Chroniques de Galactica

Un chasseur orné de quelque autocollants à l'effigie du Radestra venait de se poser. Trois personnes de sexe féminin en descendit. La première était mince et élancé. Ces cheveux étaient d'un brun brillant et lâché aux grès de la petite bise qui parcourait son visage. Ces vêtements, plus que moulant, mettait en valeur ces courbes généreuses. Son haut n'était pourtant, qu'un débardeur marron, et son bas était un pantalon militaire, avec une légère ouverture au niveau du genou gauche. Son regard d'un bleu similaire au eaux de sa planète natale reflétait son âme, sa détermination, ces envies et sa loyauté envers un peuple qu'elle aimait.
La seconde personne, n'avait rien à lui envier. Ces yeux aux couleurs d'un vert émeraude, ne donnait nullement envie de la quitter des yeux. Néanmoins, nos yeux sont très largement attirés par d'autres atout : le grand décolleter laisser par son t-shirt moulant rouge. Mais là n'était pas tous son charme, plus nous descendions le long de ces corps plus nous étions envouté. Ces fesses légèrement rebondit ne donnait, à la gente masculine, qu'une envie vouloir les prendre dans les mains et les tripoter avec générosité. Tout du moins, c'était l'impression que donnait son short court en jeans.
La troisième, et dernière personne à descendre. Portait des lunettes d'où l'on pouvait apercevoir aux travers des yeux marron. Ces cheveux mi-court et châtains lui donnait un air stricte. Les vêtements qu'elle portait ne l'aidait nullement à se défaire de ce préjugé. En effet, elle portait un tailleur, parfaitement adapté pour elle, de couleur mauve. Sa jupe bien qu'arrivant au genou, était ouverte jusqu'à la moitié de la cuisse, laissant discrètement apparaître le haut de ces bas. Elle portait dans sa main droite un petit bloc-notes où un stylo était solidement attaché.

Je suis vraiment obligé de prendre des notes ? On est pas là juste pour visiter ? Elle s'arrêta avec un long soupire, en laissant tomber légèrement sa tête vers le bas, manquant de faire tomber ces lunettes de justesse de son petit nez très esthétique sur son visage. C'est toujours la même qui se tape les notes, et les comptes-rendu pour les archives pendant que les autres s'amusent... !

La jeune demoiselle dans son haut rouge se sentit visé et lui répondit dans un regard bien moins chaleureux que celui qu'on avait put voir jusque là.

Hey ! Espirefas... Pourquoi tu me regardes en disant ça ? Je suis pas là pour faire du tourisme... ! J'escorte Hyme ! Avoua elle d'un ton hautain à sa prochaine.

Comme si elle avait besoin de toi pour se défendre... Je te rappel que...

Vous avez pas finit de vous crêper le chinions ? On est pas là pour faire du tourisme. On est pas là pour botter des fesses. Et encore moins pour draguer... Ok ? On est là pour visiter ces lieux parce qu'on aura surement à venir dans le futur, et au dernière nouvelle que mon père m'en a dit, cette endroit est parfait pour se perdre... Alors on visite ! On inspecte ! Et on note se qui peut nous être utile ! Aller venez.

Les deux jeunes femmes en retrait par rapport à Hymeraphis, avait acquiescer et arrêter leur joutes verbales.
Près de la porte d'entrée les deux même jeunes femmes regardèrent en l'air, d'un air abasourdit. Toutes deux se sentaient minuscule face à l'édifice qui se tenait juste à côté d'elle. Elle reprirent leurs esprits lorsque Hymeraphis les interpella de l'intérieur du bâtiment.
Après quelques rapides coup d'œil un peu dans tous les recoins du hall d'entrée, les trois jeunes se mirent devant le bureau d'accueil. L'hôtesse sensée s'occuper du poste de l'accueil était en train de lire un journal avec un pot de vernis à ongle près d'elle. Elle n'avait absolument pas remarqué la présence des trois jeunes femmes qui étaient plantées devant elle. Il eut fallut attendre un éternuement d'Espirefas avant de la voir pointer autre chose que le bout de ces mains magnifiquement manucuré et vernis. Surement qu'elle n'avait que ça à faire de ces journées pour avoir des ongles comme ça, s'interpella Hespina dans sa tête.

