Petite Histoire jedi
Publié : 30 avr. 2010, 20:18
Petite histoire Jedi
Kamar parcourait les couloirs de l'ancien temple. Il déboucha sur une immense salle, des centaines de colonnes sculptées étincelaient de petites lumières bleu, chacunes représentaient un être ayant vécu comme disciple au service de l'ordre. Le dallage d'une blancheur éclatante reflétait la lumière ce qui donnait à le pièce une apaisante sérénité bleuté. Quelques traces de brulures d'ancien combats venaient corrompre la pureté du sol. Le bruit des pas de Kamar se répercutait au travers de la grande salle. Il était seul, mais ça il s'en doutait, personne n'avait foulé le sol du temple depuis plus d'un quart de siècle. Il marchait tranquillement vers son but, il avait tout le temps. S'enfonçant de plus en plus vers le cœur du bâtiment il savourait chaque souvenir qu'il eu dans ces lieux : les entraînement avec son maître ou les autres disciples, les parties de cache cache avec Tali dans l'immense salle des piliers chacun faisant de son mieux pour surprendre l'autre. A la pensé de tout ces merveilleux moment, Kamar ne put s'empêcher de sourire, il entendait encore les rires des ces jeux d'enfants, les grondements de maîtres, leur souffles après une course poursuite en zigzaguant entre les colonnes. Ce temps lui semblait bien lointain, le temple avait changé, maintenant triste et lugubre, sans bruit, la mort et le temps avaient fais leur œuvres. Il fût parcouru d'un frisson et soupira, en passant entre les immenses colonnes, il atteignit celles du fond. Il se tenait droit devant la plus grande et la plus large des colonnes, elle représentait les maîtres de l'ordre. Percé de centaines de petites niche dans lesquelles de petit cristaux blanc scintillaient qui contrastait avec la noirceur du piliers, telle les étoiles du ciel brillant dans la nuit et apportant un peu de réconfort dans le noir.
Des centaines d'inscription gravées dans la roche, étaient recouvertes de poussière. Kamar souffla légèrement dessus, un nuage s'éleva aussitôt et il dut attendre qu'il retombe pour pouvoir lire les gravure. Il chercha celle de son maître, « tu la trouvera facilement car c'est celle en dessous de la seule pierre verte », lui avait dit son maître. Il n'eût pas le temps de l'interroger d'avantage, son maître mourut sans lui expliquer pourquoi sa pierre était verte.
Devant ses yeux brillant Kamar voyais la petite roche verte et juste en dessous l'inscription de son maître. Le coutume voulait que chaques maitres laisse une courte maxime ou un poème en dessous de sa pierre. Voilà ce qu'il put lire à propos de celle de son maître :
Pensée d'un autre temps,
Soupir d'un être rêvant.
Je ne suis l'image,
Que des songes d'un âge,
Depuis longtemps révolu.
S'asseyant, Kamar se prit la tête entre les mains, il comprenait ce que c'est mots décrivaient, une chose qu'il l'avait hanté depuis des années. Son maitre avait choisi le mot « mélancolie » pour ouvrir la salle des anciens, maintenant qu'il le savait, les dernières volontés de son mentor serait exaucée.
Kamar se releva et marcha d'un pas plus rapide, il sentit une légère perturbation dans la force et dans l'ambiance du lieu, mais n'y prêta pas attention, ce temple était imprégné d'énormément de pouvoir.
Il se trouva enfin devant la porte de la salle des anciens, rien ne permettait de croire que derrière cette porte se cachaient les plus grands trésors du temple. Noire d'encre, sans aucune gravure ou bas relief même sa planéité laissée à désirer.
Kamar se tint devant et annonça d'une voix quelque peu hésitante:
-Mélancolie
La porte ne bougea pas tout de suite, puis imperceptiblement elle s'enfonça dans le sol. Kamar attendit patiemment que l'ouverture soit complètement dégagée et s'engouffra dedans.
