Clauser de l'Emerald.
Jacob n'était pas à son aise en cette soirée de l'avant. Il venait d'échapper à une meute de ragondins dressés à tuer et arrivait dans la propriété d'un Bourgeois d'un autre état Lambda. La maisonnée était déjà endormie. Hotte sur le dos il arriva tant bien que mal à passer la porte d'entrée. Puis se faufila au travers des couloirs de la bâtisse.
Un kawaiii domestique comme il les nommait pour lui même arriva tout à coup nez à truffe avec lui, après une intersection. Il le regarda, et réciproquement. Des signaux l'alertèrent, tachycardie et bref inspiration, le kawaiii allait gémir. Sa tête roula sur le sol en une fraction de seconde.
Il se retourna. Ses deux crétins de comparses robotisés, Lutun et Lutdeux, trainaient toujours non loin.
Reposez cette argenterie et nettoyez moi ça vous deux.
Bluppy propose de maquiller ça en suicide Clauser!, dit l'un des deux robots Luts.
Jacob pesta contre leur stupidité. Ces deux Lut ne savaient même pas qu'ils étaient robotisés, s'en était navrant. Et pourquoi l'appelaient-ils sans arrêt Clauser?!
Ne faites juste pas croire que ce kawaiii s'est pendu comme la dernière fois, je vous rappelle que la tête se décroche pas dans ces cas là.
Il les laissa à leur travail. Et continua son chemin à travers la maisonnée, la scene avait été des plus silencieuse.
Il arriva dans la chambre du gosse. Endormi avec un sourire bienveillant. Il sortit une seringue d'une main, pris un tissu de l'autre pour étouffer le moindre bruit, puis piqua directement dans la jugulaire du bambin. Légère secousse dans son sommeil, puis le voilà parti à un étage de songes inférieur.
Dépliant sa hotte il scanna rapidement les capacités de l'enfant en lui posant diverses électrodes sur son extrémité céphalique. Derrière son facies de marbre se manifesta quelques déceptions. Celui là ne répondait pas non plus aux critères de sélection. Pas d'opération invasive pour l'heure... il ne déplia donc ni sa perceuse, ni sa scie rotative, ni son évideuse. Il enleva tout son bricolage. L'endroit de la piqure passerait pour l'œuvre d'un culicidae. Il posa un cadeau de moyenne envergure sur son bureau, sur lequel il déposa un bref petit mot « Affectueusement. Père Noël ». Au moins l'enfant servirait-il, sans en avoir conscience, le bureau des renseignements.
Il repartit aussi vite qu'il était venu, en prenant un détour pour éviter les encombres de l'allée. Les Luts étaient déjà au traineau. Boris leur renne avait croqué un ou deux clochards durant son absence. Jacob ne lui fit même plus de remarque. Le Boris lui arracherait encore son bras gauche s'il s'offusquait à nouveau contre lui... Un signal de l'Emerald. Ils devaient rentrer avant que les traques ne reprennent. Le traîneau s'enflamma, et ne fut bientôt plus qu'un point dans la nuit noire.
Event Noël, concours RP
Modérateur : Modérateurs
Re: Event Noël, concours RP
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Le Père Nonwel (by Kaf)
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An de grâce 3215…
Le temps des Anciens, gardiens de la sagesse et de la connaissance rayonnant dans la plupart des 17 dimensions du Voile, était sur le point de s’achever. Les démons Ekeliens, véritables tueurs nés attirés par le sang, avaient fini par se coaliser pour renverser les Anciens. Ils faisaient régner la Terreur au sein des populations humanoïdes en multipliant les massacres et les exécutions sommaires et ouvraient sans arrêt des brèches dans le Voile. La guerre durait désormais depuis de nombreuses décennies et les combats s’étaient avérés sanglants de part et d’autre.
Malgré leur puissante magie, les Anciens perdaient inexorablement du terrain. Ils étaient surpassés en nombre et cédaient leurs Cités les unes après les autres dans les différentes dimensions sous les feux des canons ékeliens. Les rares survivants avaient beau se battre vaillamment, leurs jours étaient comptés.
Dans l’une des dimensions, un petit groupe de mages avait fini par se retrancher dans les profondeurs d’Aquablue. Il était mené par un techno-prêtre à la tunique rouge et doté d’une barbe hirsute. Il n’avait pas tellement plus de pouvoir magique que les autres, mais ses compagnons avaient fait de lui leur leader charismatique en raison de sa force de conviction et de sa bienveillance envers ses pairs. Grâce à lui, ils avaient réussi à mener à bien de nombreuses actions pour retarder l’échéance finale.
Et étrangement, lors de chacune des sorties du groupe pour délivrer provisoirement les populations du joug ékelien, l’archimage rouge réalisait toujours un petit rituel. Il rassemblait toutes sortes d’objets prélevés des ennemis ékeliens morts au combat et les entassait dans une immense hotte. Il passait ensuite d’habitations en habitations pour remettre à chaque famille un de ces objets avant de retrouver ensuite ses camarades dans leur refuge aquablusien.
Ce petit manège dura plusieurs années et la petite troupe de mages commençait à avoir grande réputation au sein des populations humaines. Bien trop au goût du Sanctuaire, le conseil des ékeliens, qui décida d’envoyer plusieurs bataillons démoniaques dans la dimension galacticaine pour en finir avec eux.
Le petit groupe se défendit fièrement mais les canons ékeliens n’en firent qu’une bouchée jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le techno-prêtre rouge. Les tirs cessèrent alors et il fût fait prisonnier et emmené au Sanctuaire pour être présenté devant Wel, le maître démon supérieur. Ce dernier, disait-on, pouvait terrifier n’importe qui d’un simple regard de braise et lire vos plus profondes pensées pour vous dévorer le cœur et l’âme.
L’archimage fût placé au milieu d’une immense salle obscure. Une grande excitation régnait à travers la pièce. Des milliers de pairs d’yeux démoniaques scrutaient les moindres faits et gestes du techno-prêtre. Mais ce dernier n’eut pas le temps d’admirer davantage le paysage, un des démons se matérialisa à quelques mètres de lui :
- Ainsi, c’est donc toi, le « fameux » archimage rouge ? j’avoue être un peu deçu… commença Wel, de ses yeux de serpent qui dévisageaient le mage ligoté face à lui.
Puis, il s’adressa à la foule de démons massés autour d’eux :
Regardez-le ! On dirait un des nombreux clochards qu’on a massacré !
Le démon le renifla.
Il pue l’œuf de dragon pourri ! dit-il en faisant un de ses sourires machiavéliques. Cette dernière phrase fit rire aux éclats toute l’assistance, d’un rire glaciale qui vous fait remonter vos tripes.
Il s’adressa de nouveau au techno-prêtre :
-Alors voyons, que caches-tu dans ton esprit ? Allez amusons-nous un peu avant de te torturer et de te déchiqueter !
L’archimage tenta de résister mais Wel entra rapidement dans son esprit et put lire l’intégralité de sa vie comme dans un livre ouvert. Il en ressortit quelques secondes plus tard d’un air satisfait.
-Hum, je sens de la colère en toi… oui une immense colère… une colère qui mène à la haine… et la haine à la souffrance… tes parents morts alors que tu n’étais qu’un enfant… tué par un vulgaire vagabond qui mourrait de faim… tu t’es retrouvé seul, abandonné, perdu… et tu as erré comme un ermite… oh oui tu as erré longtemps… traquant le meurtrier… tu as attendu longtemps… oh oui longtemps le moment où tu pourrais enfin te venger pour délivrer de cette souffrance… et…et tu as fini par le retrouver et tu l’as tué !
Wel fit une légère pause et contempla de nouveau le techno-prêtre :
-As-tu ressenti du plaisir ? lui demanda t-il de son sourire carnassier. As-tu aimé ôter la vie de ce vagabond ? Voudrais-tu recommencer ? Tu es toujours envahi par cette même colère, je le sens…
Mais l’archimage ne pipa mot. Le maître démon Wel pénétra alors de nouveau dans son esprit, trop curieux de connaître la suite, mais il ne vit que ce qu’il avait déjà vu la première fois : les parents morts, la longue errance, la traque, le meurtre… et ensuite les nombreuses batailles menées au côté des autres Anciens. Mais il ne décelait aucune émotion dans le cœur de l’archimage rouge juste après l’assassinat. Comme s’il y avait du vide, comme s’il n’avait ressenti aucune émotion à tuer…
-Hummmm, que me caches-tu là ? Est-il possible de ne rien éprouver après avoir commis un meurtre ?
