Un homme, grand, noir aux yeux bleu venait d'arriver dans la corporation, il passa dans un couloir où il y avait plusieurs salle de libre. Il écrit alors sur un panneau :
Le lâche en direct.
Il pris une salle et alla attendre que du monde vienne le voir. Quand il y eu assez de monde à son goût il commença à parler.
Lâche. Si il ne fallait qu'un seul mot pour décrire l'Aetherys, son peuple et son infâme commandant, qui était des plus cruels et sanguinaire dirigeant. C'est ce mot que je prendrais.
Cette … nation, si on peut l'appeler comme ça, est un malheur à notre survie, depuis plusieurs jours cet infâme nous attaquent lorsque tout le monde dors, il nous est alors impossible de résister car les troupes ne sont pas prêtes. Et aujourd'hui même ils nous a envoyé leurs missiles, 50 GS-26 ce qui fait énormément de troupes perdues, les trois milles envouteurs qui venaient de naître sont mort, ils n'auront vécu qu'un jour, qui ont peut le dire n'est pas un des meilleurs.
Des bâtiments entiers ont été détruits a cause de ses missiles, moi, Jonas Blane, j'ai décidé de faire un millier de boucliers anti-nucléaire. Ce lâche pourra toujours attaquer par missile mais il n'aura rien, il ne détruira rien, il détruira seulement ses missiles qui prouve que cet homme, cette créature, cette bête est l'une des plus lâche qu'il existe dans notre galaxie. Et peut être, alors osera t-il attaquer en plein jour les états qui n'ont déjà pas besoin de cela. Ou alors arrêtera t-il d'attaquer?
Non, c'est un lâche qui ne sait rien faire d'autre qu'attaquer la nuit, qui est normalement calme, a coup de flottes ou de missiles. Alors c'est pour cela que je vous appelle, vous autres dirigeants!
Venez détruire ce lâche!
Jonas qui tenait à pleine main le micro, commençait à le lâcher et à ne plus être crispé. Il venait de dire ce qu'il avait sur le cœur et voulait que tout le monde le sache.
Il attendait que l'Aetherys vienne lui-même ici et exprimer ses propos envers le Rebux ou les autres états. Ou alors qu'un autre dirigeant vienne parler en faveur ou contre ce lâche qui perdura si personne ne s'en occupe.
Le lâche
Modérateur : Modérateurs
Re: Le lâche
Le commandeur Kermo était en chemin vers le siège de la Corporation, dans son croiseur personnelle, il souhaitait faire une petite apparition dans les couloirs afin de se tenir au courant des actions importantes, et se faire confident des petits potins qui parcouraient les couloirs.
Il était assis sur la passerelle, à contempler l’espace via la gigantesque baie vitrée qui lui faisait face, lorsque le commandant du vaisseau lui annonça leur arrivée imminente. En effet, le vaisseau se retrouva en espace conventionnel quelques instants après l’annonce.
Ils se posèrent sur l’immense spatioport du siège et le Commandeur Kermo sortit du croiseur accompagné de différents conseillers qui le suivaient où qu’il aille.
Le comité entra dans l’immense bâtisse après quoi le jeune homme ordonna à ses compagnons de partir arpenter les différents couloirs et de le laisser seul.
Kermo se connecta à un terminal et trouva les grands sujets de conversation et en pris un intéressant, il visionna les archives et décida d’assister à la séance, sans forcément intervenir.
Il se mit alors en chemin.
Ses yeux verts se posaient ici et là sur les différentes personnes qui arpentaient les couloirs, son jeune âge contrastait face à celui des autres amateurs qui côtoyait ce lieu.
Il passa devant une porte et entendit des paroles qui l’interpellèrent, notamment « lâche » « missiles » « mort »…
Il décida alors de rentrer silencieusement et s’assit.
Kermo écouta l’orateur, et décida de répondre, bien que cela ne fût pas dans son plan originel.
Il se leva et commença.
Bonjour à tous,
Je me présente, je suis le seigneur Kermo, commandeur suprême de mon Etat.
Seigneur, je vous présente mes condoléances pour vos hommes morts, c’est une mort bien tragique et douloureuse que celle des suites d’une attaque nucléaire.
Cependant leur mort les ramène vers la magie originelle, et nous devons bénir leur retour à la toute puissante magie de notre monde.
Je ne vais pas entrer dans votre débat, car je ne connais que trop peu votre problème, en effet mes terres ont été épargnées par votre assaillant, ainsi que par des missiles qui amènent mort et souffrance.
Je ne peux que saluer votre courage, en effet c’est ce que je ressens face à votre appel.
Néanmoins, pensez vous que suffisamment de seigneurs relèverons votre appel, un appel à la destruction d’un empire prospère qui surpasse bon nombre de flotte dans toute notre galaxie.
Je l’espère pour vous, mais je ne peux vous donner mon soutient, en effet mes forces sont actuellement engagées dans d’autres combats bien loin de ce champs de batail.
Je m’en excuse.
Sur ce, mes salutations.
Kermo fit un bref signe de tête, et se demanda si cela était du courage ou de la cupidité que de faire éclater au grand jour un projet qui aurait pu réussir s’il se déroulait dans l’ombre…
Le seigneur fit vent sur ces pensées en sortant de la salle afin de se concentrer sur d’autres sons qui provenaient du couloir qu’il arpentait.
Il était assis sur la passerelle, à contempler l’espace via la gigantesque baie vitrée qui lui faisait face, lorsque le commandant du vaisseau lui annonça leur arrivée imminente. En effet, le vaisseau se retrouva en espace conventionnel quelques instants après l’annonce.
Ils se posèrent sur l’immense spatioport du siège et le Commandeur Kermo sortit du croiseur accompagné de différents conseillers qui le suivaient où qu’il aille.
