Première salle. C’était la première fois de sa vie que Dicou allait ouvrir de son initiative une salle à la Corporation. Malgré tout ce temps…
Ce n’est pas la peine de décrire les scènes qui précède l’ouverture de la salle. Nous aurions vu un homme dont les prémices de la vieillesse se faisaient déjà ressentir, un homme boitant essayant d’utiliser au mieux sa canne mais ne réussissant qu’à obtenir une démarche grossière. Il était vraisemblable qu’il n’aimait pas dépendre d’un objet. Heureusement pour lui, un air de respect flottait autour de lui. Rare étaient les personnes encore présentes le détestant. Il n’était pas du genre à faire de vagues. Du moins pas encore.
Nous passerons aussi les scènes concernant les formalités pour ouvrir une salle. Nous aurions perçu l’opposé de son physique. Nous aurions vu un enfant hésitant, ne sachant que faire. Mais après plusieurs longues minutes et une patience à toute épreuve de la personne de l’accueil, il prit enfin le chemin de la salle dédiée à son sujet.
Ce n’est qu’ici que les choses commencent à prendre leur importance.
Dicou commença à prendre de l’assurance, il l’avait fait. Il s’arrangea pour que les personnes arrivant en cours aient un résumé de l’essentiel des choses dites. Même s’il pensait que peu de personnes s’intéresseraient à son cas.
Il s’avança dans la salle encore vide (et qui le restera peut-être) et regarda le pupitre sur l’estrade. Il revit certains des grands rhéteurs de Galactica derrière celui-ci. Un mélange de sentiments le traversa. Le plaisir de repenser aux débats intenses, où chacun ne voulait pas lâcher un pouce de terrain, mais aussi la tristesse et la nostalgie. Malgré son regain d’assurance, il se dirigea vers l’estrade avec appréhension.
Quand faut y aller, faut y aller.
Il mit en place la retransmission de son discours sur quelques écrans au sein de la Corporation pour que les dirigeants concernés n’étant pas au courant le soient.
C’est ainsi qu’il commença son discours, de nouveau assuré et convaincu.
Bonjour, Mesdames et Messieurs de Galactica.
La plupart d’entre vous ne me connaissent pas. Je vais y remédier. Mon nom est Dicou, Maître Absolu en Terreland.
J’aimerai que les représentants des Architectes de l’Aurore se présentent ici même. Je ne devrais pas trop attendre logiquement.
J’ai décidé d’entrer en hostilité avec eux. Bien sur il y a une raison, et cette raison est que cette alliance ne respecte pas ses buts premiers. Je cite un bout de charte :
« Nous interviendrons dans tout conflit armé pour porter les dirigeants à la réflexion, et serons présents lors des débats à la Corporation, pour souffler une possible porte de sortie profitable aux deux parties. »
Je crois qu’il y a un conflit en cours et je ne crois pas avoir vu l’un de leur membre pointer le bout de son nez.
Et bien soit, je leur offre une possibilité. Une possibilité de se montrer, de régler des conflits. Tout du moins de régler ce conflit. Qu’ils me montrent qu’ils sont capables de suivre leur charte, je n’attends que cela. Sinon, cela montrera leur inutilité dans l’univers.
Ca y est, c’est fait. Il ne te reste plus qu’à voir ce qui se passe. Pensa-t-il.
Durant son discours, plusieurs personnes –intriguées par la voix émanant de la salle- étaient entrées dans la salle et s’étaient assises. Dicou reconnu des visages familiers et alla prendre de leurs nouvelles.
Absurdité
Modérateur : Modérateurs
Re: Absurdité
Had et Lyz écoutaient le discours de Lixia, elle leur paraissait beaucoup moins grande qu’ils ne l’avaient imaginé au travers de notes secrètes qui leur avait été fournies.
Had poussa un soupir affligé.
Le communicateur de Lyz sonna. Ses sourcils se froncèrent mais ses lèvres sensuelles s’étirèrent en un sourire amusé.