De nouveau, l’archimage ne pipa mot. Le maître démon décida alors d’employer les grands moyens et le soumit à des tortures et des sévices ékeliennes de toutes sortes pour le faire parler. Mais rien à faire… Wel ne percevait aucune émotion de la part de l’archimage rouge au moment où il avait tué ce vagabond. Et cette ignorance l’énervait au plus haut point.
Mourrant, l’archimage de son côté rassemblait ce qui lui restait d’énergie et de flux magique et tenta de détourner l’attention de Wel en prononçant enfin quelques mots histoire de gagner suffisamment de temps :
-Non Wel... non, tu ne pourras jamais savoir ce que j’ai ressenti. Tu ne peux pas comprendre ce qu'est l'amour, la considération pour autrui, la solidarité. Ton esprit est bien trop tourné vers le côté obscur. Non Wel, il n’y avait nul plaisir dans ce que j’ai fait. Non Wel, je ne suis pas rongé par la colère. Au contraire, je la maîtrise pour mieux la focaliser sur l’origine véritable du problème.
-Ah oui, et quelle est donc selon toi "l’origine véritable du problème ?" Que tu es un couard ? Que tu ne mérites pas de vivre ?
-Non Wel, j’ai compris que la misère était la source de tous les maux. Si ce vagabond avait eu au moins de quoi vivre, jamais il n’aurait tué mes parents. Et depuis ce jour, je fais tout pour que personne ne vive dans la misère en redistribuant les richesses.
-Oh voyez-vous ça, le monde est trop injuste… comme c’est touchant… et toute l’assistance se mit à rire. Et tu crois vraiment qu’en donnant des cadeaux, la misère disparaîtra ? Es-tu aussi candide ?
-Non Wel, j’ai la foi.
Le regard du techno-prêtre venait d’un coup de changer et le démon supérieur Wel vit soudain la boule magique en préparation :
-Démons, c’est une diversion. Il prépare un suicide magique, vite abattez le !
-Non Wel, nous sommes déjà morts…
Et d’un coup, l’archimage libéra toute l’énergie accumulée. Cela eut l’effet d’une méga bombe qui fit exploser tout le Sanctuaire. Les murs s’écroulèrent, les vitres se brisèrent et tous les démons à l’intérieur périrent dans les flammes. L’archimage rouge venait de se sacrifier dans un acte héroïque et brave pour détruire le conseil des ékeliens.
Dans les jours qui suivirent, cet exploit fut relayé partout dans les 17 dimensions du Voile. Et c’est ainsi que depuis ce jour, chaque année, le monde entier prit l’habitude de célébrer cet événement en s’offrant mutuellement des objets. Comme une façon de rendre hommage à l’archimage rouge qui fut surnommé le Père Nonwel, abrégé plus tard en Noël. Bien sur, la guerre contre Ekelia dura encore longtemps, mais désormais, une fois par an, l’amour et le partage faisant place à la barbarie et la terreur.
Le Père Nonwel (by Kaf)
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An de grâce 3215…
Le temps des Anciens, gardiens de la sagesse et de la connaissance rayonnant dans la plupart des 17 dimensions du Voile, était sur le point de s’achever. Les démons Ekeliens, véritables tueurs nés attirés par le sang, avaient fini par se coaliser pour renverser les Anciens. Ils faisaient régner la Terreur au sein des populations humanoïdes en multipliant les massacres et les exécutions sommaires et ouvraient sans arrêt des brèches dans le Voile. La guerre durait désormais depuis de nombreuses décennies et les combats s’étaient avérés sanglants de part et d’autre.
Malgré leur puissante magie, les Anciens perdaient inexorablement du terrain. Ils étaient surpassés en nombre et cédaient leurs Cités les unes après les autres dans les différentes dimensions sous les feux des canons ékeliens. Les rares survivants avaient beau se battre vaillamment, leurs jours étaient comptés.
Dans l’une des dimensions, un petit groupe de mages avait fini par se retrancher dans les profondeurs d’Aquablue. Il était mené par un techno-prêtre à la tunique rouge et doté d’une barbe hirsute. Il n’avait pas tellement plus de pouvoir magique que les autres, mais ses compagnons avaient fait de lui leur leader charismatique en raison de sa force de conviction et de sa bienveillance envers ses pairs. Grâce à lui, ils avaient réussi à mener à bien de nombreuses actions pour retarder l’échéance finale.
Et étrangement, lors de chacune des sorties du groupe pour délivrer provisoirement les populations du joug ékelien, l’archimage rouge réalisait toujours un petit rituel. Il rassemblait toutes sortes d’objets prélevés des ennemis ékeliens morts au combat et les entassait dans une immense hotte. Il passait ensuite d’habitations en habitations pour remettre à chaque famille un de ces objets avant de retrouver ensuite ses camarades dans leur refuge aquablusien.
Ce petit manège dura plusieurs années et la petite troupe de mages commençait à avoir grande réputation au sein des populations humaines. Bien trop au goût du Sanctuaire, le conseil des ékeliens, qui décida d’envoyer plusieurs bataillons démoniaques dans la dimension galacticaine pour en finir avec eux.
Le petit groupe se défendit fièrement mais les canons ékeliens n’en firent qu’une bouchée jusqu’à ce qu’il ne reste plus que le techno-prêtre rouge. Les tirs cessèrent alors et il fût fait prisonnier et emmené au Sanctuaire pour être présenté devant Wel, le maître démon supérieur. Ce dernier, disait-on, pouvait terrifier n’importe qui d’un simple regard de braise et lire vos plus profondes pensées pour vous dévorer le cœur et l’âme.
L’archimage fût placé au milieu d’une immense salle obscure. Une grande excitation régnait à travers la pièce. Des milliers de pairs d’yeux démoniaques scrutaient les moindres faits et gestes du techno-prêtre. Mais ce dernier n’eut pas le temps d’admirer davantage le paysage, un des démons se matérialisa à quelques mètres de lui :
- Ainsi, c’est donc toi, le « fameux » archimage rouge ? j’avoue être un peu deçu… commença Wel, de ses yeux de serpent qui dévisageaient le mage ligoté face à lui.
Puis, il s’adressa à la foule de démons massés autour d’eux :
Regardez-le ! On dirait un des nombreux clochards qu’on a massacré !
Le démon le renifla.
Il pue l’œuf de dragon pourri ! dit-il en faisant un de ses sourires machiavéliques. Cette dernière phrase fit rire aux éclats toute l’assistance, d’un rire glaciale qui vous fait remonter vos tripes.
Il s’adressa de nouveau au techno-prêtre :
-Alors voyons, que caches-tu dans ton esprit ? Allez amusons-nous un peu avant de te torturer et de te déchiqueter !
L’archimage tenta de résister mais Wel entra rapidement dans son esprit et put lire l’intégralité de sa vie comme dans un livre ouvert. Il en ressortit quelques secondes plus tard d’un air satisfait.
-Hum, je sens de la colère en toi… oui une immense colère… une colère qui mène à la haine… et la haine à la souffrance… tes parents morts alors que tu n’étais qu’un enfant… tué par un vulgaire vagabond qui mourrait de faim… tu t’es retrouvé seul, abandonné, perdu… et tu as erré comme un ermite… oh oui tu as erré longtemps… traquant le meurtrier… tu as attendu longtemps… oh oui longtemps le moment où tu pourrais enfin te venger pour délivrer de cette souffrance… et…et tu as fini par le retrouver et tu l’as tué !
Wel fit une légère pause et contempla de nouveau le techno-prêtre :
-As-tu ressenti du plaisir ? lui demanda t-il de son sourire carnassier. As-tu aimé ôter la vie de ce vagabond ? Voudrais-tu recommencer ? Tu es toujours envahi par cette même colère, je le sens…
Mais l’archimage ne pipa mot. Le maître démon Wel pénétra alors de nouveau dans son esprit, trop curieux de connaître la suite, mais il ne vit que ce qu’il avait déjà vu la première fois : les parents morts, la longue errance, la traque, le meurtre… et ensuite les nombreuses batailles menées au côté des autres Anciens. Mais il ne décelait aucune émotion dans le cœur de l’archimage rouge juste après l’assassinat. Comme s’il y avait du vide, comme s’il n’avait ressenti aucune émotion à tuer…
-Hummmm, que me caches-tu là ? Est-il possible de ne rien éprouver après avoir commis un meurtre ?
