Consternant
Modérateur : Modérateurs
Consternant
Une navette réussi à quitter Pandora. Contenant dedans le Conseiller Octanpus.
Monsieur, où allons-nous ?
Au siège de la corporation, vite !!!
Bien.
Le conseiller Octanpus, d’habitude si calme, était emplit d’une colère ravageuse.
Son costume était couvert de sang, de poussière. On pouvait voir que lui-même était couvert de blessure.
La navette du conseiller se posa sur la plateforme d’envol. Il ouvrit la porte avec violence. Son regard emplit de haine, sa démarche sûre ; il se dirigea vers Le siège de la corporation.
Il entra dans la salle. Tous le dévisagèrent, ils le regardaient dégouté de tous ce sang.
Il prit la parole.
Alors, ces merdes sont elles ici ? Lâche, enfant de femme facile montrez-vous ! Vous voulez un habitant de Pandora, je suis là.
Non content de venir seul, on vient avec des amis. Faisons-nous peur à ce point. Vous les états les plus riches. Qui n’êtes même pas dans la même alliance. Qui à lécher qui pour l’aide ?
L’aetherys est-ce pour votre flotte de pillage que nous vous avons dérobé ? Sachez que peut-être les dégâts sont importants. Mais la flamme de la haine est plantée. Un jour je pourrais venir en ces lieux et annoncé votre anéantissement. Vous me faites pitié. Je crache sur la tombe de vos ancêtres qui sont surement aussi lâche que vous. Je rigole quand je vois que mon état vous est fait peur à ce point là. Faites combattre femme et enfant, ils auront plus d’honneur que vous. Vous n’êtes que les putains de la galaxie, la honte qui inonde la fierté de tous. Vengez-vous, j’en ai que faire. Vos actes en disent beaucoup sur les hommes que vous êtes.
Il attendit la réponse de ces mécréants, même si c'était la dernière chose qu'il ferai.
Pandora fut, est et sera.
Monsieur, où allons-nous ?
Au siège de la corporation, vite !!!
Bien.
Le conseiller Octanpus, d’habitude si calme, était emplit d’une colère ravageuse.
Son costume était couvert de sang, de poussière. On pouvait voir que lui-même était couvert de blessure.
La navette du conseiller se posa sur la plateforme d’envol. Il ouvrit la porte avec violence. Son regard emplit de haine, sa démarche sûre ; il se dirigea vers Le siège de la corporation.
Il entra dans la salle. Tous le dévisagèrent, ils le regardaient dégouté de tous ce sang.
Il prit la parole.
Alors, ces merdes sont elles ici ? Lâche, enfant de femme facile montrez-vous ! Vous voulez un habitant de Pandora, je suis là.
Non content de venir seul, on vient avec des amis. Faisons-nous peur à ce point. Vous les états les plus riches. Qui n’êtes même pas dans la même alliance. Qui à lécher qui pour l’aide ?
L’aetherys est-ce pour votre flotte de pillage que nous vous avons dérobé ? Sachez que peut-être les dégâts sont importants. Mais la flamme de la haine est plantée. Un jour je pourrais venir en ces lieux et annoncé votre anéantissement. Vous me faites pitié. Je crache sur la tombe de vos ancêtres qui sont surement aussi lâche que vous. Je rigole quand je vois que mon état vous est fait peur à ce point là. Faites combattre femme et enfant, ils auront plus d’honneur que vous. Vous n’êtes que les putains de la galaxie, la honte qui inonde la fierté de tous. Vengez-vous, j’en ai que faire. Vos actes en disent beaucoup sur les hommes que vous êtes.
Il attendit la réponse de ces mécréants, même si c'était la dernière chose qu'il ferai.
Pandora fut, est et sera.
Re: Consternant
En Aetherys, le temps était, pour une fois, clément en cette fin de soirée. La chaleur qui émanait de la planète entière pouvait être gérée par les boucliers thermiques érigés tout autour de l'état. Dans la grande cité d'Aether, dans le palais éponyme, les rapports étaient tombés. Une victoire totale sur les structures du Pandora ainsi que sur ses armées. La nouvelle était réjouissante certes mais peu y étaient sensibles. Dans la plus complète indifférence, les officiers lurent les précieux documents, se congratulant de la parfaite coordination de leur troupes et de ses ingénieurs aux missiles.
Quelque part, dans une grande tour d'ivoire, la presse informa le système entier de l'attaque et de ses conséquences. C'est avec un plaisir à peine déguisé que Jessica regardait les images sanglantes des corps décharnés et des bâtiments en ruine. Seulement, sur Galactica, au majestueux siège de la corporation, une salle venait de s'ouvrir et l'homme en sang, cet inconnu, venait clamer haut et fort, avec violence, sa déchirure. Ses pleurs retentirent grâce aux ambassadeurs jusqu'en Aetherys, où, dans la plus complète discrétion, pour ne pas attirer Jess', l'on décida d'envoyer une Diplobot pour gérer la situation en urgence en l'absence de Dame Aetherya ou de toute personne humainement conçue. Un transport diplomatique affrété, les plans de vol étudiés, l'escorte de chasseurs nucléaires dépêchée, le transport s'envola à la vitesse de l'éclair vers le siège.
Les quelques minutes de trajet furent misent à contribution pour étudier les images de ce qui venait d'être dit par l'homme furibond. La stratégie de défense élaborée, les arguments discutés, le diplobot A-8923e programmé selon cette ligne de pensée, il était alors l'heure de sortir affronter l'inconnu. Ce sera le premier test grandeur nature d'un diplobot de cette génération, plus généralement utilisé dans les missives.
- Loading...Data Scan...Power Supplies Check...All Process Engaged.
Le robot à l'allure étonnamment humaine s'avançait vers la salle où l'homme énervé était entré sans ménagement, sans même daigner se présenter.
- Voice Humanizer, check, setting option on "Homme, Age Moyen, Ton calme".
Il franchit le pas de la porte et sa démarche un peu gauche surpris les personnes qui semblaient être là par hasard, par simple curiosité malsaine.
-Bonsoir. Je me présente, mon nom n'a pas beaucoup de sens pour les humains mais vous m'avez appelé "A-8923e". Ma fonction est de converser à la place de mes créateurs. Ne vous en faites pas, mon cortex cérébrale est programmé pour répondre parfaitement. Je serai donc un très bon correspondant le temps que notre dirigeant, Dame Aetherya puisse se déplacer en personne ou fassent suivre un de ces diplomates. Les présentations faites, je vais désormais répondre à vos questions.
Pour commencer, je voudrai saluer votre force d'avoir pu reconstruire un croiseur si rapidement afin de vous rendre ici même alors que nous semblions avoir détruit la totalité de votre force de frappe.
Le robot s'inclina doucement en signe de respect. Son allure massive, surprenante à première vu, rendait la situation comique.
La peur est un sentiment que nous préférons inspirer plutôt que ressentir. Sachez donc qu'en Aetherys ni nul part ailleurs nous ne vous craignons. Nous sommes un état qui prospèrent et qui aime la paix, comme dame Eleonore m'a demandé de vous dire. Seulement, alors que nos hommes, des pères de famille, des mères, des enfants, venaient chercher leur ration quotidienne de pierre de mana, vous avez préféré vous ériger devant notre flotte, grâce à des incantions vous les avez converti à votre cause. Vous avez apprit à vos dépends que notre Noble Dame Aetherya ne laissera jamais un crime rester impuni. C'est la raison de notre attaque de ce soir en effet. Sachez, et dîtes le tout autour de vous, que le peuple Aetheryen est un peuple rancunier qui n'oublie jamais rien. Nos armées bien entrainées ont sauvagement déchiquetés les structures de votre état et ceci pour vous donner une lecon qui, je l'espère, servira à vos compagnons: Ne vous levez pas contre l'Aetherys ou ses alliés sous peine d'en subir les conséquences. Il y a une différence entre se défendre et être stupide.
Nous avons constaté que vous remettiez en cause la présence de mercenaires à mes côtés. Sachez que cette attaque a été entièrement financée par l'Aetherys. Nous voulions vous prodiguer un enseignant rapide pour qu'il porte ses fruits et que les raisons de notre attaque soient encore fraiches dans votre esprit. Votre défaite ne revient qu'à l'extrême puissance Aetheryenne et à la non moins grande puissance de ses contacts diplomatiques en terme d'avancées scientifiques. Défier l'Aetherys c'est défier une des plus grandes nations de la galaxie. Vous saurez qu'il n'est jamais bon de s'attirer les foudres d'un état qui, en terme de puissance, vous dépasse tant que vous ne pourriez imaginer la source d'un si grand pouvoir qu'en explorant de vos propres yeux l'immensité de nos conquêtes et la puissance de nos armées. Sachez que vous n'avez encore rien vu. L'attaque de ce soir n'est qu'une broutille par rapport à ce que nous sommes capables de produire. Comme vous l'avez constater, l'état major de notre état n'a réquisitionné qu'une infime partie de notre puissance militaire car sans cela, nos armées se seraient gênées dans l'étroitesse de votre petite contrée.
Mes concepteurs comprennent votre haine envers nous mais ne regrettent rien. Pour eux, cette attaque n'est qu'un entrainement. Pour autant, elle n'était pas sans sens, elle avait pour but de venger les familles que vous avez disloquée. Quel est le plus grand crime? Perdre quelques dizaines de kilos ou centaines de kilos d'une ressource dont vous disposez à volonté dans les mines de votre planète? Ou séparer définitivement des familles seulement en quête d'un meilleur niveau de vie?
Pour le reste de vos propos, nous n'avons aucune réponse. Seulement, mon programme d'analyse me tend à vous conseiller un peu plus de calme et de modération sans quoi la puissante Aetherys pourrait à nouveau faire déferler le feu et le sang sur le peu qu'il reste sur votre petit état. Votre médiocrité diplomatique a été la cause de la première attaque, seriez vous si peu considérant à l'égard des corps croupissants et autres chairs décharnées qui vous servent de peuple pour risquer à nouveau la destruction de toute forme de vie sur une planète aux si beaux couchers de soleil?
Mais on m'informe que je peux laisser ma place à notre Noble Dame, Aetherya. Offrez lui votre respect car sa grandeur n'a d'égal que votre faiblesse actuelle.
Le diplobot s'inclina une nouvelle fois en signe de respect pour un adversaire défait. Il se tourna à 90° puis se dirigea vers une des places qui lui avait été réservé. Sur son visage, aucune expression. De sa voix humaine, il entreprit d'engager l'enregistrement du débat.
-Idle mode, engaged. Setting option in: "position assis", data record in progress, analyse syntaxique, check, idle process: engaged, green mode.