Bonjour ! Y'a moyen d'avoir quelqu'un pour nous faire visité un peu les lieux ? Histoire que l'on prenne nos marques avant que l'on envahisse tout cette endroit par nos débats et les larmes que nous aurons fait couler dans le sang et la mauvaise humeurs... ? Dit-elle d'un ton sadique mais avec un grand sourire, qui fit frémir l'hôtesse, ne se doutant nullement d'un comportement de la sorte venant d'un femme qui ne semblait absolument pas méchante et aussi sadique.

Euh... Nous n'avons pas l'habitude d'avoir des gens qui vienne pour visiter avant des interventions... Donc nous ne possédons pas de guide... Enfin il me semble...

Tu parles d'une réponse... Tu as une carte des lieux pt'être alors ? Histoire qu'on ne vienne pas à se perdre comme des merdes...

Euh... Non... Enfin si je veux dire que... Oui j'ai une carte. Mais si vous pouviez me la...

Te la rendre? Ouais t'inquiètes pas ! On est pas des voleuses quand même. J'ai mon amie là qui va se faire une grande joie de la recopié... À moins que l'on trouve de quoi la photocopié... Merci bien pour les renseignements, à toute ma petite !

Elles s'écartèrent du petit comptoir en prenant un chemin sur la gauche. Elles aperçurent les premières salles, mais également quelques têtes, ici en tant qu'ambassadeur, diplomate pour leur état en guerre ou tout simplement en tant que chef d'état en pleine visite afin de prendre des nouvelles d'autres chefs d'états.

Hyme ? Pourquoi tu prends toujours cet air de rebelle quand tu parles à des gens que tu connais pas, alors que tu es pas du tout comme ça?

Je voulais juste m'amuser... J'avais entendu dire que l'accueil au sein de la Corporation était à chier, parce que celles qui s'en occupe, malgré le fait qu'elles soient changées régulièrement sont des pimbêches... Tout du moins c'est se que j'ai lu dans l'un des rapports qu'avait écrit mon père et ma mère.

Tu parles d'un amusement... Et c'est moi qu'on traite de gamine après... Je te jure...

Rooh ! Aller ! Rigoles un peu... Fait pas ta tête de lissal.

Espirefas baissa la tête et ronchonna quelques mots imprononçables, avant que les deux autres femmes rigolent aux éclats de la situation dans lequel elles se trouvaient. Mais bien vite, les sourires et les éclats de joies se brisèrent pour laisser place à un visage à l'expression inquiète. Même la dernière des trois jeunes demoiselles, bien que moins amusé des railleries dont avait fait preuves ces deux amies, avait arrêter de faire la mou pour regarder dans une salle à leur gauche. Sur la porte on lisait « 288-3 Section B ». La porte était légèrement entrouverte et laissait passer un courant d'air glaciale. Les trois amies se regardèrent toujours l'air inquiète. Hyme ouvrit l'une de ces poches et en prit un couteau très affûté et extrêmement brillant. Elle s'approcha pas à pas de la porte, le couteau en avant. Elle la poussa délicatement, en tournant sa tête vers ces amies resté à l'arrière. Les pulsations de son cœur se faisait de plus en plus intense, bien que battant au même rythme. Son souffle s'était rallongé, et son ouïe était à l'affût du moindre bruit. Sa vue ne servait à rien tellement la pièce qui s'ouvrait à elle était sombre. Le grincement perceptible qu'émettait la porte tendit l'atmosphère encore plus qu'elle ne l'était. Hymeraphis finit par avoir ouvert la totalité de la porte. Elle mit un pied devant l'autre, toujours le couteau en avant. Dans le noir total de la pièce, elle vit, dans la salle, des yeux rouges se pointer dans sa direction. Aussi vite que ces yeux l'avait dévisagé, le noir de la pièce disparut. Hymeraphis était à terre. Hespina ainsi que Espirefas se précipitèrent sur elle lui demandant si allait bien. Elle acquiesça en se demandant qu'elle était cette chose. Elle regarda la pièce dans lequel elle avait pénétrée. Elle vit posé sur la table un dossier. Elle se rapprocha puis regarda le titre du dossier, sur lequel elle dut souffler pour l'épousseter de la poussière tenue en abondance. Elle y lut des caractères incompréhensible.

Je crois que notre visite est terminée. Il faut que l'on sache à quoi corresponde ce dossier, et surtout ce que veulent dire tout ces symboles... Espirefas ? Dit moi où est la zone de documentation dans ce bâtiment. On va aller voir ça tout de suite !

Euh... Sous-sol...!

En route les filles !

