et change d'aspect.
Sous ses yeux, l'Univers tout entier lui apparait.
Ne le vois tu pas Subim ? Ils ont raison. Tu étais censé les aider. Tu entraines leur chute et la tienne.
Qui es-tu ? Comment fais-tu cela ? Moi même je ne peux utiliser ma magie au Sénat !
L'Univers bouge soudainement. L'Ombre se retrouve sur une planète qu'il ne reconnait pas.
L'endroit est dévasté par des cratères et des ossements ...
Vois ton œuvre d'Ombre...
Volcano ?
Par ta faute, le futur ne sera que désolation et tristesse Subim.
Comment est-ce possible ? Ou sommes nous réellement et qui es-tu pour réussir à introduire mon esprit ainsi ?
IL SUFFIT SUBIM !
L'Ombre Maudit tombe à genoux. Sur ces épaules, une pression sans précédent l'a mit à terre et le force à y resté.
Que fais-tu Subim ? Tu vas entrainé notre perte !
Le Seigneur Noir, toujours à genoux s'aperçoit soudainement que son corps est revenu.
Il lève une main à son visage et peut y distinguer de la peau, des ongles ...
Subim ... ne te rappelles-tu pas qui tu étais autrefois ?
Le décors de nouveau change et Subim se retrouve projeté dans un champs vertanien qu'il reconnait immédiatement.
Mibu ?
Mais alors qu'il prononce ce nom, Subim se rend immédiatement compte que sa voix à changé. Elle n'est plus caverneuse et haineuse mais calme et chaleureuse.
Comment est-ce possible ? Mon corps, ma voix, ma ..., ma maison ...
Subim toujours à genoux sent soudainement quelque chose de chaud couler sur sa joue.
Une larme ?
Comprends tu Subim?
Tu étais un enfant heureux Subim et tes parents étaient fiers de toi !
Alors que la voix parle, Subim les aperçoit...
Ils sont là, à quelques dizaines de mètres de lui. Ils semblent heureux et jouent avec leur enfant.
Moi ?
Oui Subim. Cet enfant est ce que tu étais.
Mais alors qu'il tend la main, de nouveau le décors change.
Le champs vert se transforme en une terre aride et stérile. Sous ses pieds, le sol se met à trembler.
Il se retourne et voit apparaitre une armée d'humain criant des mots tels que : pour la liberté, pour Varuna !
Mais alors qu'il les entends hurler, un autre son vient retentir dans le ciel et sous ses pieds le sol redouble de tremblements.
Une autre armée se présente. Une armée menaçante faite de créatures démoniaques et à leur tête ... Lui.
L'Ombre Maudit, le Seigneur Noir ...
Mais le décor change encore.
Il ne laisse apparaitre que du noir. Tout ce qui l'entoure est noir et froid.
Reprend toi Subim.
Lève la tête Ombre, il n'est pas trop tard ...
Ils ont raison ...
La voix s’éteint sur ces quelques mots.
Immédiatement L'Ombre se retrouve entouré de Seigneurs et le noir laisse place au sénat.
Il n'a pas bougé d'un pouce depuis le début et les Régents présents le dévisage tous.
Il lève une main face à son visage mais n'y voit que cette masse de magie noir habituelle.
Voilà bien longtemps que je t'ai perdu ...
L'Ombre semble étrangement absent lorsqu'il s'avance et monte sur l'estrade. A ses côtés, Gork redouble de vigilence. Son maître semble absent.
Le temps passe et l'Ombre reste immobile sur l'estrade sans mot dire.
Quelques minutes passées, il observe l'assemblée.
J'accepte.
L'Ombre porte son regard sur Ares.
Oui. Nous abdiquons et acceptons sans plus de contrainte vos conditions.
Le retrait des armées va être engagé et j'enverrais des émissaires porter la nouvelle de notre reddition aux membres des rédempteurs.
L'Ombre commence à descendre de l'estrade puis s'arrête en chemin.
Je m'excuse. Je me suis fourvoyé.
Mais ne m'en demandez pas plus. Je vais stopper mes pillages et me retirer dans mes cavernes.
Mais sachez le, un jour, c'est vous qui viendrez me chercher.
L'Ombre, sans se retourner, se retire.
Son transporteur et son armée disparurent des écrans de la corporation.
Le sénat. Il ne voulait plus en entendre parler.
Il n'y retournerait plus avant longtemps ....
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Lord Stark
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Re: Ultimatum au seignoir noir
Ned, stupéfait n'arrivait pas à y croire. Le silence régnait et la déclaration du seigneur noir semblait comme irréelle. L'assemblée entière resta comme figée plusieurs minutes voyant ainsi le chef des rédempteurs quitter les lieux. Il venait juste de rejoindre Benjen dans cette grande salle du sénat. Après avoir signé un pacte de non agression avec les Créationnistes afin de pouvoir entrer en guerre, son adversaire déposait les armes et il n'en revenait toujours pas.