La salle dans laquelle il pénétra n'était pas très grande, en son centre trônait une table de pierre entourait de fauteuil poussiéreux. Dans les murs, des fentes taillées dans la roche laissaient émaner une lumière blanche identique à celle des cristaux dans la salle des colonnes. Disposé sur la table, se tenait des statuettes de Jedi entrain de méditer.
Kamar contourna la table et se rendit au fond de la pièce. Devant lui, un petit coffre enchâssait dans le roc, restait inflexible malgré le temps écoulé. Tapant trois petits coups comme son maître lui avait dit de faire sur la lourde porte, le coffre s'ouvrit en grinçant. Une dizaine d'artefact s'offrit alors à sa vue, tous aussi beau les uns que les autres, de petites pierres précieuses luisant dans la lumière de la salle. Mais Kamar ne s'intéressa qu'à ce qu'il était venu chercher : le sabre laser du père de son maître. Il le vit au fond du coffre derrière un cristal étincelant, tendant la main pour s'en saisir Kamar s'aperçut une nouvelle fois que quelque chose perturbait la tranquillité du temple. Se dépêchant, il s'empara du sabre, referma la porte du coffre qui tourna lentement sur ses gonds, et sortit de la salle. Tout en entendant le porte de la salle du conseil se refermer derrière lui, il observa la sabre qu'il venait de récupérer. Il s'aperçut qu'il ne ressemblait à aucun sabre que Kamar avait pût voir jusque là, d'habitude chaque Jedi avait un sabre correspondant à son rang dans la hiérarchie, seul les maîtres pouvaient personnaliser leur manche, même si la plupart d'entre eux trop habitués à leur sabre les gardaient tel quel.
Marchant rapidement Kamar se retrouva de nouveau dans la salle des colonnes. C'est à ce moment là qu'il entendit une respiration. Il s'arrêta, respirant le plus lentement possible. Tout ses sens étaient en éveille, fermant les yeux, il se concentra en essayant de faire abstraction des fluctuations de la force, dans son esprit la pièce commençait à prendre forme. Il voyait grâce à la force. Le monde ne lui apparaissait comme quelque chose d'instable ou des formes se mouvaient silencieusement. Tout à coup il vit caché derrière une colonne, attendant que Kamar passe pour lui sauter dessus. Il rouvrit les yeux, se demandant quelle tactique adopter pour passer. Finalement il opta pour faire comme si de rien était. Il continua son chemin et passa devant la colonne où l'inconnu était caché, mais rien ne se passa. Étonné, il poursuivit son chemin.
-Arrêtez-vous !!
Kamar obtempéra aussitôt à l'injection et se retourna tranquillement pour faire face à un jeune homme d'environ une vingtaine d'années, un sabre laser à la main. Ils s'observèrent un instant se jugeant l'un l'autre du regard, le jeune paraissait tendu, au contraire de Kamar qui prenait l'air le plus humble possible.
-Que faîtes vous ici ?!
La voix du jeune homme était mal assurée, elle se répercuta en écho dans l'immense salle. Kamar ne dit rien.
Le jeune homme, voyant que Kamar n'était pas disposé à lui répondre, activa son sabre, la lame bleu s'éleva en vrombissant dans l'air. C'était un gardien, seul les gardiens maitrisant plus l'art du combat au sabre avaient un sabre laser bleu.
-Répondez moi ! Qui êtes vous ?!
Soupirant Kamar se décida d'ouvrir la bouche pour éviter le combat.
-Je suis Kamar ancien membre de l'ordre. J'ai débuter ici.
Le jeune hommes resta là sans dire mot, mais son visage changea d'expression, et il se mit en position de combat. Ce n'était pas ceux à quoi Kamar s'attendait, il utilisa la force et son sabre suata aussitôt dans sa main.
-Alors vous et votre maître êtes des traîtres. Préparez vous à mourir.
Kamar était abasourdi comment un jeune jedi pouvait-il menacé de mort une personne? Et comment se fait-il que les maîtres l'avait fait passé pour un traître ?