De nouveau, l’archimage ne pipa mot. Le maître démon décida alors d’employer les grands moyens et le soumit à des tortures et des sévices ékeliennes de toutes sortes pour le faire parler. Mais rien à faire… Wel ne percevait aucune émotion de la part de l’archimage rouge au moment où il avait tué ce vagabond. Et cette ignorance l’énervait au plus haut point.
Mourrant, l’archimage de son côté rassemblait ce qui lui restait d’énergie et de flux magique et tenta de détourner l’attention de Wel en prononçant enfin quelques mots histoire de gagner suffisamment de temps :
-Non Wel... non, tu ne pourras jamais savoir ce que j’ai ressenti. Tu ne peux pas comprendre ce qu'est l'amour, la considération pour autrui, la solidarité. Ton esprit est bien trop tourné vers le côté obscur. Non Wel, il n’y avait nul plaisir dans ce que j’ai fait. Non Wel, je ne suis pas rongé par la colère. Au contraire, je la maîtrise pour mieux la focaliser sur l’origine véritable du problème.
-Ah oui, et quelle est donc selon toi "l’origine véritable du problème ?" Que tu es un couard ? Que tu ne mérites pas de vivre ?
-Non Wel, j’ai compris que la misère était la source de tous les maux. Si ce vagabond avait eu au moins de quoi vivre, jamais il n’aurait tué mes parents. Et depuis ce jour, je fais tout pour que personne ne vive dans la misère en redistribuant les richesses.
-Oh voyez-vous ça, le monde est trop injuste… comme c’est touchant… et toute l’assistance se mit à rire. Et tu crois vraiment qu’en donnant des cadeaux, la misère disparaîtra ? Es-tu aussi candide ?
-Non Wel, j’ai la foi.
Le regard du techno-prêtre venait d’un coup de changer et le démon supérieur Wel vit soudain la boule magique en préparation :
-Démons, c’est une diversion. Il prépare un suicide magique, vite abattez le !
-Non Wel, nous sommes déjà morts…
Et d’un coup, l’archimage libéra toute l’énergie accumulée. Cela eut l’effet d’une méga bombe qui fit exploser tout le Sanctuaire. Les murs s’écroulèrent, les vitres se brisèrent et tous les démons à l’intérieur périrent dans les flammes. L’archimage rouge venait de se sacrifier dans un acte héroïque et brave pour détruire le conseil des ékeliens.
Dans les jours qui suivirent, cet exploit fut relayé partout dans les 17 dimensions du Voile. Et c’est ainsi que depuis ce jour, chaque année, le monde entier prit l’habitude de célébrer cet événement en s’offrant mutuellement des objets. Comme une façon de rendre hommage à l’archimage rouge qui fut surnommé le Père Nonwel, abrégé plus tard en Noël. Bien sur, la guerre contre Ekelia dura encore longtemps, mais désormais, une fois par an, l’amour et le partage faisant place à la barbarie et la terreur.
Re: Event Noël, concours RP
L'impuissance du tout puissant.
« Cher petit Papa Noël »
c'est ainsi que l'Amiral Delamarre entama l'écriture de sa lettre de vœux qu'il destinait à son humble Dieu le père Noël, puis il poursuivit.
"Je vous ai vu frôlé les abords de mon Etat et distribuer de merveilleux cadeaux, à ce jour vous vous n'êtes plus sur mon fief, souillé par ce cancre de Leh orthal, mais néanmoins, je vous vénère. Vous saviez à chaque fois avec quelle justesse distribuer des cadeaux ! De la lingerie fine pour le Maeridional dispersée dans 15 cadeaux,4 tondeuses à gazon pour l'Amherbia et 1 branlée de capote pour le Némérion.Je suis certain que vos cadeaux ne vont pas manquer de faire effet mon Dieu de Noël. Maintenant vous n'êtes plus, vos lutins aussi ! Puissent ils encore jouer de l'harmonica près des sapins enneigés qui jonchent les alentours de mon palais ! Ils aimaient tant se faire traquer par mon Général Longuekeu, mon bien vaillant militaire qui cherchait en permanence à se délester de ses substances naturelles dans ces petits bouts d'hommes.
La vie est courte mais elle est simple, d'autant plus pour vous qui travaillez à 1/5 du temps, 1 demie mois dans l'année galacticaine c'est court et sur ce point je vous reproche votre absence! Une seule flotte ennemie et vous prenez la poudre d'escampette cher Noël, ce n'est pas Noël tout les jours, et ce ne sont pas des boissons gazeuses au goût protéinées qui me feront dire le contraire, je ne suis pas un ours quand même.
Comprenez moi, aimez moi, pas un seul de vos Renes n'ont croisé mon Etat depuis tant de jours, je suis délaissé, rien ne m’aie parvenu, du travail je vous en aie procuré pourtant".
Les yeux rougit il acheva sa lettre plaintive.
"Cher petit Papa Noël comprenez ma frustration... J'ai pourtant été si sage cette année, vous faites un grand enfant malheureux en cette soirée de réveillon."
Amiral Delamarre
« Cher petit Papa Noël »
c'est ainsi que l'Amiral Delamarre entama l'écriture de sa lettre de vœux qu'il destinait à son humble Dieu le père Noël, puis il poursuivit.
"Je vous ai vu frôlé les abords de mon Etat et distribuer de merveilleux cadeaux, à ce jour vous vous n'êtes plus sur mon fief, souillé par ce cancre de Leh orthal, mais néanmoins, je vous vénère. Vous saviez à chaque fois avec quelle justesse distribuer des cadeaux ! De la lingerie fine pour le Maeridional dispersée dans 15 cadeaux,4 tondeuses à gazon pour l'Amherbia et 1 branlée de capote pour le Némérion.Je suis certain que vos cadeaux ne vont pas manquer de faire effet mon Dieu de Noël. Maintenant vous n'êtes plus, vos lutins aussi ! Puissent ils encore jouer de l'harmonica près des sapins enneigés qui jonchent les alentours de mon palais ! Ils aimaient tant se faire traquer par mon Général Longuekeu, mon bien vaillant militaire qui cherchait en permanence à se délester de ses substances naturelles dans ces petits bouts d'hommes.
La vie est courte mais elle est simple, d'autant plus pour vous qui travaillez à 1/5 du temps, 1 demie mois dans l'année galacticaine c'est court et sur ce point je vous reproche votre absence! Une seule flotte ennemie et vous prenez la poudre d'escampette cher Noël, ce n'est pas Noël tout les jours, et ce ne sont pas des boissons gazeuses au goût protéinées qui me feront dire le contraire, je ne suis pas un ours quand même.
Comprenez moi, aimez moi, pas un seul de vos Renes n'ont croisé mon Etat depuis tant de jours, je suis délaissé, rien ne m’aie parvenu, du travail je vous en aie procuré pourtant".
Les yeux rougit il acheva sa lettre plaintive.
"Cher petit Papa Noël comprenez ma frustration... J'ai pourtant été si sage cette année, vous faites un grand enfant malheureux en cette soirée de réveillon."
Amiral Delamarre
Re: Event Noël, concours RP
Le Santa Claus...ou plutôt le Santa Thief (le Père Voleur)
Dans une galaxie lointaine, très lointaine, vivait un vieil homme sur une planète rouge sang. Souvent vêtu d'un épais manteau écarlate et laiteux, avec une longue barbe blanche, il se faisait appeler le "Santa Claus". Il parcourait les cinq planètes en quête de bonheur en offrant des cadeaux aux enfants. Il était souvent accompagné d'un petit bonhomme, ressemblant à un lutin. Il était accoutré d'un bonnet et d'un veston vert. Le vieil homme le surnommait "Pikmin". Chaque année, ils passaient dans chacune des maisons de Galactica pour offrir ses précieux présents. Mais voilà, tout le monde se posait toujours la même question "Comment faisait-il donc pour trouver ces cadeaux ?". Évidemment, le premier parent venu vous aurait dit : "Bah vois-tu, le père Noël possède sa propre fabrique", ou bien "Le père Noël fait apparaître les cadeaux comme par magie dans sa hotte", ou alors "Le père Noël possède un abandonnement illimité à La Poste". Et ce parent-là n'aurait pas tout à fait tort, car il s'agit de la magie de Noël. Ceci étant, la vérité n’est pas tout à fait celle que l’on croit…
Le Santa Claus se tenait assis. Devant lui, plusieurs piles de lettres. Portant ses lunettes sur son nez, il lisait avec appétit chaque courrier sur son bureau. Pikmin se trouvait non loin, notant les cadeaux de chaque enfant, évaluant leurs acceptations et leurs valeurs. Après plusieurs heures de lecture, le lutin se mit à bougonner :
Rhoo ces enfants, ils en demandent de plus en plus chaque année... Je commence à avoir mal aux doigts...
