On dit toujours qu'il faut savoir tourner la page. Sans cesse, cette phrase me fut ressassée, lorsque je perdis un quelconque être. Que ce soit parent ou ami, voire élue de mon cœur, jamais cette singulière expression ne m'atteint.
Ce soir, c'est encore et toujours pareil : je ne puis l'admettre, et pourtant c'est une décision que je me force à prendre, pour qu'en ma mémoire ne réside jamais qu'un souvenir d'une aventure exceptionnelle, sans tâche aucune. Ne point tomber dans la monotonie, en voilà le but second.
Et aujourd'hui, ce n'est pourtant plus une page, que je devrai tourner, mais des centaines.
Empire Platin, en les personnages de :
Kiran, Edagener dit Darkness Cruiser, Généraux Mana-Li III et IV, David Histel, Lionel Estalet, Aramis, Mustang, que j'ai de façon éphémère énoncés,
Lisa Dergilia, dite l'Amiral Mana-Li, que je n'ai que trop peu approfondie,
Platin, l'Empereur qui fonda l'état que j'ai tant aimé,
Kossnei, que j'ai adoré et admiré, et dont je porterai à jamais le nom,
Julian Pirioca, mon économiste invétéré, qui sortit si peu de mon crâne occupé,
Devar Shurak, toi si grand fou, celui que je voudrais incarner, et qui m'a fait tant vibrer,
Ernat Dexpelei, vieux con égocentrique encore tout jeune personnage que jamais je ne pourrai reprendre...
Et enfin toi, Ethel. Trust de ton nom. Si frêle gamine qui partit de si loin ; diplomate du Helgan où tu grandis, puis de l'Empire Platin après instauration du nouveau régime... Ah, ça, pour sûr, tu as toujours aimé les discours, détestant la violence. La seule platine à n'en être réellement une, et cela se voyait. Pourtant, tu prenais grand soin de ce peuple, ton comportement que j'avais moi-même forgé, je sentais qu'il m'influençait. Lorsque j'écrivais, tu pouvais être calme, troublée, sèche, c'est que ton créateur l'était également. Tu représentais l'Empire Platin tolérant et bienveillant, tout en étant pour lui une sorte de garde fière et forte.
En fait, tu étais moi.
---
Tous ces personnages, en leur intégrité propre, rejoignent désormais la plupart de ceux de l'Helgan, de l'Aegyptia, et de l'Areia, que jamais C2G ne reverra plus.
Seuls restent alors : Nikki Katarilis et Aria Mesihiova.
A tous les autres, même si cela peut paraître un peu schizophrénique... adieu, et merci. D'avoir bercé ce jeu et cet univers, tout simplement.
L'Empire Platin en tant qu'entité RP n'existe désormais plus.
Cénesthésie bouleversée
Modérateur : Modérateurs
Cénesthésie bouleversée
Dernière modification par Kossnei le 19 sept. 2008, 18:11, modifié 1 fois.
« Altea seit Ethel. Ton nom ne sera jamais oublié... » - Kami Raykovith
Re: Cénesthésie bouleversée
Un monde qui se meurt et délite. Dislocation prévisible dans l’espoir d’un renouveau chimérique. Tous responsables et coupables de cette situation, nous la reproduirons puisque de ses erreurs jamais l’humain n’apprend.
Pour vous, moins nombreux certes que ceux issus de l’imagination féconde d’un jeune ami dont je vénère la prose, je préfère la mort à l’anémie débilitante qui vous guette sur un monde abandonné.
Aussi je vous convoque les uns après les autres pour qu’en congé définitif nos chemins enfin se séparent.
Durant ces long mois vous m’avez accompagnée, je vous ai aimé, j’ai frémi pour vous et si vous avez de mes humeurs changeantes subi la loi, en ricochet les évènements que vous avez vécu ont influencé la mienne.
En premier lieu je t’invite toi Magicienne Stanford envers qui je suis redevable de coupables erreurs.