Quelque part, dans une grande tour d'ivoire, la presse informa le système entier de l'attaque et de ses conséquences. C'est avec un plaisir à peine déguisé que Jessica regardait les images sanglantes des corps décharnés et des bâtiments en ruine. Seulement, sur Galactica, au majestueux siège de la corporation, une salle venait de s'ouvrir et l'homme en sang, cet inconnu, venait clamer haut et fort, avec violence, sa déchirure. Ses pleurs retentirent grâce aux ambassadeurs jusqu'en Aetherys, où, dans la plus complète discrétion, pour ne pas attirer Jess', l'on décida d'envoyer une Diplobot pour gérer la situation en urgence en l'absence de Dame Aetherya ou de toute personne humainement conçue. Un transport diplomatique affrété, les plans de vol étudiés, l'escorte de chasseurs nucléaires dépêchée, le transport s'envola à la vitesse de l'éclair vers le siège.
Les quelques minutes de trajet furent misent à contribution pour étudier les images de ce qui venait d'être dit par l'homme furibond. La stratégie de défense élaborée, les arguments discutés, le diplobot A-8923e programmé selon cette ligne de pensée, il était alors l'heure de sortir affronter l'inconnu. Ce sera le premier test grandeur nature d'un diplobot de cette génération, plus généralement utilisé dans les missives.
- Loading...Data Scan...Power Supplies Check...All Process Engaged.
Le robot à l'allure étonnamment humaine s'avançait vers la salle où l'homme énervé était entré sans ménagement, sans même daigner se présenter.
- Voice Humanizer, check, setting option on "Homme, Age Moyen, Ton calme".
Il franchit le pas de la porte et sa démarche un peu gauche surpris les personnes qui semblaient être là par hasard, par simple curiosité malsaine.
-Bonsoir. Je me présente, mon nom n'a pas beaucoup de sens pour les humains mais vous m'avez appelé "A-8923e". Ma fonction est de converser à la place de mes créateurs. Ne vous en faites pas, mon cortex cérébrale est programmé pour répondre parfaitement. Je serai donc un très bon correspondant le temps que notre dirigeant, Dame Aetherya puisse se déplacer en personne ou fassent suivre un de ces diplomates. Les présentations faites, je vais désormais répondre à vos questions.
Pour commencer, je voudrai saluer votre force d'avoir pu reconstruire un croiseur si rapidement afin de vous rendre ici même alors que nous semblions avoir détruit la totalité de votre force de frappe.
Le robot s'inclina doucement en signe de respect. Son allure massive, surprenante à première vu, rendait la situation comique.
La peur est un sentiment que nous préférons inspirer plutôt que ressentir. Sachez donc qu'en Aetherys ni nul part ailleurs nous ne vous craignons. Nous sommes un état qui prospèrent et qui aime la paix, comme dame Eleonore m'a demandé de vous dire. Seulement, alors que nos hommes, des pères de famille, des mères, des enfants, venaient chercher leur ration quotidienne de pierre de mana, vous avez préféré vous ériger devant notre flotte, grâce à des incantions vous les avez converti à votre cause. Vous avez apprit à vos dépends que notre Noble Dame Aetherya ne laissera jamais un crime rester impuni. C'est la raison de notre attaque de ce soir en effet. Sachez, et dîtes le tout autour de vous, que le peuple Aetheryen est un peuple rancunier qui n'oublie jamais rien. Nos armées bien entrainées ont sauvagement déchiquetés les structures de votre état et ceci pour vous donner une lecon qui, je l'espère, servira à vos compagnons: Ne vous levez pas contre l'Aetherys ou ses alliés sous peine d'en subir les conséquences. Il y a une différence entre se défendre et être stupide.
Nous avons constaté que vous remettiez en cause la présence de mercenaires à mes côtés. Sachez que cette attaque a été entièrement financée par l'Aetherys. Nous voulions vous prodiguer un enseignant rapide pour qu'il porte ses fruits et que les raisons de notre attaque soient encore fraiches dans votre esprit. Votre défaite ne revient qu'à l'extrême puissance Aetheryenne et à la non moins grande puissance de ses contacts diplomatiques en terme d'avancées scientifiques. Défier l'Aetherys c'est défier une des plus grandes nations de la galaxie. Vous saurez qu'il n'est jamais bon de s'attirer les foudres d'un état qui, en terme de puissance, vous dépasse tant que vous ne pourriez imaginer la source d'un si grand pouvoir qu'en explorant de vos propres yeux l'immensité de nos conquêtes et la puissance de nos armées. Sachez que vous n'avez encore rien vu. L'attaque de ce soir n'est qu'une broutille par rapport à ce que nous sommes capables de produire. Comme vous l'avez constater, l'état major de notre état n'a réquisitionné qu'une infime partie de notre puissance militaire car sans cela, nos armées se seraient gênées dans l'étroitesse de votre petite contrée.
Mes concepteurs comprennent votre haine envers nous mais ne regrettent rien. Pour eux, cette attaque n'est qu'un entrainement. Pour autant, elle n'était pas sans sens, elle avait pour but de venger les familles que vous avez disloquée. Quel est le plus grand crime? Perdre quelques dizaines de kilos ou centaines de kilos d'une ressource dont vous disposez à volonté dans les mines de votre planète? Ou séparer définitivement des familles seulement en quête d'un meilleur niveau de vie?
Pour le reste de vos propos, nous n'avons aucune réponse. Seulement, mon programme d'analyse me tend à vous conseiller un peu plus de calme et de modération sans quoi la puissante Aetherys pourrait à nouveau faire déferler le feu et le sang sur le peu qu'il reste sur votre petit état. Votre médiocrité diplomatique a été la cause de la première attaque, seriez vous si peu considérant à l'égard des corps croupissants et autres chairs décharnées qui vous servent de peuple pour risquer à nouveau la destruction de toute forme de vie sur une planète aux si beaux couchers de soleil?
Mais on m'informe que je peux laisser ma place à notre Noble Dame, Aetherya. Offrez lui votre respect car sa grandeur n'a d'égal que votre faiblesse actuelle.
Le diplobot s'inclina une nouvelle fois en signe de respect pour un adversaire défait. Il se tourna à 90° puis se dirigea vers une des places qui lui avait été réservé. Sur son visage, aucune expression. De sa voix humaine, il entreprit d'engager l'enregistrement du débat.
-Idle mode, engaged. Setting option in: "position assis", data record in progress, analyse syntaxique, check, idle process: engaged, green mode.
Votez Kaly, la maîtresse des soulis ! 

Re: Consternant
A la suite de la réponse donner par ce ramassis d'acier, le conseiller Octanpus réfléchi, repensant à ceux qu'on lui avait répondus.
Mou haha! Non mais sérieusement, je suis le responsable de cette destruction. Et bien, si le fait de renvoyer vos pauvres larbins d'en l'autre monde pour m'avoir pillé durant trois jours consécutifs, alors vous n'êtes pas rancunier, vous êtes des sous hommes. Pourquoi tant de haine dans les paroles d'un diplomate? He bien, vous seriez venu comme tout homme, seul, avec la seule force de votre soi-disant armée, je n'aurai rien dit. Au contraire, j'aurai applaudi, non pas les pertes que nous aurions subis, mais le courage de se battre seul en face à face. Et je vous le redis, vos menaces comme vos attaques ne nous feront point taire. Recommencer, je m'en moque. Vous pensez être meilleur, laissez-moi rire. Vous avez fait appel à des alliés certes, tant mieux pour vous. Mais je vous préviens, nos bâtiments seront rebâtis, nos armées reformés. Et bien sûre, si une flotte de pillage revient et que nous pouvons l'envoyer voir ailleurs nous le ferons, même si cela nous coûte des vies. Nous n'avons pas pour habitude de céder à la peur, surtout lorsqu'elle provient d'homme incapable de prendre les fusils seul. Alors, dites à votre Dame de retourner jouer à la dinette. Que pour ces mots, nous devons souffrir soies, qu'il en soit ainsi. Nous venons, nous, au contraire de votre peuple, seul, sans l'aide de personne. Mon alliance n'a nul été impliqué dans ce débat, cela est mon choix. Je vous conseil de vous préparer des missiles, de payer comme vous dites à vos amis des canons, car nous reviendrons. Nous avons la rancune tenace, et n'usons point de stratagème aussi déshonorant. Allez donc piller ceux qui ne peuvent se défendre. Ceci à l'air d'être votre coutume.
Il s'éloigna du robot, fit demis tour et revins devant lui.
Je me ferai un plaisir de venir piquer la tête de votre dame le jour où nous marcherons dans vos rues.
Mou haha! Non mais sérieusement, je suis le responsable de cette destruction. Et bien, si le fait de renvoyer vos pauvres larbins d'en l'autre monde pour m'avoir pillé durant trois jours consécutifs, alors vous n'êtes pas rancunier, vous êtes des sous hommes. Pourquoi tant de haine dans les paroles d'un diplomate? He bien, vous seriez venu comme tout homme, seul, avec la seule force de votre soi-disant armée, je n'aurai rien dit. Au contraire, j'aurai applaudi, non pas les pertes que nous aurions subis, mais le courage de se battre seul en face à face. Et je vous le redis, vos menaces comme vos attaques ne nous feront point taire. Recommencer, je m'en moque. Vous pensez être meilleur, laissez-moi rire. Vous avez fait appel à des alliés certes, tant mieux pour vous. Mais je vous préviens, nos bâtiments seront rebâtis, nos armées reformés. Et bien sûre, si une flotte de pillage revient et que nous pouvons l'envoyer voir ailleurs nous le ferons, même si cela nous coûte des vies. Nous n'avons pas pour habitude de céder à la peur, surtout lorsqu'elle provient d'homme incapable de prendre les fusils seul. Alors, dites à votre Dame de retourner jouer à la dinette. Que pour ces mots, nous devons souffrir soies, qu'il en soit ainsi. Nous venons, nous, au contraire de votre peuple, seul, sans l'aide de personne. Mon alliance n'a nul été impliqué dans ce débat, cela est mon choix. Je vous conseil de vous préparer des missiles, de payer comme vous dites à vos amis des canons, car nous reviendrons. Nous avons la rancune tenace, et n'usons point de stratagème aussi déshonorant. Allez donc piller ceux qui ne peuvent se défendre. Ceci à l'air d'être votre coutume.
Il s'éloigna du robot, fit demis tour et revins devant lui.
Je me ferai un plaisir de venir piquer la tête de votre dame le jour où nous marcherons dans vos rues.
Dernière modification par octanpus le 19 mai 2010, 21:19, modifié 1 fois.
Re: Consternant
Ses pas résonnent sur la sol glacé de la Corporation. Tantôt des visages hagards s'attardent sur sa personne tantôt fuient son aura.