Alors que Benjen commença à se lever, il l'interrompit et se dirigea sur l'estrade. Sidéré, il mit plusieurs minutes à trouver ses mots. Il tourna son regard sur le seigneur Ares encore présent.
Seigneur, je ... je ne comprend pas. Un tel revirement de situation est tout à fait honorable. Nous acceptons la reddition de votre maître et nous annulons toutes les hostilités prévues à l'égard de votre faction.
Je vous serai gré de transmettre mes remerciements à votre maître pour avoir entendu raison.
Mais j'espère qu'il ne s'agit pas là d'une ruse. Je ne le pense pas cela dit, sachez qu'aucune action hostile et démesurée sur un membre des guerriers de Varuna sera punie sans préavis. De mon côté, j'inviterai mes guerriers à la retenue face aux actes passés tant qu'ils ne se répèteront pas.
D'un point de vue personnel, merci d'épargner des millions de vies sur nos états respectifs.
Ned sentit comme la fin d'un conflit qui semblait sans solutions et qui finalement s'était soldé par une victoire diplomatique. Il garderai à vie en mémoire cette journée.
Mais il tourna les yeux sur le seigneur Vanalth.
Vous en revanche, grandissez un peu. Vous êtes qu'un petit être primaire. Vous oubliez les voies les plus nobles comme celle de l'honnêteté et du courage. Nous avons été courageux et honnête en venant dans cette tribune afin de faire comprendre au seigneur noir et à ses rédempteurs que nous étions unies contre eux. Vous étiez impatient de voir les autres se battre, votre désir n'aura pas lieu. Si la civilisation n'est pas arrivée jusqu'à votre contrée, sachez qu'elle existe ici et elle a ses codes. Vous ne les comprenez pas? Tant pis pour vous. Mais aujourd'hui, la diplomatie a triomphé !!
Votre ignorance vous pèse cher amis. Sachez le, même si ce conflit n'avait pas officiellement démarré, nous avions déjà engagé le combat contre le seigneur noir. Sans grand résultat jusque présent? je le reconnaît mais nous avons essayer. N'en doutez pas seigneur Vanalth, nous sommes bien des guerriers.
Sur ce, je suis attendu à Winterfell. Que la paix de Varuna soit sur vous.
Ned fit un signe un Benjen et quitta la salle. Ce dernier lui suivit immédiatement afin de retourner à Winterfell. Il voulait annoncer lui même la bonne nouvelle à son peuple et à ses banneraies.
Alors que Benjen commença à se lever, il l'interrompit et se dirigea sur l'estrade. Sidéré, il mit plusieurs minutes à trouver ses mots. Il tourna son regard sur le seigneur Ares encore présent.
Seigneur, je ... je ne comprend pas. Un tel revirement de situation est tout à fait honorable. Nous acceptons la reddition de votre maître et nous annulons toutes les hostilités prévues à l'égard de votre faction.
Je vous serai gré de transmettre mes remerciements à votre maître pour avoir entendu raison.
Mais j'espère qu'il ne s'agit pas là d'une ruse. Je ne le pense pas cela dit, sachez qu'aucune action hostile et démesurée sur un membre des guerriers de Varuna sera punie sans préavis. De mon côté, j'inviterai mes guerriers à la retenue face aux actes passés tant qu'ils ne se répèteront pas.
D'un point de vue personnel, merci d'épargner des millions de vies sur nos états respectifs.
Ned sentit comme la fin d'un conflit qui semblait sans solutions et qui finalement s'était soldé par une victoire diplomatique. Il garderai à vie en mémoire cette journée.
Mais il tourna les yeux sur le seigneur Vanalth.
Vous en revanche, grandissez un peu. Vous êtes qu'un petit être primaire. Vous oubliez les voies les plus nobles comme celle de l'honnêteté et du courage. Nous avons été courageux et honnête en venant dans cette tribune afin de faire comprendre au seigneur noir et à ses rédempteurs que nous étions unies contre eux. Vous étiez impatient de voir les autres se battre, votre désir n'aura pas lieu. Si la civilisation n'est pas arrivée jusqu'à votre contrée, sachez qu'elle existe ici et elle a ses codes. Vous ne les comprenez pas? Tant pis pour vous. Mais aujourd'hui, la diplomatie a triomphé !!
Votre ignorance vous pèse cher amis. Sachez le, même si ce conflit n'avait pas officiellement démarré, nous avions déjà engagé le combat contre le seigneur noir. Sans grand résultat jusque présent? je le reconnaît mais nous avons essayer. N'en doutez pas seigneur Vanalth, nous sommes bien des guerriers.
Sur ce, je suis attendu à Winterfell. Que la paix de Varuna soit sur vous.
Ned fit un signe un Benjen et quitta la salle. Ce dernier lui suivit immédiatement afin de retourner à Winterfell. Il voulait annoncer lui même la bonne nouvelle à son peuple et à ses banneraies.
L'hiver vient !!!