Le comité entra dans l’immense bâtisse après quoi le jeune homme ordonna à ses compagnons de partir arpenter les différents couloirs et de le laisser seul.
Kermo se connecta à un terminal et trouva les grands sujets de conversation et en pris un intéressant, il visionna les archives et décida d’assister à la séance, sans forcément intervenir.
Il se mit alors en chemin.
Ses yeux verts se posaient ici et là sur les différentes personnes qui arpentaient les couloirs, son jeune âge contrastait face à celui des autres amateurs qui côtoyait ce lieu.
Il passa devant une porte et entendit des paroles qui l’interpellèrent, notamment « lâche » « missiles » « mort »…
Il décida alors de rentrer silencieusement et s’assit.
Kermo écouta l’orateur, et décida de répondre, bien que cela ne fût pas dans son plan originel.
Il se leva et commença.
Bonjour à tous,
Je me présente, je suis le seigneur Kermo, commandeur suprême de mon Etat.
Seigneur, je vous présente mes condoléances pour vos hommes morts, c’est une mort bien tragique et douloureuse que celle des suites d’une attaque nucléaire.
Cependant leur mort les ramène vers la magie originelle, et nous devons bénir leur retour à la toute puissante magie de notre monde.
Je ne vais pas entrer dans votre débat, car je ne connais que trop peu votre problème, en effet mes terres ont été épargnées par votre assaillant, ainsi que par des missiles qui amènent mort et souffrance.
Je ne peux que saluer votre courage, en effet c’est ce que je ressens face à votre appel.
Néanmoins, pensez vous que suffisamment de seigneurs relèverons votre appel, un appel à la destruction d’un empire prospère qui surpasse bon nombre de flotte dans toute notre galaxie.
Je l’espère pour vous, mais je ne peux vous donner mon soutient, en effet mes forces sont actuellement engagées dans d’autres combats bien loin de ce champs de batail.
Je m’en excuse.
Sur ce, mes salutations.
Kermo fit un bref signe de tête, et se demanda si cela était du courage ou de la cupidité que de faire éclater au grand jour un projet qui aurait pu réussir s’il se déroulait dans l’ombre…
Le seigneur fit vent sur ces pensées en sortant de la salle afin de se concentrer sur d’autres sons qui provenaient du couloir qu’il arpentait.
Re: Le lâche
« Ça y est, SPOTTED, cheffe ! »
Le 66 Vertan 3728, Bureau du Commandement de l'Aegyptia.
« - Quoi encore, Shu' ?
- Regarde, cheffe, cheffe, il est là !
- Non... Pas lui. Impossible. Pas pour ça. Laisse-moi y all...
- J'y vais ! A plus cheffe !
- Shurak, att... »
Devar Shurak, second de Trenia Heqat, venait de lui claquer la porte au nez. Le platin rendu vieilli par l'expérience des Châtiments des Sous-Sols de la Corporation, voyait enfin pointer à l'horizon un échantillon encourageant d'un regain de dignité. Il avait, certes, perdu la quasi-totalité de son charisme, et pas mal de sa... spiritualité, mais Devar n'en était pas moins le même homme qu'auparavant, sur le mental. En acier forgé de Desertica, l'ex-espion en avait vu de pires. Et pour couronner le tout, il irait, dans dix minutes à peine, manger du Templier au souper.
« Un peu lourdes, ces saloperies... M'enfin, j'm'en accomoderai. », pensa-t-il en s'engageant sur le pont de la navette qui devait l'emmener sur la capitale du système, et au coeur-même de celle-ci : au grisâtre Siège de la Corporation. Celui dont les bas-fonds tenaient encore Shurak captif d'une vengeance retenue, ostensiblement responsable d'un avenir brisé, d'une lutte qui ne ferait que saccager les destinées de deux personnes. Alors comme remède, Shurak avait trouvé Heqat, et comme outil d'oubli, la destruction pure et simple des plus ou moins sombres crétins de la galaxie.
« Alors, connard, comment ça va ?
T'as bien dormi, tout ça ? J'espère, parce que j'suis pas d'humeur, ce soir. Tu vois, là, t'fais ton malin à prôner des valeurs de nonnes dans la fosse aux fauves, mais s'tu crois qu'tu vas pas t'faire bouffer, mon grand, c'est perdu. Tu peux r'tenter ta chance. »
Bon... On dirait qu'on a loupé un épisode. Donc Shurak avait débarqué dans la salle sous les yeux ébahis de tous, et empoigné le micro des mains de Kermo. Sans même se présenter, ce qu'il allait d'ailleurs faire, il avait harangué le... hum... "dirigeant" de cet... "état"... qu'était Rebux.
Et voilà où nous en sommes maintenant...
« ... tous des cons, ces gars de l'Aube des Ordres, ou un truc comme ça. Ouais, ça pue l'nom d'curé, j'comprends qu'tu prêches la bonne parole, tiens. Par contre, 'va falloir que tu m'expliques un truc. Si tu m'casses autre chose que les pieds avec tes inepties, pourquoi tu t'pointes chez moi quand j'suis pas là, juste pour m'péter un chasseur et m'tuer un pilote, avant d'te barrer les jambes à ton cou parce que tu flippes tellement qu't'en pisses dans ton moteur ?
Tu oses dénoncer, assassin ? Explique-toi avant tout.
J't'avais déjà touché ? Non. Franchement, j'ai hâte de voir ton explication.
T'sais quoi ? J'me pose là, dans un coin, j'mate l'autre connasse de secrétaire s'limer les ongles, et tu m'sonnes dès qu't'as un truc.