Lors de sa dernière exclamation, elle empoigna le dossier de ces deux mains. Elle se sentit comme absorbée par quelque chose... Où plutôt quelqu'un. Elle revit l'ombre avec ces yeux rouges se pointer sur elle. Mais elle réalisa que rien n'était dans la pièce sauf ces amis quand elles la secouèrent en lui demandant une fois de plus si allait bien. Elle acquiesça en se demandant si ce qu'elle venait de voir était de la magie et si oui qu'elle était son type pour qu'elle puisse provoquer une si grande secousse.

Toutes les trois étaient en route pour le sous-sol, qu'elles n'avaient pas encore exploré. Un sous-sol renfermant des centaines d'années sous formes de dossiers. Un sous-sol, où, autrefois, de nombreuses personnes venaient laisser des traces de leur présence dans l'univers galacticain. Mais depuis quelque temps, seuls les plus grands états, les plus grandes alliances avaient le droit de figurer dans les archives de ce fameux sous-sol. Les raisons étaient obscures, et souvent dès que les conversations abordaient ce sujet, le silence était de mise.
Des choses obscures, c'est aussi ce qui amenaient les trois jeunes radestriennes en ce lieu.
Le dossier que portait Hymeraphis sous son bras n'était pas des plus agréable, non pas par son poids physique, mais par son poids qu'il engendrait mentalement. Personne ne voyait rien, pas même Hyme elle même, mais doucement, le dossier la happait dans une dimension sombre et rempli de désespoir, de peur et d'angoisse. Plus elle s'éloignait de la salle où elle l'avait prit, plus le noir ce faisait présent dans son cœur.

On va où?

Bah au sous-sol ! Pourquoi tu poses une question aussi idiote?

Ta gueule ! Je ne t'ai rien demandé !

Espirefas qui avait lancé une simple boutade ne comprenait pas la réaction de son amie. Elle chercha une explication dans le regard de Hespina, qui ne comprenait pas non plus l'irritabilité soudaine de son amie et souveraine.

T'es sûre que ça va Hyme ? Pourquoi tu as prit un ton aussi méchant sur Espirefas alors qu'elle n'a fait que de te répondre...

Je... Je vais te tuer ! Je vais vous tuez! Et vous n'y pourrez rien !

Une fois de plus les deux amies subissant les offensives verbales, ne comprenaient pas se qui se passaient. Elles cherchaient simultanément de l'aide dans le regard le l'autre, sans l'ombre de réponse.
Elles se retournèrent sur leur amie commun et la vire une dague à la main. Elles commencèrent à se crisper. Elles se demandèrent se qui lui prenait de les menacés avec une dague. Une dague étrange. Cette dague était teinte de noir de partout excepté sur le tranchant de la lame où l'on pouvait voir du sang coulé comme si elle venait d'être utilisée.
Hespina et Espirefas lui demandèrent d'arrêter ça. Comme hypnotisée, Hymeraphis avançait pas à pas, sans ce soucier de ce qu'elles venaient d'entendre. Le dossier qu'elle transportait depuis la salle, était sous le bras gauche de Hymeraphis. C'était de ce bras qu'elle tenait la dague. Choses encore étrange, puisqu'elle était droitière.
Le couloir dans lequel elles se situaient, était un couloir de pierre et étroit. Les flammes sur les murs dansaient avec le vent qui arrivait du fond du couloir. Hymeraphis continuait d'avancer. Ces pas étaient lents et déterminés. Plus elle se rapprochait de ces amies, plus les flammes suspendu dansaient. L'atmosphère dans le couloir devenait de plus en plus pesant. L'air devenait presque irrespirable. Les flammes continuaient à danser. Tout les espoirs, pour arrêter Hymeraphis semblaient perdu. Elle continuait à avancer malgré mainte tentative. Elle ne se trouvait maintenant que à quatre pas des deux autres jeunes femmes, qui n'avait pas bouger. Elle fit un autre pas en avant. Elle empoigna la dague fermement. Dans un coup violent, la dague atteint l'abdomen de Espirefas. Les lumières, en même temps que le coup portés, s'éteignit, laissant place à une pénombre déstabilisante. Hespina regarda devant elle, elle vit deux grand yeux rouges fixés sur elles. Des yeux qui semblaient remplient de haine, de douleurs et de désespoir.

Hyme... Tu n'es pas toi ! Reprend toi ! Tu es possédée ! S'il te plait ne me tue pas ! Regarde se que tu as fais déjà à Espirefas... Ton esprit est plus fort que cette chose !