Car flemme, occupations diverses et croyance hasardeuse en l’éternité de ce monde, erreur criminelle, je n’aurai fini de conter ni ta mort ni ta vie, inachevée fantôme de mon esprit alambiqué et cependant je les porte, elles me suivront.
Et néanmoins ta genèse a guidé chacun de tes actes, de tes paroles, toi la tourmentée la glaciale, qui croyait de ses certitudes changer un monde, à la naïveté sans égale et que j’ai sacrifié sur l’autel de mes ambitions.
En second lieu je vous invite vous qui fûtes à peine ébauchés, de quelques traits de plumes discrets, silhouettes dans une mémoire qui comptait sur demain.
Brugénal, Chef de mes armées, qui me servit quelquefois de garde fou, mais dont je n’appréciais guère le comportement trop raisonné, Flamencator, mon mystérieux économiste, plus profond à mon sens que les quelques lignes et quelques pensées que je lui ai consacrées, mystérieuse objectivation de pensées qui resteront à jamais clandestines.
Mes 5 officiers ensuite:
Merci à toi Salandrin qui usurpa la place du meilleur,
Merci Stan, mon préféré et plus rapide,
Merci Simbad auquel je voulais réserver les voyages au long cours,
Merci Lila hommage à un jeune auteur anonyme,
Merci enfin Sorry qui de tous mes pillages s’excusait par avance.
Te voici Kwyx qui ne m’aura guère accompagnée longtemps mais que j’ai aimé d’une tendresse que seuls quelques uns peuvent comprendre. Toi qui étais destiné à prendre une place sans pareille dans mon esprit débordant, et dont la personnalité à ma surprise s’est très vite affirmée.
Enfin en dernier lieu te voici Lilas, la plus humaine, celle dont les erreurs la passion et l’impulsivité en ont séduit quelques uns celle qui s’est paré de mes défauts, de mes erreurs pour les porter bien haut et en faire don à mon orgueil, toi dont les modèles finirent par être sœurs sans le savoir.
Vous tous au moment de s’effacer d’un trait sous ma plume éphémère, aurez une pensée pour ceux que vous avez croisés au hasard des débats du siège de la corporation.
Kwyx pour les Loki dans leur ensemble que je remercie pour lui avoir fourni son épaisseur,
Lilas pour Ethel, admiration de perso à perso qui reflète celle de la créatrice pour le créateur,
Stanford pour Le Bakta, pour Farell qui lui ont fait faire les premiers pas de rhétorique,
Et je n’en cite que quelques uns…je m’égarerais à trop d’hommages.
A vous tous qui êtes un peu de moi, de ce que j’aurai aimé être, la matérialisation en mots de mes envies de mes espoirs et de mes peurs, je dis adieu et le pincement de cœur que je ressens m’en effarouche.
Le Stanford n’est plus qu’une coquille vide et ne sera pas dans un autre monde.
Pour vous, moins nombreux certes que ceux issus de l’imagination féconde d’un jeune ami dont je vénère la prose, je préfère la mort à l’anémie débilitante qui vous guette sur un monde abandonné.
Aussi je vous convoque les uns après les autres pour qu’en congé définitif nos chemins enfin se séparent.
Durant ces long mois vous m’avez accompagnée, je vous ai aimé, j’ai frémi pour vous et si vous avez de mes humeurs changeantes subi la loi, en ricochet les évènements que vous avez vécu ont influencé la mienne.
En premier lieu je t’invite toi Magicienne Stanford envers qui je suis redevable de coupables erreurs.
Car flemme, occupations diverses et croyance hasardeuse en l’éternité de ce monde, erreur criminelle, je n’aurai fini de conter ni ta mort ni ta vie, inachevée fantôme de mon esprit alambiqué et cependant je les porte, elles me suivront.