Elle se joue de ces pantins, feintant l'ignorance et poursuit son chemin.
Une salle bourdonne et dégage une odeur de sueur mêlée au sang. Révulsant cocktail pour ses sens. Senteurs mortifères, témoins d'une tragique soirée aux reflets pourpres.
« Hum, je pense être au bon endroit... » songe-t-elle.
Plus de doutes acquis lorsque la voix du Conseiller Octanpus pourfend de sa haine le silence laissé par le Robot A 8923-e. Ici se déroule bien le plaidoyer du Pandora.
Les yeux d'Aetherya se ferment un court instant, elle respire puis pénètre dans cette arène.
A nouve*u les visages se retournent sur elle, cette fois-ci la Conseillère les soutient. Ses pupilles irisés semblent transpercer les âmes de ces rapaces, ces vautours décadents venus se repaitre des déboires d'une affaire dont ils n'ont que faire.
Elle avance en silence, lentement, sa robe immaculée glissant sur le carrelage vitrifié de la pièce.
« Bonsoir... » commence-t-elle
« Que la vie est malicieuse, il y a fort longtemps pour mon esprit, je portais les sce*ux d'un état au nom jume*u du tien Octanpus.
Oh oui ! Au sein même de ces salles flamboyantes où l'art de la langue est bien plus efficace que celui des armes. J'arborai un blason au nom du....
Mais permets-moi de me présenter, je suis Aetherya, Grande Conseillère et régente de l'Aetherys. »
Elle entreprend une pause; la flamme animale qui l'animait jadis reprenant ses droits, plus intense, plus ardente que jamais, celle-ci vivifie ses pensées et accroit la puissance de ses mots.
C'est alors que dans un élan hédoniste Aetherya foudroie de son regard de braise l'Assemblée.
« Mais vous autres, vils chacals, vous me connaissez plus sous le nom de Pandora ! N'est-ce pas ? »
La stupéfaction gifle les corbe*ux présents.
Elle esquisse un sourire narquois. Dans ses longs cheveux ébènes scintillent des perles d'atherium, matériau nouve*u aux pouvoirs jalousement scellés dans les tours d'Aether.
« Les générations se succèdent et se ressemblent, ignorantes de la réalité de nos Mondes... L'adversité a de tout temps frappé... L'ironie du sort ayant porté son jeu sur ton état. »
Un instant de silence afin que les phrases ricochent dans l'esprit de son opposant...
« Que recherches-tu en venant ici, beuglant à qui souhaite l'entendre ta colère ? Donner du poids à nos actions ? Oser juger notre stratégie ? Ou peut-être mettre en lumière l'ombre de notre Puissance ? Je vais te confesser un secret, ton innocence candide ferait pâlir un fantôme ! » s'exclame-t-elle.
Le plaisir des joutes verbales renait des cendres du passé.
« Je n'éprouve aucun remord, aucun opprobre, nulle pitié ni compassion en te voyant te morfondre sous la soumission de ton dépit à la manière d'un enfant face à ses parents. Saches que pour moi, seul le résultat compte qu'importe les chemins scabreux, déroutants ou envoutants qu'il me faut emprunter. Traite-moi de lâche putride, de sous-homme, dénigre nos lignées, je m'en contre-fiche ! Tes mots me sont vides de sens, pathétiques... Ils ne m'effleurent point ! Nous désirions ta destruction, nous l'avons obtenue, voilà ce qui éclate à ce jour ! »
Des étincelles s'animent et dansent dans ses pupilles violines.
« Ha et puis autre chose, tu jalouses ma tête ? Viens donc la chercher, je te l'offre et t'octroie de ce fait le privilège d'économiser un voyage sur nos Terres ! »
Elle déchire l'étoffe qui enveloppent son glaive et lance la lame aux pieds du dirigeant du Pandora. Celle-ci s'enfonce dans le sol, le faisant craquer, fissurer, les lézardes en résultant lèchent les chaises du premier rang...
Elle se joue de ces pantins, feintant l'ignorance et poursuit son chemin.
Une salle bourdonne et dégage une odeur de sueur mêlée au sang. Révulsant cocktail pour ses sens. Senteurs mortifères, témoins d'une tragique soirée aux reflets pourpres.
« Hum, je pense être au bon endroit... » songe-t-elle.
Plus de doutes acquis lorsque la voix du Conseiller Octanpus pourfend de sa haine le silence laissé par le Robot A 8923-e. Ici se déroule bien le plaidoyer du Pandora.
Les yeux d'Aetherya se ferment un court instant, elle respire puis pénètre dans cette arène.
A nouve*u les visages se retournent sur elle, cette fois-ci la Conseillère les soutient. Ses pupilles irisés semblent transpercer les âmes de ces rapaces, ces vautours décadents venus se repaitre des déboires d'une affaire dont ils n'ont que faire.
Elle avance en silence, lentement, sa robe immaculée glissant sur le carrelage vitrifié de la pièce.
« Bonsoir... » commence-t-elle
« Que la vie est malicieuse, il y a fort longtemps pour mon esprit, je portais les sce*ux d'un état au nom jume*u du tien Octanpus.
Oh oui ! Au sein même de ces salles flamboyantes où l'art de la langue est bien plus efficace que celui des armes. J'arborai un blason au nom du....
Mais permets-moi de me présenter, je suis Aetherya, Grande Conseillère et régente de l'Aetherys. »
Elle entreprend une pause; la flamme animale qui l'animait jadis reprenant ses droits, plus intense, plus ardente que jamais, celle-ci vivifie ses pensées et accroit la puissance de ses mots.
C'est alors que dans un élan hédoniste Aetherya foudroie de son regard de braise l'Assemblée.
« Mais vous autres, vils chacals, vous me connaissez plus sous le nom de Pandora ! N'est-ce pas ? »
La stupéfaction gifle les corbe*ux présents.
Elle esquisse un sourire narquois. Dans ses longs cheveux ébènes scintillent des perles d'atherium, matériau nouve*u aux pouvoirs jalousement scellés dans les tours d'Aether.
« Les générations se succèdent et se ressemblent, ignorantes de la réalité de nos Mondes... L'adversité a de tout temps frappé... L'ironie du sort ayant porté son jeu sur ton état. »
Un instant de silence afin que les phrases ricochent dans l'esprit de son opposant...
« Que recherches-tu en venant ici, beuglant à qui souhaite l'entendre ta colère ? Donner du poids à nos actions ? Oser juger notre stratégie ? Ou peut-être mettre en lumière l'ombre de notre Puissance ? Je vais te confesser un secret, ton innocence candide ferait pâlir un fantôme ! » s'exclame-t-elle.
Le plaisir des joutes verbales renait des cendres du passé.
« Je n'éprouve aucun remord, aucun opprobre, nulle pitié ni compassion en te voyant te morfondre sous la soumission de ton dépit à la manière d'un enfant face à ses parents. Saches que pour moi, seul le résultat compte qu'importe les chemins scabreux, déroutants ou envoutants qu'il me faut emprunter. Traite-moi de lâche putride, de sous-homme, dénigre nos lignées, je m'en contre-fiche ! Tes mots me sont vides de sens, pathétiques... Ils ne m'effleurent point ! Nous désirions ta destruction, nous l'avons obtenue, voilà ce qui éclate à ce jour ! »
Des étincelles s'animent et dansent dans ses pupilles violines.
« Ha et puis autre chose, tu jalouses ma tête ? Viens donc la chercher, je te l'offre et t'octroie de ce fait le privilège d'économiser un voyage sur nos Terres ! »
Elle déchire l'étoffe qui enveloppent son glaive et lance la lame aux pieds du dirigeant du Pandora. Celle-ci s'enfonce dans le sol, le faisant craquer, fissurer, les lézardes en résultant lèchent les chaises du premier rang...

Re: Consternant
Octanpus avait attendu ce moment, celui où il pourrait connaître l’identité de l’auteur de la destruction. Alors que dans la salle tous sont horrifié par l’annonce du nom de son nouvel interlocuteur, Octanpus, lui, esquisse un sourire narquois.
C’est donc vous, la vermine responsable de ce carnage. J’attendais avec impatience cette rencontre, même si je suis étonné de voir ici en personne, je pensais que votre fessier royale était mieux disposer protéger chez vous. Il semble que tous vous connaissent ici. Nous avons aussi entendu parler de vous, l’être qui a perdu tout contrôle de lui à la vue d’une pierre. Tout ceci est risible. Vous avouez donc que vos actes révèlent votre personnalité, tous deux sont futiles. Pour nous, peuple de Pandora, la victoire a ce gout que tous délectons seulement si le combat à été honorable. Que se soit dans des joutes verbales, ou lorsque nos hommes égorgent le coup des ignorants foulant nos terres.
Ses yeux, son regard changèrent lorsqu’il entama ses phrases. Sa langue lécha le côté de sa bouche, comme s’il voulait se remémorer le goût du sang autrefois présent sur ses lèvres.
Vous dites que je beugle, détrompez-vous. Je déverse quelque peu ma colère. En venant ici, je n’avais qu’une idée, vous faire sortir de votre état, et que vois-je, cela a marché, à ma grande stupeur.
Tous ces pantins, assis ici, ils ne sont rien. Il me semble que sur ce point nous sommes d’accord. Nous n’avons que faire de leurs avis. C’est vrai que le sort c’est moqué de nous, une attaque émanant de quelqu’un qui à porter ce nom si noble, Pandora.
Il tourna le dos à Aetherya. Songeant à ces prophéties qui portent le nom de leur état. Le souvenir du carnage, des enfants morts, des corps mutilés par les éclats de bombe, refirent surface. Il sera le point de toutes ses forces, sa haine, sa colère monta d’un cran. Il réussit toute fois à garder la maitrise de ses émotions.
Vous savez, nous avons fuit un monde qui doit maintenant ressembler au votre. Un monde qui s’est perdu dans l’obscurité car personne n’a su arrêté sa reine qui perdit son cœur et son âme.
Nous sommes un peuple fier et placide, notre fierté nous a été transmise de génération en génération, un concept qui vous est inconnu apparemment. Il est de coutume chez nous que celui qui manque à son honneur de mourir de sa main.
Il se retourna brusquement, se dirigea vers la lame jette par Aetherya. La saisie, puis la brandit face à ce personnage méprisable.
Et bien, je ne m’attendais pas à ce que vous me proposiez votre tête, mais je serai ravis de la ramenez pour les orphelins de Pandora.
Crève !
Il se jeta de toute ses forces contre Aetherya, la lame devenu le prolongement de son bras, la vengeance sa seul force.
