Un avenir incertain

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Van Shyrius

Un avenir incertain

Message par Van Shyrius »

Le soleil semblait atteindre son paroxysme, les rayons solaire réchauffé la plaine verdoyante de la campagne de l’Aelendil, ici et la, des abeilles butinées quelques fleurs dans les grands champs de Aïode cette jolie petite fleur de d’un rose clair, symbole de passion quand on l’offrait a une jeune fille que l’on aime.
Quelques petits animaux parcourait le sous bois, la se trouver assis sur deux tronc abattu il y a quelques temps par des bucherons a la recherche de bois de chauffe, il piqueniqué la, discutant de tout ce qui les entourés, la se trouvait deux homme.

L’un Francisco de Quevedo, était un homme légèrement bossus, d’un mètre soixante dix, et pesant bien a vu de nez environs soixante quinze kilos, il boitait quand il marchait faute d’une blessure ancienne faite lors d’une bataille pour sa patrie.

Le second s’appelé , Diego Alatriste y Tenorio un de ces vieux soldats comme ont en fera surement plus, il était peu loquace envers les autres mais une langue bien pendu envers ceux qu’il aimait et admiré, l’œil bleu, ces cheveux blond arrivait à ces épaules il ne mesurait pas moins de un mètre quatre vingt , il était de cette race de sans peur, même quand l’heure de sa mort viendrait, il serait encore la avec sa longue cape noire, et son pourpoint en cuir noire, sa dague fermement tenue dans sa main droite sur le pommeau de sa belle lame d’acier forgé enchanté par les meilleurs mages de ce millénaire.
Tout deux dégusté le fruit de leur labeur et de leur rapine, leurs soldes d’anciens soldats était bien maigre selon eux, les risques encourut était grand admirent que c’était mieux que de ne rien avoir du tout comme tout ces pauvres estropiée a vie renvoyé de l’armée a l’époque de leur service, qui ne rassurent aucune solde après leurs blessures.
Quevedo regarda sa maigre tranche de pain, étalant un pâté ressemblant plus à une de ces pâtés pour animaux plutôt qu’à une nourriture humaine, il regarda alors Alatriste et lui fit un sourire léger, puis dégusta son petit sandwich au pâté, Quevedo fini par prendre la parole :


Il est bien loin le temps ou nous servions sous Guevara l’humaniste… Quevedo soupira, tu te souviens de la bataille contre Warren Shadowsong ?

Alatriste regarda son compagnon et soutint son sourire, ils se connaissaient depuis si longtemps qu’aucun conflit ne pourrait jamais les séparé, ils étaient frère d’arme et de sang.


Bien sur, tu te rappelle ce jours ou ont avait pu dépecer comme un lapin ce soldat du Shadowsong, ont avaient bien rit le bon vieux temps... sa me manque aujourd'hui…

Tu te souviens aussi de la bataille contre la Confrérie du Thorium ? C’était une boucherie a cette époque rien à voir avec ces tocards actuels, la il y avait pas ces « missilages en règle » … Nous nous battions avec nos tripes la dague et l’épée a la main faisant des bottes, estocade et parade en tout genre, essayant de sauver notre vie, qu’importe l’adversaire. Il finit par soupirer à son tour.


Les deux hommes éclatèrent de rire, puis continuèrent quelques temps a pique niquer tranquillement dans leur bivouaque improviser.

La vielle génération disparait inexorablement Diego, on est les dernier poilu de l’Aelendil, et ont nous traite comme des chiens ce qui me fais penser a ce petit poème improvisé :

Pour la patrie nous sommes,
Toujours la pour elle a son appel
Son appel terminé
Au revoir, n’a jamais



Les deux hommes rirent ensemble sur cette petite prose improvisé de Quevedo, il aimait a faire de la prose de temps a autre

Mon vieil amis, tu es toujours prompte a faire de la prose, je t’envie, moi je ne suis plus qu’un vieux malandrin qui arpente les rues des villes pour accomplir des meurtres sur commande, aucune pitié, toujours payé une misère…
Regarde tout ces états, ils ne sont plus qu’hypocrite, ils mériteraient pour la plupart qu’a n’être égorgé que comme des porcs, et encore c’est une insulte pour les porcs, Quevedo croit moi… l’ancienne génération disparait la nouvelle engloutie l’univers souillant le passé glorieux de vieux soldats comme nous avec la « justice » et toute leurs inepties de paix durable…


Diego enfonça fermement son chapeau sur sa tête pour ce protégé du soleil qui était enfin au zénith.

Dire que c’est grâce a nous que ses poltrons sont chef d’Etat sa me fait mal de voir sa… Tu sais Diego, a par utiliser des missiles, les soldats ne s’entraines plus, les vaisseaux rouilles, plus rien ne tiendra jamais debout, il trouve plus rentable d’exterminé radicalement toute trace humaine au nom de la « paix durable » … Tant qu’ils peuvent poser leur cul sur la commode quoi…

Quevedo pris le pichet de vin qu’il affectionnait toujours autant malgré les années, un de ces vieux vin qui rappelé les pleines dorés de l’Aole les iles au sud de l’Etat Aelendil, c’était une région extrêmement fertile ou l’ont y plantaient des Viel : des arbres dont les fruits était impropre a la consommation, ou après plusieurs affinage on en récolté le jus que l’ont mettait dans des fûts quelques temps pour les faire fermenter et donner ce vin de soldat bon marché, Quevedo en bu une gorgée, puis le tendis a Diego, qui était tout aussi assoiffé que lui lorsqu’il saisit le pichet il en bu son comptant tout en laissant a son compagnons.