En attendant, j't'annonce quand même que dès qu'elle a fini sa manucure, moi, j'me barre. Tant pis pour toi, et ton état, d'ailleurs. Parce que j'passerai, pour la première fois. Et j'pense pas avoir besoin d'y revenir après coup, sauf si tu m'laisses un pourboire. Tu m'suis ? »
Et Shurak s'exécuta, un sourire se dessinant sur son visage. Il appréciait toujours autant cette magnificence dubitative qui se dégageait de l'amphithéâtre après chacune de ses interventions.
Bien entendu, comme d'habitude, le prochain discours devrait changer de ton... et faire changer de ton.
« Ah et, au passage, j'm'appelle Shurak. Devar Shurak. Ex-Empereur Platin III, Ex-Général des Armées Platines, Ex-Ministre de l'Intérieur de l'Helgan, Ex-caetera. Et si ça t'suffit pas, y'a ma biographie aux Archives. T'auras qu'à en faire un autodafé, l'justicier, si ça t'file autant plaisir que d'tuer mes hommes. »
Le 66 Vertan 3728, Bureau du Commandement de l'Aegyptia.
« - Quoi encore, Shu' ?
- Regarde, cheffe, cheffe, il est là !
- Non... Pas lui. Impossible. Pas pour ça. Laisse-moi y all...
- J'y vais ! A plus cheffe !
- Shurak, att... »
Devar Shurak, second de Trenia Heqat, venait de lui claquer la porte au nez. Le platin rendu vieilli par l'expérience des Châtiments des Sous-Sols de la Corporation, voyait enfin pointer à l'horizon un échantillon encourageant d'un regain de dignité. Il avait, certes, perdu la quasi-totalité de son charisme, et pas mal de sa... spiritualité, mais Devar n'en était pas moins le même homme qu'auparavant, sur le mental. En acier forgé de Desertica, l'ex-espion en avait vu de pires. Et pour couronner le tout, il irait, dans dix minutes à peine, manger du Templier au souper.
« Un peu lourdes, ces saloperies... M'enfin, j'm'en accomoderai. », pensa-t-il en s'engageant sur le pont de la navette qui devait l'emmener sur la capitale du système, et au coeur-même de celle-ci : au grisâtre Siège de la Corporation. Celui dont les bas-fonds tenaient encore Shurak captif d'une vengeance retenue, ostensiblement responsable d'un avenir brisé, d'une lutte qui ne ferait que saccager les destinées de deux personnes. Alors comme remède, Shurak avait trouvé Heqat, et comme outil d'oubli, la destruction pure et simple des plus ou moins sombres crétins de la galaxie.
« Alors, connard, comment ça va ?
T'as bien dormi, tout ça ? J'espère, parce que j'suis pas d'humeur, ce soir. Tu vois, là, t'fais ton malin à prôner des valeurs de nonnes dans la fosse aux fauves, mais s'tu crois qu'tu vas pas t'faire bouffer, mon grand, c'est perdu. Tu peux r'tenter ta chance. »
Bon... On dirait qu'on a loupé un épisode. Donc Shurak avait débarqué dans la salle sous les yeux ébahis de tous, et empoigné le micro des mains de Kermo. Sans même se présenter, ce qu'il allait d'ailleurs faire, il avait harangué le... hum... "dirigeant" de cet... "état"... qu'était Rebux.
Et voilà où nous en sommes maintenant...
« ... tous des cons, ces gars de l'Aube des Ordres, ou un truc comme ça. Ouais, ça pue l'nom d'curé, j'comprends qu'tu prêches la bonne parole, tiens. Par contre, 'va falloir que tu m'expliques un truc. Si tu m'casses autre chose que les pieds avec tes inepties, pourquoi tu t'pointes chez moi quand j'suis pas là, juste pour m'péter un chasseur et m'tuer un pilote, avant d'te barrer les jambes à ton cou parce que tu flippes tellement qu't'en pisses dans ton moteur ?
Tu oses dénoncer, assassin ? Explique-toi avant tout.
J't'avais déjà touché ? Non. Franchement, j'ai hâte de voir ton explication.
T'sais quoi ? J'me pose là, dans un coin, j'mate l'autre connasse de secrétaire s'limer les ongles, et tu m'sonnes dès qu't'as un truc.
En attendant, j't'annonce quand même que dès qu'elle a fini sa manucure, moi, j'me barre. Tant pis pour toi, et ton état, d'ailleurs. Parce que j'passerai, pour la première fois. Et j'pense pas avoir besoin d'y revenir après coup, sauf si tu m'laisses un pourboire. Tu m'suis ? »
Et Shurak s'exécuta, un sourire se dessinant sur son visage. Il appréciait toujours autant cette magnificence dubitative qui se dégageait de l'amphithéâtre après chacune de ses interventions.
Bien entendu, comme d'habitude, le prochain discours devrait changer de ton... et faire changer de ton.
« Ah et, au passage, j'm'appelle Shurak. Devar Shurak. Ex-Empereur Platin III, Ex-Général des Armées Platines, Ex-Ministre de l'Intérieur de l'Helgan, Ex-caetera. Et si ça t'suffit pas, y'a ma biographie aux Archives. T'auras qu'à en faire un autodafé, l'justicier, si ça t'file autant plaisir que d'tuer mes hommes. »
« Altea seit Ethel. Ton nom ne sera jamais oublié... » - Kami Raykovith
- Bl@cky du Miyard
- Messages : 20
- Inscription : 13 juil. 2008, 09:44
Re: Le lâche
- Excusez -moi Seigneur Kermo, Seigneur Rebux, je voudrais intervenir mais je souhaiterai vous voir rester dans cette salle et écoutez
se que j'ai a vous dire, non plutôt, mon père prendra la parole, je ne suis que son instrument ici à la Corporation, sachant qu'il n'a guère le temps de s'y déplacer.
vous restez, se sera certainement très intéressant.