C’est donc vous, la vermine responsable de ce carnage. J’attendais avec impatience cette rencontre, même si je suis étonné de voir ici en personne, je pensais que votre fessier royale était mieux disposer protéger chez vous. Il semble que tous vous connaissent ici. Nous avons aussi entendu parler de vous, l’être qui a perdu tout contrôle de lui à la vue d’une pierre. Tout ceci est risible. Vous avouez donc que vos actes révèlent votre personnalité, tous deux sont futiles. Pour nous, peuple de Pandora, la victoire a ce gout que tous délectons seulement si le combat à été honorable. Que se soit dans des joutes verbales, ou lorsque nos hommes égorgent le coup des ignorants foulant nos terres.
Ses yeux, son regard changèrent lorsqu’il entama ses phrases. Sa langue lécha le côté de sa bouche, comme s’il voulait se remémorer le goût du sang autrefois présent sur ses lèvres.
Vous dites que je beugle, détrompez-vous. Je déverse quelque peu ma colère. En venant ici, je n’avais qu’une idée, vous faire sortir de votre état, et que vois-je, cela a marché, à ma grande stupeur.
Tous ces pantins, assis ici, ils ne sont rien. Il me semble que sur ce point nous sommes d’accord. Nous n’avons que faire de leurs avis. C’est vrai que le sort c’est moqué de nous, une attaque émanant de quelqu’un qui à porter ce nom si noble, Pandora.
Il tourna le dos à Aetherya. Songeant à ces prophéties qui portent le nom de leur état. Le souvenir du carnage, des enfants morts, des corps mutilés par les éclats de bombe, refirent surface. Il sera le point de toutes ses forces, sa haine, sa colère monta d’un cran. Il réussit toute fois à garder la maitrise de ses émotions.
Vous savez, nous avons fuit un monde qui doit maintenant ressembler au votre. Un monde qui s’est perdu dans l’obscurité car personne n’a su arrêté sa reine qui perdit son cœur et son âme.
Nous sommes un peuple fier et placide, notre fierté nous a été transmise de génération en génération, un concept qui vous est inconnu apparemment. Il est de coutume chez nous que celui qui manque à son honneur de mourir de sa main.
Il se retourna brusquement, se dirigea vers la lame jette par Aetherya. La saisie, puis la brandit face à ce personnage méprisable.
Et bien, je ne m’attendais pas à ce que vous me proposiez votre tête, mais je serai ravis de la ramenez pour les orphelins de Pandora.
Crève !
Il se jeta de toute ses forces contre Aetherya, la lame devenu le prolongement de son bras, la vengeance sa seul force.
Dernière modification par octanpus le 19 mai 2010, 21:17, modifié 1 fois.
Re: Consternant
La lumière dissipe les ombres, les ténèbres rongent l'esprit, la colère aveugle de sa tempérance absente les plus nobles personnages...
L'animal en furie gouverné par ses sentiments se jette sur sa proie, tombant dans un piège plus visible que les étoiles vacillant dans un ciel exempté de nuages.
La lame scintille, s'étire et reflète sur son argent lissé les spectres de cette scène. Elle s'approche tel un assassin nocturne du corps d'Aetherya.
Elle ne pliera point, lui non plus semble-t-il. Duel dilemme où les sens sont exaltés.
Ira-t-il jusqu'au bout de son action ? Usera-t-elle d'un artifice magique ?
Les questions fusent dans cette confusion cependant aucun ne détient la clef des réponses.
La Conseillère reste stoïque, ne ferme les yeux et au contraire défie du regard son futur bourre*u, un rictus pendant sur ses pulpeuses lèvres. Comme-ci la fatalité de l'instant lui avait murmuré l'issue de cette tragédie annoncée.
Le temple et l'espace perdent leurs notions, le visage d'Octanpus est scarifié par la rage.
« Alea jactas est » Susurre-t-elle
C'est alors que...
L'animal en furie gouverné par ses sentiments se jette sur sa proie, tombant dans un piège plus visible que les étoiles vacillant dans un ciel exempté de nuages.
La lame scintille, s'étire et reflète sur son argent lissé les spectres de cette scène. Elle s'approche tel un assassin nocturne du corps d'Aetherya.
Elle ne pliera point, lui non plus semble-t-il. Duel dilemme où les sens sont exaltés.
Ira-t-il jusqu'au bout de son action ? Usera-t-elle d'un artifice magique ?
Les questions fusent dans cette confusion cependant aucun ne détient la clef des réponses.
La Conseillère reste stoïque, ne ferme les yeux et au contraire défie du regard son futur bourre*u, un rictus pendant sur ses pulpeuses lèvres. Comme-ci la fatalité de l'instant lui avait murmuré l'issue de cette tragédie annoncée.
Le temple et l'espace perdent leurs notions, le visage d'Octanpus est scarifié par la rage.
« Alea jactas est » Susurre-t-elle
C'est alors que...

Re: Consternant
Le temps ne s'écoulait plus. La salle était en émoi devant la scène qui était en train de se passer, sous leur yeux ébahis de passants blafards. Comment un être déchu comme cet immondice humaine, ce déchet de la galaxie, osait il s'attaquer à une des personnes les plus redoutables et puissantes de la corporation, la Grande Conseillère Aetherya en personne. Elle n'avait pas bougé, son air implacable, son expression presque indifférente, son regard insondable...tout chez cette personne créait une aura malsaine de puissance. Une aura de mort qui entourée Aetherya comme un champs de force infranchissable. Que croyait t-il se fou? Etait il si perdu dans son esprit que même l'idée d'une mort atroce, comme elle avait déjà donné auparavant, ne pouvait l'effrayer? La Grande Conseillère semblait las de tout cela, presque prise de pitié pour cette âme damnée qui errait dans les limbes du désespoir, osant s'opposer si discourtoisement à l'incarnation même de la souffrance. La furie qui lui fonçait dessus de toute sa rage n'avait pas la moindre chance, pas le moindre espoir. Aetherya, dans la lumière qui émanait de la porte ouverte, telle une déesse, telle une démone, comme un être immortel, contemplait l'Icare qui allait bientôt bruler ses ailes de carton pâte recyclé.
C'est alors que, dans le silence de la nuit Galacticaine, dans le mutisme du combat, un craquement d'une violence indicible vint faire trembler la bâtisse centenaire. Un indescriptible choc, d'une puissance inouï qui balaya l'équilibre d'Octanpus comme le battement d'un cœur amoureux fait chuter le plus vaillant des soldats. La corporation était en alerte, c'était la panique. Tous les soldats commençaient l'évacuation d'urgence des personnalités présentent. Les hommes et les femmes présent dans la salle sortaient en courant, se réfugiaient sous les sièges ou derrière Aetherya, Qui n'avait pas scillé, toujours impassible. Elle souriait maintenant. Qui osait attaquer la corporation? Qui osait s'en prendre à ce lieu de paix, sanctuaire pour les hommes de toutes les planètes, lieu de la conciliation et de la paix? Cette question était aux bords des lèvres de ces lièvres affolés qui semblait courir à la recherche d'un terrier.
C'est un moment opportun pour te montrer mon amie
Dans l'encadrement de la porte, une ombre apparu, effrayante, plus affolante encore qu'Aetherya, ce n'était pas de l'ombre, c'était la mort en personne, c'était la fureur, c'était l'extrême folie, la destruction même. Un pas puis un autre, plus le monstre s'avançait, plus il apparaissait dans la lumière, plus les badauds reculaient. Le nuage de fumée qui accompagnait la silhouette, maintenant clairement identifiable comme étant celle d'une femme, se dissipa rapidement. Dans la lumière, le monstre effrayant s'avérait être une femme d'une vingtaine d'année, plutôt jolie, brune et coiffée d'une seule couette sur le côté de sa tête. Son visage tout entier exprimait le contentement, l'amusement. Elle se délectait de l'ambiance de peur qui nourrissait son aura d'horreur. Soudain, dans l'extrême agitation et la panique de l'administration, un rire aussi glauque que significatif de la personne qui en était la source, retentit dans la salle feutrée et ricocha sur les murs de tous les couloirs de la corporation. De sa main droite, elle épousseta la poussière qui recouvrait ses habits, fit craquer les os de son cou et s'approcha de la Grande Conseillère.
-Alors comme ca on sort sans me prévenir? On sort ses jouets et on appel pas sa copine Jess'? C'est pas gentil ca!
De son autre main, Jessica tenait un objet circulaire. Elle le sorti de sa poche et alla s'assoir sur une chaise.
-Je me suis dit que puisque j'avais le droit de faire joujou avec la nourriture, j'allais passer regarder, c'est toujours mieux qu'un film et le pop corn est gratuit ici, suffit de tuer le garde de la machine.
Elle marqua un temps d'arrêt pour s'assoir. Elle enleva ses bottes de cuirs noirs et s'étendit de tout son long, passant ses jambes sur les genoux d'un homme qui, lors du choc précédent, avait eu si peur qu'il était tombé inconscient. Tout à coup, alors qu'elle appuyait sa tête sur le dossier d'une chaise, elle leva les yeux au plafond et observa une tache qui semblait lui rappeler un détail qu'il avait omit. Tout lui revint d'un coup.
-Ah ouais, j'ai oublié de dire que j'ai fait renvoyer l'équipage de mon croiseur. Des incapables, même pas foutu de faire un créneau propre...En arrivant ici, je survole le siège et qu'est ce que je vois pas? Un panneau publicitaire genre "Patisserie Truc, 3eme avenue, les meilleurs pâtisseries de tout Galactica!". Je me dis je vais y faire un saut histoire de gouter. L'équipage me dit que c'est pas possible patati patata, qu'on a pas le droit de poser son vaisseau autre part qu'au spatio-jesaisplusquoi...blablabla. Bref, j'en flingue un vite fait, pas méchamment quoi mais bon, il était au milieu, ca avait l'air d'être le chef je sais pas moi, je le bute pour calmer les autres quoi...normal. Le gars, c'était le pilote, c'est fou non? Bref, tanpis je leur dis, on y va quand même. Je leur demande de me poser pas trop loin, flemme de marcher quoi. Je les motive à se poser direct dans l'avenue, ils me soutiennent que ca passera pas...je sais ce que je dis quoi...ca passait large, bon je dis pas qu'on a pas taper un peu la carrosserie quoi, histoire d'élargir un peu puis un peu de poussière dans l'air ca fait toujours plaisir, c'est des souvenirs qu'on oublie pas quoi. Bon, là l'équipage commençait à vouloir la jouer cool avec moi, mutinerie, je les explose tous normal. J'ai du garer le truc toute seule laisse tomber l'arnaque. Du coup je me suis pas fait chié j'ai coupé les moteurs. Ca a pété deux trois trucs quoi, pas méchant. Fallait bien que je goute ces putains de tartes non? Bon par contre je crois que le coucou repartira pas hein, du coup j'ai enclencher l'auto destruction avant de partir. On va pas laisser ca là, c'est gênant comme engin en plein milieu d'une rue et j'ai pas l'habitude de laisser trainer les déchets.
