Bonjour...
Publié : 26 juin 2008, 02:43
« Bonjour »
Il était doux ce petit mot traditionnel du matin. Léger et frais, il restait cours et pourtant il arrivait à lui seul à exprimer une multitude de pensées et de sentiments confus.
Léger et frais, tout comme ce jeune homme se présentant nouvellement aux portes d’un immense et somptueux bâtiment ou était inscrit :
« Corporation Galactique »
Quelle beauté…
Quelle force impressionnante de la faculté humaine. Il semblait presque né de la terre elle-même ce temple béni des Dieux de l’Univers et de leur magie.
Le petit homme habillé simplement qui s’arrêta devant le bâtiment en resta encore heurté de cette taille gigantisme. Il ne savait pas que l’homme était capable de telles choses dans l’Univers. Il s’était d’ailleurs arrêté de marcher quelques instants pour mieux l’observer lorsqu’il arrivait par un petit sentier au Nord.
Il lui avait même paru voir des jardins qui de loin formaient des forment et des couleurs harmonieuses et presque idylliques.
Ainsi stoppé par ces titanesques portes, il ne sut trop quoi dire si ce n’est ce « Bonjour » fluet.
Il n’avait pas porté bien loin ce bonjour mais, une personne attentive sembla tout de même l’entendre et daigna ouvrir une petite trappe incrustée dans la porte à quelque un mètre soixante de haut.
Le visage qui en émergea était celui d’un homme marqué par le temps et les combats. Il semblait, au traits de sont front, quelqu’un de déterminé et aguerri.
Notre héro en eu même un léger frisson de peur dans le dos et le corbeau qui se perchait sur son épaule gauche en fit quelques battements d’ailes signe de malaise lorsque tous deux se firent surprirent à chercher bêtement une poignée.
« Annoncez vous ! »
La voix correspondait parfaitement au profil. Elle était l’inverse de notre chérubin à tout dire. Grave, caverneuse, directe et puissante sans une ombre d’hésitation.
« Hurum, je … je suis le … Dirigent … Seigneur du pays de Niahmen. C’est un tout petit pays au nord de l’Univers sur une planète appelée Vertana. Je ne sais pas si vous voyez ?
La trappe se referma sèchement puis un léger silence s’installa entre la porte et le visiteur.
Quelques instants plus tard, et quelques croassements passés, les lourdes portes se mirent à émettre un bruit strident de frottement. Elles semblaient vibrer puis, lentement, s’ouvrir.
Face au Seigneur, un garde apparut par l’ouverture et semblait absorbé dans des papiers qu’il tenait dans la main droite. Une liste surement.
« Niahmen c’est bien sa ? »
« Oui Seigneur ! »
« Je ne suis pas Seigneur, Seigneur ... Comment d’ailleurs ? Vous ne m’avez pas dis votre nom. »
« Oh veuillez m’excuser. Je suis le Seigneur Crow. »
« Crow ... Crow ... (feuilletant ces feuilles ...), ok, j'ai trouvé. Et la bestiole sur votre épaule c’est normal ? »
« Oh oui, c’est Psycho ! Il est gentil, c’est mon corbeau de compagnie. Je l’ai trouvé jeune ! Il était tombé de son nid dans la foret bordant ma demeure. Alors je l’ai ramassé et le voila avec un an de plus déjà! Il ne me laisse plus. »
S’approchant du garde pour lui murmurer quelque chose à l’oreille :
« Il n’aime pas quand je dis sa, mais même la nuit il dors perché juste à coté de moi. Il a peur du noir. »
Le garde toisa quelques instant ce jeune imprudent puis, se retourna et, après vérification lui donna bien son droit à entrer au sein de cet immense réservoir de savoir.
« La Corporation… »
Il prononça ces mot alors qu’il se retrouvait seul au centre d’un immense hall de plusieur étages et caractérisé par un nombre impressionnant de couloirs menant tous à des endroits différents.
« C’est immense … comment vais-je m’y retrouver la dedans ! Hein Psycho ? T’en penses quoi mon Titou ? »
En signe de réponse, il eu le droit à un croassement grave dans l’oreille gauche qui lui causa un petit sifflement interne irritant.
Enfin, il se décida et parti tout droit sans trop chercher à savoir ou il était. Il avançait voila tout. Observant les portes dans le couloirs défiler sur la droite et la gauche, il en aperçu certaines ouvertes, ou entrebâillées permettant en s’y attardant d’entendre des conversations diverses. Pour certain on aurait plus dis un tribunal en vérité… Pour d’autre cela semblait juste un passe temps tel ces vieillards Niahmenniens qui passent leur journées à regarder les autres passer alors que eu reste bien assis à leur balcon.
