“ Bonjour, je suis Hyrial du Miyard, Fils du Blacky, superviseur du consortium économique et économiste de l'ordre des Chevaliers, je voudrais une salle ouverte pour y déposer une requête, il y en a une de libre actuellement.
- Je vous salue noble dirigeant, je vais voir... Oui la salle 134 est libre.
-Garde, conduisez le seigneur à cette salle et garder y la porte.
- Merci jeune demoiselle, je serais m'en montrer digne. ”
Hyrial suivit le garde pendant une 100 aine de mètres avant de s'arrêter devant une grande porte, le garde tourna la clef entrouvrit la porte, y alluma les lumières, contrôla que tous fonctionne au tableau d'inscription et l'invita à entrer.
A peine la porte ouverte, que déjà des hommes et des femmes de toutes horizons, s'y installa, curieux de connaitre se que venait faire le représentant du CEI.
- Mesdames, messieurs, je vous salue... Je viens ici pour demander la marche à suivre afin de créer une alliance entièrement commerciale.
Je me trouve coincer par quelques petits détails qui ont leur importance. Je fournis à de nombreux dirigeants d'Etats de ressources en vendant ou échangeant mais j'ai pour remplir mes stocks besoin de trouver des producteurs.
Ce ne sont en général pas des commerçants à part en tiers mais bien des guerriers pensant trouver en mon consortium de quoi les satisfaire.
Le souci premier est qu'en demandant de fournir certaines ressources comme le carburant, la nourriture ou l'acier, l'acheteur, une fois sa ressource achetée, ne va pas s'arrêter de piller celui comme moi ou ceux qui lui ont produit ou vendu. Certes, je suis le superviseur et le principale créneaux de ses échanges, mais je me retrouve avec de moins en moins de producteurs à cause de pillage répétés sur leur états et le carburant vendu précisément au dirigeant leur permettent de déplacer ses flottes.
Que dois je faire avec cela.
Soit je le vends sans réfléchir et je me fais piller voir les autres membres de mon alliance également en aillant fournit l'une des ressources comme le carburant pouvant déplacer les flottes de pillages, soit je trouve des états susceptibles de vouloir faire partie d'une alliance commerciale n'ayant pour but que le commerce et ni pillages ni destructions.
Je sais qu'il sera difficile d'en trouver mais si c'était le cas, qui me garantirai que notre alliance ne subirait pas le même sort qu'à subit la banque du CEI par le passé de la part de l'Oracle Maudit.
Je crois que ce serais bien je puisse m'engager dans une voix qui est la mienne depuis longtemps, celle du commerce, de pouvoir proposer à de nombreux Etats des ressources utiles à leur développement sans devoir subir sans cesse des pillages qui ne font que nous affaiblir.
Je suis conscient qu'aujourd'hui le consortium économiques est faible par manques de protection de leurs membres que je garderai anonymes pour leur sécurité, mais si on accepte d'avoir une alliance commerciale, cela implique un pacte respecté par chacun, qui est celui de venir commercer en toute tranquillité sans devoir croire qu'il se fera attaquer par les requins assoiffés de ressources.
Je demande donc officiellement la marche à suivre aux instance dirigeante de la corporation et au grand conseil afin que puisse voir le jour le consortium économique intergalactique afin d'avoir un lieu ou le commerce est roi et qu'aucun acte de guerre ne puisse y voir le jour. Un sauf conduite permettant à chacun de venir en toute quiétude trouvé se dont il a besoin.
De demander également de trouver des membres voulant suivre se mouvement afin que cette alliance voit enfin le jour.
pour le bien de notre galaxie.
Je vous en remercie et reste à l'information afin de voir si des états répondront à mes attentes.
Hyrial descendit et alla au fond de la salle, s'assit derrière la table d'informations en attendant que quelqu'un daigne venir lui poser des questions, il était près à se battre pour défendre ses convictions et de trouver une solution à se problème épineux.
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Re: Consortium Economique Intergalactiques
L'ombre qui cachait son visage ressemblait aux anciens nappages des hautes dunes de Désertica. Planète bénie, bénie d'espoir, d'un soir de nostalgie. Lorsque l'homme lève les yeux, il ne voit que le ciel. Parfois, il aperçoit les cieux, et ses décombres éternelles. Souvent, il croit. Rarement il comprend. Que dans les stèles des nuages d'un blanc laiteux, coton de l'azur pourpré de l'Aurore, il y a tout, ce que la pensée de cet homme imagine.