Elle glissa quelques mots à l’oreille de Had qui sourit à son tour et elle se leva.
Elle sortit de la salle enfumée et croulante, traversa le hall pour se diriger vers le comptoir d’accueil.
Il était couvert de gravats mais le matériel informatique semblait fonctionner encore.
Elle passa derrière le comptoir pour voir où sévissait Dicou, le dirigeant du Terreland .Tapant sur quelques touches elle trouva la salle et s’y dirigea.
Lyz, ses longs cheveux châtains, ses yeux gris, son uniforme de cuir noir qui moulait ses forme parfaites et cette allure qui faisait que les fuyards les plus pressés, les plus paniqués par la chute prochaine de l’édifice, ne pouvaient s’empêcher de rester pantelant devant sa démarche chaloupée qui faisait de sa croupe un vrai enchantement.
Elle entra dans la salle.
Elle était presque vide tant le duel de Pendora et de Lixia faisait vibrer les murs et semait la panique.
Ils n’étaient que quelques endormis à venir écouter le discours débilitant d’un dirigeant sénile, celui de Dicou du Terreland.
Les lèvres de Lyz découvrirent dangereusement un sourire carnassier qui tout d’un coup gela l’air de la grande salle vide.
Elle grimpa lestement au pupitre pour prendre la parole, ainsi qu’elle le devait.
Dirigeant du Terreland, petite merde infâme, toi qui ne fut personne pauvre d’esprit et d’âme.
Tu rase des États pacifiques et sereins sous des prétextes faux , hypocrites et malsains,
Qui crois tu abuser asticot dégueulasse qui se déhanche enfin quand il trouve de la place,
Qui sort de son sommeil hivernal et contraint pour se bouger le cul quand il ne reste rien.
Tu demande des comptes sur notre activité ? Mais qui es tu toi-même pour en bénéficier ?
Tout ceci n’a de sens que si on se rappelle le piège où tu tomba à cause de la sphère.
Alors les faux prétextes, les arguments bénins enfoncent les toi bien dans ton cul aquilin
Car ici, maintenant, sur la place publique, je vais donner la vraie raison de ta réplique
Cet infâme abruti possédait une sphère qui était convoitée par un autre compère.
N’ayant aucun espace il la gardait au chaud ainsi que le faisait Golum avec l’anneau
Un Etat plus malin lui faisait miroiter, une place en alliance, responsabilités …
Vaches, cochons, couvées il rêvât vraiment fort et dans l’alliance enfin il porta son effort
L’alliance généreuse lui fournit tant d’espace qu’iwa le malicieux lui déroba les strass
De la sphère chérie il dû faire le deuil gardant dans son esprit l’irréparable écueil
Aujourd’hui il se venge de plus malin que lui, donnant à nos pareils le détestable ennui
De prétextes débiles qui ne leurrent personne démontrant franchement l’indigence de l’homme.
Son exposé fini, Lyz porta sa main vers le ciel et une sphère luminescente apparue, elle s’éleva.
D’un mouvement prompt Lyz la propulsa sur le mur de la salle qui, fragilisé dans les nombreuses explosions, s’écroula, recouvrant les meubles d’une poussière crayeuse.
La salle voisine apparaissait enfin et on y voyait la vieille Luluberlue agonisant le Lord de sottises incongrues. Plus loin dans l’immensité de la destruction du siège Lixia et Pendora s’affrontant violemment sous les yeux de Had, amusé et heureux.
C’était bien là que se retrouvait ce pauvre Dicou, les épaules affaissées sous la puissance des coups.
Dans une salle immense composée des trois autres, il allait affronter sans nuls doutes, le pauvre…. Les plus méchants rhéteurs que le monde ait portés. Il manquait Ethel trust … fallait il l’espérer ?
Had poussa un soupir affligé.
Le communicateur de Lyz sonna. Ses sourcils se froncèrent mais ses lèvres sensuelles s’étirèrent en un sourire amusé.