Toujours sous le choc de cette révélation Kamar se rendit à peine compte que le jeune jedi s'était jeté sur lui. Aussitôt son instinct de survie le sortit de sa torpeur et le combat s'engagea. Parade, riposte, attaque, la danse de la mort commençait rapidement, et Kamar vit qu'il dominait largement son adversaire. Les idées tourbillonnaient dans sa tête, il ne pouvait pas tuer se jeune idiot. Avec un coup magistral il envoya le sabre du jeune jedi voler au loin, il le menaçait maintenant de son propre sabre . Le jeune homme était essoufflé et lança un regard noir à Kamar.
-Maintenant tu vas m'expliquer pourquoi je suis un traitre ? Dis Kamar d'une voix calme
-Parce que c'est à cause de vous que ce temple a été attaqué.
-De moi ? Est-ce les maîtres qui ont dit ça ?
-Oui. Vous et votre maître avez été déclarés comme traître et radiez de l'Ordre. Puisque que vous avez disparus alors que tout le monde embarquait pour l'évacuation, et personne ne vous a revu après.
Tout ça était vrai, mais les maîtres ne savaient pas que Kamar et son maître avaient été séparés du groupe et obligés de rejoindre un vaisseau de secours par leur propre moyen. Mais leur vaisseau fut endommagé lors de leur fuite et ils s'écrasèrent sur une planète très peu habitée. N'ayant aucun moyen de communication, ils ne purent contacter l'Ordre. Au début leur vie s'avéra difficile, puis ils apprirent à semer, récolter, élever le bétails et ils décidèrent de rester sur cette planète jusqu'à la fin de leur en vie en tant que Homme ne répondant plus au principe Jedi, mais juste à leurs idéaux. Puis un beau jour, le maître de Kamar mourut, sa dernière volonté étant que le sabre de son père demeure avec lui dans sa tombe, pour que leur esprit repose ensemble.
Alors Kamar se mit au travail réparant comme il put le vaisseau qui les avaient amenés. Et maintenant il était là menaçant un jedi.
-Je vais partir. Murmura Kamar.
Une lueur d'incompréhension se profila dans les yeux du jeune homme. Kamar désactiva son sabre et se tourna vers la sortie, laissant le jedi agenouillé dans la poussière.
Kamar parcourait les couloirs de l'ancien temple. Il déboucha sur une immense salle, des centaines de colonnes sculptées étincelaient de petites lumières bleu, chacunes représentaient un être ayant vécu comme disciple au service de l'ordre. Le dallage d'une blancheur éclatante reflétait la lumière ce qui donnait à le pièce une apaisante sérénité bleuté. Quelques traces de brulures d'ancien combats venaient corrompre la pureté du sol. Le bruit des pas de Kamar se répercutait au travers de la grande salle. Il était seul, mais ça il s'en doutait, personne n'avait foulé le sol du temple depuis plus d'un quart de siècle. Il marchait tranquillement vers son but, il avait tout le temps. S'enfonçant de plus en plus vers le cœur du bâtiment il savourait chaque souvenir qu'il eu dans ces lieux : les entraînement avec son maître ou les autres disciples, les parties de cache cache avec Tali dans l'immense salle des piliers chacun faisant de son mieux pour surprendre l'autre. A la pensé de tout ces merveilleux moment, Kamar ne put s'empêcher de sourire, il entendait encore les rires des ces jeux d'enfants, les grondements de maîtres, leur souffles après une course poursuite en zigzaguant entre les colonnes. Ce temps lui semblait bien lointain, le temple avait changé, maintenant triste et lugubre, sans bruit, la mort et le temps avaient fais leur œuvres. Il fût parcouru d'un frisson et soupira, en passant entre les immenses colonnes, il atteignit celles du fond. Il se tenait droit devant la plus grande et la plus large des colonnes, elle représentait les maîtres de l'ordre. Percé de centaines de petites niche dans lesquelles de petit cristaux blanc scintillaient qui contrastait avec la noirceur du piliers, telle les étoiles du ciel brillant dans la nuit et apportant un peu de réconfort dans le noir.
