Il faut parfois parler pour mieux comprendre.

Tout le role-play qui ne rentre dans aucune autre catégorie

Modérateur : Modérateurs

Avatar de l’utilisateur
Lixia
Messages : 23
Inscription : 19 févr. 2008, 19:32

Re: Il faut parfois parler pour mieux comprendre.

Message par Lixia »

Non loin de moi l'envie de susurrer ces mots
Envie envahissante de guérir ces maux
Ceci régit mon êtr... Panser tant bien que mal
Nos exactions Agrémenter mon moral...

Aujourd'hui j'écris ces lignes en pensant à toi
Toi que mon cœur choisit choisit pour tes prunelles
Bien qu'éphémère ta beauté sera en moi
Égoïste certes... Je sens pousser des ailes

Je ne sais comment dire ces mots interdits
A ta si douce vue mes sens sont en éveil
Comment te dire je t'aime quand tu souris

Le mutisme me clos Je rêve d'un réveil
Qui me libèrera de mes chaînes et enfin
J'irais te parler avec cet étrange entrain
Une Améthyste au poing.
Dénozia
Messages : 2
Inscription : 13 nov. 2008, 20:47

Re: Il faut parfois parler pour mieux comprendre.

Message par Dénozia »

Quoi de plus bon que de ressentir la caresse de la main de sa bien aimée frôler son visage, tout en fermant les yeux ?
Sentir son souffle le long de son cou lorsqu'elle vous serre dans ses bras, entre ses mots être prononcés dans le creux de son oreille, la sentir près de soi, sans penser à autre chose qu'à elle.


J'aimerais vous compter une histoire. Cette histoire est la mienne, mais aussi la sienne. Tout compte fait c'est la notre.


Un rendez-vous, court je le conçois, mais qui nous a permis de nous rencontrer pour la première fois. Un second, qui nous a aidé à se connaître, des discussions interminables. La tristesse de se quitter jusqu'à la prochaine fois que l'on se reverra. Des pensées qui fusent dans nos têtes, pour essayer de comprendre ce que l'on ressent pour l'autre. Des moments magiques passés en sa compagnie, mais qui ne semblent pas l'atteindre. Elle se cache derrière sa carapace pour ne pas montrer ce qu'elle pense de moi, mais je ne me laisse pas berner, j'essaye d'en savoir plus sur elle, de mieux la connaître.


Puis voila un matin, ce fameux matin, où je me lance, où je saurais enfin ce qu'elle veut. Je m'approche d'elle, accroche mon bras autour de sa taille, m'approchant doucement de son visage.
Ses yeux brillent, tels le reflet du soleil sur un lac, lorsque l'aube se lève. Ils laissent apparaître mon image, tout ce que je semble être pour elle commence à se montrer dans ses yeux. L'empoignade se fait plus forte, et je sens maintenant son coeur battre contre mon corps, je me lance, l'embrassade n'est que des plus timides, mais elle suffit pour me faire chavirer.
Les battements se font de plus en plus rapides, et un léger tremblement m'envahit. Ce sentiment, celui que l'on ne ressent que lorsque nous nous sentons bien avec celle que l'on désire tant. Je me sens pousser des ailes.
Nous nous séparons, nos regards se croisent. Un air de questionnement persiste sur nos visages, quelques secondes, puis nos lèvres se rencontrent à nouveau. Je me sens heureux.


C'est maintenant fait, mon inquiétude qui m'empêchait de savoir ce qu'elle représentait réellement pour moi est tombée. Je ne cesse de penser à elle, d'essayer de savoir à quoi elle pense, à qui . Je me sens comme vide a l'intérieur de moi lorsque je ne suis pas en sa présence, lorsque je ne la sens pas à côté de moi. Je l'aime, je le ressens au fond de moi. Mon coeur s'agite lorsque je pense à elle, un manque s'installe lorsque je suis loin d'elle.


Je ne sais comment définir mes gestes, ou mes actions envers elle, tout ce que je sais, c'est que pour rien au monde je ne voudrais la perdre.
Avatar de l’utilisateur
Lixia
Messages : 23
Inscription : 19 févr. 2008, 19:32

Re: Il faut parfois parler pour mieux comprendre.

Message par Lixia »

Heureux celui qui sait jouir de sa courte et éphémère liberté.