Elle glissa quelques mots à l’oreille de Had qui sourit à son tour et elle se leva.
Elle sortit de la salle enfumée et croulante, traversa le hall pour se diriger vers le comptoir d’accueil.
Il était couvert de gravats mais le matériel informatique semblait fonctionner encore.
Elle passa derrière le comptoir pour voir où sévissait Dicou, le dirigeant du Terreland .Tapant sur quelques touches elle trouva la salle et s’y dirigea.
Lyz, ses longs cheveux châtains, ses yeux gris, son uniforme de cuir noir qui moulait ses forme parfaites et cette allure qui faisait que les fuyards les plus pressés, les plus paniqués par la chute prochaine de l’édifice, ne pouvaient s’empêcher de rester pantelant devant sa démarche chaloupée qui faisait de sa croupe un vrai enchantement.
Elle entra dans la salle.
Elle était presque vide tant le duel de Pendora et de Lixia faisait vibrer les murs et semait la panique.
Ils n’étaient que quelques endormis à venir écouter le discours débilitant d’un dirigeant sénile, celui de Dicou du Terreland.
Les lèvres de Lyz découvrirent dangereusement un sourire carnassier qui tout d’un coup gela l’air de la grande salle vide.
Elle grimpa lestement au pupitre pour prendre la parole, ainsi qu’elle le devait.
Dirigeant du Terreland, petite merde infâme, toi qui ne fut personne pauvre d’esprit et d’âme.
Tu rase des États pacifiques et sereins sous des prétextes faux , hypocrites et malsains,
Qui crois tu abuser asticot dégueulasse qui se déhanche enfin quand il trouve de la place,
Qui sort de son sommeil hivernal et contraint pour se bouger le cul quand il ne reste rien.
Tu demande des comptes sur notre activité ? Mais qui es tu toi-même pour en bénéficier ?
Tout ceci n’a de sens que si on se rappelle le piège où tu tomba à cause de la sphère.
Alors les faux prétextes, les arguments bénins enfoncent les toi bien dans ton cul aquilin
Car ici, maintenant, sur la place publique, je vais donner la vraie raison de ta réplique
Cet infâme abruti possédait une sphère qui était convoitée par un autre compère.
N’ayant aucun espace il la gardait au chaud ainsi que le faisait Golum avec l’anneau
Un Etat plus malin lui faisait miroiter, une place en alliance, responsabilités …
Vaches, cochons, couvées il rêvât vraiment fort et dans l’alliance enfin il porta son effort
L’alliance généreuse lui fournit tant d’espace qu’iwa le malicieux lui déroba les strass
De la sphère chérie il dû faire le deuil gardant dans son esprit l’irréparable écueil
Aujourd’hui il se venge de plus malin que lui, donnant à nos pareils le détestable ennui
De prétextes débiles qui ne leurrent personne démontrant franchement l’indigence de l’homme.
Son exposé fini, Lyz porta sa main vers le ciel et une sphère luminescente apparue, elle s’éleva.
D’un mouvement prompt Lyz la propulsa sur le mur de la salle qui, fragilisé dans les nombreuses explosions, s’écroula, recouvrant les meubles d’une poussière crayeuse.
La salle voisine apparaissait enfin et on y voyait la vieille Luluberlue agonisant le Lord de sottises incongrues. Plus loin dans l’immensité de la destruction du siège Lixia et Pendora s’affrontant violemment sous les yeux de Had, amusé et heureux.
C’était bien là que se retrouvait ce pauvre Dicou, les épaules affaissées sous la puissance des coups.
Dans une salle immense composée des trois autres, il allait affronter sans nuls doutes, le pauvre…. Les plus méchants rhéteurs que le monde ait portés. Il manquait Ethel trust … fallait il l’espérer ?
Re: Absurdité
Caché dans un recoin de la salle, une ombre observait....une ombre, sans visage à part des yeux rouges écarlates visibles à des mètres. L'ombre sortit du recoin et s'avança vers cet être qui pollua la salle de paroles infâmes.....