Des centaines d'inscription gravées dans la roche, étaient recouvertes de poussière. Kamar souffla légèrement dessus, un nuage s'éleva aussitôt et il dut attendre qu'il retombe pour pouvoir lire les gravure. Il chercha celle de son maître, « tu la trouvera facilement car c'est celle en dessous de la seule pierre verte », lui avait dit son maître. Il n'eût pas le temps de l'interroger d'avantage, son maître mourut sans lui expliquer pourquoi sa pierre était verte.
Devant ses yeux brillant Kamar voyais la petite roche verte et juste en dessous l'inscription de son maître. Le coutume voulait que chaques maitres laisse une courte maxime ou un poème en dessous de sa pierre. Voilà ce qu'il put lire à propos de celle de son maître :
Pensée d'un autre temps,
Soupir d'un être rêvant.
Je ne suis l'image,
Que des songes d'un âge,
Depuis longtemps révolu.
S'asseyant, Kamar se prit la tête entre les mains, il comprenait ce que c'est mots décrivaient, une chose qu'il l'avait hanté depuis des années. Son maitre avait choisi le mot « mélancolie » pour ouvrir la salle des anciens, maintenant qu'il le savait, les dernières volontés de son mentor serait exaucée.
Kamar se releva et marcha d'un pas plus rapide, il sentit une légère perturbation dans la force et dans l'ambiance du lieu, mais n'y prêta pas attention, ce temple était imprégné d'énormément de pouvoir.
Il se trouva enfin devant la porte de la salle des anciens, rien ne permettait de croire que derrière cette porte se cachaient les plus grands trésors du temple. Noire d'encre, sans aucune gravure ou bas relief même sa planéité laissée à désirer.
Kamar se tint devant et annonça d'une voix quelque peu hésitante:
-Mélancolie
La porte ne bougea pas tout de suite, puis imperceptiblement elle s'enfonça dans le sol. Kamar attendit patiemment que l'ouverture soit complètement dégagée et s'engouffra dedans.
La salle dans laquelle il pénétra n'était pas très grande, en son centre trônait une table de pierre entourait de fauteuil poussiéreux. Dans les murs, des fentes taillées dans la roche laissaient émaner une lumière blanche identique à celle des cristaux dans la salle des colonnes. Disposé sur la table, se tenait des statuettes de Jedi entrain de méditer.
Kamar contourna la table et se rendit au fond de la pièce. Devant lui, un petit coffre enchâssait dans le roc, restait inflexible malgré le temps écoulé. Tapant trois petits coups comme son maître lui avait dit de faire sur la lourde porte, le coffre s'ouvrit en grinçant. Une dizaine d'artefact s'offrit alors à sa vue, tous aussi beau les uns que les autres, de petites pierres précieuses luisant dans la lumière de la salle. Mais Kamar ne s'intéressa qu'à ce qu'il était venu chercher : le sabre laser du père de son maître. Il le vit au fond du coffre derrière un cristal étincelant, tendant la main pour s'en saisir Kamar s'aperçut une nouvelle fois que quelque chose perturbait la tranquillité du temple. Se dépêchant, il s'empara du sabre, referma la porte du coffre qui tourna lentement sur ses gonds, et sortit de la salle. Tout en entendant le porte de la salle du conseil se refermer derrière lui, il observa la sabre qu'il venait de récupérer. Il s'aperçut qu'il ne ressemblait à aucun sabre que Kamar avait pût voir jusque là, d'habitude chaque Jedi avait un sabre correspondant à son rang dans la hiérarchie, seul les maîtres pouvaient personnaliser leur manche, même si la plupart d'entre eux trop habitués à leur sabre les gardaient tel quel.
Marchant rapidement Kamar se retrouva de nouveau dans la salle des colonnes. C'est à ce moment là qu'il entendit une respiration. Il s'arrêta, respirant le plus lentement possible. Tout ses sens étaient en éveille, fermant les yeux, il se concentra en essayant de faire abstraction des fluctuations de la force, dans son esprit la pièce commençait à prendre forme. Il voyait grâce à la force. Le monde ne lui apparaissait comme quelque chose d'instable ou des formes se mouvaient silencieusement. Tout à coup il vit caché derrière une colonne, attendant que Kamar passe pour lui sauter dessus. Il rouvrit les yeux, se demandant quelle tactique adopter pour passer. Finalement il opta pour faire comme si de rien était. Il continua son chemin et passa devant la colonne où l'inconnu était caché, mais rien ne se passa. Étonné, il poursuivit son chemin.