Enfin, après avoir passé plus d’une heure à arpenter à l’aveuglette ces couloirs, Crow décida d’entrer dans une salle vide.
Elle lui plaisait cette salle. Quand il était passé devant il y à vingt minutes, il l’avait tout de suite remarquée par sa petitesse et son coté désuet quand on la comparait à tout le complexe. Cela lui ressemblait bien en vérité, pour lui qui dirigeait un minuscule pays au milieu des forêts, une petite salle lui convenait parfaitement.
Il décida donc d’y revenir, chercha comment allumer le tout puis se mit en tête d’attendre que des personnes, peut être prêtes attentions à sa venue.
Passés quelques minutes, il commença à sentir bête et seul dans cette salle et se mit alors à vouloir jouer avec son corbeau.
« Psycho ! »
Tournant la tête vers la gauche pour mieux voir son compagnon, l’homme prenait une voix différente de quand il s’adressait à un semblable. Là, il avait une intonation amicale et empreinte d’amour.
« Se te dis on s’entraîne à voler mon Titou namour ?
Alors qu’il finissait de parler et se préparait à prendre Psycho plus en avant sur son bras, une personne entra dans la salle et l’interrompis pour savoir quel était le sujet.
Crow ne savait trop quoi dire en vérité…
« Hum, …, et bien Seigneur, je tenais tout simplement à me présenter à je l’espère, de futurs clients et amis.
Je suis d’ailleurs enchanté de vous connaître, je ne sais pas trop si ici est le bon endroit pour venir parler de soit et dire que l’on existe et que l’on souhaiterais faire du commerce ? Non ? »
Le Seigneur qui lui faisait face était impressionnant il faut dire. Somptueusement habillé comparé à notre campagnard, il avait un regard assuré et sa dentition lorsqu’il sourit apparut parfaite.
« En tout cas, je vous aurais au moins rencontrez vous Monsieur… ?
Laissant un blanc afin que son interlocuteur puisse se présenter, il savait que déjà, ici et maintenant, il établissait un premier contact. Et si il voulait qu’on le considère digne de commercer, il devait donner une « bonne » image de lui.
Il était doux ce petit mot traditionnel du matin. Léger et frais, il restait cours et pourtant il arrivait à lui seul à exprimer une multitude de pensées et de sentiments confus.
Léger et frais, tout comme ce jeune homme se présentant nouvellement aux portes d’un immense et somptueux bâtiment ou était inscrit :
« Corporation Galactique »
Quelle beauté…
Quelle force impressionnante de la faculté humaine. Il semblait presque né de la terre elle-même ce temple béni des Dieux de l’Univers et de leur magie.
Le petit homme habillé simplement qui s’arrêta devant le bâtiment en resta encore heurté de cette taille gigantisme. Il ne savait pas que l’homme était capable de telles choses dans l’Univers. Il s’était d’ailleurs arrêté de marcher quelques instants pour mieux l’observer lorsqu’il arrivait par un petit sentier au Nord.
Il lui avait même paru voir des jardins qui de loin formaient des forment et des couleurs harmonieuses et presque idylliques.
Ainsi stoppé par ces titanesques portes, il ne sut trop quoi dire si ce n’est ce « Bonjour » fluet.
Il n’avait pas porté bien loin ce bonjour mais, une personne attentive sembla tout de même l’entendre et daigna ouvrir une petite trappe incrustée dans la porte à quelque un mètre soixante de haut.
Le visage qui en émergea était celui d’un homme marqué par le temps et les combats. Il semblait, au traits de sont front, quelqu’un de déterminé et aguerri.
Notre héro en eu même un léger frisson de peur dans le dos et le corbeau qui se perchait sur son épaule gauche en fit quelques battements d’ailes signe de malaise lorsque tous deux se firent surprirent à chercher bêtement une poignée.
« Annoncez vous ! »
La voix correspondait parfaitement au profil. Elle était l’inverse de notre chérubin à tout dire. Grave, caverneuse, directe et puissante sans une ombre d’hésitation.
« Hurum, je … je suis le … Dirigent … Seigneur du pays de Niahmen. C’est un tout petit pays au nord de l’Univers sur une planète appelée Vertana. Je ne sais pas si vous voyez ?
La trappe se referma sèchement puis un léger silence s’installa entre la porte et le visiteur.