Pendant le chemin, Hymeraphis avait raconté ce qu'elle avait vue dans la salle où elle avait trouvée le dossier, et ceux dans les moindres détails. Hespina en voyant les yeux rouges, retrouvait la sensation qu'avait éprouvé son amie avant que l'ombre ne s'en aille. Elle espérait également qu'elle allait s'en aller. Elle n'eut pas le temps de voir si l'ombre serait partie ou pas. Un individu à l'arrière de Hyme illumina le couloir. Le couloir qui était passé au noir total pendant l'assaut devint le plus éclairé de tout le bâtiment en quelque seconde. Hymeraphis qui avait le poignard au dessus de la tête de son amie, repris connaissance. En même temps que son retour à la réalité, le poignard disparaissait en grain de sable. La souveraine du Radestra, regarda son amie à terre. Elle s'écroula au sol et tenta d'arrêter le saignement.
Pendant que Hymeraphis pleurait et demandait à son amie de tenir bon, Hespina se précipita sur l'homme qui venait de la sauver.

Qui êtes vous? Comment vous remerciez? Comment avez vous fait pour faire partir ce monstre qui contrôlait mon amie?

À chaque temps sa connaissance. Va soigner ton amie à terre en vidant ce flacon sur sa blessure et va consoler ton autre amie qui est en possession d'un ouvrage plus qu'important. Je reviendrais t'expliquer, à tes amies et à toi, se que vous devez savoir quand le moment sera venue.

Mais...

L'homme disparu comme il était apparu laissant Hespina face au vide. Elle commença à s'interroger avant de reprendre ces esprits et d'accourir auprès de son amie le flacon à la main. Elle se demanda si elle devait lui faire confiance. Elle regarda la fiole dix bonnes secondes avant de verser la totalité sur la blessure qu'avait causé la dague. Dans le couloir on entendit un double hurlement effroyable. Le premier était familier, car il appartenait à Espirefas, encore au sol, qui se tordait de douleur. Le second était à glacer le sang des trois radestriennes. Les torches qui avaient été rallumé par l'homme, se mirent à s'éteindre les unes après les autres, avant de se rallumer de nouveaux. Le clignotement des torches étaient accordées au hurlement entendu. Le hurlement se tue soudainement. Dans le même temps, Espirefas se redressa demandant à ces amies se qui venait de se produire.

Retournons au Radestra, avec ce dossier... Mais... Avant cela, essayons de le recouvrir d'un vêtement quelconque... Tu me permets Espirefas?!

Hespina prit la veste de la jeune femme en la remerciant et recouvrit le dossier du mieux qu'elle pouvait avant d'aider ces deux amies à se relever. Sur le chemin vers leur chasseur, Hespina ne dit pas un mot. Elle se questionnait sur l'homme, sur le dossier et sur la soudaine guérison de son amie grâce au flacon versé sur sa blessure. Autant de qu'elle ferra partager à ces amies une fois de retour sur leur planète.

Les trois jeunes femmes remontèrent et empruntèrent les chemins prit auparavant. Bien entendu, elles trouvèrent le moyen de se perdre. Un chemin par ci. Un chemin par là. Voilà que les trois jeunes femmes commençaient à en avoir assez de tout ces chemins.

J'en ai marre de marcher ! En plus j'ai l'impression qu'on tourne en rond...

Peut être parce que l'on tourne en rond... Mais tu sais le plus étrange c'est qu'on tourne en rond dans la section B autour de cette salle !

Elle montra du doigt une des salles qui était dans le couloir. Le plus suspect était que peu importe où elles allaient, Cette salle était là. À droite. À gauche. Devant elles. Derrière elles. Cette fameuse salle 288-3, d'où sortait ce petit paquet d'archive que portait Hespina avec précaution.
Les trois amies en avaient marre. Elles s'arrêtèrent alors que la salle se trouvaient à leur droite. Elle regardèrent devant elles et voyaient un long couloir gris avec plusieurs portes de parts et d'autres sur le chemin. Elles se retournèrent et virent le même schéma.

Sa te donne vachement envie de venir ici tout ça, tien... En plus ce gris... Sa m'énerve... Je vais en vomir bientôt... Enfin... Une idée de comment on peut se sortir de se labyrinthe? Parce que moi aucune. D'ailleurs je pose mes fesses par terre... En espérant que c'est pas trop crado!