Les dirigeants firent demi-tour, revinrent sur leurs pas et s'assirent sur les même sièges encore chauds, il y avait encore quelques représentants
de faction, d'alliances et des dirigeants d'états indépendants, 2, 3 non 4 rapporteurs de la Corporation, c'est leur surnom de scribes.
Il régnait dans cette salle, une atmosphère tendue, une certaine crainte comme de la curiosité, un souffle de rancoeur se lisait même sur les lèvres
de certains personnages inconnus, une tristesse sûrement au vue de se qui avait été annoncé par les orateurs précédents.
Hyrial du Zatura, c'est le nom du seigneur ayant rattraper les intervenants avant leur sortie, était le premier fils du Vieux sage de Galactica, le Superviseur
de la Fédération de l'Améthyste, Blacky Stark du MIyard, et son âge avancé pour un Baltukien, l'empêchait de faire de grand déplacement, il restait souvent
au sanctuaire, lieu d'échanges et de rencontres des membres de la FA et tous les adorateurs des cailloux si précieux.
Hyrial monta sur l'estrade et s'adossa au pupitre, le responsable de la salle, déposa une verre d'eau pure vertana.
Ding, Dingue, Dong - L'eau pure vertana, boisson rafraîchissante qui vous désaltère, vous donne du courage et vous fait faire pipi vert.....
Ding, Dingue, Dong.
Une jingle, une pub c'est ça, elle s'enclencha même au moment ou le responsable de la salle posé le verre, comme si il y avait un système qui
enclenchait et envoyait la pub, surpris, Hyrial s'était retourné et avait suivi comme toutes les personnes présentes ces 15 seconde d'interlude.
Hyrial, un peu éberlué bu une grande gorgée de ce breuvage et pris la parole.
- Chers amis, dirigeants d'états et membres de la Corporation, cette eau est vraiment un délice et je vais faire pipi vert...
toutes l'assemblée se mit à rire, un instant de franche rigolade, faisant un peu oublier ces massacres et ce jour de deuil.
- Je ne ferai pas un long discours mais je vous laisserai écouter mon père qui souhaiterai vous dire 2 mot sur les recents événements des dirigeants car ils sont 2 sur Aetherys.
Hyrial enclencha l'appareil et l'image holographique du Superviseur de la FA apparu au milieu de l'estrade.
- Bonjour, j'ai peu de temps donc je vais essayer de faire bref.
Sa voix rauque, ses longs cheveux blancs, sa stature encore athlétique pour ses 200 ans passés et cette prestance appelait le respect et un silence de cathédrale s'installa dans la salle.
- Les derniers rapports que je viens de recevoir démontrent que les dirigeants du Aetherys, ayant installé leur colonie retranchée
sur une planète volcanien éloignée produise en grande quantité de l'uranium a des fins diabolique, vaisseaux nucléaires, missiles, unités de mort
nucléaires y sont construits à la chaîne et il s'y prépare l'apocalypse.
voici le rapports de sa dernier machination qui, apparemment ressemble au copier-coller de ce qui a été révélé avant par le seigneur et dirigeant
du Rebux, puis par le seigneur Kermo.
Au même moment, Hyrial enclencha l'écran géant at apparu le rapport complet de la dernière attaque du ces infâmes du aetherys.
Une grande indignation et une colère emplit la salle, un murmure devenu presque un chahut et les discussions allaient bon train, Hyrial du reprendre la parole pour demander le silence.
- SVP, un peu de silence, écouter.....Merci..
Blacky Stark repris son discours derrière lui immédiatement sans laisser un répit à l'audimat.
- Allons Messieurs, un peu de calme, je comprends votre colère en voyant cela, notre ministre du commerce et notre cher ami
déserticain est aujourd'hui au bord du dépot de bilan.
mais déjà l'entraide se met en route et les travaux de reconstruction ont commencé.
cela n'explique pas leur geste, cette violence gratuite déployée, nous ne connaissons pas les raisons, ni le pourquoi de ses cibles, mais cela reste
intolérable et cette attaques qui ont suivis de nombreux pillages ont faites réagir les membres de la FA comme bon nombres d'autres états, qui selon moi devrait dés cette instant formés une grande coalition et exterminer cette vermine grandissante, venu menacer notre nouvelle ère de paix et de prospérité.
Il serait bon déjà qu'ils viennent ici s'expliquer si ils osent venir sans se faire lyncher à la sortie de leur vaisseaux.
Par le passé déjà nous avons subit de tesl actes barbares, de la part du seigneur noir et de son acolytes du Nécrolia et du Takalane, mais ils ont su
faire oublier leur erreur et sont devenus d'excellent dirigeants et commerçants appréciés de tous, ce qui n'est pas le cas de ses machines de mort.
Il est temps de se réunir pour en discuter et trouver des solutions dissuasives et radicales afin qu'ils cessent leur carnage.
et J'engage tous les membres de la FA a riposté sans retenue à toutes attaques venant du Aetherys, en attente de voir qui et comment cette hégémonie
soit anéantie et que la paix revienne.
Je vais des la fin de ce discours affréter immédiatement un vaisseau diplomatique en Aetherys et demander audience, il me faut une explication cohérente,
pour le moment les seuls renseignements que j'ai sont flous et totalement dénués de sens, à n'y rien comprendre, je vous enverrai, à ceux qui souhaite
riposter, un compte-rendu de ma rencontres avec se ou ses dirigeants, sans avoir de certitude qu'il m'ouvriront les portes de leur colonie, au pire j'essaye d'obtenir une conférence intergalactique par le système holographique, sans être sûr également d'en avoir une, je vous ferai parvenir un copie pour tous ceux désireux de connaître la vérité et leur motivation.
je vous salue tous et toutes et espère voir de nombreux états suivre ces demandes de ripostes et trouvons ensemble un moyen de mettre un terme à ces massacres et définitivement voir ces infâmes mécréants revenir dans le droit chemin qui était le leur par la passé.