Et néanmoins ta genèse a guidé chacun de tes actes, de tes paroles, toi la tourmentée la glaciale, qui croyait de ses certitudes changer un monde, à la naïveté sans égale et que j’ai sacrifié sur l’autel de mes ambitions.
En second lieu je vous invite vous qui fûtes à peine ébauchés, de quelques traits de plumes discrets, silhouettes dans une mémoire qui comptait sur demain.
Brugénal, Chef de mes armées, qui me servit quelquefois de garde fou, mais dont je n’appréciais guère le comportement trop raisonné, Flamencator, mon mystérieux économiste, plus profond à mon sens que les quelques lignes et quelques pensées que je lui ai consacrées, mystérieuse objectivation de pensées qui resteront à jamais clandestines.
Mes 5 officiers ensuite:
Merci à toi Salandrin qui usurpa la place du meilleur,
Merci Stan, mon préféré et plus rapide,
Merci Simbad auquel je voulais réserver les voyages au long cours,
Merci Lila hommage à un jeune auteur anonyme,
Merci enfin Sorry qui de tous mes pillages s’excusait par avance.
Te voici Kwyx qui ne m’aura guère accompagnée longtemps mais que j’ai aimé d’une tendresse que seuls quelques uns peuvent comprendre. Toi qui étais destiné à prendre une place sans pareille dans mon esprit débordant, et dont la personnalité à ma surprise s’est très vite affirmée.
Enfin en dernier lieu te voici Lilas, la plus humaine, celle dont les erreurs la passion et l’impulsivité en ont séduit quelques uns celle qui s’est paré de mes défauts, de mes erreurs pour les porter bien haut et en faire don à mon orgueil, toi dont les modèles finirent par être sœurs sans le savoir.
Vous tous au moment de s’effacer d’un trait sous ma plume éphémère, aurez une pensée pour ceux que vous avez croisés au hasard des débats du siège de la corporation.
Kwyx pour les Loki dans leur ensemble que je remercie pour lui avoir fourni son épaisseur,
Lilas pour Ethel, admiration de perso à perso qui reflète celle de la créatrice pour le créateur,
Stanford pour Le Bakta, pour Farell qui lui ont fait faire les premiers pas de rhétorique,
Et je n’en cite que quelques uns…je m’égarerais à trop d’hommages.
A vous tous qui êtes un peu de moi, de ce que j’aurai aimé être, la matérialisation en mots de mes envies de mes espoirs et de mes peurs, je dis adieu et le pincement de cœur que je ressens m’en effarouche.
Le Stanford n’est plus qu’une coquille vide et ne sera pas dans un autre monde.
Boostée par Dark-Angel et Spatouille. Comme promis ma flotte arbore leurs drapeaux.
Re: Cénesthésie bouleversée
Ma chère amie, Lilas. Eus-tu dis que toi-même n'existerait plus sur ce forum, que je l'aurais déploré... ... ... Eh bien, vois-tu, tu me fais déjà perdre mes mots.
Faisons plus simple, donc.
Sais-tu ce qu'est un Kossnei sans une Stanford ? Le bonhomme, en l'absence d'une de ses muses, ne vaut guère plus que l'artisan dont on n'admire le travail. Celui qui, se faisant suer à la tâche jusqu'à en devenir fou, sacrifiant amis et amour pour n'avoir qu'un peu plus de temps à accorder à sa besogne, n'a plus de compagnie que celle ses œuvres non reconnues.
Alors certes, s'il en est certains qui m'approuveront, et diront que je ne mérite pas plus d'éloge qu'un jeune con vantard à la personnalité standard ; celle du "show-off", celui qui, chaque jour, pour s'extirper des bras de l'ennui, emmerde le monde et dénigre tout et tout le monde ; oui, s'il existe de ceux-là, il y en aura aussi, parmi une minorité, qui me contrediront.
