La Terre de Tirgia

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Gamma
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La Terre de Tirgia

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La terre de Tirgia

En l’an 432 de la septième ère d’Elgora, voici le récit d’Enduril, fils de Semagna, troisième roi des elfes. « En mon troisième siècle d’existence, je découvre enfin la terrible raison qui créa guerre entre les royaumes du sud et l’empire du nord. Cette raison, cachée depuis un âge ou la terre de Tirgia était contrôlée par ses véritables maîtres, les guerriers de la nuit, m’est malheureusement impossible à révéler dans ces simples pages, les guerriers du chaos, avec à leur tête le terrible Manimarco pourraient s’en servir pour s’emparer de la source suprême, maitresse de tout nos pouvoirs et, bien sûr, capturer notre contée, et de tout l’empire par la suite.
Si le lecteur de mon récit a le cœur pur et l’intention de restaurer la paix originelle, il pourra alors partir à la recherche de ces réponses que j’ai moi-même cherchées. A son intention, je laisse ce message ; puisse ces quelques lignes restaurer ce que tant d’hommes ont cherché, la paix dans le royaume de Tirgia. »
« La fin n’est en fait que le début, même si le sage dit le contraire, une fois trouvée, elle guidera vers le but. »

Elvin releva la tête et des pensées négatives l’envahirent, il songea un instant à la mission lui paraissant impossible que le roi de Tirgia lui avais confié trois cycles lunaires auparavant…
Elvin arriva au palais du roi. Il était certes conscient à qui il allait parler mais il ne ressentait aucune craintes à l’idée de parler au grand monarque qui avait régné sur l’empire pendant de long cycles. Il grimpa les marches délicatement sculptée en silence, passa le hall des légendes, composée d’un type de platine aux couleurs mordorées. C’est ce moment que le roi choisit pour faire sa majestueuse entrée. Elvin pensa que même les plus beaux contes et légendes des bardes ne pouvaient décrire tant de beauté, c’était comme si le roi était un pôle attractif pour la beauté. Mais le grand monarque ne laissa pas son invité dans l’ignorance et, sans détours, lui expliqua la raison pour laquelle il avait du faire appel à lui.
De sa douce voix amplifiée par de la sève de megaloth, il lui confia tout ses problèmes : «Mon cher Elvin, mon grand chancelier, qui, je dois le dire, m’est très précieux, m’a confié que vous étiez un élève brillant est parfaitement capable d’exécuter ma modeste volonté, aussi, je vous charge de trouver la pierre perdue de Pélina, relique des sages mortuaires. » Elvin, quelque peu surprit par la requête du riche personnage, eut un instant de doutes. Il se rappelait son père disant que les reliques n’étaient que des objets dont la soif de sang les rendaient mortels. Cependant, il accepta ; la volonté d’un roi doit toujours être respectée. Appréhensif, il donna son accord au roi et celui-ci lui répondit d’une voix soulagée, « C’est bien, mon enfant, tu as choisis le bon chemin. La quête de la pierre sacrée t’apporteras sans doutes quelques difficultés, aussi, je vais te donner accès aux grandes archives pour trouver un indice et commencer ta noble quête »
Revenant à la réalité après son voyage dans le monde des souvenirs et mémoires, il se rendit compte que sa quête était sans espoirs et que l’empereur lui donnait sa confiance en vain.
C’est à ce moment que Lithopia, son serpent apprivoisé se glissa sur la table, cassant le buste en marbre de Nathasa Indarys, la mystique prêtresse de la déesse Meridia. Elvin attrapa l’animal à la peau écailleuse et le redéposa dans sa cage, ou le reptile était supposeé hiberner. Une fois de plus, son serpent avait réduit en poussière une des statues de sa maison.
Ne sachant plus quoi faire, il alla rendre visite au grand sage du village pour lui demander une faveur.
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