D'ailleurs en parlant de déchet qui traine...j'ai vu deux trois vidéos du débat. Bah merde alors, je lui chie a la raie moi à cet Octanpus. Ta fierté tu l'as bien ravalé hier mon pote nan? Avec tous les suppos que t'as mangé! Ah ce que j'ai rit. J'ai vu ce qui reste de ton état, pardon, de ta ferme. Ca faisait longtemps que j'avais pas rit comme ca, à gorge déployée! Et voilà à gauche des cendres, à droite des cadavres, une main, un pied et voilà que je trouve la tête, alouette! Ahah! C'te marrade je te le dis. Fallait pas jouer avec nous hein, fallait pas. T'as voulu faire le malin, t'as de la chance, ils ont été joueurs, m'ont même pas appelé mais je te jure que la prochaine elle est pour moi. D'ailleurs ca se voit que j'étais pas là, t'es encore assez vivant pour que je puisse te trainer dans la boue. Allez, va faire traire ton lait paysan et laisse les grands s'occuper de ce qui les regarde pas tranquillement.
Elle détourna la tête, déballa sa tarte aux citrons vert en entreprit de la découper en petites parts. A la première bouchée, son regard s'illumina enfin et son visage rougi de plaisir.
-Wahou ch'est trop booooon!
C'est alors que, dans le silence de la nuit Galacticaine, dans le mutisme du combat, un craquement d'une violence indicible vint faire trembler la bâtisse centenaire. Un indescriptible choc, d'une puissance inouï qui balaya l'équilibre d'Octanpus comme le battement d'un cœur amoureux fait chuter le plus vaillant des soldats. La corporation était en alerte, c'était la panique. Tous les soldats commençaient l'évacuation d'urgence des personnalités présentent. Les hommes et les femmes présent dans la salle sortaient en courant, se réfugiaient sous les sièges ou derrière Aetherya, Qui n'avait pas scillé, toujours impassible. Elle souriait maintenant. Qui osait attaquer la corporation? Qui osait s'en prendre à ce lieu de paix, sanctuaire pour les hommes de toutes les planètes, lieu de la conciliation et de la paix? Cette question était aux bords des lèvres de ces lièvres affolés qui semblait courir à la recherche d'un terrier.
C'est un moment opportun pour te montrer mon amie
Dans l'encadrement de la porte, une ombre apparu, effrayante, plus affolante encore qu'Aetherya, ce n'était pas de l'ombre, c'était la mort en personne, c'était la fureur, c'était l'extrême folie, la destruction même. Un pas puis un autre, plus le monstre s'avançait, plus il apparaissait dans la lumière, plus les badauds reculaient. Le nuage de fumée qui accompagnait la silhouette, maintenant clairement identifiable comme étant celle d'une femme, se dissipa rapidement. Dans la lumière, le monstre effrayant s'avérait être une femme d'une vingtaine d'année, plutôt jolie, brune et coiffée d'une seule couette sur le côté de sa tête. Son visage tout entier exprimait le contentement, l'amusement. Elle se délectait de l'ambiance de peur qui nourrissait son aura d'horreur. Soudain, dans l'extrême agitation et la panique de l'administration, un rire aussi glauque que significatif de la personne qui en était la source, retentit dans la salle feutrée et ricocha sur les murs de tous les couloirs de la corporation. De sa main droite, elle épousseta la poussière qui recouvrait ses habits, fit craquer les os de son cou et s'approcha de la Grande Conseillère.
-Alors comme ca on sort sans me prévenir? On sort ses jouets et on appel pas sa copine Jess'? C'est pas gentil ca!
De son autre main, Jessica tenait un objet circulaire. Elle le sorti de sa poche et alla s'assoir sur une chaise.
-Je me suis dit que puisque j'avais le droit de faire joujou avec la nourriture, j'allais passer regarder, c'est toujours mieux qu'un film et le pop corn est gratuit ici, suffit de tuer le garde de la machine.
Elle marqua un temps d'arrêt pour s'assoir. Elle enleva ses bottes de cuirs noirs et s'étendit de tout son long, passant ses jambes sur les genoux d'un homme qui, lors du choc précédent, avait eu si peur qu'il était tombé inconscient. Tout à coup, alors qu'elle appuyait sa tête sur le dossier d'une chaise, elle leva les yeux au plafond et observa une tache qui semblait lui rappeler un détail qu'il avait omit. Tout lui revint d'un coup.
-Ah ouais, j'ai oublié de dire que j'ai fait renvoyer l'équipage de mon croiseur. Des incapables, même pas foutu de faire un créneau propre...En arrivant ici, je survole le siège et qu'est ce que je vois pas? Un panneau publicitaire genre "Patisserie Truc, 3eme avenue, les meilleurs pâtisseries de tout Galactica!". Je me dis je vais y faire un saut histoire de gouter. L'équipage me dit que c'est pas possible patati patata, qu'on a pas le droit de poser son vaisseau autre part qu'au spatio-jesaisplusquoi...blablabla. Bref, j'en flingue un vite fait, pas méchamment quoi mais bon, il était au milieu, ca avait l'air d'être le chef je sais pas moi, je le bute pour calmer les autres quoi...normal. Le gars, c'était le pilote, c'est fou non? Bref, tanpis je leur dis, on y va quand même. Je leur demande de me poser pas trop loin, flemme de marcher quoi. Je les motive à se poser direct dans l'avenue, ils me soutiennent que ca passera pas...je sais ce que je dis quoi...ca passait large, bon je dis pas qu'on a pas taper un peu la carrosserie quoi, histoire d'élargir un peu puis un peu de poussière dans l'air ca fait toujours plaisir, c'est des souvenirs qu'on oublie pas quoi. Bon, là l'équipage commençait à vouloir la jouer cool avec moi, mutinerie, je les explose tous normal. J'ai du garer le truc toute seule laisse tomber l'arnaque. Du coup je me suis pas fait chié j'ai coupé les moteurs. Ca a pété deux trois trucs quoi, pas méchant. Fallait bien que je goute ces putains de tartes non? Bon par contre je crois que le coucou repartira pas hein, du coup j'ai enclencher l'auto destruction avant de partir. On va pas laisser ca là, c'est gênant comme engin en plein milieu d'une rue et j'ai pas l'habitude de laisser trainer les déchets.
D'ailleurs en parlant de déchet qui traine...j'ai vu deux trois vidéos du débat. Bah merde alors, je lui chie a la raie moi à cet Octanpus. Ta fierté tu l'as bien ravalé hier mon pote nan? Avec tous les suppos que t'as mangé! Ah ce que j'ai rit. J'ai vu ce qui reste de ton état, pardon, de ta ferme. Ca faisait longtemps que j'avais pas rit comme ca, à gorge déployée! Et voilà à gauche des cendres, à droite des cadavres, une main, un pied et voilà que je trouve la tête, alouette! Ahah! C'te marrade je te le dis. Fallait pas jouer avec nous hein, fallait pas. T'as voulu faire le malin, t'as de la chance, ils ont été joueurs, m'ont même pas appelé mais je te jure que la prochaine elle est pour moi. D'ailleurs ca se voit que j'étais pas là, t'es encore assez vivant pour que je puisse te trainer dans la boue. Allez, va faire traire ton lait paysan et laisse les grands s'occuper de ce qui les regarde pas tranquillement.
Elle détourna la tête, déballa sa tarte aux citrons vert en entreprit de la découper en petites parts. A la première bouchée, son regard s'illumina enfin et son visage rougi de plaisir.
-Wahou ch'est trop booooon!
Votez Kaly, la maîtresse des soulis ! 

Re: Consternant
Octanpus fut surpris par la secousse ressenti, il perdit l’équilibre, tomba à la renverse. Durant sa chute, sa tête heurta un petit muret de marbre au niveau de la tempe droite. Il était à moitié absent, sa vision devint trouble. Ne voulant rien en laisser parer, il se releva, pour cela il planta la lame qu’il tenait dans le sol, et trouva de la force pour soulever son corps et le faire tenir sur ses pieds.
Après quelques minutes, il reprit le contrôle de son corps et de son esprit. Il était étonné par la présence de cette personne.
Vous êtes venu avec votre garde du corps, que dis-je avec votre chien de meute. Elle n’a pas de manière, pas de respect, et son langage fait honte à entendre.
He bien, dit moi jeune sotte, les sélections t’ont faites plus de mal que de bien. Elles n’ont pas seulement pris ton âme mais aussi ton cerveau.
Octanpus se mit à rire. Il repensa à ces souvenirs enfouit profondément en lui. Ceux que tous à Pandora avaient préférées faire taire. L’époque maudite, celle de la souffrance et de la décadence.
Jess fut surprise quand Octanpus parla des sélections. Comment pouvait-il savoir comment se déroulait les tests de l’armée.
Alors, que t’arrive-t-il ? Si tu pouvais voir ta tête, c’est assez amusement je trouve. Une tête de quelqu’un de si stupide asseyant de réfléchir, quelle ironie.
Bien qu’amusant je ne voudrais point faire attendre cet esprit encore bien naïf. Autrefois, nous avions demandé le changement de ces sélections, c’était devenu trop barbare, trop violent. Mais la reine, cette bonne vieille reine a refusé.
Aetherya avait son regard qui noircissait. On sentait sa colère monté au vue des révélations qui allaient se produire. Octanpus le remarqua, continua ses récits, tout en continuant de chercher une solution à cette impasse.
Nous avons été frères, sœurs, amis. A cette époque, il faisait bon vivre, tous était heureux. Même les paysans qui travaillaient dur à la ferme ne se plaignaient pas. Enfin cela avant qu’elle ne devienne cette droguée au cœur de pierre qui se présente sous le nom d’Aetherya.
Elle vous a raconté que son attaque était pour ces pauvres hommes perdus dans votre pitoyable tentative de pillage, mais tout cela n’est que mensonge. Vous nous avez attaqués pour que tous vivants à Pandora soient exécutés car on représente la liberté, mais surtout la seule opposition que vous n’avez jamais réussi à faire taire ! Et bien oui, dans votre monde de haine, des gens se sont opposés à cette dictature. Mais notre opposition n’avait pas pour but de soulever le peuple à la rébellion, juste permettre à ceux qui le voulait de partir se réfugié dans un monde où la paix règnerait. Ses mains se serrèrent de plus en plus au fil des mots. Et cela ne vous a pas plus, il vous fallait vengeance. Ecrasé cette pustule qui démangeait votre majestueux fessier. Mais vous avez échoué, comme avant, et cela se répétera dans l’avenir. Vous êtes notre honte, notre fardeau. Nous aurions du vous tuez pendant qu’on le pouvait encore.