En avançant, d'un geste non-chalant de la main droite, la poussière qui nacquit de l'explosion revint matériel, la boule brillante revint en sens contraire vers l'ombre, les mûrs se refirent et on ne put qu'observer un millième de seconde l'air ébahit de Luluberlue dans la salle à côté.
La sphère attérit dans les mains de l'ombre, il la souleva.....
<<Voyez ce que je fais de votre sphère....>>, sa main se refermait et la sphère disparut!
<<Comment osez vous vomir des mots que même un Chnork n'utiliserait? N'avez vous jamais entendu le mot respect?
Je vais vous montrer...>>
De sa main droite, la même sphère que celle qui avait voyagé à travers les salles...en direction de cet être....à la vitesse grand V, la sphère s'arrêta brusquemment et disparut.
<< Osez encore une fois profanez des mots irrespectueux envers un dirigeant Galacte et cette sphère ne s'arrêtera plus!
Oui, moi aussi je suis curieux de savoir ce que vous avez à dire à propos des questions qui vous fûtes posées....car la justice est bien belle, l'équilibre aussi, mais encore faut-il appliquer ses convictions. Ou, vous ont-elles quitées?
Je manque de politesse. Appelez moi Cerssae, nouveau Maître de la Confédération Vulka.
Alors.....vous avez perdu vos paroles?>>
En avançant, d'un geste non-chalant de la main droite, la poussière qui nacquit de l'explosion revint matériel, la boule brillante revint en sens contraire vers l'ombre, les mûrs se refirent et on ne put qu'observer un millième de seconde l'air ébahit de Luluberlue dans la salle à côté.
La sphère attérit dans les mains de l'ombre, il la souleva.....
<<Voyez ce que je fais de votre sphère....>>, sa main se refermait et la sphère disparut!
<<Comment osez vous vomir des mots que même un Chnork n'utiliserait? N'avez vous jamais entendu le mot respect?
Je vais vous montrer...>>
De sa main droite, la même sphère que celle qui avait voyagé à travers les salles...en direction de cet être....à la vitesse grand V, la sphère s'arrêta brusquemment et disparut.
<< Osez encore une fois profanez des mots irrespectueux envers un dirigeant Galacte et cette sphère ne s'arrêtera plus!
Oui, moi aussi je suis curieux de savoir ce que vous avez à dire à propos des questions qui vous fûtes posées....car la justice est bien belle, l'équilibre aussi, mais encore faut-il appliquer ses convictions. Ou, vous ont-elles quitées?
Je manque de politesse. Appelez moi Cerssae, nouveau Maître de la Confédération Vulka.
Alors.....vous avez perdu vos paroles?>>
Re: Absurdité
Lyz s’était installée tranquillement dans un fauteuil, ses longues jambes gainées de cuir repliées et les pieds en appui sur le siège d’en face.
Son odorat la mit en alerte.
Sa narine frémit et son nez se plissa.
Ça sentait les merguez ….. mais qui donc pouvait oser faire des grillades dans les salles, certes en ruines, mais néanmoins prestigieuses du siège de la confédération. Elle était atterrée !
Lorsqu’elle se retourna pour rechercher la source de ce blasphème, elle aperçut au fond de la salle comme de la fumée qui sortait d’un coin d’ombre.
Puis en y regardant mieux, elle vit deux yeux rouges briller au milieu des volutes qu’elle avait prises au premier abord pour la grillade incriminée.
Un être bafouillant sortit de ce recoin. Qui sans aucun talent lui sortit son refrain. Un truc sur le respect ce qui était un comble pour quelqu’un qui osait s’essayer à maîtriser la propre magie de Lyz sans y être autorisé d’une quelconque manière.
Mais qui êtes vous donc petit être putride ?, volutes de fumée et expression du vide,
A venir me donner des leçons de respect pour quelques lestetés que le vieillard sénile n’a pas su assumer
Quel respect a-t-il eu en rasant des Etats ? De ceux qui y vivaient il n’a jamais fait cas !
