Lerua Vol
Publié : 02 mai 2010, 16:11
« Qu'ils meurent, je veux qu'ils meurent, enfin oui, tous, tous, tous, ils doivent tous mourir ! J'invoque ici la toute puissance divine pour qu'elle s'abatte, enfin, oui qu'elle s'abatte, mais que moi je les tue, ces mécréants, ces infidèles, qu'ils meurent ! »
Levant soudainement les bras vers le ciel, Dolgan hurla d'un cri désarticulé dont la puissance divine fit exploser la tête du malheureux être qui gisait maintenant dans une flaque de sang dont le pourpre flamboyait sur les murs pâles de la cellule.
« Cela en fait encore, encore un pour toi mon grand, mon dieu,mon éternel. Je te promets de les détruire, de les anéantir jusqu'au dernier, jusqu'au dernier. »
S'adressant soudainement aux hommes derrière lui : « Bande d'incapables, faibles, faibles, vous êtes, je suis désolé, je suis vraiment désolé mon seigneur, mon maitre, mais ils sont si ..., sauf Yodle, lui il est gentil, lui il est fort, lui il les trouve les hérétiques, les monstres qui défient notre dieu, mais quand je serai revenu..., oui quand j'aurai l'État à mes pieds nul ne résistera, et tous, oui tous trembleront devant la puissance du tout puissant »
Un acte habituel pour un monstre tout puissant, Dolgan, chétif et psychotique seigneur du clergé du Lerua Vol, pour qui le nombre de fidèles augmentait en même temps que l'ancien pouvoir déclinait. Il en était arrivé à un point où ses assassinats au nom de l'Église n'étaient plus faits dans le secret, il pouvait montrer au monde sa toute puissance magique que dieu lui avait transmise.
Il était enfin temps pour lui de mettre en place son plan, un plan qui n'avait pour but que l'asservissement de la population et la prise totale du pouvoir entre ses mains et celles de ses plus proches conseillers. Tout se passerait donc demain.
L'idée était simple, marcher vers le palais avec les partisans, et prendre le pouvoir, l'État étant devenu bien trop faible pour assurer sa sécurité. La marche avait démarré avec calme, au rythme des chants religieux, puis la parade avait commencé à sombrer dans la violence, détruisant et saccageant tout sur son passage. Cette manifestation, Dolgan à sa tête, en pleine folie avait déjà lynché plusieurs dizaines de personnes, tabassées sans ménagement au nom de dieu. Et plus la procession se rapprochait de l'ancien palais présidentiel où résidait actuellement les dirigeants de ce pouvoir décadent, et plus la haine des fanatiques montait, une clameur terrible montait de la foule qui massacra tous les gardes, soldats, ou tout ce qui pouvait rappeler le système.
Quand la foule atteignit le palais, il leva les bras vers les gardes qui le mettaient en joue et dans un hurlements les anéantit, leurs corps explosaient comme percés par des multitudes d'impacts divins, et la boucherie continua ainsi dans tout le palais jusqu'aux derniers retranchements où le président c'était réfugié
« C'est l'heure, oui l'heure de la rédemption, oh oui, oh oui venez, venez mourir, nous pouvons tous vous accueillir, et seul le seigneur sait ce qu'il vous reste mais moi je vois, je vois tout ! Je suis, enfin il est, nous, il est omniscient, et dans sa puissance je vous détruirai car je suis l'oracle, et vous êtes déjà des cadavres, vils, oh oui très vils, pantins désarticulés d'un pouvoir, oui pouvoir c'est le mot, d'un pouvoir décadent et impie. »
Soudain arriva la rencontre qui devait avoir lieu, dans la grande salle du palais.
Dans un dernier élan le président invectiva le prêtre :
« Va oiseau de malheur, et accomplit le devoir de ton faux dieu, tu laisses une plume noire telle ton âme dans cet État, et ton bec fourchu et fourbe le traverse en son cœur. Tu n'es qu'un pantin qui est manipulé par ce qu'il a crée, ton pouvoir n'est qu'illusion, et tu ne t'en rendra compte que trop tard. »
Un affrontement digne des plus grands drames suivit ces paroles, il ne dura pas longtemps, il n'y eut pas de mot, il n'y eut qu'un coup de tonnerre, une explosion d'énergie qui fit voler en éclat le visage de cet ancien pouvoir, de cet homme qui symbolisait ce qui restait de démocratie après des mots qui furent pris comme beaucoup pour un acte de faiblesse mais qui restèrent dans la mémoire de beaucoup.