Merci.
Blacky s'inclina légèrement puis d'un signe de la main et se retira, l'hologramme s'éteignit et de nouveau le silence s' installa, qui donc allait reprendre la parole, oserait-il venir pour s'expliquer ou resterait-il dans l'ombre en continuant leur tuerie, tous les personnes présentes se regardaient cherchant qui allait
suivre ces demandes, qui montrait sur cette estrade pour crier son désarroi.
ce silence presque insoutenable et très long fera-t-il place à la vérité, connaîtrons nous vraiment les raisons, la FA se dressant devant ces attaques,
une alliance forte et bien organisée, arrivera telle à bout de se conflit, temps de questions restées sans réponses.
Qui donc prendra la suite, la salle commençait à se vider, Hyrial encore sur l'estrade, repris la parole.
- Attendez, sil vous plaît le débat n'est certainement pas fini, je ne peut vous en dire plus mais je resterai présent afin de voir qui
souhaite aider cette coalition en formation, je dresserai une liste et je la transmettrai à mon père, je comprend que vous soyez frileux, vu les
forces de frappes en présence mais ensemble je suis sur que nous arriverons à leur faire entendre raison et que ces attaques disparaîtront,
allons ne fuyez pas.
Quelques personnages présents s'était arrêter pour écouter d'autres quittaient la salle comme pour ne plus entendre ses horreurs, indifférents
à ce qui se passait, d'autres se hâta pour discuter avec Hyrial, rester comme il l'avait dit au pied de l'estrade, que de questions, de réponses et
toujours aucunes raisons ni même une missive, rien, du vent froid et glacial de la mort revenu en Galactica.
se que j'ai a vous dire, non plutôt, mon père prendra la parole, je ne suis que son instrument ici à la Corporation, sachant qu'il n'a guère le temps de s'y déplacer.
vous restez, se sera certainement très intéressant.
Les dirigeants firent demi-tour, revinrent sur leurs pas et s'assirent sur les même sièges encore chauds, il y avait encore quelques représentants
de faction, d'alliances et des dirigeants d'états indépendants, 2, 3 non 4 rapporteurs de la Corporation, c'est leur surnom de scribes.
Il régnait dans cette salle, une atmosphère tendue, une certaine crainte comme de la curiosité, un souffle de rancoeur se lisait même sur les lèvres
de certains personnages inconnus, une tristesse sûrement au vue de se qui avait été annoncé par les orateurs précédents.
Hyrial du Zatura, c'est le nom du seigneur ayant rattraper les intervenants avant leur sortie, était le premier fils du Vieux sage de Galactica, le Superviseur
de la Fédération de l'Améthyste, Blacky Stark du MIyard, et son âge avancé pour un Baltukien, l'empêchait de faire de grand déplacement, il restait souvent
au sanctuaire, lieu d'échanges et de rencontres des membres de la FA et tous les adorateurs des cailloux si précieux.
Hyrial monta sur l'estrade et s'adossa au pupitre, le responsable de la salle, déposa une verre d'eau pure vertana.
Ding, Dingue, Dong - L'eau pure vertana, boisson rafraîchissante qui vous désaltère, vous donne du courage et vous fait faire pipi vert.....
Ding, Dingue, Dong.
Une jingle, une pub c'est ça, elle s'enclencha même au moment ou le responsable de la salle posé le verre, comme si il y avait un système qui
enclenchait et envoyait la pub, surpris, Hyrial s'était retourné et avait suivi comme toutes les personnes présentes ces 15 seconde d'interlude.
Hyrial, un peu éberlué bu une grande gorgée de ce breuvage et pris la parole.
- Chers amis, dirigeants d'états et membres de la Corporation, cette eau est vraiment un délice et je vais faire pipi vert...
toutes l'assemblée se mit à rire, un instant de franche rigolade, faisant un peu oublier ces massacres et ce jour de deuil.
- Je ne ferai pas un long discours mais je vous laisserai écouter mon père qui souhaiterai vous dire 2 mot sur les recents événements des dirigeants car ils sont 2 sur Aetherys.
Hyrial enclencha l'appareil et l'image holographique du Superviseur de la FA apparu au milieu de l'estrade.
- Bonjour, j'ai peu de temps donc je vais essayer de faire bref.
Sa voix rauque, ses longs cheveux blancs, sa stature encore athlétique pour ses 200 ans passés et cette prestance appelait le respect et un silence de cathédrale s'installa dans la salle.
- Les derniers rapports que je viens de recevoir démontrent que les dirigeants du Aetherys, ayant installé leur colonie retranchée
sur une planète volcanien éloignée produise en grande quantité de l'uranium a des fins diabolique, vaisseaux nucléaires, missiles, unités de mort
nucléaires y sont construits à la chaîne et il s'y prépare l'apocalypse.
voici le rapports de sa dernier machination qui, apparemment ressemble au copier-coller de ce qui a été révélé avant par le seigneur et dirigeant
du Rebux, puis par le seigneur Kermo.
Au même moment, Hyrial enclencha l'écran géant at apparu le rapport complet de la dernière attaque du ces infâmes du aetherys.
Code : Tout sélectionner
[color=#FF0000]20/05/2010 21h47
L'Etat Aetherys lance une attaque nucléaire contre l'Etat ****.