OH ! Oh ! oh ! Répondit-il. Du calme Pikmin ! C'est presque fini. Dis moi combien de cadeaux as-tu retenu?
Deux...
Le père Noël fit les gros yeux et répliqua :
Je ne parle pas pour toi ! Je te parle de cette liste !
Ah...Pardon...Euhh...Trois milliards deux cents...Euh non! Trois milliards trois cents...Beaucoup à vrai dire.
Outch, ça en fait pas mal… Bon tu sais quoi, je vais arrêter de lire les autres lettres. De toute façon il ne restait plus que les enfants de Vertana...On les oublie.
Il tira la corbeille près de lui et jeta le restant des lettres dans la poubelle. Il rajouta :
Et par la suite, tu vas me virer tous les objets extravaguants, qu'on trouve peu dans le commerce ou dans les maisons. Et tu viens me voir quand c'est fini.
Le lutin s’exécuta et commença à supprimer certains cadeaux. Pendant ce temps-là, le Santa Claus prépara les rennes. Il les sortit de leurs enclos et les arrima sur le traîneau. Il s'approcha de l’un des rennes et lui tapota le dos, comme pour vérifier la robustesse de l'animal. Il commença ensuite par inspecter la nacelle, le niveau de carburant, les inhibiteurs inertiels et les réacteurs. Il délogea la hotte qui se trouvait dans une caisse poussiéreuse, la secoua pour enlever la poussière et le contempla un petit instant, comme si les souvenirs passés lui revenaient promptement. Soudain, un fracas se fit entendre. C'était Pikmin trébuchant dans la descente vers l'écurie. Il se releva peu à peu et annonça :
C'est bon, il ne reste plus que dix million de cadeaux dans la liste. Ce qui est encore un montant exorbitant.
Le vieil homme se caressa la barbe, en pleine réflexion. Puis, il leva son gros index en l'air et annonça:
Je crois avoir trouvé la solution ! On offre pour tout le mode le même cadeau !
Le lutin le regarda fixement avec un air désabusé.
Sérieux ? s'exclama Pikmin.
Oh ! OH ! OHH ! Un cadeau unique à reproduire, c’est la solu…
WHOUO ! Whouo ! whouo ! On se calme ! Il y a mieux à faire ! réfuta le nain.
Vous avez raison Pikmin. Lis-moi cette liste, que je sache ce que je dois chercher, demanda le Santa Claus.
Le lutin prit la liste dans ses mains, la déroula et commença à faire la lecture. La soirée s'annonça et nos deux comparses cherchaient une idée pour la distribution des cadeaux. Ils sortirent le traîneau. L'air était glacial, le bonnet du vieillard naviguait dans le vent. Le lutin se jeta sur le siège passager, derrière lui se trouvait la hotte vide. Le Santa Claus entra à son tour et observa le nain. Il annonça :
Bon, nous sommes prêt à partir. OH ! Oh ! oh !
Et pour les cadeaux, on fait comment? demanda le lutin.
Tu es au courant que Noël c'est que dans une semaine?... Rassure moi? Tu ne vas pas me faire le coup chaque année? s'écria le vieux.
Mmmh...OH ! Oh ! o...
Arrête ça ! coupa le père Noël. Approche que je t'annonce le plan !
Le lutin tendit l'oreille, et écouta avec attention. Le vieil homme annonça leur objectif de cette nuit :
Bon alors voilà, avec ta liste on va faire le tour de chaque maison et chercher chaque cadeau que les enfants veulent...ou auront.
OOOooohhh ! C'est comme la tournée de bar ! Je connais. Dit-il avec le sourire.
Mouai...Par contre si on te voit, tu arrêtes de bouger et tu fais la peluche. Compris!
Compris. Et toi, tu fais quoi?
T'inquiètes pas. Je sais quoi faire. le rassura t-il.
L'homme tira sur la manette des gaz et il s'envolèrent tout deux au firmament. Très haut dans le ciel, une traîné blanche, d'une lumière incomparable, apparut. Comme un rayon de soleil qui transperce les nuages. La nuit noire tombait et les étoiles se dévoilaient dans l'obscurité. De la nacelle, on pouvait distinguer chaque maison, chaque enfant, chaque sapin de Noël qui n'attendaient qu'une seule chose, leurs cadeaux. Le traîneau se mit à analyser et scanner chaque résidence. Puis, une sonnerie se fit entendre, indiquant une habitation isolée possédant les objets qu'ils recherchaient. Les deux complices commencèrent la descente et atterrirent non loin du domaine. Le vieil homme emporta sa hotte et sortirent tout deux du traîneau. Ils traversèrent un court chemin boisé et se présentèrent devant la porte de derrière. Le Santa Claus semblait perplexe.
Pourquoi on ouvre pas la porte ? demanda le lutin.
Est-ce que tu vois, quelque part, sur moi la clé ? prononça le père Noël.
Euh...
N'essaie même pas de répondre. Bon, tu vois cette chatière ? Tu y rentres et tu ouvres de l’intérieur.
Et pourquoi tu n'y rentres pas toi? Questionna t-il.
Le Santa Claus le regarda fixement pendant une brève minute. Le lutin finit par dire :
Je suppose que ça doit être à cause de l'épaisseur du manteau.Présuma t-il.
On va dire que tu supposes bien Pikmin. Bon, ouvre nous la porte. Ordonna le vieux.
La porte ouverte, ils entrèrent silencieusement dans la maison. Ils localisèrent certains objets dans leur liste et commencèrent à remplir la hotte. Doucement, chaque présent était disposés convenablement dans le contenant, pour éviter de faire du bruit inutilement. Ils allèrent s'en retourner quand le lutin repéra des cadeaux déjà disposés sous le sapin de Noël. Il fit signe au Santa Claus qui s'approcha subtilement de la pièce avec sa hotte sur le dos. Le lutin répliqua :
Des cadeaux déjà emballés ! On prend ?
Surtout pas. Nous ne volons pas les cadeaux sous les sapins de Noël. Remercie les parents plutôt d’avoir fait le boulot à notre place ! Ho, ho, ho…
Le père Noël fit demi-tour mais sa hotte accrocha le sapin de Noël. Sous un bruit assourdissant, le conifère s'écrasa sur le sol emportant avec lui les boules et les guirlandes qui se détachèrent. Un vide sourd et silencieux s'ensuivit. Soudain, des pas se fit entendre, se rapprochant de la pièce. Le lutin paniquait. Il proposa :
Vite, passons par la fenêtre ?
Et la hotte elle passe comment ? rétorqua le vieillard.
C'est surtout vous qui ne passerait... répondit le lutin.
Tais-toi et fais la peluche vite !
Pikmin s’exécuta et s'écroula par terre. Le Santa Claus se mit à côté du sapin et se pétrifia. Brusquement, un homme entra. Il regarda le carnage. Il regarda autour de lui et vit
que diverses objets manquaient. Mais ses yeux se porta ensuite vers le père Noël et tout particulièrement sur la hotte. L'inconnu demanda :
Mais qu'est ce que c'est que ça?
Le vieil homme leva la main comme un robot et prononça :
OH ! Oh ! oh ! Je suis le Père Noël ! Prenant une voix robotisé.
Mais je le vois bien espèce de taré ! Barrez-vous de chez moi ! Voleur ! S'écria t-il.
Pikmin ! Ça a foiré ! Lance le fumigène !
Le lutin se leva d’un coup à la plus grande stupeur de l'homme. La petite créature dégoupilla une grenade et la balança sur le sol. Une épaisse fumée apparut. Le parent se débâtit dans le vide pendant quelques secondes avant d'apercevoir qu'il n'y avait plus personne. Il sortit rapidement par derrière et vit une traînée blanche sortir de la forêt. Le Santa Claus cria "Joyeux Noël !" Et ils s'en allèrent en quête d'autres cadeaux..