Une larme coula tout le long de la joue gauche d’Octanpus. Tous ses souvenirs qui refaisais surface d’un cou, l’immergeait d’un tas de sentiment. La frustration le gagna, la haine le rongea encore plus. Il était envahit de remord à l’idée que cela aurait pu être évité. Le cri des innocents tués l’envahit. Il luttait pour les faire taire. Octanpus saisit sa tête entre les mains, la serra aussi forte qu’il le pouvait. Peine perdu, les voix ne se taisaient point, au contraire, elles redoublèrent d’efforts. Alors, il écouta ces voix, filtra toutes ces voix pour en écouter qu’une seule. Celle-ci lui susurra « Vengeance ! Tu la ! ». Et cette voix répliqua, encore et encore. Plus la voix répéta ces mots, plus la haine monta en Octanpus. Il comprit alors que le seul moyen de faire taire à jamais cette voix était d’exaucer son vœu. Il saisit la lame de ses deux mains, la serra de toute ces forces, et, dans un élan de haine possessif courra faire Aetherya comme la fois précédente. Son regard fixa Aetherya tout en observant que Jess n’interromprait rien.
Le peuple réclame ta mort. Alors qu’il en soit ainsi !
Après quelques minutes, il reprit le contrôle de son corps et de son esprit. Il était étonné par la présence de cette personne.
Vous êtes venu avec votre garde du corps, que dis-je avec votre chien de meute. Elle n’a pas de manière, pas de respect, et son langage fait honte à entendre.
He bien, dit moi jeune sotte, les sélections t’ont faites plus de mal que de bien. Elles n’ont pas seulement pris ton âme mais aussi ton cerveau.
Octanpus se mit à rire. Il repensa à ces souvenirs enfouit profondément en lui. Ceux que tous à Pandora avaient préférées faire taire. L’époque maudite, celle de la souffrance et de la décadence.
Jess fut surprise quand Octanpus parla des sélections. Comment pouvait-il savoir comment se déroulait les tests de l’armée.
Alors, que t’arrive-t-il ? Si tu pouvais voir ta tête, c’est assez amusement je trouve. Une tête de quelqu’un de si stupide asseyant de réfléchir, quelle ironie.
Bien qu’amusant je ne voudrais point faire attendre cet esprit encore bien naïf. Autrefois, nous avions demandé le changement de ces sélections, c’était devenu trop barbare, trop violent. Mais la reine, cette bonne vieille reine a refusé.
Aetherya avait son regard qui noircissait. On sentait sa colère monté au vue des révélations qui allaient se produire. Octanpus le remarqua, continua ses récits, tout en continuant de chercher une solution à cette impasse.
Nous avons été frères, sœurs, amis. A cette époque, il faisait bon vivre, tous était heureux. Même les paysans qui travaillaient dur à la ferme ne se plaignaient pas. Enfin cela avant qu’elle ne devienne cette droguée au cœur de pierre qui se présente sous le nom d’Aetherya.
Elle vous a raconté que son attaque était pour ces pauvres hommes perdus dans votre pitoyable tentative de pillage, mais tout cela n’est que mensonge. Vous nous avez attaqués pour que tous vivants à Pandora soient exécutés car on représente la liberté, mais surtout la seule opposition que vous n’avez jamais réussi à faire taire ! Et bien oui, dans votre monde de haine, des gens se sont opposés à cette dictature. Mais notre opposition n’avait pas pour but de soulever le peuple à la rébellion, juste permettre à ceux qui le voulait de partir se réfugié dans un monde où la paix règnerait. Ses mains se serrèrent de plus en plus au fil des mots. Et cela ne vous a pas plus, il vous fallait vengeance. Ecrasé cette pustule qui démangeait votre majestueux fessier. Mais vous avez échoué, comme avant, et cela se répétera dans l’avenir. Vous êtes notre honte, notre fardeau. Nous aurions du vous tuez pendant qu’on le pouvait encore.
Une larme coula tout le long de la joue gauche d’Octanpus. Tous ses souvenirs qui refaisais surface d’un cou, l’immergeait d’un tas de sentiment. La frustration le gagna, la haine le rongea encore plus. Il était envahit de remord à l’idée que cela aurait pu être évité. Le cri des innocents tués l’envahit. Il luttait pour les faire taire. Octanpus saisit sa tête entre les mains, la serra aussi forte qu’il le pouvait. Peine perdu, les voix ne se taisaient point, au contraire, elles redoublèrent d’efforts. Alors, il écouta ces voix, filtra toutes ces voix pour en écouter qu’une seule. Celle-ci lui susurra « Vengeance ! Tu la ! ». Et cette voix répliqua, encore et encore. Plus la voix répéta ces mots, plus la haine monta en Octanpus. Il comprit alors que le seul moyen de faire taire à jamais cette voix était d’exaucer son vœu. Il saisit la lame de ses deux mains, la serra de toute ces forces, et, dans un élan de haine possessif courra faire Aetherya comme la fois précédente. Son regard fixa Aetherya tout en observant que Jess n’interromprait rien.
Le peuple réclame ta mort. Alors qu’il en soit ainsi !
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Re: Consternant
clap clap clap !
Des mains se fustigèrent âprement, l'une contre l'autre. Suite à quoi une voix roucoulante s'incomba le plaisir d'intervenir à son tour, tout en ternissant encore un peu plus l'auguste scène de gladiateur si amoureusement mijotée pour le plus grand plaisir des nombreux soiffards de sang et d'odeurs à vous friper le nez.
Temps mort !
Quelque part dans l'assemblée, émergea un être qui parmi un fouillis de têtes bouffi d'importance, de citoyens de basses fosses de telle ou telle nation, de bureaucrates pleines de rengaine, se dressait de toute sa personne, retirant la capuche qui lui dérobait les traits pour les jauger froidement. Ses yeux pâles n'en finissaient pas de glousser au coeur d'un silence bourdonnant, gonflé de colère ou de curiosité au devant de son abrupte interruption, pendant que son regard alternait d'une manière assez narquoise de la lionne aux dents longues, au jeune loup vicié. Un duel d'épée... Rien que ça. C'était d'un vulgaire, une lubie de chien de faïence ça... En vrai passionné des fusils, tout amoureux des langues de flammes qui en découlaient indubitablement en rugissant, l'homme qui affichait un vulgaire physique, un visage quelconque ne pouvait que s'ébahir de cette manière de désirer ardemment la mort d'un adversaire.
Rien n'était plus éclatant, plus admirable qu'une mise à mort avec une arme à feu au poing, devenu même le prolongement métallique et mécanique de votre bras. Contre ces épées loqueteuses dont ils s'habillaient vertement à la force de leur poigne, Néo se serait fait un plaisir de leur démontrer ce à quoi se réduisait leur prouesses édifiantes face à un magnum à impulsion électro-magnétique. Une puissance telle, brrr. Jusque dans vos reins vous ressentiez le diable et la jouissance quand il vous balançait sa charge en pleine gueule de l'ennemi.
Malgré tout l'insolent se fit tout miel cependant qu'il s'extirpait de son lourd manteau qui lui pesait aux épaules, dénudé à présent sur un uniforme bleu-gris tout militaire mais tacheté de gras ici et là. Son déjeuner n'avait pas été dégusté de manière la plus propre, mais allez essayer de manger orientale avec des baguettes !! Bah ! A quoi bon vanter le duel aux armes à feu de toute façon. Là n'était pas le problème. De quelque manière qu'il se déroule ici, l'incongruité dans un chapitre ouvert pour la discussion, l'unique dans tout ce putain d'univers aussi grossier qu'indécent, quand en dehors et au diable ne grouillaient que des machines à tuer, des épaves de vaisseaux et des restes de chairs fumantes, n'en paraissait pas moins énorme si ce n'était presque insultante. Bientôt l'on permettrait aux armées, de s'apreter, s'armer, puis combattre dans des salles de la corporation... Chouette perspective ! Bordel de borde, mais que fichait le Grand Conseil ? Y avait-il des bordels non loin qui faisait qu'ils étaient plus occupés à foutre plutôt qu'à remettre de l'ordre dans ce qui menaçait les règles les plus élémentaires ? Aaah mais c'est vrai, l'un d'eux était parmi eux, et il se plongeait pourtant corps et âme dans ce nouveau jeu qui paraissait aller de pair avec sa faim de vies tout sauf humaine.
Pardon d'interrompre ce moment si intense et qui vous tient tant à coeur, mais j'aimerai pouvoir m'immiscer un instant entre vos redoutables égos, et glisser quelque chose avant que vous ne fassiez éclabousser le sang sur les murs. Car il me semble à moi qu'un un homme mort ou moribond, est difficilement abordable. N'est-il pas cher seigneurs ? Retenez juste quelques minutes vos instinct belliqueux, je ne m'épancherai pas trop, promis.
Qui je suis ? Un observateur quelconque, d'un état quelconque, inintéressant car sans force. Inutile que je me présente dès lors, les grandes puissances se fichent de savoir à qui ils ont affaire, tant que ces derniers ne les menacent pas ni nuisent à leur intérêts. Le reste pour eux n'existe pas, juste de la chair à canon, des sujets d'expériences, trois petits tours et puis s'en vont. Mais je vous en prie appelez moi Néo pour le moment. Sans aucun doute, j'en viendrai à changer dans un autre futur, lorsque les rapports de force auront quelque peu évolués, mais peu importe ce détail.
Le jeune bleu de la politique descendit l'estrade, tout en balayant l'assistance d'un regard torve, notamment celle qui répondait au nom de Jessica, une belle blonde plantureuse à tout point de vue, mais qui s'était malheureusement vidée, sûrement dû à toute cette chair bien placée ailleurs, de toute matière là ou résidait le cerveau. Il y avait aussi un droide, pas très impressionnant, mais qui dès lors qu'il s'était mis à ouvrir sa boite de conserve qui lui tenait pour bouche, avait fait jusqu'à dresser les cheveux sur la tête de Néo. Une telle logique impitoyable assorti d'une voix métallique, sans aucune intonation, ni d'émotion, presque comme quelqu'un qui proposait un peu de thé tout en évoquant la délectation d'une destruction, ça vous faisait ça d'effet que vous en compissiez presque vos chausses. Finalement Néo, hésitant sur où se tenir, décida de s'abstenir de rejoindre les combattants, puis campa aux pieds de l'estrade. Nullement l'envie de le voir couper en deux par ces baguettes à pointes qu'ils trimballaient apparemment sans honte. Son regard se ficha sur celui de sieur Octanpus, le malheureux dans toute cette histoire.