Mais je ne suis pas dupe. Farell m'ayant délaissé sans préavis, toi dont la fierté exacerbée a fait quitter cette place — rassure-toi, je puis la comprendre ; elle m'habite également, tu ne le nieras guère —, seul un grand vide demeure en moi.
Si je ne te somme de revoir ta décision, si je ne te supplie de le faire, c'est parce que je te comprends, t'adore et te soutiens. Il aura fallu qu'un Grand Conseiller te fasse partir, tout comme un autre avait bien failli réussir avec moi. Néanmoins, ne contestons plus l'ordre, et reportons-nous sur ce qui nous intéresse.
Sublimation et Subornation, je te les dédie, à toi ma seule muse qui encore subsiste. Tu as, crois-le ou non, autant joué que moi dans la naissance de ces merveilles. C'est pourquoi j'aimerais que tu en sois informée, et je sais que, quelque part en France, derrière un écran, tu liras ces mots.
Ici s'arrête ma mélopée si affreuse qu'elle semble issue d'un épisode de série américaine dans laquelle un public vous dit quand il faut rire. Sache simplement qu'à jamais mon cœur restera béant, ou plutôt ... jusqu'à ce que tu reviennes ou que Kossnei ne meure.
C'est une cénesthésie bouleversée qui m'anima durant la rédaction de ce texte. Merci... pour ce titre, et pour tout le reste.
Faisons plus simple, donc.
Sais-tu ce qu'est un Kossnei sans une Stanford ? Le bonhomme, en l'absence d'une de ses muses, ne vaut guère plus que l'artisan dont on n'admire le travail. Celui qui, se faisant suer à la tâche jusqu'à en devenir fou, sacrifiant amis et amour pour n'avoir qu'un peu plus de temps à accorder à sa besogne, n'a plus de compagnie que celle ses œuvres non reconnues.
Alors certes, s'il en est certains qui m'approuveront, et diront que je ne mérite pas plus d'éloge qu'un jeune con vantard à la personnalité standard ; celle du "show-off", celui qui, chaque jour, pour s'extirper des bras de l'ennui, emmerde le monde et dénigre tout et tout le monde ; oui, s'il existe de ceux-là, il y en aura aussi, parmi une minorité, qui me contrediront.
Mais je ne suis pas dupe. Farell m'ayant délaissé sans préavis, toi dont la fierté exacerbée a fait quitter cette place — rassure-toi, je puis la comprendre ; elle m'habite également, tu ne le nieras guère —, seul un grand vide demeure en moi.
Si je ne te somme de revoir ta décision, si je ne te supplie de le faire, c'est parce que je te comprends, t'adore et te soutiens. Il aura fallu qu'un Grand Conseiller te fasse partir, tout comme un autre avait bien failli réussir avec moi. Néanmoins, ne contestons plus l'ordre, et reportons-nous sur ce qui nous intéresse.
Sublimation et Subornation, je te les dédie, à toi ma seule muse qui encore subsiste. Tu as, crois-le ou non, autant joué que moi dans la naissance de ces merveilles. C'est pourquoi j'aimerais que tu en sois informée, et je sais que, quelque part en France, derrière un écran, tu liras ces mots.
Ici s'arrête ma mélopée si affreuse qu'elle semble issue d'un épisode de série américaine dans laquelle un public vous dit quand il faut rire. Sache simplement qu'à jamais mon cœur restera béant, ou plutôt ... jusqu'à ce que tu reviennes ou que Kossnei ne meure.
C'est une cénesthésie bouleversée qui m'anima durant la rédaction de ce texte. Merci... pour ce titre, et pour tout le reste.
« Altea seit Ethel. Ton nom ne sera jamais oublié... » - Kami Raykovith
Re: Cénesthésie bouleversée
Les mots déjà se brisent à mon clavier pour me renvoyer à l’inanité de mes efforts.
Répondre d’un Merci ému et puis s’enfuir ?