Dans une galaxie lointaine, très lointaine, vivait un vieil homme sur une planète rouge sang. Souvent vêtu d'un épais manteau écarlate et laiteux, avec une longue barbe blanche, il se faisait appeler le "Santa Claus". Il parcourait les cinq planètes en quête de bonheur en offrant des cadeaux aux enfants. Il était souvent accompagné d'un petit bonhomme, ressemblant à un lutin. Il était accoutré d'un bonnet et d'un veston vert. Le vieil homme le surnommait "Pikmin". Chaque année, ils passaient dans chacune des maisons de Galactica pour offrir ses précieux présents. Mais voilà, tout le monde se posait toujours la même question "Comment faisait-il donc pour trouver ces cadeaux ?". Évidemment, le premier parent venu vous aurait dit : "Bah vois-tu, le père Noël possède sa propre fabrique", ou bien "Le père Noël fait apparaître les cadeaux comme par magie dans sa hotte", ou alors "Le père Noël possède un abandonnement illimité à La Poste". Et ce parent-là n'aurait pas tout à fait tort, car il s'agit de la magie de Noël. Ceci étant, la vérité n’est pas tout à fait celle que l’on croit…
Le Santa Claus se tenait assis. Devant lui, plusieurs piles de lettres. Portant ses lunettes sur son nez, il lisait avec appétit chaque courrier sur son bureau. Pikmin se trouvait non loin, notant les cadeaux de chaque enfant, évaluant leurs acceptations et leurs valeurs. Après plusieurs heures de lecture, le lutin se mit à bougonner :
Rhoo ces enfants, ils en demandent de plus en plus chaque année... Je commence à avoir mal aux doigts...
OH ! Oh ! oh ! Répondit-il. Du calme Pikmin ! C'est presque fini. Dis moi combien de cadeaux as-tu retenu?
Deux...
Le père Noël fit les gros yeux et répliqua :
Je ne parle pas pour toi ! Je te parle de cette liste !
Ah...Pardon...Euhh...Trois milliards deux cents...Euh non! Trois milliards trois cents...Beaucoup à vrai dire.
Outch, ça en fait pas mal… Bon tu sais quoi, je vais arrêter de lire les autres lettres. De toute façon il ne restait plus que les enfants de Vertana...On les oublie.
Il tira la corbeille près de lui et jeta le restant des lettres dans la poubelle. Il rajouta :
Et par la suite, tu vas me virer tous les objets extravaguants, qu'on trouve peu dans le commerce ou dans les maisons. Et tu viens me voir quand c'est fini.
Le lutin s’exécuta et commença à supprimer certains cadeaux. Pendant ce temps-là, le Santa Claus prépara les rennes. Il les sortit de leurs enclos et les arrima sur le traîneau. Il s'approcha de l’un des rennes et lui tapota le dos, comme pour vérifier la robustesse de l'animal. Il commença ensuite par inspecter la nacelle, le niveau de carburant, les inhibiteurs inertiels et les réacteurs. Il délogea la hotte qui se trouvait dans une caisse poussiéreuse, la secoua pour enlever la poussière et le contempla un petit instant, comme si les souvenirs passés lui revenaient promptement. Soudain, un fracas se fit entendre. C'était Pikmin trébuchant dans la descente vers l'écurie. Il se releva peu à peu et annonça :
C'est bon, il ne reste plus que dix million de cadeaux dans la liste. Ce qui est encore un montant exorbitant.
Le vieil homme se caressa la barbe, en pleine réflexion. Puis, il leva son gros index en l'air et annonça:
Je crois avoir trouvé la solution ! On offre pour tout le mode le même cadeau !
Le lutin le regarda fixement avec un air désabusé.
Sérieux ? s'exclama Pikmin.
Oh ! OH ! OHH ! Un cadeau unique à reproduire, c’est la solu…
WHOUO ! Whouo ! whouo ! On se calme ! Il y a mieux à faire ! réfuta le nain.
Vous avez raison Pikmin. Lis-moi cette liste, que je sache ce que je dois chercher, demanda le Santa Claus.
Le lutin prit la liste dans ses mains, la déroula et commença à faire la lecture. La soirée s'annonça et nos deux comparses cherchaient une idée pour la distribution des cadeaux. Ils sortirent le traîneau. L'air était glacial, le bonnet du vieillard naviguait dans le vent. Le lutin se jeta sur le siège passager, derrière lui se trouvait la hotte vide. Le Santa Claus entra à son tour et observa le nain. Il annonça :
Bon, nous sommes prêt à partir. OH ! Oh ! oh !
Et pour les cadeaux, on fait comment? demanda le lutin.
Tu es au courant que Noël c'est que dans une semaine?... Rassure moi? Tu ne vas pas me faire le coup chaque année? s'écria le vieux.
Mmmh...OH ! Oh ! o...
Arrête ça ! coupa le père Noël. Approche que je t'annonce le plan !
Le lutin tendit l'oreille, et écouta avec attention. Le vieil homme annonça leur objectif de cette nuit :
Bon alors voilà, avec ta liste on va faire le tour de chaque maison et chercher chaque cadeau que les enfants veulent...ou auront.
OOOooohhh ! C'est comme la tournée de bar ! Je connais. Dit-il avec le sourire.
Mouai...Par contre si on te voit, tu arrêtes de bouger et tu fais la peluche. Compris!
Compris. Et toi, tu fais quoi?
T'inquiètes pas. Je sais quoi faire. le rassura t-il.
L'homme tira sur la manette des gaz et il s'envolèrent tout deux au firmament. Très haut dans le ciel, une traîné blanche, d'une lumière incomparable, apparut. Comme un rayon de soleil qui transperce les nuages. La nuit noire tombait et les étoiles se dévoilaient dans l'obscurité. De la nacelle, on pouvait distinguer chaque maison, chaque enfant, chaque sapin de Noël qui n'attendaient qu'une seule chose, leurs cadeaux. Le traîneau se mit à analyser et scanner chaque résidence. Puis, une sonnerie se fit entendre, indiquant une habitation isolée possédant les objets qu'ils recherchaient. Les deux complices commencèrent la descente et atterrirent non loin du domaine. Le vieil homme emporta sa hotte et sortirent tout deux du traîneau. Ils traversèrent un court chemin boisé et se présentèrent devant la porte de derrière. Le Santa Claus semblait perplexe.
Pourquoi on ouvre pas la porte ? demanda le lutin.
Est-ce que tu vois, quelque part, sur moi la clé ? prononça le père Noël.
Euh...
N'essaie même pas de répondre. Bon, tu vois cette chatière ? Tu y rentres et tu ouvres de l’intérieur.
Et pourquoi tu n'y rentres pas toi? Questionna t-il.
Le Santa Claus le regarda fixement pendant une brève minute. Le lutin finit par dire :
Je suppose que ça doit être à cause de l'épaisseur du manteau.Présuma t-il.
On va dire que tu supposes bien Pikmin. Bon, ouvre nous la porte. Ordonna le vieux.
La porte ouverte, ils entrèrent silencieusement dans la maison. Ils localisèrent certains objets dans leur liste et commencèrent à remplir la hotte. Doucement, chaque présent était disposés convenablement dans le contenant, pour éviter de faire du bruit inutilement. Ils allèrent s'en retourner quand le lutin repéra des cadeaux déjà disposés sous le sapin de Noël. Il fit signe au Santa Claus qui s'approcha subtilement de la pièce avec sa hotte sur le dos. Le lutin répliqua :
Des cadeaux déjà emballés ! On prend ?
Surtout pas. Nous ne volons pas les cadeaux sous les sapins de Noël. Remercie les parents plutôt d’avoir fait le boulot à notre place ! Ho, ho, ho…
Le père Noël fit demi-tour mais sa hotte accrocha le sapin de Noël. Sous un bruit assourdissant, le conifère s'écrasa sur le sol emportant avec lui les boules et les guirlandes qui se détachèrent. Un vide sourd et silencieux s'ensuivit. Soudain, des pas se fit entendre, se rapprochant de la pièce. Le lutin paniquait. Il proposa :
Vite, passons par la fenêtre ?
Et la hotte elle passe comment ? rétorqua le vieillard.
C'est surtout vous qui ne passerait... répondit le lutin.
Tais-toi et fais la peluche vite !
Pikmin s’exécuta et s'écroula par terre. Le Santa Claus se mit à côté du sapin et se pétrifia. Brusquement, un homme entra. Il regarda le carnage. Il regarda autour de lui et vit
que diverses objets manquaient. Mais ses yeux se porta ensuite vers le père Noël et tout particulièrement sur la hotte. L'inconnu demanda :
Mais qu'est ce que c'est que ça?