Pensa-t-il aux écoles ? Aux crèches ? Aux maisons ? À la mort détestable de ces populations ?
Point du tout ! Il s’en fiche, de l’idée de respect ne restent que des friches !
Quant à vous, il suffit ! Minable pourfendeur qui croit de ma magie effacer le labeur
Vous êtes un être vain ! De quoi aviez vous peur en refermant l’accès aux salles des rhéteurs ?
De vous voir assener par les grands de la prose une déculottée ou peut être autre chose ?
Allez motivez vous ! Retrouvez ce courage qui du fond de la nuit vous pousse au rasage
Montrez nous vos valeurs, nous en sommes curieux !
Nous aimerions vous voir dans une salle comble générer une peu plus qu’une très légère ombre.
Sur ces mots la jeune femme se lève et se dirige en direction du mur d’une démarche sure.
Loin de le percuter, elle le traversa dénonçant aux yeux de tous, le caractère illusoire des pouvoirs du dirigeant fumeux de la Confédération Vulka.
Arrivée au milieu de la pièce centrale elle se retourna, sourire aux lèvres et planta ses prunelles grises dans les yeux rouges de son opposant.
Maintenant Cerssae, montrez votre courage et suivez donc mes pas si vous n’êtes pas lâche.
Elle continua son chemin pour venir s’assoir aux cotés de Had.
Son odorat la mit en alerte.
Sa narine frémit et son nez se plissa.
Ça sentait les merguez ….. mais qui donc pouvait oser faire des grillades dans les salles, certes en ruines, mais néanmoins prestigieuses du siège de la confédération. Elle était atterrée !
Lorsqu’elle se retourna pour rechercher la source de ce blasphème, elle aperçut au fond de la salle comme de la fumée qui sortait d’un coin d’ombre.
Puis en y regardant mieux, elle vit deux yeux rouges briller au milieu des volutes qu’elle avait prises au premier abord pour la grillade incriminée.
Un être bafouillant sortit de ce recoin. Qui sans aucun talent lui sortit son refrain. Un truc sur le respect ce qui était un comble pour quelqu’un qui osait s’essayer à maîtriser la propre magie de Lyz sans y être autorisé d’une quelconque manière.
Mais qui êtes vous donc petit être putride ?, volutes de fumée et expression du vide,
A venir me donner des leçons de respect pour quelques lestetés que le vieillard sénile n’a pas su assumer
Quel respect a-t-il eu en rasant des Etats ? De ceux qui y vivaient il n’a jamais fait cas !
Pensa-t-il aux écoles ? Aux crèches ? Aux maisons ? À la mort détestable de ces populations ?
Point du tout ! Il s’en fiche, de l’idée de respect ne restent que des friches !
Quant à vous, il suffit ! Minable pourfendeur qui croit de ma magie effacer le labeur
Vous êtes un être vain ! De quoi aviez vous peur en refermant l’accès aux salles des rhéteurs ?
De vous voir assener par les grands de la prose une déculottée ou peut être autre chose ?
Allez motivez vous ! Retrouvez ce courage qui du fond de la nuit vous pousse au rasage
Montrez nous vos valeurs, nous en sommes curieux !
Nous aimerions vous voir dans une salle comble générer une peu plus qu’une très légère ombre.
Sur ces mots la jeune femme se lève et se dirige en direction du mur d’une démarche sure.
Loin de le percuter, elle le traversa dénonçant aux yeux de tous, le caractère illusoire des pouvoirs du dirigeant fumeux de la Confédération Vulka.
Arrivée au milieu de la pièce centrale elle se retourna, sourire aux lèvres et planta ses prunelles grises dans les yeux rouges de son opposant.
Maintenant Cerssae, montrez votre courage et suivez donc mes pas si vous n’êtes pas lâche.
Elle continua son chemin pour venir s’assoir aux cotés de Had.