L'ombre, elle avançait. Il avait toujours eu cette imposante carrure, de grandes et hautes épaules, une capuche sur son crâne, qui évitait de révéler au monde les traits de l'homme. Sur son long siège de marbre grisé par les pluies et par le temps, il aimait trôner. Mais ce temps était révolu, et cela faisait bien longtemps qu'il n'était pas revenu ici. Sans grade, sans statut, comme osait-il ? Lui, un réprouvé ? Peut-être n'était-il plus recherché, ou peut-être pas. A vrai dire peu importait à ses yeux. On parlait de son temps, de leurs temps à tous. Les Wizards. Il arrivait...
Fourberie de l'esprit qu'est la nostalgie, Maître Hyrial, de l'inconnu Miyard. Les paroles de votre père vous ont-elles perverti - et vous n'en seriez pas la première victime - ou ce même sentiment est-il définitivement inscrit dans vos gênes ?
Sa voix grave et profonde résonnait entre les larges murs de la pièce. Revenir ici, c'était fabuleux. Il ne pensait pas pouvoir ni avoir à y remettre les pieds, un jour. Trois ans qu'il avait laissé les hommes s'entredéchirer, comme de vulgaires bestiaux, sans aucune conscience, ni aucune éthique, la revendication de ne pas en avoir mise à part. Il retrouvait le Siège de la Corporation Galactique...
Fourberie du corps qu'est l'ambition et votre vanité.
Sous sa grande capuche, son seul sourire fut perceptible. Il parlait lentement, pour que chaque mot claque bien dans leurs oreilles à tous, pour que comme toujours, ses propos prennent toute la puissance de sa personne.
Pour quelles raisons un être déchu, aussi fictif que moi, réprouvé de ces terres, banni à tout jamais des croyances des hommes, grand homme de grande rébellion, porteurs de pensées dont chacun de vous s'est soumis, sans état de compte aucun, pourquoi une simple entité comme la mienne, descendrait-elle de son nuage éternelle, et ouvrir les yeux d'un purge tel que vous êtes, devant moi ?
Son sourire s'accentua. Il ne s'était toujours pas présenté. Il connaissait Blacky, s'il avait disparu depuis si longtemps il n'avait pas perdu une miette de l'histoire de ce monde...
J'ai vécu un temps heureux. Nous avons vécu des temps heureux. Non, pas vous. Seulement nous. Dont je suis peut-être l'un des premiers à revenir sans pour autant représenter une menace, puisque je viens seul... Parce que vous parlez sans connaître, parce que vous dites être une chose dont vous n'avez ni l'odeur ni le gout. Parce que dans vos paroles je ne lis que le mensonge, de celui d'une tranquillité que le monde n'a pas besoin de connaitre.
Ici l'on m'appelle Thorgrin... Lorsque les Grands Conseillers arriveront, j'espère qu'ils se souviendront de ce nom. Comme ils se souviennent encore de Théran Azhar, et de tous les autres, qui formions le seul et unique groupe à pénétrer ici, et à s'y imposer... Mais remuer le passé n'est guère utile, et ne vous concerne pas. Vous n'avez pas besoin de savoir qui je suis, un entité divine, déchue, parmi tant d'autre dans un Oracle qui portait le nom de Maudit et qui régissait le monde comme vous contrôliez cette salle avant mon arrivée. A la différence qu'elle était vide et qu'il n'était guère difficile d'y forger votre place...
Puisque je ne puis exercer ni Magie ni Arme, il me suffirait de sortir de ce lieu saint qui m'est cher, et de prendre autre forme. Que voulez-vous ? Celle d'un habile conseiller économique du Duarantie ? Les poches pleines d'as de trèfle, paré à piquer vos doux coeurs de créanciers ? Ce serait si simple, mais ce n'en est pas le but. Ici, n'oubliez pas que vous parlez bien à un homme et non à une quelconque entité divine dont tous ont oublié le nom - et c'est heureux ainsi.
Il s'avança calmement. Il aurait aimé infliger peur et terreur dans ses yeux, mais cela ne servirait à rien d'autant qu'il n'avait rien à faire ici et qu'il n'en avait ni le droit ni le devoir.
