Parlons Inovation
Publié : 09 août 2008, 15:05
La noire prêtresse se promenait tranquillement dans les petits couloires du sénat galactique et regardait le merveilleux panorama qu’offraient tous ces beaux murs gris et miteux a sa vue grandiose. Elle fut soudain frappé d’horreur en voyant un habille malandrin tanté de voler une bourse a un noble chef d’état qui discutait tout seul avec son interphone d’affaire d’état probablement en rapport avec l’augmentation du prix de vente des plumes de cobra dans les contrées sèches d’Aquablue.
Farlina fut tenté de le prévenir de l’agression inopiné a venir de cet être vile et redoutable que devait être se discret voleur, vêtue de rouge et de jaune, courent et sotant un peut partout derrière l’attentif chef d’états aux affaires importantes. Mais elle se ravisa soudain. En effet, a force de sotiller n’importe où, le voleur se pris les pieds dans un tapi fraichement lavé par une femme de ménage qui faisait probablement se travaille peut gratifiant pour nourrir une famille de 14 enfants, probablement tous mort née, sans qu’elle ne s’en rende compte. Mais ceci est une autre histoire, le malandrin s’étala donc de tout son long, s’accrochant aux vêtements du génial diplomate, qui sans doute avait régler son affaire, qu’il voulait piller, et tous deux disparurent en tombant dans les escaliers.
Désespéré et proche de l’étouffement en raison d’une crise de fou rire qu’elle souhaitait ardemment cacher, la prêtresse bifurqua donc vivement dans la première salle qu’elle trouva et se permis de laisser échapper se long râle, signe qu’elle savourait a nouveau l’air qui passait par sa trachée. C’est alors qu’elle remarqua une famille de souris qui se baladait au hasard des rangé, a la recherche, sans doute, de quelques nourriture, voué a leur survie, et c’est sans aucune gène que notre bien heureuse prêtresse les massacras toutes a grand coup de gourdin, sortie de nulle part, dont l’effet principale fut d’éclabousser tout les sièges alentours de divers poiles et morceaux de boyaux, absolument immonde.
Et c’est, Sans prévenir, que Faerlina se dirrigea vers le pupitre de paroles pour commencer un long et interminable discourt, qui, comme toujours, commence par une introduction étrange que nous passerons sous silence. Pendant ce temps, quelque part sur vertana, une femme achète des poivrons bleu a un marchant pour la faible somme de 200 crédit les 10 kg, ses chefs d’état ayant réussit a augmenter considérablement son pouvoir d’achat.
Faerlina, commença enfin son discourt, d’une voie dont personne n’a rien a faire de la description.
« Comme je le disais, et comme tout le monde le dit : L’heur est grave ! Vous n’etes plus capable de vous débrouiller sans vous servir de vos cercles aussi pathétique que votre intellect. Vous plagiez bêtement le génie militaire d’hommes et de femmes qui se sont creuser la cervelle pour en arriver a créé une composition d’armée déséquilibré. Le déséquilibre engendre la puissance, et c’est pour cela qu’ils étaient invincibles. Votre bête plagiat n’a fait qu’affaiblir vos forces !
Oui, viles serpent, je n’ai pas peur de vous le dire, vous n’etes que des faibles, ingnar et stupides ! »
En parlant de stupidité, 7 personnages sortie de nulle part arrivèrent dans un grand fracas dans la salle, tous en rond autour d’une espèce de couronne étrange, et vibrante, en forme de carotte, de crabe et d’autres facésie. Ils avaient pour point commun une barrette a cheveux en forme de lapin, a l’exception d’une grosse créature qui l’avait accrocher, en raison de l’absence complet de cheveux, dans ses poiles d’oreilles.
Et celui qui se prenait pour le chef de groupe, armé d’un sandwich qui, a l’odeur, devait etre au thon peut frai suggéra qu’ils s’étaient encor trompé de destination, aussi ils disparurent a nouveau, laissant une jambe d’origine inconnu au sol. Et comme personnes n’avait rien remarquer, Faerlina repris :
« Oui, vous et vos hégémonies, vous et vos stratégie commercial futile, vous etes incapable de vous sortir les yeux des poches, et vous ne voyez que votre gratifiant reflet dans un miroir. Vous etes incapable d’être inovant. Stupide.