Au moins ici nous sommes loin de tout ces chiens de putain, a respirer l’air de la campagne, loin de cette racaille de jeune génération arrogante et stupide a souhait, la sagesse, n’est plus ce qu’elle était et les scandales bien plus loufoque que l’ont ai jamais vu de notre génération…


Quevedo ria durant quelques instant puis, prit la parole

Que veux tu Diego la folie humaine est comme sa, les anciens essaye d’ériger un monde basé sur l’honneur... et des fils de putain, en fond un monde ou le profit et les bassesses sont le pain quotidien d’une classe de dirigeant devenu décadent, ont y peut rien, ont peux rien…


Quevedo plongea son regard dans la nature l’entourant, avec l’esprit plein d’amertume, il se remémorait toute ces batailles mémorable sans laquelle le monde actuel n’aurait jamais du se détourner, puis avalant d’une traite une gorgée de vin, il reprit :


Même les femmes sont devenues arrogantes, se croyant au dessus de toutes lois Galactiques, et morales. .. Comme si Elle était au dessus de nous, comme si une fille de putain, surpasserait un homme de notre stature militaire, si elle n’était pas femme, six pouces de fer dans la poitrine dans une ruelle sombre et on n’en parlerait plus , Elle et la botte de lèche-cul on se croirais dans l’ancien empire Aelendilien… Ces aristocrates de mauvais sang des fils à putain mes avis… Léchant le cul au pouvoir et dès celui-ci abattu, plie bagage vers un autre de ces états plus ou moins décadent.


Le visage de Diego était grave comme toujours, il tortillait sa moustache en tout sens, ce qui indiquait qu'il était de bonne humeur, puis il prit une pomme du panier qu’il avait amené, une belle pomme a la robe verte clair, il mordit a pleine dent dedans, et mastiqua lentement, comme pour en savourer le goût, puis il sourit un moment et commença a parler :


Sacré Francisco toujours aussi misogyne!
Je te comprends tout a fait, les femmes sont sources a problème ont y a déjà eu affaire… Mais n’oublie pas, qu’elles sont vitale si ont peu dire, pour la reproduction de notre peuple, et elles savent faire de si bon repas… Faire du théâtre en tant qu’actrice, imagine qu’elle est des pouvoir important, un peuple dirigé par une femelle sa ne tiendrait pas debout, un cirque tout au plus mais pas un Etat, elle s’emporte trop facilement, et boude pour un oui ou un non… Quand on voit certaines de ces dirigeantes incapable de reconnaitre untel ou untel sur des discours sa porte à croire que l’intelligence n’est pas dans toute les femmes… Enfin… tien je vois Inigo qui arrive.


Quevedo cria en direction de Inigo l’ancien page de Diego Alatriste, ils avaient fait les quatre cents coups ensemble, Inigo s'approchait d'un pas rapide et sur, la main sur sa longue rapière que lu avait offert a ces vingts ans Diego Alatriste, ils se saluèrent longuement et chaleureusement comme de vieux amis qui ne s'étaient pas vu depuis une éternitée


Alors Inigo quoi de nouveau ces temps ci ?

Rien de bien particulier Francisco, a par une dirigeante a l’égo surdimensionné se prenant pour la reine de l'univers, rien de bien intéressent…

Venez avec moi mes amis, il y a une affaire plus importance, si j'oserais dire, et qui pourrait bien plus payer que vos dernière rapine.
Van Shyrius notre Dirigeant, à demander à vous voir, il a apprit vos états de service militaire, et estime que vous valez bien plus que tous ces pseudos hidalgo de bas fond !


Diego et Quevedo se regardèrent à la fois étonnait et surpris, il voyait dans les yeux de leur ancien protégé cette fierté et honneur, qui fessait le renom de tout les anciens dirigeant et que maintenant la décadence actuel à entacher de la lâcheté et la félonie, et pourtant il n’était qu’un simple capitaine d’une flotte minuscule il était fier de cette responsabilité.

Diego prit la parole puis adressa un sourire a Inigo, il lança le trognon de sa pomme en arrière.


Je suppose que l’ont a pas le choix ? Inigo acquiesça, Dans ce cas ont te suit.

Quevedo et Alatriste ramassèrent condiment qu'il avaient apporté avec eux et les mirent dans leur sac, puis sanglerent leur sac sur leur dos, et commencerent a se mettre en route, derriere Inigo.
Ils partirent tout trois dans une ambiance bonne-enfant en direction du sud, pour rejoindre la ville, et la civilisation la plus proche d'eux.




to be continued
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