DSK et assimilés
Publié : 16 avr. 2013, 21:50
L’action d’alors se passe dans un endroit reculé du Némérion. Dans une cellule lugubre, un homme était recroquevillé dans un coin. Seule sa forme était perceptible, tant l’obscurité engloutissait cette tanière. Soudain, 2 gardes ouvrirent la porte de la cellule.
Le cliquetis des chaines eurent un effet immédiat dans l’esprit du misérable bonhomme qui se mit à gémir. Les gardes entrèrent et soulevèrent brutalement le prisonnier qui tenta de mettre des mains aux fessiers de ses geôliers. Une claque tonitruante eut raison de son initiative pour le moins débile et il reçut pour récompense une paire de menottes.
-Il faut les polir, sinon ça va rouiller ! S’exclama l’homme
-« Ta gueule et marche, connard » Lui gratifia-t-on
Le couloir était long et presque aussi lugubre que la geôle, même si l’on percevait mieux le trio fraichement composé. Mr Delanativité se reprochait à ce moment précis de nombreuses actions. Oui il n’aurait jamais du faire confiance à Bob, son ancien compère et ministre de l’économie du Némérion. Oui il n’aurait peut-être pas du copuler avec différents détenus pour financer son trafic de cigarettes car chopper à la fois l’herpes, les morpions et les Hémorroïdes, même pour un masochiste, c’est un peu dur.
Enfin, Mr Delanativité n’aurait peut être pas du faire suicider cette substitut du procureur, venu 2 mois plus tôt. Il se souvint encore quand il était dans une cellule confortable et éclairée, séparée du couloir par une épaisse vitre de verre blindé. Cette jeune demoiselle s’appelait, de mémoire, Clarice Starling.
-S’il vous plait, Mr Delanativité, aidez moi à coincer Buffallo Bob une bonne fois pour toute ! Il en est à sa 3ieme victime et il continue à tuer. Son mode opératoire est toujours le même et il met toujours un billet de 500 dollars dans la bouche de la victime.
Quelle conne celle-là ! C’est du Bob tout craché ! Et dire que je pourrais être avec lui à regarder une jeune demoiselle dans un trou de 4 mètres, tout en lui conseillant de mettre de la crème et d’être une fille obéissante.
Et le président du Némérion se retrouvait à marcher le long d’un couloir, les chaines s’entrechoquant les unes contre les autres, malmené par 2 gardes bourrus.
Alors que le trio arrivait à destination, Mr Delanativité eut un petit sourire en repensant à son plan d’évasion. En effet cet échafaudage était d’un machiavélisme diabolique.
- Rien de plus simple, suffit que l’on me donne une paire de faux seins, des porte-jarretelles et une paire de talons aiguilles. Je fais le Ladyboy une semaine, je suce quelques gardiens et c’est la liberté assurée !
La lumière envahissait le vestibule dans lequel le petit groupe venait de pénétrer. Mr Delanativité dut plisser ses yeux tant la lumière l’aveuglait.
-« Prisonnier 6969, 15 minutes de parloir » dit la standardiste.
S’approchant du compartiment lui étant réservé, Mr Delanativité reconnu la personne assise de l’autre coté grâce à sa poitrine outrageusement siliconée. Réajustant pour l’occasion sa robe de chambre léopard, le président déchu s’asseya et décrocha le combiné
- Ahhh Nabilla, ma péripatéticienne préférée !
- Allo ?
- Quoi qu’est ce qu’y a ? T’entends rien ?
- Je sais pas vous me recevez ?
- Bah c’est un combiné de parloir, qu’est ce que tu veux que je te dise
- Non mais Allo quoi
- J’apprécie ton humour sémillant ma petite Nabilla mais j’ai pas beaucoup de temps pour t’expliquer mon plan d’évasion la…
- T’as des cheveux t’a pas de shampoings
- J’idolâtre vraiment ta condescendance Nabilla mais s’il te plait écoute moi bordel !
- Genre je te dis, je suis une fille j’ai pas de cheveux
- Putain Nabilla fais pas ta conne c’est pas le moment !!!
- Non mais allo quoi
- Gniéééé SALOPE !!!
Mr Delanativité commença alors un bondissement en direction de la poitrine de son interlocutrice. Il se mangea lamentablement le plexiglas qui le séparait d’elle. Poussé par ses pulsions incontrôlables, Mr Delanativité se résolut à lui faire des gestes obscènes avec son majeur et sa bouche. Les 2 gardes, passablement passifs, se décidèrent à saisir l’ancien président et à le trainer jusqu'à sa cellule.
- Garage ! Bites Poils Couilles !!!! Cria-t-il jusqu'à ce que les geôliers le balancèrent dans sa cellule. Se relevant péniblement, Mr Delanativité se retourna et vit qu’il n’était pas seul. Un nouveau détenu lui faisait face.