Mais vous avez oublier qui commende ! »
Et soudain, il y eut un grand fracas, dans lequel Faerlina disparut. Elle s’était en faite ascise au fond de la salle pendant l’explosion des lampes de la rangé centrale, qui avait fait bien du bruit et de la poussière. Quel calamité, ces surcharges manatiques….
Farlina fut tenté de le prévenir de l’agression inopiné a venir de cet être vile et redoutable que devait être se discret voleur, vêtue de rouge et de jaune, courent et sotant un peut partout derrière l’attentif chef d’états aux affaires importantes. Mais elle se ravisa soudain. En effet, a force de sotiller n’importe où, le voleur se pris les pieds dans un tapi fraichement lavé par une femme de ménage qui faisait probablement se travaille peut gratifiant pour nourrir une famille de 14 enfants, probablement tous mort née, sans qu’elle ne s’en rende compte. Mais ceci est une autre histoire, le malandrin s’étala donc de tout son long, s’accrochant aux vêtements du génial diplomate, qui sans doute avait régler son affaire, qu’il voulait piller, et tous deux disparurent en tombant dans les escaliers.
Désespéré et proche de l’étouffement en raison d’une crise de fou rire qu’elle souhaitait ardemment cacher, la prêtresse bifurqua donc vivement dans la première salle qu’elle trouva et se permis de laisser échapper se long râle, signe qu’elle savourait a nouveau l’air qui passait par sa trachée. C’est alors qu’elle remarqua une famille de souris qui se baladait au hasard des rangé, a la recherche, sans doute, de quelques nourriture, voué a leur survie, et c’est sans aucune gène que notre bien heureuse prêtresse les massacras toutes a grand coup de gourdin, sortie de nulle part, dont l’effet principale fut d’éclabousser tout les sièges alentours de divers poiles et morceaux de boyaux, absolument immonde.
Et c’est, Sans prévenir, que Faerlina se dirrigea vers le pupitre de paroles pour commencer un long et interminable discourt, qui, comme toujours, commence par une introduction étrange que nous passerons sous silence. Pendant ce temps, quelque part sur vertana, une femme achète des poivrons bleu a un marchant pour la faible somme de 200 crédit les 10 kg, ses chefs d’état ayant réussit a augmenter considérablement son pouvoir d’achat.
Faerlina, commença enfin son discourt, d’une voie dont personne n’a rien a faire de la description.
« Comme je le disais, et comme tout le monde le dit : L’heur est grave ! Vous n’etes plus capable de vous débrouiller sans vous servir de vos cercles aussi pathétique que votre intellect. Vous plagiez bêtement le génie militaire d’hommes et de femmes qui se sont creuser la cervelle pour en arriver a créé une composition d’armée déséquilibré. Le déséquilibre engendre la puissance, et c’est pour cela qu’ils étaient invincibles. Votre bête plagiat n’a fait qu’affaiblir vos forces !
Oui, viles serpent, je n’ai pas peur de vous le dire, vous n’etes que des faibles, ingnar et stupides ! »
En parlant de stupidité, 7 personnages sortie de nulle part arrivèrent dans un grand fracas dans la salle, tous en rond autour d’une espèce de couronne étrange, et vibrante, en forme de carotte, de crabe et d’autres facésie. Ils avaient pour point commun une barrette a cheveux en forme de lapin, a l’exception d’une grosse créature qui l’avait accrocher, en raison de l’absence complet de cheveux, dans ses poiles d’oreilles.
Et celui qui se prenait pour le chef de groupe, armé d’un sandwich qui, a l’odeur, devait etre au thon peut frai suggéra qu’ils s’étaient encor trompé de destination, aussi ils disparurent a nouveau, laissant une jambe d’origine inconnu au sol. Et comme personnes n’avait rien remarquer, Faerlina repris :
« Oui, vous et vos hégémonies, vous et vos stratégie commercial futile, vous etes incapable de vous sortir les yeux des poches, et vous ne voyez que votre gratifiant reflet dans un miroir. Vous etes incapable d’être inovant. Stupide.
Mais vous avez oublier qui commende ! »
Et soudain, il y eut un grand fracas, dans lequel Faerlina disparut. Elle s’était en faite ascise au fond de la salle pendant l’explosion des lampes de la rangé centrale, qui avait fait bien du bruit et de la poussière. Quel calamité, ces surcharges manatiques….