Levant soudainement les bras vers le ciel, Dolgan hurla d'un cri désarticulé dont la puissance divine fit exploser la tête du malheureux être qui gisait maintenant dans une flaque de sang dont le pourpre flamboyait sur les murs pâles de la cellule.
« Cela en fait encore, encore un pour toi mon grand, mon dieu,mon éternel. Je te promets de les détruire, de les anéantir jusqu'au dernier, jusqu'au dernier. »
S'adressant soudainement aux hommes derrière lui : « Bande d'incapables, faibles, faibles, vous êtes, je suis désolé, je suis vraiment désolé mon seigneur, mon maitre, mais ils sont si ..., sauf Yodle, lui il est gentil, lui il est fort, lui il les trouve les hérétiques, les monstres qui défient notre dieu, mais quand je serai revenu..., oui quand j'aurai l'État à mes pieds nul ne résistera, et tous, oui tous trembleront devant la puissance du tout puissant »
Un acte habituel pour un monstre tout puissant, Dolgan, chétif et psychotique seigneur du clergé du Lerua Vol, pour qui le nombre de fidèles augmentait en même temps que l'ancien pouvoir déclinait. Il en était arrivé à un point où ses assassinats au nom de l'Église n'étaient plus faits dans le secret, il pouvait montrer au monde sa toute puissance magique que dieu lui avait transmise.
Il était enfin temps pour lui de mettre en place son plan, un plan qui n'avait pour but que l'asservissement de la population et la prise totale du pouvoir entre ses mains et celles de ses plus proches conseillers. Tout se passerait donc demain.
L'idée était simple, marcher vers le palais avec les partisans, et prendre le pouvoir, l'État étant devenu bien trop faible pour assurer sa sécurité. La marche avait démarré avec calme, au rythme des chants religieux, puis la parade avait commencé à sombrer dans la violence, détruisant et saccageant tout sur son passage. Cette manifestation, Dolgan à sa tête, en pleine folie avait déjà lynché plusieurs dizaines de personnes, tabassées sans ménagement au nom de dieu. Et plus la procession se rapprochait de l'ancien palais présidentiel où résidait actuellement les dirigeants de ce pouvoir décadent, et plus la haine des fanatiques montait, une clameur terrible montait de la foule qui massacra tous les gardes, soldats, ou tout ce qui pouvait rappeler le système.
Quand la foule atteignit le palais, il leva les bras vers les gardes qui le mettaient en joue et dans un hurlements les anéantit, leurs corps explosaient comme percés par des multitudes d'impacts divins, et la boucherie continua ainsi dans tout le palais jusqu'aux derniers retranchements où le président c'était réfugié
« C'est l'heure, oui l'heure de la rédemption, oh oui, oh oui venez, venez mourir, nous pouvons tous vous accueillir, et seul le seigneur sait ce qu'il vous reste mais moi je vois, je vois tout ! Je suis, enfin il est, nous, il est omniscient, et dans sa puissance je vous détruirai car je suis l'oracle, et vous êtes déjà des cadavres, vils, oh oui très vils, pantins désarticulés d'un pouvoir, oui pouvoir c'est le mot, d'un pouvoir décadent et impie. »
Soudain arriva la rencontre qui devait avoir lieu, dans la grande salle du palais.
Dans un dernier élan le président invectiva le prêtre :
« Va oiseau de malheur, et accomplit le devoir de ton faux dieu, tu laisses une plume noire telle ton âme dans cet État, et ton bec fourchu et fourbe le traverse en son cœur. Tu n'es qu'un pantin qui est manipulé par ce qu'il a crée, ton pouvoir n'est qu'illusion, et tu ne t'en rendra compte que trop tard. »
Un affrontement digne des plus grands drames suivit ces paroles, il ne dura pas longtemps, il n'y eut pas de mot, il n'y eut qu'un coup de tonnerre, une explosion d'énergie qui fit voler en éclat le visage de cet ancien pouvoir, de cet homme qui symbolisait ce qui restait de démocratie après des mots qui furent pris comme beaucoup pour un acte de faiblesse mais qui restèrent dans la mémoire de beaucoup.