* 7 Missiles GS-26
Le bouclier anti-nucléaire tombe à 1 énergie.
20/05/2010 21:58
L'Etat Aetherys lance une attaque nucléaire contre l'Etat ****.
* 43 Missiles nucléaires tactiques
Le bouclier anti-nucléaire est détruit.
Structures détruites :
* Usines de drones : 435
* Complexes catalytiques : 100
* Centres de recherche : 75
* Arcane Sanctums : 92
* Générateurs de bouclier anti-nucléaire : 1
* Tourelles laser : 57
* Tourelles anti-aériennes : 104
Unités détruites :
* Maîtres mages : 12
* Transports : 6[/color]
- SVP, un peu de silence, écouter.....Merci..
Blacky Stark repris son discours derrière lui immédiatement sans laisser un répit à l'audimat.
- Allons Messieurs, un peu de calme, je comprends votre colère en voyant cela, notre ministre du commerce et notre cher ami
déserticain est aujourd'hui au bord du dépot de bilan.
mais déjà l'entraide se met en route et les travaux de reconstruction ont commencé.
cela n'explique pas leur geste, cette violence gratuite déployée, nous ne connaissons pas les raisons, ni le pourquoi de ses cibles, mais cela reste
intolérable et cette attaques qui ont suivis de nombreux pillages ont faites réagir les membres de la FA comme bon nombres d'autres états, qui selon moi devrait dés cette instant formés une grande coalition et exterminer cette vermine grandissante, venu menacer notre nouvelle ère de paix et de prospérité.
Il serait bon déjà qu'ils viennent ici s'expliquer si ils osent venir sans se faire lyncher à la sortie de leur vaisseaux.
Par le passé déjà nous avons subit de tesl actes barbares, de la part du seigneur noir et de son acolytes du Nécrolia et du Takalane, mais ils ont su
faire oublier leur erreur et sont devenus d'excellent dirigeants et commerçants appréciés de tous, ce qui n'est pas le cas de ses machines de mort.
Il est temps de se réunir pour en discuter et trouver des solutions dissuasives et radicales afin qu'ils cessent leur carnage.
et J'engage tous les membres de la FA a riposté sans retenue à toutes attaques venant du Aetherys, en attente de voir qui et comment cette hégémonie
soit anéantie et que la paix revienne.
Je vais des la fin de ce discours affréter immédiatement un vaisseau diplomatique en Aetherys et demander audience, il me faut une explication cohérente,
pour le moment les seuls renseignements que j'ai sont flous et totalement dénués de sens, à n'y rien comprendre, je vous enverrai, à ceux qui souhaite
riposter, un compte-rendu de ma rencontres avec se ou ses dirigeants, sans avoir de certitude qu'il m'ouvriront les portes de leur colonie, au pire j'essaye d'obtenir une conférence intergalactique par le système holographique, sans être sûr également d'en avoir une, je vous ferai parvenir un copie pour tous ceux désireux de connaître la vérité et leur motivation.
je vous salue tous et toutes et espère voir de nombreux états suivre ces demandes de ripostes et trouvons ensemble un moyen de mettre un terme à ces massacres et définitivement voir ces infâmes mécréants revenir dans le droit chemin qui était le leur par la passé.
Merci.
Blacky s'inclina légèrement puis d'un signe de la main et se retira, l'hologramme s'éteignit et de nouveau le silence s' installa, qui donc allait reprendre la parole, oserait-il venir pour s'expliquer ou resterait-il dans l'ombre en continuant leur tuerie, tous les personnes présentes se regardaient cherchant qui allait
suivre ces demandes, qui montrait sur cette estrade pour crier son désarroi.
ce silence presque insoutenable et très long fera-t-il place à la vérité, connaîtrons nous vraiment les raisons, la FA se dressant devant ces attaques,
une alliance forte et bien organisée, arrivera telle à bout de se conflit, temps de questions restées sans réponses.
Qui donc prendra la suite, la salle commençait à se vider, Hyrial encore sur l'estrade, repris la parole.
- Attendez, sil vous plaît le débat n'est certainement pas fini, je ne peut vous en dire plus mais je resterai présent afin de voir qui
souhaite aider cette coalition en formation, je dresserai une liste et je la transmettrai à mon père, je comprend que vous soyez frileux, vu les
forces de frappes en présence mais ensemble je suis sur que nous arriverons à leur faire entendre raison et que ces attaques disparaîtront,
allons ne fuyez pas.
Quelques personnages présents s'était arrêter pour écouter d'autres quittaient la salle comme pour ne plus entendre ses horreurs, indifférents
à ce qui se passait, d'autres se hâta pour discuter avec Hyrial, rester comme il l'avait dit au pied de l'estrade, que de questions, de réponses et
toujours aucunes raisons ni même une missive, rien, du vent froid et glacial de la mort revenu en Galactica.
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ID du compte : 103
Re: Le lâche
- Elle est oùùùùùù? Jess'! Chériiiiie! C'est mam...ta soeuuuuur!
Dans le grand palais d'Aether, une jeune fille à l'allure splendide courait à en perdre haleine, ses cheveux d'un blond presque blanc virevoltaient en tout sens, fendant l'air d'un bruit mate et sec.
Elle ouvrait les portes de toutes les chambres, y jetait un rapide coup d'oeil puis se précipitait affolées vers la prochaine porte.
Après de longues minutes de recherche, après avoir commencé par la cuisine et avoir parcouru entièrement le palais, Eléonore, c'était son nom, entreprit de mener une enquête pour découvrir le secret qui se cachait sous la disparition de sa sœur. Elle n'était pas vraiment inquiète pour elle, plutôt pour ses possibles ravisseurs. Il fallait faire vite, il était peut être déjà trop tard.