Le vieil homme leva la main comme un robot et prononça :
OH ! Oh ! oh ! Je suis le Père Noël ! Prenant une voix robotisé.
Mais je le vois bien espèce de taré ! Barrez-vous de chez moi ! Voleur ! S'écria t-il.
Pikmin ! Ça a foiré ! Lance le fumigène !
Le lutin se leva d’un coup à la plus grande stupeur de l'homme. La petite créature dégoupilla une grenade et la balança sur le sol. Une épaisse fumée apparut. Le parent se débâtit dans le vide pendant quelques secondes avant d'apercevoir qu'il n'y avait plus personne. Il sortit rapidement par derrière et vit une traînée blanche sortir de la forêt. Le Santa Claus cria "Joyeux Noël !" Et ils s'en allèrent en quête d'autres cadeaux..
***Speedy Gonzales à votre service : 3ème en xp, 2nd en destru, 2nd en officier***
Re: Event Noël, concours RP
Décompte du Père Noël
Lors d’une nuit d’hiver déjà bien entamée, un homme fut brusquement réveillé par un tapage assez dérangeant. Confortablement installé sur son lit bien douillé, l’homme ne voulait nullement se lever et essaya de couvrir les bruits (ou presque) en plaçant son oreiller sur sa tête. Mais rien n’y fit, le chahut reprit de plus belle. L’homme finit par se lever et mit sa veste de fourrure rouge, son pantalon rouge, son bonnet rouge à pompon ainsi que sa ceinture noire. Il se dirigea à vive allure vers la porte et l’ouvrit. Ecarquillant les yeux, il aperçut une meute de lutins à sa porte agglutinés les uns sur les autres.
Oh ! Mais qu’est-ce que vous voulez tous ?
Dans un immense brouhaha et sans une certaine excitation, les lutins s’exclamèrent :
Père Noël, c’est l’heure ! Père Noël, c’est l’heure ! Père Noël, c’est l’heure ! Père Noël, c’est l’heure ! Père Noël, c’est l’heure ! Père Noël, c’est l’heure !...
Le Père Noël se retourna apercevant la date et l’heure de sa pendule.
Oh ! Oh ! Oh ! pouffa le Père Noël, il est temps de préparer les commandes. Comme je le dis souvent, ne remet jamais au lendemain ce que tu peux faire le jour même.
Les lutins se regardèrent curieux puis se mirent à rire tous ensemble. Leurs rires d’un son assez aigu avaient le don de mettre le Père Noël en émoi. Il se mit à gueuler :
Ohhhhhhhhhhhhh ! C’est fini oui ?! Qu’avait-vous tous à rire ?
Un lutin s’interposa :
Dans votre sommeil il semblerait que vous ayez oublié de mettre à l‘heure votre pendule.
Oh ! Quel est ton nom lutin ?
Vous m’avez nommé Lutin Défaitiste, Père Noël.
Bien, Lutin Défaitiste… Dehors.
Au même moment un autre Lutin s’interposa :
Père Noël il nous reste que quelques jours pour préparer les cadeaux.
Oh ! Quel est ton nom Lutin ?
Vous m’avez nommé Lutin Conditionneur, Père Noël.
Bien. Lutin Défaitiste…Vous êtes réengagé. Je veux que tout le monde s’occupe de son travail. Vous me lisez les lettres si ce n’est pas déjà fait, vous préparez, vous empaquetez et vous rangez tout ça dans la hotte. Des questions ?
Un Lutin leva la main : Je sais plus qu’elle est mon boulot dans tout ça ?
Quel est ton nom Lutin ?
Vous m’avez nommé Lutin Paresseux, Père Noël.
Le Père Noël tomba sa tête sur ses mains par dépit :
Pourquoi ? Pourquoi j’ai appelé un Lutin « Paresseux» ? … Bon tous à la Santa Cave.
Tous se mirent au travail, même Lutin Paresseux. Ils commencèrent par lire les lettres. Le Père Noël appela Lutin Compteur pour compter le nombre de lettre restante à lire.
… 35451554, 35451555, 35451556, 35451557, 35451558…
D’ailleurs quelques une de ces lettres étaient intéressantes :
« Cher Père Noël,
Je souhaiterai vous commandez un de vos si précieux Lutin que j’admire tant. Je saurai m’en occuper avec amour, comme-si c’était mon enfant.
Lise »
Le Père Noël hésita un moment puis, au bout de la centième du même genre demanda à Lutin Compteur, toujours en train de compter.
…45225458, 45225459, 45225460, 45225461…
Lutin Compteur, pourrais-tu me spécifier le nombre restant de Lutin Aliéné, j’aimerais…
Une minute mon petit Père, je compte… 45225462, 45225463, 45225464, 45225465…
Le Père Noël saisit une batte de baseball qui se trouvait prête à être envoyé dans la hotte :
Lutin Testeur ?
Oui Père Noël, je suis là. Que puis-je pour vous ?
Teste-moi cette batte sur sa gueule, après demande lui de compter ces bosses. Ce n’est pas trop te demander ?
Oh ! Bien sûr que non Père Noël. Je m’en délecte d’avance.
Lutin Testeur s’approcha lentement, tirant la langue en coin de bouche très concentrée sur sa cible. Ce fut très rapide, le Père Noël eut à peine le temps de sortir sa réplique, « Oh ! Oh ! Oh ! » que Lutin Compteur, comptait ces bosses.
…Une, Deux, Trois…
Lutin Testeur, rajoutes-y un coup… Ici.
Bien…
… Huit, Neuf…
Le Père Noël s’approcha de Lutin Compteur et demanda au Lutin Testeur :
Je compte que cinq bosses, il compte quoi la ?
Les côtes cassées je crois.
Oh ! Oh ! Oh !
La hotte se remplissait à une vitesse assez fulgurante, malgré les quelques dérapages. Pendant que la plupart des Lutins finissait de préparer les cadeaux, Le Père Noël ainsi qu’une poignée de Lutins terminaient de mettre en place le traîneau.
Ooooooooooh ! Mon Lutin Mécano. Alors le traîneau sera-t-il prêt à décoller demain ?
Je pense. Les rennes holographiques fonctionnent, les moteurs sont boostés au Mana et le traîneau est tout beau, tout brillant grâce à Lutin Swiffer. Manque plus qu’à installer la hotte et que la magie de Noël prenne forme. Par contre… Je suis désolé mais…
Que se passe t-il Lutin Mécano ?
Voilà, nous avons perdu Lutin Transdistorsionnel la dernière fois que nous avons distribué les cadeaux.
Oh ! Je ne m’en souviens pas ?!
C’est vous qui l’avez poussé parce que son « téléporte-cadeau » ne fonctionnait pas alors vous avez voulu le poussez à aller plus vite en lui offrant un moment de stress pour qu’il répare le système plus vite, mais...
Ooooooooooh ! Oui ! Oh ! Oh ! Oh ! Je m’en souviens, c’était le bon temps. Mais nous avons plus de Lutin Transdistorsionnel en rab ? Lutin Compteur ? Oh ! Oh ! Lutin Compteur ?... Oh !... C’est vrai que je l’ai légèrement abîmé.
Matraqué vous voulez dire ?
J’y suis pour rien, c’est Lutin Testeur le responsable.
Au même moment, en un éclair, un Lutin apparut au milieu de la salle d’embarquement. Celui-ci s’écria :
J’ai réussi, enfin.
Le Père Noël, qui s’était caché les yeux pour se protéger du flash lui demanda :
Lutin, comment…
Je suis Lutin Transdistorsionnel.
A la bonne heure.
La soirée passait puis vient le Jour –J. La hotte était installée sur son support, le Lutin avait préparé un système pour téléporter les cadeaux sur chaque secteur en un éclair. Il ne voulait plus monter sur le traîneau avec le Père Noël suite au dernier voyage, un peu trop « stressant ». Avant de décoller il appela son Lutin Compteur.
Viens, j’ai besoin que tu décomptes le nombre de secteurs qu’il reste après chaque téléportation.
Lutin Compteur avait, bien entendu, peur que le Père Noël le jette par-dessus bord mais celui-ci lui avait juré qu’il ne lui ferait rien. Après tout, ce n’était pas si souvent qu’un Lutin pouvait monter à bord du traîneau du Père Noël, lui qui n’était jamais venu à bord, c’était pour lui l’occasion de voir le Père Noël donner les cadeaux aux enfants pour la première fois. En guise d’au revoir, le Père Noël demanda à Lutin Transdistorsionnel d’ouvrir la brèche, direction, le système de Galactica.