Vous vivez sur les récits de votre père, de ses amis, et des vôtres. Le CEI comme vous osez l'appeler appartient à une époque révolue. Elle est mienne, elle n'est pas votre, ne vous l'appropriez pas. Il n'est pas assez subtil de changer quelques syllabes d'un mot pour nous tromper tous. Si vous devez jouir de telles futilités pour vos faire entendre, c'est que vous êtes un bien mauvais commerçant.
Et un bien plus médiocre orateur encore.
J'ai toujours aimé trouver les mots pour tous ceux qui se plaignent. Les dunes de l'Arabiahne étaient autrefois riches d'un acier pur que j'exploitais avec amour et aisance. Et pourtant, je n'ai jamais supporter une armée aussi indécente que celles d'états dont le simple nom vous ferait vomir de nostalgie. Votre motivation est belle, votre naïveté devient magnifique. Vous ne pouvez jouer avec le temps pour votre seul compte. Votre raisonnement n'a qu'une chute, qu'une conclusion lisible : vous êtes faibles. Vous pourrez toujours vous amusez à invoquer la fatalité de votre position, et triturer dans chaque sens le "Bien de votre Galaxie", vos grands mots ne sont que le reflet de vos craintes. Un homme qui a peur n'est plus rien... Pas même un diplomate, encore moins un économiste.
Sa grande main portait les paroles lourdes de Thorgrin. Il avait été meurtri de son passé, il ne revenait que pour une seule et unique raison.
Je n'ai que faire de vos problèmes, je sais juste que vous touchez quelque chose que vous ne connaissez pas. Je vous mets en garde de vouloir copier le passé. Un passé dont vous ne pouvez que fermer les yeux, aveugle de connaissance. Il n'y a aucune mot pour décrire ce que nous avons vécu, et à quelle occasion le CEI d'une autre époque s'est organisé et développé. Eux ne craignaient rien, ils étaient maîtres de leur commerce comme nous étions juges des armées. Ici vous ne demandez qu'une couverture qui sera aussi fébrile que vos convictions. Oui, vous n'êtes pas un commerçant. Vous n'avez pas la foi. Qui a dit que vous et votre caste, étiez plus faibles que les grandes flottes de ce monde ? Vous, alors vous n'avez rien compris. Un marchant est indispensable à partir du moment où il sait se rendre ainsi. Le CEI a toujours eu des convictions. Il a été crée par amour du commerce et non par pur bouclier. C'est un tout, que vous ne pouvez recréer.
Vous n'en avez pas le droit. Je me ferais le digne représentant de ces temps anciens et perdus.
Il se souvenait. Dans ce couloir, combien en avait-il tué ? A combien de Grand Conseillers avaient-il tenu tête ? Il se rappelait la voix de Lord Yu dans ce micro, caché dans les sous-sols du Siège de la Corporation ; de quelle manière ils avaient monté ces marches, cette splendeur qu'aucun ne leur voulait reconnaitre. Lydhile avait été sa main, partie dans les ténèbres du Shadowsong, pour une ultime quête. Thorgrin devait tout à Théran, comme un frère. Il l'avait fait revenir d'entre les morts, il y a presque trois ans. Lui, Dieu oublié de tous. Dieu déchu, aujourd'hui au Panthéon de l'Oracle Maudit. Il ne laisserait pas quelqu'un jouer ainsi de ce passé. De son passé.
Passé oui. Mais lui n'avait rien oublié, les hautes dunes de sable sous le soleil rasant, les fraiches cascades de bonheur d'Islamabad, ses gigantesques productions d'acier, ces rêves, somptueux, ses amis, ses frères. Non, de tout ça il avait tout gardé en mémoire. Six mois de labeur, six mois de main mise. On ne pouvait ainsi bafouer l'histoire. Thorgrin était recherché, comme tous les autres Wizards. Mais après-tout, une fois dehors, il remonterait dans ses cieux, et retrouverait l'éternel confin du temps et de sa longue patience à regarder les hommes.
Trouvez autre chose. Faites fonctionner votre imagination, parce que vous êtes faibles, vous devrez user d'autres chemins que ceux des grands. Et si vous n'y arrivez pas, autrement qu'en regardant comment on fait vos ancêtres, alors c'est que vous n'avez rien à faire dans ce monde... Comme beaucoup d'autres...