- Vous l'avez vu? Elle s'appelle Jessica, c'est ma sœur, on se ressemble beaucoup! Non? Vous ne l'avez pas vu?
Elle interrogea méticuleusement tous les nobles de sa connaissance, tout le personnel du palais ainsi que ses gardes. Personne ne l'avait vu. Désespérée, elle s'effondra de fatigue.
-Mais où tu es Jess'? Tu es pire qu'un enfant, une seconde d'inattention est tu disparais...c'est ma faute! Tout est ma faute!
Les pleures de la jolie princesse inondaient son visage aux traits fins. Ses cries retentissait dans les couloirs. Certaines personnes entendaient le chant d'une sirène, d'autres furent si émus devant la tristesse de cette magnifique créature qu'ils ne purent s'empêcher de verser une larme bien qu'ils ne la connaissent pas.
Tout semblait désespéré et Éléonore pensait commencer à organiser les enterrements des personnes qui avait enlever sa sœur quand soudain...
- Je l'ai vu! Je l'ai vu moi!
Éléonore se souleva d'un bond comme repris d'une énergie sans limite, Maximum power!
- Elle se dirigeait vers son croiseur, elle semblait pressée. Je crois qu'elle est parti rejoindre notre Noble Dame Aetherya au palais de la corporat....
Le jeune homme n'eut pas le temps de finir sa phrase que l'ange qu'il contemplait s'envolait déjà vers un des transports diplomatiques.
- A la corporation je vous prie monsieur Pilote! C'est urgent!
L'homme resta bouche bée. Essoufflé par la beauté de la jeune fille. On lui avait déjà parlé de celle ci, elle était une légende et sa sœur aussi. Jamais il n'aurait espéré pouvoir la voir en vrai. Il vérifia que sa sœur n'était pas présente, sa réputation la précédait, ordonna à l'ordinateur la fermeture de la soute et décolla sans autorisation ce qui lui valu quelques tirs de tourelles qu'il pu esquiver grâce à son expérience et à la volonté de mener la charmante jeune femme à destination. Qu'importe ce qu'elle demanderait, il obéirait.
Il ne fallu que quelques minutes pour attendre son objectif. La planète Galactica était immense et sa surface recouverte de goudron et de métal. L'attraction magnétique était telle qu'il fallait systématiquement enclencher les stabilisateurs sous peine de perdre le contrôle de l'appareil pendant la descente. Parfois, lors de grands combats, des centaines de vaisseaux se percutent et explosent à cause de cette attraction. Malgré la vitesse, le pilote parvint à garder le contrôle et survolait maintenant la ville entourant la corporation.
Éléonore n'avait pas dit un mot durant le voyage. Elle regardait la ville à travers les hublots, ses larmes toujours en train de sécher, quelques unes coulaient encore mais alors que le vaisseau s'approchait du spatioport, Éléonore éclata de rire. Sous ses yeux, un immense cratère de 30m de diamètre au moins s'étendait comme une cicatrice sur la mégalopole. Les badauds et les secours occupaient la zone. Éléonore riait aux éclats car pour elle, n'y avait pas de doute: ce cratère là était signé Jessica.
- Merci monsieur Pilote! Merci beaucoup! Je ferai en sorte que vous soyez récompensé! Merci Merci!
Éléonore courait en riant, comme une jeune fille. Elle était rayonnante, de toute sa splendeur elle était le soleil, elle était la lumière.
Personne ne pu lui indiquer où était sa sœur, de nouveau il fallait fouiller toutes les salles mais cette fois ci elle le faisait en riant, s'excusant poliment de déranger les débats en cours. A chaque pas, son cœur battait plus fort, elle sentait la présence de sa sœur.
Mais alors qu'elle continuait sa course folle dans les couloirs de la corporation, au détour d'une porte elle entendit une voix. Une voix pleine de rancœur et de haine, une voix qui en disait long sur la capacité de son propriétaire à se tenir en société. Pour Eléonore, il n'y avait que deux choses intolérables pour un humain, l'une d'entre elle est de ne pas savoir se tenir en société. Alors qu'elle était rassurée par rapport à sa sœur, il lui fallait intervenir. Étonnamment, elle n'avait toujours pas remarqué que le discours portait sur l'Aetherys, son état natal. Ce ne fut que peu avant de rentrer qu'elle s'en aperçu et cela la choqua profondément. Comment pouvait on se méprendre à se point sur les réelles intentions de la Noble Aetherya?
N'osant pas affronter le regard effrayant du grand monsieur fantomatique, elle préféra se cacher dans l'ombre. Elle semblait phosphorescente tant elle était éclatante de beauté.
