Slotan, hatshupo, et l'autre dont je me souviens pas du nom montez vite dans le train du boulot parce que la route est longue ... très très longue pour vous
BIIIIIIIIP.(modal édit)
Tiens cadeau :
Slotan jouait dans la serre accompagné de Freyja, Muspellheim et Anke. Les quatre vikings avaient revétus leur “costumes” de combat. Maculés de sang séché, les yeux brillants, leur comportement frôlant l'hyper-activité trahissaient la prise de champignons hallucinogènes. Ils prenaient ceux ci dans les fjords de Voclano avant chaque bataille pour décupler leur force, être investit par la rage et réduire à néant leur peur. Sans protection aucune, ils dévastaient les terres ennemis, incendiaient les habitations des citoyens fuyant leur folie.
Cette fois-ci, par manque de cibles sur l'état Kienhamer, ils n'avaient tués personne. Les gardes à l'entrée de l'Amphyctionie Intertribale firent cependant connaissance avec eux. Slotan, le plus grand des quatres, avait décapité le premier d'une baffe puis s'était rué sur son cadavre en cherchant de quoi se défouler dans ses entrailles. Un peu de sang mélangé aux sucs gastriques du pauvre humanoïde glissait encore sur ses joues. Il l'avait ensuite terminé rageusement en lui écrasant une centaine de fois un bloc de pierre arraché aux escaliers menant au batiment sur l'ensemble de son corps, jusqu'à ce que la moindre partie osseuse n'émétte plus le doux crépitement qu'il aimait tant.
Freyja, la valkirie tenait inconsciemment les restes du second garde dans sa main. Un bout de tête de laquelle elle avait oté les yeux pour les manger pendait le long de ses jambes, les cheveux ensanglantés collés sur la paume de sa main délicate. Elle s'était acharné sur le garde, le tranchant de toutes parts avec ses poignards, faisant giclé sang, lambeaux de peau, entrailles sur les murs du grand hall.
Muspellheim, maître du feu, s'était contenté de jeté quelques sorts de boules de feu sur les dix hommes de la garnison, restés tétanisés en retrait du combat. Enfin du combat, de la tuerie. L' odeur de chairs calcinés aurait fait gerber n'importe quel humain normalement constitué. Muspellheim avait une bonne résistance aux effets des champignons, mais sa nature bestiale l'entrainait dans la même transe que ses amis. Anke, qu'on imagine innocente et fragile, avait elle tué le garde sur le tarmac en lui otant chaque membre un à un. Ce qu'elle préférait dans ces moments de folie, c'était le bruit sourd des os qui cassent, la douce mélodie des tissus qui se déchirent. Elle avait joué cinq bonnes minutes avec le gardien du tarmac, essayant comme à son habitude dans ces moments là de gueuler plus fort que sa proie, chose difficile quand on pense à ce que la douleur provoquée par l'ablation d'un membre par arrachement peu être. Une fois l'homme évanoui à cause de l'insupportable douleur, elle passa son temps à lui éplucher le crâne, à le laver en le léchant, pour le rajouter à sa collection morbide, bien en vue autour de sa taille.
L'effet des champignons presque passé, encore un peu tripés, les quatres vikings jouaient avec un des crânes sanglant à la balle, se l'envoyant à la main ou au pied d'un bout à l'autre de la serre et du jardin.
Que penserait Ayat d'une telle débacle ? Ils s'en fichaient bien les toxicos vikings. Les rires fusaient en tout sens
Après si tu veux Que des bons rp, demande et je ne posterai plus rien et ecrirai mes missives en sms, BIIIIIIIP (modal edit 2).La musique cessa, un malaise fort s'installa. L'assemblée toute entière se rua sur les pauvres vertaniens composant le groupe Art Corps, invités car pensant qu'ils jouaient du bon son et non de la flute et du haut bois. Les cons. Une troupe de lopettes composée de contorsionnistes, danseurs et autres musiciens de chambre était entrée sur scène gaiement. Après deux trois mouvements musicaux, disons une minute, les brutes épaisses du bar s'étaient défoulés sur eux, en pensant que les organisateurs avaient invités la graille du soir. Un divertissement en temps de paix en quelque sorte.