L'ombre, elle avançait. Il avait toujours eu cette imposante carrure, de grandes et hautes épaules, une capuche sur son crâne, qui évitait de révéler au monde les traits de l'homme. Sur son long siège de marbre grisé par les pluies et par le temps, il aimait trôner. Mais ce temps était révolu, et cela faisait bien longtemps qu'il n'était pas revenu ici. Sans grade, sans statut, comme osait-il ? Lui, un réprouvé ? Peut-être n'était-il plus recherché, ou peut-être pas. A vrai dire peu importait à ses yeux. On parlait de son temps, de leurs temps à tous. Les Wizards. Il arrivait...
Fourberie de l'esprit qu'est la nostalgie, Maître Hyrial, de l'inconnu Miyard. Les paroles de votre père vous ont-elles perverti - et vous n'en seriez pas la première victime - ou ce même sentiment est-il définitivement inscrit dans vos gênes ?
Sa voix grave et profonde résonnait entre les larges murs de la pièce. Revenir ici, c'était fabuleux. Il ne pensait pas pouvoir ni avoir à y remettre les pieds, un jour. Trois ans qu'il avait laissé les hommes s'entredéchirer, comme de vulgaires bestiaux, sans aucune conscience, ni aucune éthique, la revendication de ne pas en avoir mise à part. Il retrouvait le Siège de la Corporation Galactique...
Fourberie du corps qu'est l'ambition et votre vanité.
Sous sa grande capuche, son seul sourire fut perceptible. Il parlait lentement, pour que chaque mot claque bien dans leurs oreilles à tous, pour que comme toujours, ses propos prennent toute la puissance de sa personne.
Pour quelles raisons un être déchu, aussi fictif que moi, réprouvé de ces terres, banni à tout jamais des croyances des hommes, grand homme de grande rébellion, porteurs de pensées dont chacun de vous s'est soumis, sans état de compte aucun, pourquoi une simple entité comme la mienne, descendrait-elle de son nuage éternelle, et ouvrir les yeux d'un purge tel que vous êtes, devant moi ?
Son sourire s'accentua. Il ne s'était toujours pas présenté. Il connaissait Blacky, s'il avait disparu depuis si longtemps il n'avait pas perdu une miette de l'histoire de ce monde...
J'ai vécu un temps heureux. Nous avons vécu des temps heureux. Non, pas vous. Seulement nous. Dont je suis peut-être l'un des premiers à revenir sans pour autant représenter une menace, puisque je viens seul... Parce que vous parlez sans connaître, parce que vous dites être une chose dont vous n'avez ni l'odeur ni le gout. Parce que dans vos paroles je ne lis que le mensonge, de celui d'une tranquillité que le monde n'a pas besoin de connaitre.
Ici l'on m'appelle Thorgrin... Lorsque les Grands Conseillers arriveront, j'espère qu'ils se souviendront de ce nom. Comme ils se souviennent encore de Théran Azhar, et de tous les autres, qui formions le seul et unique groupe à pénétrer ici, et à s'y imposer... Mais remuer le passé n'est guère utile, et ne vous concerne pas. Vous n'avez pas besoin de savoir qui je suis, un entité divine, déchue, parmi tant d'autre dans un Oracle qui portait le nom de Maudit et qui régissait le monde comme vous contrôliez cette salle avant mon arrivée. A la différence qu'elle était vide et qu'il n'était guère difficile d'y forger votre place...
Puisque je ne puis exercer ni Magie ni Arme, il me suffirait de sortir de ce lieu saint qui m'est cher, et de prendre autre forme. Que voulez-vous ? Celle d'un habile conseiller économique du Duarantie ? Les poches pleines d'as de trèfle, paré à piquer vos doux coeurs de créanciers ? Ce serait si simple, mais ce n'en est pas le but. Ici, n'oubliez pas que vous parlez bien à un homme et non à une quelconque entité divine dont tous ont oublié le nom - et c'est heureux ainsi.
Il s'avança calmement. Il aurait aimé infliger peur et terreur dans ses yeux, mais cela ne servirait à rien d'autant qu'il n'avait rien à faire ici et qu'il n'en avait ni le droit ni le devoir.
Vous vivez sur les récits de votre père, de ses amis, et des vôtres. Le CEI comme vous osez l'appeler appartient à une époque révolue. Elle est mienne, elle n'est pas votre, ne vous l'appropriez pas. Il n'est pas assez subtil de changer quelques syllabes d'un mot pour nous tromper tous. Si vous devez jouir de telles futilités pour vos faire entendre, c'est que vous êtes un bien mauvais commerçant.
Et un bien plus médiocre orateur encore.