- T’es qui toi ? demanda l’ancien président
- On m’appelle Bob
- Oh Nabilla, t’es vraiment qu’une catin
Le cliquetis des chaines eurent un effet immédiat dans l’esprit du misérable bonhomme qui se mit à gémir. Les gardes entrèrent et soulevèrent brutalement le prisonnier qui tenta de mettre des mains aux fessiers de ses geôliers. Une claque tonitruante eut raison de son initiative pour le moins débile et il reçut pour récompense une paire de menottes.
-Il faut les polir, sinon ça va rouiller ! S’exclama l’homme
-« Ta gueule et marche, connard » Lui gratifia-t-on
Le couloir était long et presque aussi lugubre que la geôle, même si l’on percevait mieux le trio fraichement composé. Mr Delanativité se reprochait à ce moment précis de nombreuses actions. Oui il n’aurait jamais du faire confiance à Bob, son ancien compère et ministre de l’économie du Némérion. Oui il n’aurait peut-être pas du copuler avec différents détenus pour financer son trafic de cigarettes car chopper à la fois l’herpes, les morpions et les Hémorroïdes, même pour un masochiste, c’est un peu dur.
Enfin, Mr Delanativité n’aurait peut être pas du faire suicider cette substitut du procureur, venu 2 mois plus tôt. Il se souvint encore quand il était dans une cellule confortable et éclairée, séparée du couloir par une épaisse vitre de verre blindé. Cette jeune demoiselle s’appelait, de mémoire, Clarice Starling.
-S’il vous plait, Mr Delanativité, aidez moi à coincer Buffallo Bob une bonne fois pour toute ! Il en est à sa 3ieme victime et il continue à tuer. Son mode opératoire est toujours le même et il met toujours un billet de 500 dollars dans la bouche de la victime.
Quelle conne celle-là ! C’est du Bob tout craché ! Et dire que je pourrais être avec lui à regarder une jeune demoiselle dans un trou de 4 mètres, tout en lui conseillant de mettre de la crème et d’être une fille obéissante.
Et le président du Némérion se retrouvait à marcher le long d’un couloir, les chaines s’entrechoquant les unes contre les autres, malmené par 2 gardes bourrus.
Alors que le trio arrivait à destination, Mr Delanativité eut un petit sourire en repensant à son plan d’évasion. En effet cet échafaudage était d’un machiavélisme diabolique.
- Rien de plus simple, suffit que l’on me donne une paire de faux seins, des porte-jarretelles et une paire de talons aiguilles. Je fais le Ladyboy une semaine, je suce quelques gardiens et c’est la liberté assurée !
La lumière envahissait le vestibule dans lequel le petit groupe venait de pénétrer. Mr Delanativité dut plisser ses yeux tant la lumière l’aveuglait.
-« Prisonnier 6969, 15 minutes de parloir » dit la standardiste.
S’approchant du compartiment lui étant réservé, Mr Delanativité reconnu la personne assise de l’autre coté grâce à sa poitrine outrageusement siliconée. Réajustant pour l’occasion sa robe de chambre léopard, le président déchu s’asseya et décrocha le combiné
- Ahhh Nabilla, ma péripatéticienne préférée !
- Allo ?
- Quoi qu’est ce qu’y a ? T’entends rien ?
- Je sais pas vous me recevez ?
- Bah c’est un combiné de parloir, qu’est ce que tu veux que je te dise
- Non mais Allo quoi
- J’apprécie ton humour sémillant ma petite Nabilla mais j’ai pas beaucoup de temps pour t’expliquer mon plan d’évasion la…
- T’as des cheveux t’a pas de shampoings
- J’idolâtre vraiment ta condescendance Nabilla mais s’il te plait écoute moi bordel !
- Genre je te dis, je suis une fille j’ai pas de cheveux
- Putain Nabilla fais pas ta conne c’est pas le moment !!!
- Non mais allo quoi
- Gniéééé SALOPE !!!
Mr Delanativité commença alors un bondissement en direction de la poitrine de son interlocutrice. Il se mangea lamentablement le plexiglas qui le séparait d’elle. Poussé par ses pulsions incontrôlables, Mr Delanativité se résolut à lui faire des gestes obscènes avec son majeur et sa bouche. Les 2 gardes, passablement passifs, se décidèrent à saisir l’ancien président et à le trainer jusqu'à sa cellule.
- Garage ! Bites Poils Couilles !!!! Cria-t-il jusqu'à ce que les geôliers le balancèrent dans sa cellule. Se relevant péniblement, Mr Delanativité se retourna et vit qu’il n’était pas seul. Un nouveau détenu lui faisait face.
- T’es qui toi ? demanda l’ancien président
- On m’appelle Bob
- Oh Nabilla, t’es vraiment qu’une catin