Une fois sur le système, le Père Noël distribua les cadeaux, Etat par Etat et avant de partir, souhaitant une bonne nuit à tous, il sortit sa phrase fétiche :
Oh ! Oh ! Oh ! Joyeux Noël à tous et à toutes. Merveilleuse Nuit !
Et c’est ainsi que Lutin Compteur et le Père Noël offrirent au monde des milliers de cadeaux. Enfin pas tout à fait… Lutin Compteur fut malheureusement jeté par-dessus bord. D’ailleurs, si un jour vous le croisez, demandez lui, « Pourquoi ? »
PS: Joyeux Noël.
Lors d’une nuit d’hiver déjà bien entamée, un homme fut brusquement réveillé par un tapage assez dérangeant. Confortablement installé sur son lit bien douillé, l’homme ne voulait nullement se lever et essaya de couvrir les bruits (ou presque) en plaçant son oreiller sur sa tête. Mais rien n’y fit, le chahut reprit de plus belle. L’homme finit par se lever et mit sa veste de fourrure rouge, son pantalon rouge, son bonnet rouge à pompon ainsi que sa ceinture noire. Il se dirigea à vive allure vers la porte et l’ouvrit. Ecarquillant les yeux, il aperçut une meute de lutins à sa porte agglutinés les uns sur les autres.
Oh ! Mais qu’est-ce que vous voulez tous ?
Dans un immense brouhaha et sans une certaine excitation, les lutins s’exclamèrent :
Père Noël, c’est l’heure ! Père Noël, c’est l’heure ! Père Noël, c’est l’heure ! Père Noël, c’est l’heure ! Père Noël, c’est l’heure ! Père Noël, c’est l’heure !...
Le Père Noël se retourna apercevant la date et l’heure de sa pendule.
Oh ! Oh ! Oh ! pouffa le Père Noël, il est temps de préparer les commandes. Comme je le dis souvent, ne remet jamais au lendemain ce que tu peux faire le jour même.
Les lutins se regardèrent curieux puis se mirent à rire tous ensemble. Leurs rires d’un son assez aigu avaient le don de mettre le Père Noël en émoi. Il se mit à gueuler :
Ohhhhhhhhhhhhh ! C’est fini oui ?! Qu’avait-vous tous à rire ?
Un lutin s’interposa :
Dans votre sommeil il semblerait que vous ayez oublié de mettre à l‘heure votre pendule.
Oh ! Quel est ton nom lutin ?
Vous m’avez nommé Lutin Défaitiste, Père Noël.
Bien, Lutin Défaitiste… Dehors.
Au même moment un autre Lutin s’interposa :
Père Noël il nous reste que quelques jours pour préparer les cadeaux.
Oh ! Quel est ton nom Lutin ?
Vous m’avez nommé Lutin Conditionneur, Père Noël.
Bien. Lutin Défaitiste…Vous êtes réengagé. Je veux que tout le monde s’occupe de son travail. Vous me lisez les lettres si ce n’est pas déjà fait, vous préparez, vous empaquetez et vous rangez tout ça dans la hotte. Des questions ?
Un Lutin leva la main : Je sais plus qu’elle est mon boulot dans tout ça ?
Quel est ton nom Lutin ?
Vous m’avez nommé Lutin Paresseux, Père Noël.
Le Père Noël tomba sa tête sur ses mains par dépit :
Pourquoi ? Pourquoi j’ai appelé un Lutin « Paresseux» ? … Bon tous à la Santa Cave.
Tous se mirent au travail, même Lutin Paresseux. Ils commencèrent par lire les lettres. Le Père Noël appela Lutin Compteur pour compter le nombre de lettre restante à lire.
… 35451554, 35451555, 35451556, 35451557, 35451558…
D’ailleurs quelques une de ces lettres étaient intéressantes :
« Cher Père Noël,
Je souhaiterai vous commandez un de vos si précieux Lutin que j’admire tant. Je saurai m’en occuper avec amour, comme-si c’était mon enfant.
Lise »
Le Père Noël hésita un moment puis, au bout de la centième du même genre demanda à Lutin Compteur, toujours en train de compter.
…45225458, 45225459, 45225460, 45225461…
Lutin Compteur, pourrais-tu me spécifier le nombre restant de Lutin Aliéné, j’aimerais…
Une minute mon petit Père, je compte… 45225462, 45225463, 45225464, 45225465…
Le Père Noël saisit une batte de baseball qui se trouvait prête à être envoyé dans la hotte :
Lutin Testeur ?
Oui Père Noël, je suis là. Que puis-je pour vous ?
Teste-moi cette batte sur sa gueule, après demande lui de compter ces bosses. Ce n’est pas trop te demander ?
Oh ! Bien sûr que non Père Noël. Je m’en délecte d’avance.
Lutin Testeur s’approcha lentement, tirant la langue en coin de bouche très concentrée sur sa cible. Ce fut très rapide, le Père Noël eut à peine le temps de sortir sa réplique, « Oh ! Oh ! Oh ! » que Lutin Compteur, comptait ces bosses.
…Une, Deux, Trois…
Lutin Testeur, rajoutes-y un coup… Ici.
Bien…
… Huit, Neuf…
Le Père Noël s’approcha de Lutin Compteur et demanda au Lutin Testeur :
Je compte que cinq bosses, il compte quoi la ?
Les côtes cassées je crois.
Oh ! Oh ! Oh !
La hotte se remplissait à une vitesse assez fulgurante, malgré les quelques dérapages. Pendant que la plupart des Lutins finissait de préparer les cadeaux, Le Père Noël ainsi qu’une poignée de Lutins terminaient de mettre en place le traîneau.
Ooooooooooh ! Mon Lutin Mécano. Alors le traîneau sera-t-il prêt à décoller demain ?
Je pense. Les rennes holographiques fonctionnent, les moteurs sont boostés au Mana et le traîneau est tout beau, tout brillant grâce à Lutin Swiffer. Manque plus qu’à installer la hotte et que la magie de Noël prenne forme. Par contre… Je suis désolé mais…
Que se passe t-il Lutin Mécano ?
Voilà, nous avons perdu Lutin Transdistorsionnel la dernière fois que nous avons distribué les cadeaux.
Oh ! Je ne m’en souviens pas ?!
C’est vous qui l’avez poussé parce que son « téléporte-cadeau » ne fonctionnait pas alors vous avez voulu le poussez à aller plus vite en lui offrant un moment de stress pour qu’il répare le système plus vite, mais...
Ooooooooooh ! Oui ! Oh ! Oh ! Oh ! Je m’en souviens, c’était le bon temps. Mais nous avons plus de Lutin Transdistorsionnel en rab ? Lutin Compteur ? Oh ! Oh ! Lutin Compteur ?... Oh !... C’est vrai que je l’ai légèrement abîmé.
Matraqué vous voulez dire ?
J’y suis pour rien, c’est Lutin Testeur le responsable.
Au même moment, en un éclair, un Lutin apparut au milieu de la salle d’embarquement. Celui-ci s’écria :
J’ai réussi, enfin.
Le Père Noël, qui s’était caché les yeux pour se protéger du flash lui demanda :
Lutin, comment…
Je suis Lutin Transdistorsionnel.
A la bonne heure.
La soirée passait puis vient le Jour –J. La hotte était installée sur son support, le Lutin avait préparé un système pour téléporter les cadeaux sur chaque secteur en un éclair. Il ne voulait plus monter sur le traîneau avec le Père Noël suite au dernier voyage, un peu trop « stressant ». Avant de décoller il appela son Lutin Compteur.
Viens, j’ai besoin que tu décomptes le nombre de secteurs qu’il reste après chaque téléportation.
Lutin Compteur avait, bien entendu, peur que le Père Noël le jette par-dessus bord mais celui-ci lui avait juré qu’il ne lui ferait rien. Après tout, ce n’était pas si souvent qu’un Lutin pouvait monter à bord du traîneau du Père Noël, lui qui n’était jamais venu à bord, c’était pour lui l’occasion de voir le Père Noël donner les cadeaux aux enfants pour la première fois. En guise d’au revoir, le Père Noël demanda à Lutin Transdistorsionnel d’ouvrir la brèche, direction, le système de Galactica.