J'ai toujours aimé trouver les mots pour tous ceux qui se plaignent. Les dunes de l'Arabiahne étaient autrefois riches d'un acier pur que j'exploitais avec amour et aisance. Et pourtant, je n'ai jamais supporter une armée aussi indécente que celles d'états dont le simple nom vous ferait vomir de nostalgie. Votre motivation est belle, votre naïveté devient magnifique. Vous ne pouvez jouer avec le temps pour votre seul compte. Votre raisonnement n'a qu'une chute, qu'une conclusion lisible : vous êtes faibles. Vous pourrez toujours vous amusez à invoquer la fatalité de votre position, et triturer dans chaque sens le "Bien de votre Galaxie", vos grands mots ne sont que le reflet de vos craintes. Un homme qui a peur n'est plus rien... Pas même un diplomate, encore moins un économiste.
Sa grande main portait les paroles lourdes de Thorgrin. Il avait été meurtri de son passé, il ne revenait que pour une seule et unique raison.
Je n'ai que faire de vos problèmes, je sais juste que vous touchez quelque chose que vous ne connaissez pas. Je vous mets en garde de vouloir copier le passé. Un passé dont vous ne pouvez que fermer les yeux, aveugle de connaissance. Il n'y a aucune mot pour décrire ce que nous avons vécu, et à quelle occasion le CEI d'une autre époque s'est organisé et développé. Eux ne craignaient rien, ils étaient maîtres de leur commerce comme nous étions juges des armées. Ici vous ne demandez qu'une couverture qui sera aussi fébrile que vos convictions. Oui, vous n'êtes pas un commerçant. Vous n'avez pas la foi. Qui a dit que vous et votre caste, étiez plus faibles que les grandes flottes de ce monde ? Vous, alors vous n'avez rien compris. Un marchant est indispensable à partir du moment où il sait se rendre ainsi. Le CEI a toujours eu des convictions. Il a été crée par amour du commerce et non par pur bouclier. C'est un tout, que vous ne pouvez recréer.
Vous n'en avez pas le droit. Je me ferais le digne représentant de ces temps anciens et perdus.
Il se souvenait. Dans ce couloir, combien en avait-il tué ? A combien de Grand Conseillers avaient-il tenu tête ? Il se rappelait la voix de Lord Yu dans ce micro, caché dans les sous-sols du Siège de la Corporation ; de quelle manière ils avaient monté ces marches, cette splendeur qu'aucun ne leur voulait reconnaitre. Lydhile avait été sa main, partie dans les ténèbres du Shadowsong, pour une ultime quête. Thorgrin devait tout à Théran, comme un frère. Il l'avait fait revenir d'entre les morts, il y a presque trois ans. Lui, Dieu oublié de tous. Dieu déchu, aujourd'hui au Panthéon de l'Oracle Maudit. Il ne laisserait pas quelqu'un jouer ainsi de ce passé. De son passé.
Passé oui. Mais lui n'avait rien oublié, les hautes dunes de sable sous le soleil rasant, les fraiches cascades de bonheur d'Islamabad, ses gigantesques productions d'acier, ces rêves, somptueux, ses amis, ses frères. Non, de tout ça il avait tout gardé en mémoire. Six mois de labeur, six mois de main mise. On ne pouvait ainsi bafouer l'histoire. Thorgrin était recherché, comme tous les autres Wizards. Mais après-tout, une fois dehors, il remonterait dans ses cieux, et retrouverait l'éternel confin du temps et de sa longue patience à regarder les hommes.
Trouvez autre chose. Faites fonctionner votre imagination, parce que vous êtes faibles, vous devrez user d'autres chemins que ceux des grands. Et si vous n'y arrivez pas, autrement qu'en regardant comment on fait vos ancêtres, alors c'est que vous n'avez rien à faire dans ce monde... Comme beaucoup d'autres...
- Duanration
- Messages : 28
- Inscription : 19 févr. 2008, 20:34
Re: Consortium Economique Intergalactiques
Proutesky Hehuch, le Grand Conseiller de l’ombre. Le Grand Conseiller des taches administratives. Il était de fort mauvaise humeur. En effet, la veille il avait été de nouveau pris pour un singe et bien que ce genre de mésaventures étaient devenues pour lui une formalité, ce jour là fut particulierement désagreable. En effet il avait été pris d’une aphonie foudroyante et lorsque le proxenet qu’il venait d’accosté fit appel au Zoo municipal pour venir le capturer il fut dans l’impossibiliter de prouver qu’il n’était pas un singe.