Cher du dirigeant du Pandora, Messer Octanpus, j'interviens car je vous apprécie autant que je compatis. Votre courage quoique outrecuidant, et débridé vous fait honneur et je vous souhaite de ne jamais le céder face à la tyrannie des plus forts. Mais permettez moi d'émettre mes réserves quant à tout ceci et ce à cette seule fin de vous faire obtenir votre vengeance, si c'est toujours l'objet qui vous anime tant.
Je crois que vous vous oubliez, et manquez de... discernement.
Vous vous imbibez dans une diversion, une distraction dans laquelle vos ennemis se complaisent à vous énivrer et vous faire tourner la tête aux dépens des vrais priorités. Regardez vous, malgré votre fureur, ce duel a déjà distillé votre haine à l'endroit de ceux que vous considérez comme des monstres. Vous en tiendrez vous seulement à lanciner une femme ? Une tête putride accrochée à une pique peut-elle en valoir des milliards de vis aspirés dans la tourmente ? Vous vous éparpillez et lambinez maintenant dans un état de semi-résignation en privilégiant la solution la plus facile. Oui, en rugissant à tord et à travers, en vous attaquant à l'une des têtes de l'hydre, qui repoussera aussitôt que vous l'aurez occuite. Une seule tête ne vengera jamais tout un peuple. C'est au coeur qu'il faut tailler d'estoc et frapper.
Néo mima alors le geste, et tout son corps s'ébranla, quoi que maladroitement, et des rires fusèrent alentour. Pas plus dérangé que ça, il reprit d'un sourire indulgent.
Et il ne se trouve point là ou vous vous le figurez messer. Quand le fruit est complètement pourri, s'échiner à mortifier le vers responsable de sa déchéance ne rime qu'à peu de choses. Cette idéologie effroyable qui a résonné entre ces murs, ce chant qui s'est déversé de leur lèvres retroussés jusqu'à l'auto-satisfaction, ils sont l'apanage d'un peuple tout entier. Tant que leur citoyens n'auront pas été exposés à la souffrance la plus abjecte, la plus indicible, ils n'entendront rien à celle des autres et continueront de soutenir la politique psychotique de leur dirigeants.
Sincèrement, ce duel, je le sens pas. Ca manque de noblesse tout ça, mais surtout d'efficacité. Laissez cette femme vivre. Vivante, elle servira mieux vos intérêts. Quoi de plus délectable qu'admirer vos ennemis amaigris, leur yeux cernés de violet et disparu sous un fouillis décharné de poches, devant l'oeuvre de la destruction à leur portes, leur oeuvre, celle qu'ils ont délibérément provoqués.
Murissez, remuez, apprenez, patientez ! Je ne saurai trop vous le conseiller. Si vous tenez la cadence, vous saurez frappez. Faîtes du ruissellement de vos larmes un rictus de goule ! La haine est passe temps couteux Seigneur Octanpus, seuls ceux qui l'asservissent à leur volonté en font quelque chose d'utile, de potentiellement dangereux, une arme spirituelle à même d'inciser, de trancher dans le métal d'un solar.
Ceux qui se laissent bêtement emportés dans le sillage de ses tourbillons finissent souvent par vriller à nouveau, en dessus-dessous, le cul à l'air.
Je ne vous fais pas la leçon, je vous transmets là mes salutations d'état faible à un autre pour peu que ça puisse valoir, par une opinion personnelle qui n'a d'intérêt que de servir vos plus précieuses ambitions. Et pour terminer sur une note positive, j'ajouterai que cet univers-ci n'est pas sorti de l'auberge.
Plutôt que de voir des états responsables sortis de la décryogénisation, - qui pensez vous auraient sagement appris les leçons du passé -, ce sont des monstres que nous voyons ressortir de toutes parts. Et ils semblent légiférer sur notre manière d'être et de vivre, sous la menace constance de leur armées qui rodent et s'insinuent partout, dans les moindres recoins de l'espace. Il faudra bien un jour qu'un concert de nation s'inflige la responsabilité ingrate, ou nous finirons tous par devenir des monstruosités.
Voilà, maintenant vous pouvez achever votre combat, si le coeur vous en dit. ]A chaque intervenant il s'inclina humblement, puis haussant les épaules sur l'utilité de son intervention, retourna s'asseoir. Sans aucun doute si combat il y avait, il parierait pour la fauve conseillère, elle semblait plus maître d'elle-même.
Des mains se fustigèrent âprement, l'une contre l'autre. Suite à quoi une voix roucoulante s'incomba le plaisir d'intervenir à son tour, tout en ternissant encore un peu plus l'auguste scène de gladiateur si amoureusement mijotée pour le plus grand plaisir des nombreux soiffards de sang et d'odeurs à vous friper le nez.
Temps mort !
Quelque part dans l'assemblée, émergea un être qui parmi un fouillis de têtes bouffi d'importance, de citoyens de basses fosses de telle ou telle nation, de bureaucrates pleines de rengaine, se dressait de toute sa personne, retirant la capuche qui lui dérobait les traits pour les jauger froidement. Ses yeux pâles n'en finissaient pas de glousser au coeur d'un silence bourdonnant, gonflé de colère ou de curiosité au devant de son abrupte interruption, pendant que son regard alternait d'une manière assez narquoise de la lionne aux dents longues, au jeune loup vicié. Un duel d'épée... Rien que ça. C'était d'un vulgaire, une lubie de chien de faïence ça... En vrai passionné des fusils, tout amoureux des langues de flammes qui en découlaient indubitablement en rugissant, l'homme qui affichait un vulgaire physique, un visage quelconque ne pouvait que s'ébahir de cette manière de désirer ardemment la mort d'un adversaire.
Rien n'était plus éclatant, plus admirable qu'une mise à mort avec une arme à feu au poing, devenu même le prolongement métallique et mécanique de votre bras. Contre ces épées loqueteuses dont ils s'habillaient vertement à la force de leur poigne, Néo se serait fait un plaisir de leur démontrer ce à quoi se réduisait leur prouesses édifiantes face à un magnum à impulsion électro-magnétique. Une puissance telle, brrr. Jusque dans vos reins vous ressentiez le diable et la jouissance quand il vous balançait sa charge en pleine gueule de l'ennemi.
Malgré tout l'insolent se fit tout miel cependant qu'il s'extirpait de son lourd manteau qui lui pesait aux épaules, dénudé à présent sur un uniforme bleu-gris tout militaire mais tacheté de gras ici et là. Son déjeuner n'avait pas été dégusté de manière la plus propre, mais allez essayer de manger orientale avec des baguettes !! Bah ! A quoi bon vanter le duel aux armes à feu de toute façon. Là n'était pas le problème. De quelque manière qu'il se déroule ici, l'incongruité dans un chapitre ouvert pour la discussion, l'unique dans tout ce putain d'univers aussi grossier qu'indécent, quand en dehors et au diable ne grouillaient que des machines à tuer, des épaves de vaisseaux et des restes de chairs fumantes, n'en paraissait pas moins énorme si ce n'était presque insultante. Bientôt l'on permettrait aux armées, de s'apreter, s'armer, puis combattre dans des salles de la corporation... Chouette perspective ! Bordel de borde, mais que fichait le Grand Conseil ? Y avait-il des bordels non loin qui faisait qu'ils étaient plus occupés à foutre plutôt qu'à remettre de l'ordre dans ce qui menaçait les règles les plus élémentaires ? Aaah mais c'est vrai, l'un d'eux était parmi eux, et il se plongeait pourtant corps et âme dans ce nouveau jeu qui paraissait aller de pair avec sa faim de vies tout sauf humaine.
Pardon d'interrompre ce moment si intense et qui vous tient tant à coeur, mais j'aimerai pouvoir m'immiscer un instant entre vos redoutables égos, et glisser quelque chose avant que vous ne fassiez éclabousser le sang sur les murs. Car il me semble à moi qu'un un homme mort ou moribond, est difficilement abordable. N'est-il pas cher seigneurs ? Retenez juste quelques minutes vos instinct belliqueux, je ne m'épancherai pas trop, promis.
Qui je suis ? Un observateur quelconque, d'un état quelconque, inintéressant car sans force. Inutile que je me présente dès lors, les grandes puissances se fichent de savoir à qui ils ont affaire, tant que ces derniers ne les menacent pas ni nuisent à leur intérêts. Le reste pour eux n'existe pas, juste de la chair à canon, des sujets d'expériences, trois petits tours et puis s'en vont. Mais je vous en prie appelez moi Néo pour le moment. Sans aucun doute, j'en viendrai à changer dans un autre futur, lorsque les rapports de force auront quelque peu évolués, mais peu importe ce détail.
Le jeune bleu de la politique descendit l'estrade, tout en balayant l'assistance d'un regard torve, notamment celle qui répondait au nom de Jessica, une belle blonde plantureuse à tout point de vue, mais qui s'était malheureusement vidée, sûrement dû à toute cette chair bien placée ailleurs, de toute matière là ou résidait le cerveau. Il y avait aussi un droide, pas très impressionnant, mais qui dès lors qu'il s'était mis à ouvrir sa boite de conserve qui lui tenait pour bouche, avait fait jusqu'à dresser les cheveux sur la tête de Néo. Une telle logique impitoyable assorti d'une voix métallique, sans aucune intonation, ni d'émotion, presque comme quelqu'un qui proposait un peu de thé tout en évoquant la délectation d'une destruction, ça vous faisait ça d'effet que vous en compissiez presque vos chausses. Finalement Néo, hésitant sur où se tenir, décida de s'abstenir de rejoindre les combattants, puis campa aux pieds de l'estrade. Nullement l'envie de le voir couper en deux par ces baguettes à pointes qu'ils trimballaient apparemment sans honte. Son regard se ficha sur celui de sieur Octanpus, le malheureux dans toute cette histoire.
Cher du dirigeant du Pandora, Messer Octanpus, j'interviens car je vous apprécie autant que je compatis. Votre courage quoique outrecuidant, et débridé vous fait honneur et je vous souhaite de ne jamais le céder face à la tyrannie des plus forts. Mais permettez moi d'émettre mes réserves quant à tout ceci et ce à cette seule fin de vous faire obtenir votre vengeance, si c'est toujours l'objet qui vous anime tant.
Je crois que vous vous oubliez, et manquez de... discernement.