Les flutistes se sont vite retrouvés avec leur instrument en travers de la gorge tout comme les joueurs de haut bois, qui eux avaient le bec au dessus de boite craniène, quelques touches dans la bouche, certaines coincés dans le palais et le reste de l'instrument pendant le long de leur torse. Les enfants ce soir la ont essayé un nouveau type de musique : le haut boite céphalée. Ils soufflaient de toute leur force dans le bec tout en bougeant la tête du propriétaire du haut bois pour changer les notes. De la pure musique expérimentale. Ils durent arrêter rapidement car en se chamaillant, le haut bois cassa au niveau du palais et Grouic, fils du tavernier, se retrouva avec un long bout de bois à la main, un regard vide en face et la rage d'avoir cassé son jouet. Il planta le bout de bois dans l'oeil du vertanien. Il partit essayé la flute vertébrale avec ses camarades.
Les adultes continuaient le massacre eux aussi. Une contorsionniste rencontra deux d'entre eux Après l'avoir regarder se tordre dans tout les sens, ils tentèrent une expérience avec la demoiselle. Elle reprit de force sa position initiale : dos courbé, pieds devant, bras derrière, ventre en l'air. Un des gaillard saisit ses bras, l'autre ses jambes. Ils la ficelèrent dans cette position et l'accrochèrent à un énorme lustre par les bras, tête en bas. Voyant cela, la plupart des barbares non occupés prirent place autour de la jeune vertanienne. Curieux de tout, ils essayèrent d'abord de comprendre comment cela fonctionnait puis, s'il était possible de la souiller, de l'humilier. Après de brefs essais, il s'avéra impossible de faire pénétrer quoi que ce soit en elle. Les râles celle-ci, râles de douleur et de peur mélangés (les plus beaux), comblaient à présent les hôtes du soir. Ils formèrent un cercle autour de leur proie, commandèrent aux serveuses quelques pintes, et rythmèrent les cris en tapant sur les tables. Fatigué d'avoir tant hurlé la jeune fille commença à baisser l'intensité de ses cris. C'est à ce moment que les expérimentations reprirent, cette fois ci pour voir quel élasticité son corps pouvait avoir. La prise de paris effectuée, chacun tira jusqu'à la marque qu'il avait faite sur le sol. On commença évidemment par la plus proche. Juste sous le lustre, à une dizaine de centimètres plus bas. Touché, pas craquée, perdu, suivant. Cinq centimètres plus loin. Touché, pas craquée, perdu, suivant. C'était devenu l'attraction de la soirée. Le troisième viking commença à tirer. « Ho, Ho, Ho, Ho,... » Les sauvages alcoolisés tapaient en rythme sur n'importe quoi (du moment que ça fait du bruit, ça marche: un chat, le crane d'un cadavre, une table). Touché, pas craquée, perdu, suivant. Le quatrième tira d'un coup sec et le lustre cassa. La lame décorative tomba pille au milieu du corps de la jeune femme, la sectionnant net, faisant volé les deux parties de son corps à toute blinde dans le bar. « Ouaiy ». Un tonnerre d'applaudissement secoua la salle. Puis chacun s'occupa de ranger le bordel en gueulant et en réclamant le groupe tant attendu « Impure Bestial Paradize ».
http://fr.youtube.com/watch?v=kpwPvWHvD ... relatedLes basses faisaient trembler la pierre de la salle du bar « Blood & bass ». Le groupe composé de vikings chevelus était enfin entré sur scène. Ils avaient aux aussi participé aux festivités et purent jouer avec du matériel tout neuf. Des dents pour les médiators, des tendons et ligaments pour les cordes des basses et guitares et des os encore saignants pour les baguettes du batteurs. Ils commencèrent à jouer alors que le tavernier annonçait la potence toute proche.
La potence? C'est un brasier, une potence en métal volcanien au milieu et quelques piques inclinés sur différents étages de cette dernière. On se sert directement des morceaux bien cuits, sans graisse, une rôtisserie géante pour viande, humaine en l'occurrence, le met préféré des frijhiens. Ce sont d'habitude les ennemis qui s'y retrouvent mais les restes des vertaniens du soir, trop nombreux pour ne nourrir que les chiens, s'y retrouvèrent logiquement. De quoi finir la soirée en beauté. De la bonne barbaque, de la bonne zic, que du bonheur.
Gnee
On reste courtois, merci! Tu as le droit de ne pas apprécier ce qu'on te dit, mais n'agresse pas plus les autres.