Un enfant ébahit devant cette merveille
Un court d'eau bordé d'herbes fines et chatoyantes
Aux éclats, aux anges, un poisson stagne il veille
Il bondit dans l'eau glacé, il grelotte il chante

Heureux il est, heureux d'être libre de jouer
Après la pêche il s'adonne à l'infiltration
Sauver le monde il doit, le mal il doit contrer
Vainqueur il est, méritant de sa collation

Il se dirige vers sa maison, il bondit
Heureux de sa victoire. Au ciel il sourit
Quelques instants et puis il se sent épier

Il presse le pas, l'air est devenu pesant
Il court... mais en vain, son heure à sonné
Son corps encore tout chaud... à terre... gisant
Une Améthyste au poing.
Avatar de l’utilisateur
Lixia
Messages : 23
Inscription : 19 févr. 2008, 19:32

Re: Il faut parfois parler pour mieux comprendre.

Message par Lixia »

Des nuages sombres de haine, d'égoïsme, de désarroi... Beaucoup de mots caractérisent le reflet de notre société.
Ne croyez vous pas que les Dieu nous ont abandonné ? Ne croyez vous pas que parce qu'ils ne veulent plus nous voir, ils ont créé les nuages, qui dans un second temps nous reflètent ce que nous sommes, dans l'hypothétique espoir de nous voir changer.
Changer la face de l'humanité, changer les mœurs, abolir les préjugés, abolir la famine, bannir la mortalité infantile, bannir la guerre... N'est ce pas que la première liste non exhaustive qu'un adolescent se pose ? Alors qu'il n'arrive pas à se débrouiller avec un simple abrutit à son lycée, comment, alors qu'il possède la volonté de changer la face du monde, comment peut il y arriver seul ? Pourquoi ne laissons nous pas faire ces êtres d'une bonté qui les perdra ? Pourquoi n'ont ils aucune aide ?
Cela ce résume en un mot : Capitalisme...

En effet, l'appât du gain, les fluctuations boursières, les guerres, le chômage, la famine, les délocalisations... Tout cela est commandés par les bouseux en costards. Et également, les êtres de l'ombre qui ne sont jamais nommés... les actionnaires. Ces crétins qui se complaisent à voir leurs voisins dans les pires pétrins alors que eux jouissent d'argent qui sera avec eux dans leurs tombes. L'argent, c'est le seul mot ayant de la valeur en ce bas monde, l'amour et le bonheur ne sont que des subterfuges dans lesquels s'enferment la majorité de la population. Qu'a-t-on nous dans les ennuis de la vie ? L'amour de son conjoint et notre mémoire ? Les souvenirs de moments heureux. Notre première bicyclette, un noël exceptionnel, notre premier rancard, nos premiers flirts... Nous nous délectons de ces évènements pour nous remonter le moral ou à des moments de nostalgie. Peut on dire que les personnes en costard soient moins heureux que nous ? Je ne le pense pas, ils ne repensent simplement moins souvent à leurs bon moments car ils n'ont aucun ennuis financier. Alors l'argent fait il le bonheur ? Bien sur que non, mais il contribue à nous écarter un temps soit peu des tracas que nous impose cette civilisation arriérée.

Que nous arrive t'il quand nous avons personne à nos côtés dans les pires moments ? La politique actuelle demandant à ce qu'on se fasse écraser par un autre désireux d'avoir la place que l'on essaye d'occuper depuis notre naissance. Que nous reste t'il à part le choix inéluctable et inconcevable de se faire faucher ? Il nous reste seulement nos yeux... nos yeux pour pleurer, et implorer l'être squelettique de venir nous chercher la prochaine nuit pour faire taire ce cauchemar. Car vous savez que personne ne sera là... Chaque nuit vous rêvez de cet être marchant vers vous, faux à la main qui caresse jalousement le sol, il marche lentement, vous sentez votre cœur s'emballer à son approche. Et quelle terrible mésaventure quand vous rouvrez les yeux alors qu'il était sur le point d'accomplir son funeste travail et de vous arracher une bonne fois pour toute à ces horreurs.

Dans vos songes, dans vos pensées, vous ne voyez plus ce qui vous entoure, vous ne voyez plus cette pomme qui rougit chaque année malgré le déclin de la civilisation qui l'exploite, vous ne voyez pas non plus les papillons, heureux de vivre leur vie aussi éphémère soit elle. Et surtout vous ne voyez pas le bus qui vient de vous tuer sur le coup, répandant vos restes sur une longueur d'une dizaine de mètres.
Le plus ironique, c'est que pour tout vos sacrifices, vous aurez peut être droit à trois lignes tout en bas dans la colonne de droite qui se trouve à la dernière page du régional, utilisant votre mort pour ses propres buts, comme celui de "sensibiliser la population", autrement dit sensibiliser leurs pions... Vous n'êtes qu'exploitez de A à Z tout au long de votre misérable existence, marchez et crevez, c'est tout ce que j'ai à vous dire ! Et c'est tout ce que le gouvernement me permet de dire...
Une Améthyste au poing.
Kel'Zahra
Messages : 714
Inscription : 19 févr. 2008, 18:48

Re: Il faut parfois parler pour mieux comprendre.