J'ai bien une idée moi mais... Elle ne peut pas se réaliser, je crois.

Pendant que Hymeraphis posaient ces fesses, qu'elle trouva froid, elle fut intrigué par les paroles de son amie Et lui demanda de quoi elle parlait. Espirefas, tout aussi intrigué répéta, avec le sourire, les même paroles de Hyme afin de lui faire comprendre qu'elle aussi se trouvait intéressé par de quelconques explications et une astuce pour s'en sortir. Elle en profita également pour s'assoir; s'assoir de telle manière pour que l'on ne puisse pas voir au dessous de sa jupe, même si elle se doutait bien que personne ne passerait dans ce coin plus que bizarre.
Hespina les voyants faire s'assit également. Elle secoua la tête de droite à gauche. Et pris une inspiration plus grande que la normal avant de commencer à raconter les événements qui s'étaient passés dans le couloir en pierre.

Après que Espirefas est été poignardé par toi Hyme. Tu t'es approché de moi, pour surement me réserver le même sort. Et un homme est apparu à l'arrière. Il avait avec lui un stock de lumière assez impressionnant, car le couloir qui était dans la pénombre total. Il l'a fait redevenir lumineux... Mais en fois dix! Et puis surtout, je sais pas comment il a fait. Mais il t'a fait reprendre connaissance. Il a chassé cette espèce de chose qui te possédait. Mais une chose me surprend encore plus, c'est que vous vous en souvenez pas... Je me demande pourquoi. Et vue la lumière qu'il dégageait en plus, c'est plutôt dure de ne pas se demander d'où elle provenait.

Tout simplement parce que je ne voulais pas qu'elles me voient... Encore Espirefas n'aurait pas été gênant mais Hymeraphis... Si... !

Hespina se retourna dans tout le sens, en entendant la voix de la personne qui l'avait sauvé. Cette individu qu'elle ne connaissait nullement, mais qui semblait, lui, les connaître. Elle fut surprise en se tournant de voir personne. Elle se demanda même si elle ne devenait pas folle, ou si elle ne rêvait pas. Pour ça, elle se pinça. Elle se pinça même un peu trop fort, car elle se fit mal. Les filles, assissent en face d'elle se regardèrent et se demandèrent se qui lui prenait.

Un truc ne vas pas Hespina? On te voit gigoter ta tête dans tout les recoins du couloir et même te faire mal en te pinçant...

Ça va ! Juste que... J'ai entendu la voix de l'homme dont je vous parlait. Il m'a dit qu'il ne voulait pas que tu le vois Hyme. Il ne m'a pas expliqué pourquoi... Mais il doit avoir ces raisons... En tout cas ce gars m'a sauvé la vie... Il a sauvé la vie de Espirefas... Et a dépossédé Hyme de cette chose qui voulaient nous tuer... Et pourtant, je me demande toujours si je dois lui faire confiance.

Fait moi confiance !

Hespina se leva d'un coup vif. Elle se tourna dans tout les sens. Et cria « Montre toi ! ». Hespina avait de plus en plus l'impression de devenir folle. Plus elle se posait des questions, plus la voix de l'individu se faisait présente. Elle se tournait, pour se retourner, et enfin se reretourner. Mais rien. Il n'était pas là. Elle cria encore une fois, en espérant qu'il se montre. Mais encore une fois c'était un échec.

Si tu ne veux pas apparaître, alors indique nous le chemin pour partir d'ici !

Une lumière fit son apparition au loin, par mouvement brusque mais lent.. En se rapprochant d'où était positionnés les filles. Hespina demanda aux filles de regarder. Elle montrait du doigt l'homme qui approchait. Elle tourna la tête vers ces amis. Elle vit Hymeraphis pétrifié. Son bras droit était légèrement suspendu dans l'air. Sa tête était en plein rotation. Quand Espirefas vis son amis pétrifié, elle se précipita sur elle. Sans se soucier dans l'immédiat de l'arrivé de l'homme.

Ne t'inquiète pas elle va bien. Elle est juste pétrifié le temps que je suis là. Car je ne veux pas qu'elle me voit. Si elle me voit, je pense que cela l'affecterai énormément...

Mais qui êtes vous à la fin pour pouvoir dire ça? Vous êtes une vulgaire entité, qui essayer de faire le bien autour de vous?!

Crois se que tu veux... Mais je t'assure que je ne suis pas qu'une simple entité... Je suis bien plus que ça... Je suis ici, grâce à la magie que j'ai put apprendre auprès de ma mère. Une grande magicienne. Sans magie, je serais comme beaucoup dans Galactica. Un simple mort...