Trop facile ! Écartons cette solution d’emblée, elle ne conviendrait ni à l’honneur que tu me fais ni à l’orgueil dont tu me gratifies. Et pourtant, si tentant pour éviter le travers de la mièvrerie. Soit, aujourd’hui mon amour-propre n’a plus sa place, continuons donc de le fouler, pour essayer de te répondre, courons le risque d’une sensiblerie rédhibitoire à mes yeux.
Et surtout, accepter en prémices le ridicule d’une confrontation directe où je me sais en tout point inférieure. Rappelle-toi : il ne s’agit là que de l’objective impartialité dont tu me gratifiais à mes débuts.
Une de tes muses ? Le privilège est grandissime, j’en accepte le poids même si en moi un tumulte s’élève pour déclarer mon indignité.
Toutefois ne pas s’y tromper Kossnei existait avant Stanford, l’idée de Sublimation était née chez Toinou, bien avant que je ne fisse des premiers pas hésitants sur cet étrange monde.
Si j’ai pu t’inspirer quelques lignes, te donner à certains moments le courage de continuer ou reprendre un ouvrage si ambitieux, tu m’en remplis d’une fierté attendrie, celle-là que je ne réserve en général qu’à trois êtres en ce monde, inutile de s’étendre.
Évidemment je continue de te le lire, je ne m’en lasserai jamais, comme je ne me lasserai jamais d'autres plumes particulièrement alertes, ne citons pas de noms, elles se reconnaîtront. Même si mes commentaires se sont faits rarissimes car mes mots ne répondent pas assez aux exigences de mon admiration. Alors si ma présence se fait plus légère, si ma résolution ne sert qu’à protéger mes incurables incertitudes, n'y vois pas un quelconque désintérêt.
En relisant ces lignes l’émotion se dispute à la gratitude pour te remercier de cet hommage, et d’avoir délié il y a moins d’un an une plume qui jamais n’égalera la tienne.
Répondre d’un Merci ému et puis s’enfuir ?
Trop facile ! Écartons cette solution d’emblée, elle ne conviendrait ni à l’honneur que tu me fais ni à l’orgueil dont tu me gratifies. Et pourtant, si tentant pour éviter le travers de la mièvrerie. Soit, aujourd’hui mon amour-propre n’a plus sa place, continuons donc de le fouler, pour essayer de te répondre, courons le risque d’une sensiblerie rédhibitoire à mes yeux.
Et surtout, accepter en prémices le ridicule d’une confrontation directe où je me sais en tout point inférieure. Rappelle-toi : il ne s’agit là que de l’objective impartialité dont tu me gratifiais à mes débuts.
Une de tes muses ? Le privilège est grandissime, j’en accepte le poids même si en moi un tumulte s’élève pour déclarer mon indignité.
Toutefois ne pas s’y tromper Kossnei existait avant Stanford, l’idée de Sublimation était née chez Toinou, bien avant que je ne fisse des premiers pas hésitants sur cet étrange monde.
Si j’ai pu t’inspirer quelques lignes, te donner à certains moments le courage de continuer ou reprendre un ouvrage si ambitieux, tu m’en remplis d’une fierté attendrie, celle-là que je ne réserve en général qu’à trois êtres en ce monde, inutile de s’étendre.
Évidemment je continue de te le lire, je ne m’en lasserai jamais, comme je ne me lasserai jamais d'autres plumes particulièrement alertes, ne citons pas de noms, elles se reconnaîtront. Même si mes commentaires se sont faits rarissimes car mes mots ne répondent pas assez aux exigences de mon admiration. Alors si ma présence se fait plus légère, si ma résolution ne sert qu’à protéger mes incurables incertitudes, n'y vois pas un quelconque désintérêt.
En relisant ces lignes l’émotion se dispute à la gratitude pour te remercier de cet hommage, et d’avoir délié il y a moins d’un an une plume qui jamais n’égalera la tienne.
Boostée par Dark-Angel et Spatouille. Comme promis ma flotte arbore leurs drapeaux.