Une fois sur le système, le Père Noël distribua les cadeaux, Etat par Etat et avant de partir, souhaitant une bonne nuit à tous, il sortit sa phrase fétiche :
Oh ! Oh ! Oh ! Joyeux Noël à tous et à toutes. Merveilleuse Nuit !
Et c’est ainsi que Lutin Compteur et le Père Noël offrirent au monde des milliers de cadeaux. Enfin pas tout à fait… Lutin Compteur fut malheureusement jeté par-dessus bord. D’ailleurs, si un jour vous le croisez, demandez lui, « Pourquoi ? »
PS: Joyeux Noël.
• L’histoire préfère les légendes aux hommes. Elle préfère la noblesse à la brutalité, les discours enflammés aux actes silencieux. L’histoire se souvient de la bataille, mais elle oublie le sang répandu... Abraham Lincoln - Vampire Hunter
Re: Event Noël, concours RP
Un homme vêtu d’une grande cape blanche apparu sur les écrans (comme à sa première apparition il gardait son visage dans l‘ombre).
Bonsoir à tous : je suis ici pour vous raconter une bien belle histoire qui a touchée mon peuple il y a bien peu de temps.
Celle-ci commence il y a quelques années, comme vous le savez tous ici. Une légende raconte que la nuit de la veille de Noël, un homme traverserait les cieux. Cet homme, de rouge entièrement vêtu, se nommerait le père Noël. Pendant cette longue nuit, il distribue des cadeaux au monde entier. Cette histoire, telle que je viens de vous la raconter n'était qu'une légende jusqu'à ce qu'un mage se mette en tête de devenir le père Noël.
En effet, étant jeune, ses parents lui avaient raconté cette bien belle histoire. Mais lorsque ils lui dirent que c’était eux qui plaçaient lors de cette nuit les cadeaux au pied du sapin, il ne put se rendre à l’évidence. Il ne voulait pas accepter cette vérité qui ne lui convenait pas. Il décida donc que si le père Noël n’existait pas alors il le deviendrait. A l’école sa magie se fit vite remarquer par les professeurs, mais quand on lui demandait d’exécuter n’importe quel rituel sa magie ne fonctionnait pas. Un jour en réparant un jouet de l’un de ses petits cousins sa magie se révéla, et en un instant le jouet pris une toute nouvelle forme, beaucoup plus belle, beaucoup plus soignée, beaucoup mieux dans tous les domaines quels qu’ils soient. C’est ce jour là que son rêve d’enfant pu devenir réalité. En effet maintenant il était capable de créer des jouets à l’infini. Il lui suffisait de dessiner un traîneau et celui-ci apparaissait. Il ne lui restait plus qu’à trouver des rennes robustes comme dans la légende. Cela ne serait pas bien difficile vu le nombre de forêts immenses que comptait la planète Vertanienne. Le problème qui allait se poser serait de les faire voler.
Il ouvrit son livre de magie et chercha le rituel qui lui fallait, et, en 5 petites minutes il le trouva. Il s’engouffra immédiatement dans la plus grande forêt que la planète possédait. Puis il revint voir un de ses amis pour qu’ils lui enchantent ses nouveaux compagnons. Une fois cela fait, il les ramena chez lui et là son rêve prit vie. Il attacha le traîneau aux rennes et fit le tour de la planète durant toute la nuit. C’était fabuleux! Les rares personnes qui l’aperçurent, furent éblouies et surprises par ce traîneau volant, tiré par 4 rennes des plus beaux et plus robustes que l’on puisse trouver sur Vertana. Une fois de retour chez lui, il récupéra tous les jouets cassés qu’il trouva et les répara tous, les uns après les autres, au fur et à mesure, sa magie se perfectionna et sa puissance archaïque grandissait.
Les grand mages voyaient cela d’un mauvais œil et avaient peur de ce que les autres Etats penseraient d’une telle force. Mais ne voulant œuvrer que pour le bien de son pays, le grand conseil ne pouvait se permettre de l‘empêcher de pratiquer sa magie.
Et durant le mois galacticain, il sortit pour la première fois distribuer ses cadeaux .Mais, ce qui devait arriver se produisit, et le kafelor vint, le vit et le vaincu. Lors de ces combats une révélation apparue : le mage par instinct et par force de volonté, concentra toute sa magie autour de lui, ce qui ne le sauva pas, mais lui permit qu’à partir de ce jour une forme archaïque reviendrait chaque année durant la période de Noël et prendrait sa place. Cette nuit là, le père Noël est né sur le petit état dénommé Malious.
Je vous remercie pour le temps que vous m’avez consacré et je vous souhaite une bonne continuation et de bonnes fêtes de fin d‘année.
Au revoir.
Les écrans se brouillèrent et revinrent sur leurs programmes d’origine.
Bonsoir à tous : je suis ici pour vous raconter une bien belle histoire qui a touchée mon peuple il y a bien peu de temps.
Celle-ci commence il y a quelques années, comme vous le savez tous ici. Une légende raconte que la nuit de la veille de Noël, un homme traverserait les cieux. Cet homme, de rouge entièrement vêtu, se nommerait le père Noël. Pendant cette longue nuit, il distribue des cadeaux au monde entier. Cette histoire, telle que je viens de vous la raconter n'était qu'une légende jusqu'à ce qu'un mage se mette en tête de devenir le père Noël.
En effet, étant jeune, ses parents lui avaient raconté cette bien belle histoire. Mais lorsque ils lui dirent que c’était eux qui plaçaient lors de cette nuit les cadeaux au pied du sapin, il ne put se rendre à l’évidence. Il ne voulait pas accepter cette vérité qui ne lui convenait pas. Il décida donc que si le père Noël n’existait pas alors il le deviendrait. A l’école sa magie se fit vite remarquer par les professeurs, mais quand on lui demandait d’exécuter n’importe quel rituel sa magie ne fonctionnait pas. Un jour en réparant un jouet de l’un de ses petits cousins sa magie se révéla, et en un instant le jouet pris une toute nouvelle forme, beaucoup plus belle, beaucoup plus soignée, beaucoup mieux dans tous les domaines quels qu’ils soient. C’est ce jour là que son rêve d’enfant pu devenir réalité. En effet maintenant il était capable de créer des jouets à l’infini. Il lui suffisait de dessiner un traîneau et celui-ci apparaissait. Il ne lui restait plus qu’à trouver des rennes robustes comme dans la légende. Cela ne serait pas bien difficile vu le nombre de forêts immenses que comptait la planète Vertanienne. Le problème qui allait se poser serait de les faire voler.
Il ouvrit son livre de magie et chercha le rituel qui lui fallait, et, en 5 petites minutes il le trouva. Il s’engouffra immédiatement dans la plus grande forêt que la planète possédait. Puis il revint voir un de ses amis pour qu’ils lui enchantent ses nouveaux compagnons. Une fois cela fait, il les ramena chez lui et là son rêve prit vie. Il attacha le traîneau aux rennes et fit le tour de la planète durant toute la nuit. C’était fabuleux! Les rares personnes qui l’aperçurent, furent éblouies et surprises par ce traîneau volant, tiré par 4 rennes des plus beaux et plus robustes que l’on puisse trouver sur Vertana. Une fois de retour chez lui, il récupéra tous les jouets cassés qu’il trouva et les répara tous, les uns après les autres, au fur et à mesure, sa magie se perfectionna et sa puissance archaïque grandissait.
Les grand mages voyaient cela d’un mauvais œil et avaient peur de ce que les autres Etats penseraient d’une telle force. Mais ne voulant œuvrer que pour le bien de son pays, le grand conseil ne pouvait se permettre de l‘empêcher de pratiquer sa magie.
Et durant le mois galacticain, il sortit pour la première fois distribuer ses cadeaux .Mais, ce qui devait arriver se produisit, et le kafelor vint, le vit et le vaincu. Lors de ces combats une révélation apparue : le mage par instinct et par force de volonté, concentra toute sa magie autour de lui, ce qui ne le sauva pas, mais lui permit qu’à partir de ce jour une forme archaïque reviendrait chaque année durant la période de Noël et prendrait sa place. Cette nuit là, le père Noël est né sur le petit état dénommé Malious.
Je vous remercie pour le temps que vous m’avez consacré et je vous souhaite une bonne continuation et de bonnes fêtes de fin d‘année.
Au revoir.
Les écrans se brouillèrent et revinrent sur leurs programmes d’origine.