Quelques instants plus tard, et quelques croassements passés, les lourdes portes se mirent à émettre un bruit strident de frottement. Elles semblaient vibrer puis, lentement, s’ouvrir.
Face au Seigneur, un garde apparut par l’ouverture et semblait absorbé dans des papiers qu’il tenait dans la main droite. Une liste surement.
« Niahmen c’est bien sa ? »
« Oui Seigneur ! »
« Je ne suis pas Seigneur, Seigneur ... Comment d’ailleurs ? Vous ne m’avez pas dis votre nom. »
« Oh veuillez m’excuser. Je suis le Seigneur Crow. »
« Crow ... Crow ... (feuilletant ces feuilles ...), ok, j'ai trouvé. Et la bestiole sur votre épaule c’est normal ? »
« Oh oui, c’est Psycho ! Il est gentil, c’est mon corbeau de compagnie. Je l’ai trouvé jeune ! Il était tombé de son nid dans la foret bordant ma demeure. Alors je l’ai ramassé et le voila avec un an de plus déjà! Il ne me laisse plus. »
S’approchant du garde pour lui murmurer quelque chose à l’oreille :
« Il n’aime pas quand je dis sa, mais même la nuit il dors perché juste à coté de moi. Il a peur du noir. »
Le garde toisa quelques instant ce jeune imprudent puis, se retourna et, après vérification lui donna bien son droit à entrer au sein de cet immense réservoir de savoir.
« La Corporation… »
Il prononça ces mot alors qu’il se retrouvait seul au centre d’un immense hall de plusieur étages et caractérisé par un nombre impressionnant de couloirs menant tous à des endroits différents.
« C’est immense … comment vais-je m’y retrouver la dedans ! Hein Psycho ? T’en penses quoi mon Titou ? »
En signe de réponse, il eu le droit à un croassement grave dans l’oreille gauche qui lui causa un petit sifflement interne irritant.
Enfin, il se décida et parti tout droit sans trop chercher à savoir ou il était. Il avançait voila tout. Observant les portes dans le couloirs défiler sur la droite et la gauche, il en aperçu certaines ouvertes, ou entrebâillées permettant en s’y attardant d’entendre des conversations diverses. Pour certain on aurait plus dis un tribunal en vérité… Pour d’autre cela semblait juste un passe temps tel ces vieillards Niahmenniens qui passent leur journées à regarder les autres passer alors que eu reste bien assis à leur balcon.
Enfin, après avoir passé plus d’une heure à arpenter à l’aveuglette ces couloirs, Crow décida d’entrer dans une salle vide.
Elle lui plaisait cette salle. Quand il était passé devant il y à vingt minutes, il l’avait tout de suite remarquée par sa petitesse et son coté désuet quand on la comparait à tout le complexe. Cela lui ressemblait bien en vérité, pour lui qui dirigeait un minuscule pays au milieu des forêts, une petite salle lui convenait parfaitement.
Il décida donc d’y revenir, chercha comment allumer le tout puis se mit en tête d’attendre que des personnes, peut être prêtes attentions à sa venue.
Passés quelques minutes, il commença à sentir bête et seul dans cette salle et se mit alors à vouloir jouer avec son corbeau.
« Psycho ! »
Tournant la tête vers la gauche pour mieux voir son compagnon, l’homme prenait une voix différente de quand il s’adressait à un semblable. Là, il avait une intonation amicale et empreinte d’amour.
« Se te dis on s’entraîne à voler mon Titou namour ?
Alors qu’il finissait de parler et se préparait à prendre Psycho plus en avant sur son bras, une personne entra dans la salle et l’interrompis pour savoir quel était le sujet.
Crow ne savait trop quoi dire en vérité…
« Hum, …, et bien Seigneur, je tenais tout simplement à me présenter à je l’espère, de futurs clients et amis.
Je suis d’ailleurs enchanté de vous connaître, je ne sais pas trop si ici est le bon endroit pour venir parler de soit et dire que l’on existe et que l’on souhaiterais faire du commerce ? Non ? »
Le Seigneur qui lui faisait face était impressionnant il faut dire. Somptueusement habillé comparé à notre campagnard, il avait un regard assuré et sa dentition lorsqu’il sourit apparut parfaite.
« En tout cas, je vous aurais au moins rencontrez vous Monsieur… ?
Laissant un blanc afin que son interlocuteur puisse se présenter, il savait que déjà, ici et maintenant, il établissait un premier contact. Et si il voulait qu’on le considère digne de commercer, il devait donner une « bonne » image de lui.