Vous vous imbibez dans une diversion, une distraction dans laquelle vos ennemis se complaisent à vous énivrer et vous faire tourner la tête aux dépens des vrais priorités. Regardez vous, malgré votre fureur, ce duel a déjà distillé votre haine à l'endroit de ceux que vous considérez comme des monstres. Vous en tiendrez vous seulement à lanciner une femme ? Une tête putride accrochée à une pique peut-elle en valoir des milliards de vis aspirés dans la tourmente ? Vous vous éparpillez et lambinez maintenant dans un état de semi-résignation en privilégiant la solution la plus facile. Oui, en rugissant à tord et à travers, en vous attaquant à l'une des têtes de l'hydre, qui repoussera aussitôt que vous l'aurez occuite. Une seule tête ne vengera jamais tout un peuple. C'est au coeur qu'il faut tailler d'estoc et frapper.
Néo mima alors le geste, et tout son corps s'ébranla, quoi que maladroitement, et des rires fusèrent alentour. Pas plus dérangé que ça, il reprit d'un sourire indulgent.
Et il ne se trouve point là ou vous vous le figurez messer. Quand le fruit est complètement pourri, s'échiner à mortifier le vers responsable de sa déchéance ne rime qu'à peu de choses. Cette idéologie effroyable qui a résonné entre ces murs, ce chant qui s'est déversé de leur lèvres retroussés jusqu'à l'auto-satisfaction, ils sont l'apanage d'un peuple tout entier. Tant que leur citoyens n'auront pas été exposés à la souffrance la plus abjecte, la plus indicible, ils n'entendront rien à celle des autres et continueront de soutenir la politique psychotique de leur dirigeants.
Sincèrement, ce duel, je le sens pas. Ca manque de noblesse tout ça, mais surtout d'efficacité. Laissez cette femme vivre. Vivante, elle servira mieux vos intérêts. Quoi de plus délectable qu'admirer vos ennemis amaigris, leur yeux cernés de violet et disparu sous un fouillis décharné de poches, devant l'oeuvre de la destruction à leur portes, leur oeuvre, celle qu'ils ont délibérément provoqués.
Murissez, remuez, apprenez, patientez ! Je ne saurai trop vous le conseiller. Si vous tenez la cadence, vous saurez frappez. Faîtes du ruissellement de vos larmes un rictus de goule ! La haine est passe temps couteux Seigneur Octanpus, seuls ceux qui l'asservissent à leur volonté en font quelque chose d'utile, de potentiellement dangereux, une arme spirituelle à même d'inciser, de trancher dans le métal d'un solar.
Ceux qui se laissent bêtement emportés dans le sillage de ses tourbillons finissent souvent par vriller à nouveau, en dessus-dessous, le cul à l'air.
Je ne vous fais pas la leçon, je vous transmets là mes salutations d'état faible à un autre pour peu que ça puisse valoir, par une opinion personnelle qui n'a d'intérêt que de servir vos plus précieuses ambitions. Et pour terminer sur une note positive, j'ajouterai que cet univers-ci n'est pas sorti de l'auberge.
Plutôt que de voir des états responsables sortis de la décryogénisation, - qui pensez vous auraient sagement appris les leçons du passé -, ce sont des monstres que nous voyons ressortir de toutes parts. Et ils semblent légiférer sur notre manière d'être et de vivre, sous la menace constance de leur armées qui rodent et s'insinuent partout, dans les moindres recoins de l'espace. Il faudra bien un jour qu'un concert de nation s'inflige la responsabilité ingrate, ou nous finirons tous par devenir des monstruosités.
Voilà, maintenant vous pouvez achever votre combat, si le coeur vous en dit. ]A chaque intervenant il s'inclina humblement, puis haussant les épaules sur l'utilité de son intervention, retourna s'asseoir. Sans aucun doute si combat il y avait, il parierait pour la fauve conseillère, elle semblait plus maître d'elle-même.
Re: Consternant
Octanpus se figea, son bras redescendu, le poing ensanglanté serrant l’épée de toute ses forces. Une larme coulant le long d’une de ces joues, l’autre ayant une larme de sang du à la plaie à son crâne. Il se tourna lentement vers cet interlocuteur imprévu. Comment un être si pitoyable pouvait interrompre ce combat ? Quelqu’un qui ne connaissait pas les souffrances qui rongeaient le conseiller ? Et ces imbéciles, aussi nombreux que des cafards, leurs bouches entrouvertes, leurs visages crispées dans la peur, cette peur qui devenait palpable et qui noyait l’atmosphère de la salle.
Comment pouvez vous, plutôt comment osez-vous intervenir ? Je n’ai point besoin de vos conseils ! Vous qui ne connaissez rien aux souffrances que mon peuple à subit. J’ai vu des milliers de corps mutilés, démembrés, certains pleins de pustules ensanglanté du aux radiations. Les échos de ces voix criant pendant leurs agonies, qui résonnent dans ma tête. J’ai perdu des frères, des amis, et tout ça dans les pires souffrances. Alors que nous sommes un peuple pacifiste. Nos ingénieurs ne connaissent même pas ces choses faites d’uranium, alors comment pouvons-nous espérer soigner les gens qui sont pris de radioactivités ? Dites le moi !
Je sais que vous autres vous en foutez ! Il n’y a que la peur dans vos yeux. Vous priez tous pour qu’elle meurt, mais aucun de vous n’a le cran de la tuer. Il fit le tour de la salle, jetant un œil de mépris pour tous ceux présent en ces lieux. Vous me dîtes de contenir cette haine, comment pourrais-je juste lutter avec moi-même, moi qui n’ai pu protéger mon peuple. La seule petite satisfaction que je pourrais avoir c’est de voir cette femme me supplier d’abréger ces souffrances, mais de ne pas l’exaucer.
Les images des évènements refirent surface. Il pouvait sentir l’odeur de la peau calciné, du sang abondant dans les rues. La chaleur des bâtiments en prise avec les flammes chatoyaient son visage. Il vit, comme il voit ces interlocuteurs, cette petite fille qui vivait encore, une jambe en moins, et qui était criblé d’éclat de bombe, le supplier de l’aider. Ces voix résonnaient de nouveaux en lui. A l’unisson, elles criaient « A l’aide, Au secours ». Il repensait au fait que tant de compatriote était mort, mais que lui avait survécu. Il écoutait chacune de ces voix, ne pouvant rien faire. Il pleurait en silence, rageant que le ciel l’avait épargné.
Je sais que je ne devrais pas m’emporté ainsi. Mais, croyez moi, ce fruit pourri ne contient que quelques vers à éliminer, et vous avez les principaux ici, devant vous. Madame Aetherya, Jess la sauvage, et quelque part dans ces murs doit ce promener la gardienne de Jess. Vous coupez ces racines et l’arbre mourra. Ce n’est pas si difficile que ça.
Je pense me retirer avant que les choses ne s’enveniment d’avantage. Je suis déjà en sous nombre alors si la troisième arrive, il en serra surement fini de ma personne. Même si ça ne me dérange pas. Je vais laisser le choix à vos personnes le droit de les laisser partir, à vos risques et périls. Moi, je n’ai que faire de ces foutaises, la vie pour moi n’a plus beaucoup d’importance. Je vais retourner aider ceux qui ont survécus et tenter de reconstruire un monde de paix.
Il lâchât l’épée, celle-ci résonna d’un bruit sec et long, comme les cris de gens agonisant. Octanpus s’avança vers la sortit, son visage triste, le corps abattu. Il ne voyait aucun moyen de s’en sortir, que sa vengeance ne pourrait avoir lieu en ce monde. Il croisa Aetherya, mais ne la regarda pas. Seules les pensées négatives étaient présentes.
Comment pouvez vous, plutôt comment osez-vous intervenir ? Je n’ai point besoin de vos conseils ! Vous qui ne connaissez rien aux souffrances que mon peuple à subit. J’ai vu des milliers de corps mutilés, démembrés, certains pleins de pustules ensanglanté du aux radiations. Les échos de ces voix criant pendant leurs agonies, qui résonnent dans ma tête. J’ai perdu des frères, des amis, et tout ça dans les pires souffrances. Alors que nous sommes un peuple pacifiste. Nos ingénieurs ne connaissent même pas ces choses faites d’uranium, alors comment pouvons-nous espérer soigner les gens qui sont pris de radioactivités ? Dites le moi !
Je sais que vous autres vous en foutez ! Il n’y a que la peur dans vos yeux. Vous priez tous pour qu’elle meurt, mais aucun de vous n’a le cran de la tuer. Il fit le tour de la salle, jetant un œil de mépris pour tous ceux présent en ces lieux. Vous me dîtes de contenir cette haine, comment pourrais-je juste lutter avec moi-même, moi qui n’ai pu protéger mon peuple. La seule petite satisfaction que je pourrais avoir c’est de voir cette femme me supplier d’abréger ces souffrances, mais de ne pas l’exaucer.
Les images des évènements refirent surface. Il pouvait sentir l’odeur de la peau calciné, du sang abondant dans les rues. La chaleur des bâtiments en prise avec les flammes chatoyaient son visage. Il vit, comme il voit ces interlocuteurs, cette petite fille qui vivait encore, une jambe en moins, et qui était criblé d’éclat de bombe, le supplier de l’aider. Ces voix résonnaient de nouveaux en lui. A l’unisson, elles criaient « A l’aide, Au secours ». Il repensait au fait que tant de compatriote était mort, mais que lui avait survécu. Il écoutait chacune de ces voix, ne pouvant rien faire. Il pleurait en silence, rageant que le ciel l’avait épargné.
Je sais que je ne devrais pas m’emporté ainsi. Mais, croyez moi, ce fruit pourri ne contient que quelques vers à éliminer, et vous avez les principaux ici, devant vous. Madame Aetherya, Jess la sauvage, et quelque part dans ces murs doit ce promener la gardienne de Jess. Vous coupez ces racines et l’arbre mourra. Ce n’est pas si difficile que ça.
Je pense me retirer avant que les choses ne s’enveniment d’avantage. Je suis déjà en sous nombre alors si la troisième arrive, il en serra surement fini de ma personne. Même si ça ne me dérange pas. Je vais laisser le choix à vos personnes le droit de les laisser partir, à vos risques et périls. Moi, je n’ai que faire de ces foutaises, la vie pour moi n’a plus beaucoup d’importance. Je vais retourner aider ceux qui ont survécus et tenter de reconstruire un monde de paix.
Il lâchât l’épée, celle-ci résonna d’un bruit sec et long, comme les cris de gens agonisant. Octanpus s’avança vers la sortit, son visage triste, le corps abattu. Il ne voyait aucun moyen de s’en sortir, que sa vengeance ne pourrait avoir lieu en ce monde. Il croisa Aetherya, mais ne la regarda pas. Seules les pensées négatives étaient présentes.