Message par Kel'Zahra »

Ça y est. On y est. La dernière ligne droite est dans notre optique. On laisse tomber tous les échafauds, on met de côté nos préjugés, fini les gaspillages de temps qui nous font tourner en bourrique. La fin est proche, et enfin nous serons libre, mais pour combien de temps ? La voie parait dégagée, l'envie d'y arriver est bien présente. On avance tout de même doucement, de peur de déraper, et de devoir repartir de zéro. Un pied devant l'autre, le bras opposé se balançant, puis l'inverse, pour effectuer un mouvement de translation vers l'avant. Tant de combinaisons différentes pour atteindre le même but. Comment réussir à l'avoir, ce satané diplôme ?

On passe plus de huit mois de l'année à cravacher, tenter des choses qu'on ne suppose pas bonne, pour avoir un semblant de connaissances nous permettant de passer un examen qui une chance sur deux, ne nous donnera pas d'ouverture sur les études supérieures. C'est pas gâcher du temps pour rien ça ? À quoi il sert vraiment ce truc ? À nous sentir intelligent ? Doué ? Fort ? Nombre d'entre nous sont en pleine panique en se disant, mais est-ce que je l'aurais ? Est-ce que je vais être pris ?
Mais est-ce vraiment raisonnable de se mordre autan les doigts ? Au final, qu'est-ce que c'est ? Un vulgaire bout de papier qui ne signifie quasiment rien ? C'est pas avec ça qu'on va trouver du boulot. On doit toujours faire plus, et même en faisant plus, on est pas sûr de trouver le boulot de ses rêves, celui pour lequel certains ont fait des études pendant cinq longues années après le Baccalauréat, et qui devront encore devoir se coltiner des années de travail qui ne leur plait pas pour avoir un semblant d'espoir d'atteindre, un jour peut-être, le but de leur vie. Et qui une fois arrivé à ce niveau là, seront déçu de ce que l'on peut y faire.

Je ne veux pas être de ces gens-là. Je veux suivre ma propre voie, et faire ce que bon me semble. Je ne bosse pas en cours, et alors ? À quoi bon lorsqu'on a des facilités ? Je ne bosse pas chez moi, et alors ? Quand on quitte son lieu de travail, on pense avant tout à essayer d'oublier ce qu'on a fait dans la journée, non ?
On veut penser à autre chose, choyer sa famille, être avec des amis, se décontracter devant la télé. Mais les professeurs, eux, n'y pensent pas. Ils nous donnent du travail, encore du travail, toujours plus de travail. Certes ils sont dans le même cas que nous, mais alors, ne pourrions-nous pas trouver un terrain d'entente ? Travailler pour le fait de travailler, nous aide-t-il à nous rendre plus intelligent ? Ou est-ce une façon d'occuper nos temps libres, sans que l'on puisse s'amuser un tantinet soit peu.

Beaucoup de questions sont sans réponses, mais moi je veux dire un truc.

Faites comme moi, une fois avoir passé le pas de la porte de votre bureau, de votre lycée, de votre entreprise, oubliez- ce que vous avez fait aujourd'hui, et profitez du temps qui vous est offert.
Dernière modification par Kel'Zahra le 24 mars 2009, 06:57, modifié 1 fois.
Kel'Zahra
Messages : 714
Inscription : 19 févr. 2008, 18:48

Re: Il faut parfois parler pour mieux comprendre.

Message par Kel'Zahra »

Allongé dans l'herbe, la tête dans ses pensées, on réfléchit à tout ce qu'on pourrait faire pour améliorer notre vie.

On pense aux gens qu'on aime, aux gens qu'on déteste, à ceux qu'on aurait voulu connaître, ceux avec qui on voudrait passer du temps.

On profite du beau temps pour penser à tout ce qui nous fait sourire, en oubliant nos tracas.

Allongé dans l'herbe, le coeur meurtri on subit la violence des coups que l'on a subit.

La peine revient sans cesse, alors on souffle un grand coup, en espérant que tout s'échappe dans l'oxygène que l'on recrache.


Imaginer sa vie autrement, avec des personnes inconnues, mais avec qui on aurait voulu une amitié, ou un quelconque lien.