Il était su de tous au Siege de la Corporation désormais que Proutesky, un petit homme à la pilosité détraquée, ne prenait plus la peine de porter des vetements tant sa toison était importante. D’aucuns savaient également que son visage n’était qu’un vestige d’un facié humain, son nez et son menton n’existant plus qu’à l’état de trou pilonnés par les cicatrices.
Après cette nuit infame, insupportable, bléssante même, ou il avait du mangé son caca (car ils l’avaient privé de diner lorsqu’il les avait mordu) il se retrouvait face à une nouvelle acablante.
Un criminel ?
…
Ici ?
…
On envoi de quoi le neutraliser monsieur ?
La touffe humaine toisa l’officier après quoi il déploya son immense mâchoire et ses dents énormes et abimées.
Et que faites vous de la sécurités des hommes de paroles venu en nos lieux de sécurité et de dialogue ?
Vous avez rai…
Non, vous etes vraiment dans l’faux…
Proutesky s’approcha du garde, et caché dans ses poils sa mains s’extirpa quelques instant pour penetrer l’anus de celui-ci à travers son trellis. Le Grand Conseiller feint l’innoncence et poursuivis.
Avec toute la discretion qu’il vous a été donnée par vos ancêtres, vous allez activer le champs de force de la salle ou il se trouve en laissant la sortie accessible biensur.
Mais…
Et vous allez placer à la sortie de quoi le neutraliser. Au pire, tuez le. Sinon, capturez-le.
Vous venez avec nous ?
D’un œil brillant il fixa le garde en ricanant.
Je suivrais vos actions et vous donnerais mes instruction d’ici. Si vous voulez un de mes collègues pour vous soutenir appellez-le… Ca ne me concerne pas.
Le Grand Conseiller profita encore une fois de l’ombre de ses longs poils pour gratter les morceaux de matieres fécales ornant son rectum, il en récolta les miettes et s’en delecta.
Allez-y maintenant ! Et qu’il ne se doute de rien jusqu’à ce qu’il sorte !
En quelques minutes tout était déjà en place. Suant de tout son immonde corps, le babouin du Grand Conseil ne quittait pas les écran de sécurité des yeux, attendant le moment de la capture.
Il était su de tous au Siege de la Corporation désormais que Proutesky, un petit homme à la pilosité détraquée, ne prenait plus la peine de porter des vetements tant sa toison était importante. D’aucuns savaient également que son visage n’était qu’un vestige d’un facié humain, son nez et son menton n’existant plus qu’à l’état de trou pilonnés par les cicatrices.
Après cette nuit infame, insupportable, bléssante même, ou il avait du mangé son caca (car ils l’avaient privé de diner lorsqu’il les avait mordu) il se retrouvait face à une nouvelle acablante.
Un criminel ?
…
Ici ?
…
On envoi de quoi le neutraliser monsieur ?
La touffe humaine toisa l’officier après quoi il déploya son immense mâchoire et ses dents énormes et abimées.
Et que faites vous de la sécurités des hommes de paroles venu en nos lieux de sécurité et de dialogue ?
Vous avez rai…
Non, vous etes vraiment dans l’faux…
Proutesky s’approcha du garde, et caché dans ses poils sa mains s’extirpa quelques instant pour penetrer l’anus de celui-ci à travers son trellis. Le Grand Conseiller feint l’innoncence et poursuivis.
Avec toute la discretion qu’il vous a été donnée par vos ancêtres, vous allez activer le champs de force de la salle ou il se trouve en laissant la sortie accessible biensur.
Mais…
Et vous allez placer à la sortie de quoi le neutraliser. Au pire, tuez le. Sinon, capturez-le.
Vous venez avec nous ?
D’un œil brillant il fixa le garde en ricanant.
Je suivrais vos actions et vous donnerais mes instruction d’ici. Si vous voulez un de mes collègues pour vous soutenir appellez-le… Ca ne me concerne pas.
Le Grand Conseiller profita encore une fois de l’ombre de ses longs poils pour gratter les morceaux de matieres fécales ornant son rectum, il en récolta les miettes et s’en delecta.
Allez-y maintenant ! Et qu’il ne se doute de rien jusqu’à ce qu’il sorte !
En quelques minutes tout était déjà en place. Suant de tout son immonde corps, le babouin du Grand Conseil ne quittait pas les écran de sécurité des yeux, attendant le moment de la capture.