-Arrêtez-vous !!
Kamar obtempéra aussitôt à l'injection et se retourna tranquillement pour faire face à un jeune homme d'environ une vingtaine d'années, un sabre laser à la main. Ils s'observèrent un instant se jugeant l'un l'autre du regard, le jeune paraissait tendu, au contraire de Kamar qui prenait l'air le plus humble possible.
-Que faîtes vous ici ?!
La voix du jeune homme était mal assurée, elle se répercuta en écho dans l'immense salle. Kamar ne dit rien.
Le jeune homme, voyant que Kamar n'était pas disposé à lui répondre, activa son sabre, la lame bleu s'éleva en vrombissant dans l'air. C'était un gardien, seul les gardiens maitrisant plus l'art du combat au sabre avaient un sabre laser bleu.
-Répondez moi ! Qui êtes vous ?!
Soupirant Kamar se décida d'ouvrir la bouche pour éviter le combat.
-Je suis Kamar ancien membre de l'ordre. J'ai débuter ici.
Le jeune hommes resta là sans dire mot, mais son visage changea d'expression, et il se mit en position de combat. Ce n'était pas ceux à quoi Kamar s'attendait, il utilisa la force et son sabre suata aussitôt dans sa main.
-Alors vous et votre maître êtes des traîtres. Préparez vous à mourir.
Kamar était abasourdi comment un jeune jedi pouvait-il menacé de mort une personne? Et comment se fait-il que les maîtres l'avait fait passé pour un traître ?
Toujours sous le choc de cette révélation Kamar se rendit à peine compte que le jeune jedi s'était jeté sur lui. Aussitôt son instinct de survie le sortit de sa torpeur et le combat s'engagea. Parade, riposte, attaque, la danse de la mort commençait rapidement, et Kamar vit qu'il dominait largement son adversaire. Les idées tourbillonnaient dans sa tête, il ne pouvait pas tuer se jeune idiot. Avec un coup magistral il envoya le sabre du jeune jedi voler au loin, il le menaçait maintenant de son propre sabre . Le jeune homme était essoufflé et lança un regard noir à Kamar.
-Maintenant tu vas m'expliquer pourquoi je suis un traitre ? Dis Kamar d'une voix calme
-Parce que c'est à cause de vous que ce temple a été attaqué.
-De moi ? Est-ce les maîtres qui ont dit ça ?
-Oui. Vous et votre maître avez été déclarés comme traître et radiez de l'Ordre. Puisque que vous avez disparus alors que tout le monde embarquait pour l'évacuation, et personne ne vous a revu après.
Tout ça était vrai, mais les maîtres ne savaient pas que Kamar et son maître avaient été séparés du groupe et obligés de rejoindre un vaisseau de secours par leur propre moyen. Mais leur vaisseau fut endommagé lors de leur fuite et ils s'écrasèrent sur une planète très peu habitée. N'ayant aucun moyen de communication, ils ne purent contacter l'Ordre. Au début leur vie s'avéra difficile, puis ils apprirent à semer, récolter, élever le bétails et ils décidèrent de rester sur cette planète jusqu'à la fin de leur en vie en tant que Homme ne répondant plus au principe Jedi, mais juste à leurs idéaux. Puis un beau jour, le maître de Kamar mourut, sa dernière volonté étant que le sabre de son père demeure avec lui dans sa tombe, pour que leur esprit repose ensemble.
Alors Kamar se mit au travail réparant comme il put le vaisseau qui les avaient amenés. Et maintenant il était là menaçant un jedi.
-Je vais partir. Murmura Kamar.
Une lueur d'incompréhension se profila dans les yeux du jeune homme. Kamar désactiva son sabre et se tourna vers la sortie, laissant le jedi agenouillé dans la poussière.