Réfléchir à ce que l'on aurait pu être si nos parents nous avaient fait plus tôt.

Penser que nous ne serions peut-être pas là sans eux, et réfléchir à comment les remercier.

Les simples mots "Merci pour tout ce que vous avez fait pour moi" ne suffisent pas, ils sont là depuis le début de notre vie, et nous, nous ne sommes là que pour le reste de la leur.

On doit les choyer le plus possible, et profiter de chaque instant à leur côté, car un jour ils ne seront plus là, et on regrettera de ne pas avoir eu le temps de leur dire ce que l'on ressentait.


Regarder les nuages passer, essayer d'en deviner leurs formes.


S'asseoir dans l'herbe avec ses amis, et se remémorer les souvenirs impérissables que l'on a vécu ensemble.

Se dire à quel point on était fou lorsque l'on était jeune, et à quel point ça nous manquait.

Discuter de son avenir, savoir ce qu'on fera dans les années à venir, sans vraiment se plonger dedans.

Profiter du moment présent, car bientôt il n'en sera plus.


Toutes ces choses à faire lorsque l'on a un temps libre entre amis, qu'il y a un rayon de soleil qui traverse l'épaisse couche de nuage.

Toutes ces choses que tout le monde ne peut pas connaître, car beaucoup sont rejetés.


Acceptez-vous comme vous êtes, et les autres vous accepteront.
Kel'Zahra
Messages : 714
Inscription : 19 févr. 2008, 18:48

Re: Il faut parfois parler pour mieux comprendre.

Message par Kel'Zahra »

Fermez les yeux, pensez au plus beau cadeau qu'on pourrait vous faire. Ne faites que penser à ça, cinq minutes durant. Ouvrez ensuite les yeux, et imaginez que vous l'avez entre les mains. Quel serait votre réaction à l'instant où vous le recevez ? De la joie ? De l'enthousiasme ? De l'exitation ?

Bien, maintenant, pensez à ce que vous allez en faire durant les cinq prochaines années. Pendant un mois vous utiliserez cet objet, puis vous vous en lasserez, vous le mettrez de côté, ou le jetterez, car il ne vous ai plus utile. Alors au final, à quoi vous a-t-il servi ? Et pendant combien de temps ? Acheter pour le plaisir d'acheter, devenir un mouton-consommateur, qui achète et qui jette à tout va. Faire marché l'économie de la société c'est bien joli, mais encore faut-il que ça vous serve à quelque chose.

On dit à chacun de faire des économies d'utilisation de la voiture, mais si moins de voiture, moins d'utilisation d'essence. SI moins d'utilisation d'essence, baisse du prix. Si baisse du prix, baisse du nombre d'employés, car manque de revenus. Si baisse du nombre d'employés, c'est qu'il y a licenciement. Mais si il y a licenciement aussi, cela veut dire que les familles des licenciés, auront des revenus diminués, ce qui entrainera encore un manque dans la société.

Tout cela pour dire que la vie d'aujourd'hui n'est qu'une enchainement de conséquences qui ont été mis en place il y a de cela des années, qui poussent les gens à se donner corps et âmes dans leur travail pour finalement peut-être un jour le perdre malgré tous leurs efforts, car toutes les entreprises ne pensent qu'à leurs revenus. Si les grands patrons étaient à la place des salariés qu'ils emploient, quel serait leur réaction ? Ne serait-elle pas similaire à celle de leurs employés justement ? Et d'ailleurs, comment ces grands patrons sont-ils arrivés là ? Ont-ils tous le mérite d'être à leur place ?

Ou est-ce quelques personnes d'un conseil d'administration qui ont proposé cette personne dans le but de mettre à terre ceux qui ont vraiment le charisme d'un grand dirigeant, et qui pensait avant tout aux salariés, avant de penser aux revenus. Posez-vous la question de savoir si votre patron mérite d'être là où il est, et vous verrez que la plupart du temps, ce ne sont que des personnes servant de bouclier contre d'autres, afin de faire du revenus plutôt que de l'emploi.
Stoïca
Messages : 5
Inscription : 29 mars 2009, 16:15

Re: Il faut parfois parler pour mieux comprendre.