Arrêtez de tournez autour du pot! Et dite nous qui êtes vous? Ou bien réveillez Hyme... ! Puisque vous dites qu'elle vous connait... Au moins elle, elle nous dira qui vous êtes !

L'homme fit un sourire. Il fit un mouvement assez ample avec son bras, l'amenant du bas vers le haut. Il marmonna quelques mots incompréhensible.

Dans deux minutes votre amie va reprendre connaissance. Je reste là... C'est dommage que vous soyez impatientes toutes les deux. J'espère pour vous que cela ne vous jouera pas des tours plus tard.

Vous êtes certain qu'Hyme va se remettre de son état de stase? Je ne vous fait pas confiance... ! Nous ne savons même pas qu'elle est votre nom. Ni même pourquoi vous nous aider... C'est gênant, apeurant pour ne pas dire affolant !

Pendant les deux minutes, l'homme fut submergé par les deux femmes qui lui posaient des tas de questions. Auxquelles l'homme répondit à chacune par un sourire, certaine fois plus visible que d'autre. Il s'était également assis en face de Hymeraphis, afin que dès qu'elle reprendrait connaissance, ce fut lui qu'elle vit.
Les deux minutes passèrent rapidement. Et Hymeraphis repris connaissance.

Je rêve ! C'est un rêve ?!

Elle se mis sur ces genoux et attrapa l'homme dans ces bras. Elle le prit dans une étreinte plus qu'amical. L'homme lui rendit l'étreinte. Pendant que les deux amies à côtés qui avaient harcelé l'homme sous une pluie de question, se tue soudainement. Elle laissa leur bouche entrouverte, qui faisait apparaître tout l'étonnement dont elles étaient éprises. Les larmes qui coulaient le long des yeux de Hymeraphis ne manqua pas à ceux de ces amies, déjà plus que sous le choc.
Hymeraphis se leva dans un mouvement brusque, en arrêtant l'étreinte avec l'homme, et en séchant les larmes avec l'intérieur de son bras

Hespina... Espirefas... Je vous présente... Mon père ! Lizo... Empereur autrefois du Solquado...

La révélation de l'identité de l'homme, eu pour réaction de rendre encore plus béa les deux jeunes femmes. Les têtes déconfites que faisaient aussi bien l'une que l'autre, fit rire Lizo qui se remit debout.
La première à reprendre ces esprits fut Hespina. Esprit qu'elle reprit après plusieurs secondes.

Tu parles d'une surprise... Comment aurais-je put deviner?

Tout ça c'est beau... J'en suis contente pour toi Hyme... Et je veux pas casser l'ambiance... Mais... un soucie reste entier après donc l'apparition de ton père... Le fait qu'on peut pas sortir de la Corportation et que cette maudite salle 288-3 nous suit !

Les derniers paroles de Espirefas ramena tout le monde à la triste réalité. Avancer n'aurait servit à rien, car elles avaient déjà essayer. Faire marche arrière ne servait à rien puisqu'elles avaient aussi essayer. Les trois jeunes femmes baissa la tête et soufflèrent à l'unisson. Un souffle de désespoir.

Vous croyez que je vais vous laissez ici? Vous croyez que je suis là pour voir ma fille mourir de faim, de soif et perdre tout morale? Je vais vous aidez. Mais pour ça... Il va falloir traduire ce livre... Et ça... C'est pas gagner.

Lizo engagea alors une petite discussion avec les trois jeunes femmes afin de leur préciser une manipulation à faire, afin que l'ombre qui avait déjà failli causer la mort de l'une d'entre elles, ne puisse pas se ressaisir une nouvelle fois de l'une des trois pour causer un acte sordide. Et ainsi pouvoir ouvrir le livre pour commencer à le déchiffrer en toute sécurité.

Je ne pensais pas qu'ils vous trouveraient tout de suite... Visiblement leurs pouvoir ont augmentés. Et il va falloir s'en débarrasser rapidement.

Beaucoup d'interrogations se mirent à flotter dans la tête des trois jeunes femmes notamment l'évocation qu'il n'y est pas une seule ombre mais plusieurs. Mais également le fait que tôt ou tard, elles auraient dut les affronter. Mais ce n'était pas encore l'heure des questions. Elles attendraient d'être rentré sur le Radestra avant d'avoir des explications plus précises.