Message par Stoïca »

Nous sommes tous différents. Nous ne réagissons pas de la même façon aux évènements, aux critiques, aux surprises, etc. Néanmoins, nous avons tous, plus ou moins, vécu la même chose. Des rires, des larmes. La vie est un long cheminement, que l'on traverse tous de façon différente, mais en passant par les mêmes étapes. La vie. Apprendre à parler, à marcher et à faire du vélo. Rentrer à l'école et se faire des copains. Être insouciant. L'adolescence et ses crises de nerf. Tomber amoureux. Avoir son Bac. Être saoul. La déception. Les fous rires. Pleurer, accoudé à sa fenêtre en plein milieu de la nuit. Travailler et gagner sa vie. Le mariage. La famille. La tendresse. Conduire. Les surprises. La mort. Et cætera.

Chaque être ressent les choses différemment car nous n'avons pas tous la même sensibilité ou la même façon de voir les choses. Nos différences font notre complémentarité. Les coups durs nous renforcent, après nous avoir détruits. Les bons moments nous enrichissent et nous donnent le sourire. Ce sont nos actes et la présence des notre qui font que nous avançons et que nous nous construisons. Mais est-ce seulement cela ? En quoi notre similarité peut-elle s'avérer être un problème délicat ?

Nous vivons en société, dans la cité. C'est à dire que nous respectons tous les mêmes lois. Ou du moins c'est ce que nous devons faire. Nous subissons tous ceux qui nous dirigent et ce qu'ils font " dans le but d'améliorer nos qualités de vie ". Combien de gens ont été licenciés ces derniers mois ? Combien de parents se sont retrouvés dans la rue, avec leurs enfants ? Imaginez-vous, père de famille, perdant votre emploi. Comment réussir à être fier de soi, sans avoir de quoi nourrir sa famille, prendre soin de sa femme et de ses enfants ? Comment rentrer à la maison les mains vides ? Mais surtout comment l'a garder, comment protéger les siens ? Trop d'espoirs et de bonheurs ont été détruit ces derniers temps. Pourquoi gâcher tout ce que les anciens ont construit, tout ce dont il se sont battus pour avoir ?!
C'est dans les yeux des miens que je trouve la force de me battre.
Stoïca
Messages : 5
Inscription : 29 mars 2009, 16:15

Re: Il faut parfois parler pour mieux comprendre.

Message par Stoïca »

Aimer, si peu de lettres qui pourtant veulent dire tellement de choses. Comment décrypter ce sentiment si souvent utilisé mais rarement réellement ressenti.
« Je t’aime », un mot facile à prononcer lorsque sa valeur, l’estime que nous devons y porter ne sors pas du cœur, mais tellement difficile lorsqu’il est pensé, du plus profond de soi. Un premier mot, une première fois qu’on voudrait magique ; voir briller les yeux de celui à qui ce mot est destiné, sentir son cœur s’accéléré car submergé d’émotion. Un mot tellement important, un mot transporteur. Un mot, un voyage.

L’amour est un sentiment qui change une vie. Penser sans cesse à l’être aimé, vouloir tout partager avec lui. L’amour est présent à chaque seconde. Se réveiller et penser à l’autre ; marcher et penser à l’autre, à sa main dans la votre ; écouter une chanson d’amour et penser à l’autre : dessiner des cœurs partout en pensant à l’autre ; être en manque de l’autre lorsqu’il n’est pas avec vous. L’amour ne vous quitte plus. Le voir et vouloir, sans ne plus voir que lui, courir dans ses bras, l’embrasser, le couvrir de baiser. Vouloir tout lui raconter, même les choses inutiles, partager vos fous rires, vos peines. Aimer et tout se dire. Etre bien dans ses bras, ne plus vouloir se séparer de lui. Le regarder dans les yeux et avoir le cœur qui bat très vite. Voir ses yeux briller. Etre heureux de voir l’être aimé heureux. L’amour rend fou. Rigoler pour un rien, en étant avec lui. Rougir lorsqu’il vous dit des mots doux, lorsqu’il vous dit qu’il vous aime, qu’il est bien avec vous. Le serrer contre vous, le tenir et ne plus le lâché. Avoir envie de courir partout, de danser, de crier votre joie, de dire au monde que vous l’aimer. Et d’un autre côté vouloir garder votre jardin secret. Trouver le sommeil et rêver de l’autre. Se réveiller et vouloir le voir. Etre désireux de s’endormir dans ses bras et de voir ses yeux posés sur vous dès le réveil. L’attendre à chaque instant quand vous n’êtes pas avec lui.


L’amour, est le plus beau des sentiments, trop souvent salit. L’amour, le vrai ne peut être vécu que par deux êtres sincères désireux d’un amour réciproque. L’amour, le vrai, est fondé d’un désir commun d’avancé à deux, de construire ensemble un chemin sur lequel rien ne pourra les séparer.
C'est dans les yeux des miens que je trouve la force de me battre.
Répondre