- Pardon...excusez moi monsieur? Je n'ai pas entendu votre nom, je m'en excuse profondément. Je tenais à vous dire que ce n'est pas une façon de parler de quelqu'un ce que vous faites! Ce n'est pas bien et je ne sais pas si je vous aimerai encore après cela! Mais comme je n'aime pas les conflits, je voudrai vous donner une chance d'apprendre car peut être n'est ce qu'un problème d'éducation? Je la ferai donc pour vous. Tout d'abord, je me présente, car l'on se présente toujours aux personnes qu'on ne connait pas. Je suis Éléonore, issue de la noblesse Aetheryienne, j'appartiens de cœur et de sang à mon bel état. Je ferai simplement une petite précision, il n'y a qu'un seul dirigeant à la tête de l'Aetherys, si Dame Aetherya était là, elle vous aurait botté les fesses pour avoir dit ca (dit-elle en se moquant légèrement de l'ignorance de son interlocuteur). Bien, maintenant, nous pouvons commencer. Je suppose que puisque personne ne vous a interrompu, personne ne m'interrompra? C'est une des règles de la courtoisie. Alors je commence:
-Tout d'abord, il faut toujours sourire or, vous semblez ignorer cette règle et persister à avoir cette expression de tristesse coller à votre visage. Cela ne va pas à votre teint monsieur, je vous le garanti le résultat est affreux. Je sais bien que la vie ne vous a pas gâté (dit elle en toute innocence) mais il faut savoir tenir son rang même s'il n'est pas des plus glorieux. Un sourire, des dents bien propres, voilà une hygiène de vie qui permet d'être apprécié en société. Essayez avec moi si vous voulez. Regardez, un sourire propre, blanc qui donne envie aux autres de vous aimer tout comme vous devez aimer les autres et c'est d'ailleurs d'abord pour eux que vous le ferez. Montrer que vous êtes aigri ou bien que vos rêves et ambitions, même aussi faibles que les votre (dit elle sans se rendre compte de la méchanceté de ses propos), se sont envolés ne vous mènera à rien! Au contraire, vous passerez pour une personne sans avenir, ce que vous êtes peut être, je ne veux pas me mêler de votre vie privé, je ne suis pas là pour juger.
- D'ailleurs, voilà un nouveau point de notre leçon d'aujourd'hui: ne jamais juger les autres trop rapidement, surtout sans les connaitre! C'est très mal et mène à des a priori préjudiciables pour l'amour entre les gens. Or l'amour est la plus belle chose qui existe au monde. Je ne vous permettrai donc jamais de porter attente à mon idéal de paix interplanétaire. En société, il est important de ne pas juger selon les apparences, elles sont souvent trompeuses. Vous êtes bien crédule de croire tout ce que vous voyez. Il y a toujours une raison derrière un acte. Ce qui vient clore la leçon d'aujourd'hui. Je vous invite à venir me rejoindre quand vous voulez en Aethérys pour une leçon plus complète. Vous en avez bien besoin, je vous assure, votre savoir vivre est assez lamentable. Mais suivez les conseils d'aujourd'hui et je vous aimerai toujours.
- Bien, maintenant que vous maitrisez la forme, il est temps de vous apprendre le fond. Car vous vous méprenez sur nos intentions. C'est certain.
En effet, je vais vous expliquer la raison de ces attaques. Comme vous le savez surement, l'Aetherys recherche la paix entre les hommes et sa dirigeante, Dame Aetherya, est une profonde humaniste qui n'a de cesse de vouloir enseigner aux autres ce qu'elle a apprit de sa longue expérience. Or, lors du scan de l'état Akyolis, dame Aetherya m'a expliqué avoir décelé des failles dans vos structures. Laissez moi je vous pris regarder de nouveau ce rapport ci.
Eleonore détailla d'un peu plus près le document, d'un regard plissé.
Et bien voyez vous, il semble clair que les bâtiments de ce monsieur là allaient bientôt s'écrouler de toute manière. Encore une fois, je le répète, l'état Aetherys fera tout ce qu'il peut, sous la direction de mon propre programme humanitaire, pour sauver chaque créature de notre univers car je vous aime tous!! La destruction de ces structures n'est que la première leçon: il faut toujours vérifier les malfaçons avant d'occuper un bâtiment. Comme vous pouvez vous même le constater, les victimes de cette apprentissage sont peu nombreuses. Nous avons frappé de manière à faire le moins de victimes possible, le plus précisément que l'on puisse. Seulement, il y a toujours un missile qui ne tombe pas au bon endroit. Malheureusement. Et je prie le dirigeant de l'Akyolis d'excuser cette erreur de notre part. Nous sommes près à financer entièrement les funérailles.
Donc, a retenir: engager de meilleurs équipes de construction et vérifier les structures. Maintenant que vous êtes au courant de vos défauts, faites en sorte que vos bâtiments puisse supporter au moins la faible envergure de cette attaque. Pour le propre bien de vos peuples, pour sa sécurité.
Soyez rassurés, nous serons toujours là, au dessus de vous, comme un petit ange gardien et nous vous ferrons remarquer vos erreurs le plus subtilement possible.
Comme il est bientôt temps pour moi, je conclue. J'ai entendu une histoire de regroupement? Je serai ravi de vous accueillir en personne car j'adore les Garden Party et autre réception. Ne vous sentez pas obligé cependant de venir avec des cadeaux, si nous vous protégeons c'est par plaisir, par devoir mais jamais par obligation! Faites moi parvenir la liste des invités pour que le banquet soit parfait et surtout n'hésitez pas à inviter le plus grand nombre possible de vos amis! Je dois bientôt m'en retourner chercher ma Soeur que j'aime donc si vous souhaitez me remercier ou tout simplement vous excuser, vous le pouvez encore pendant quelques minutes, après il sera trop tard je ne serai plus là! Allons Allons, merci qui? merci qui?
Dans le grand palais d'Aether, une jeune fille à l'allure splendide courait à en perdre haleine, ses cheveux d'un blond presque blanc virevoltaient en tout sens, fendant l'air d'un bruit mate et sec.
Elle ouvrait les portes de toutes les chambres, y jetait un rapide coup d'oeil puis se précipitait affolées vers la prochaine porte.
Après de longues minutes de recherche, après avoir commencé par la cuisine et avoir parcouru entièrement le palais, Eléonore, c'était son nom, entreprit de mener une enquête pour découvrir le secret qui se cachait sous la disparition de sa sœur. Elle n'était pas vraiment inquiète pour elle, plutôt pour ses possibles ravisseurs. Il fallait faire vite, il était peut être déjà trop tard.
- Vous l'avez vu? Elle s'appelle Jessica, c'est ma sœur, on se ressemble beaucoup! Non? Vous ne l'avez pas vu?
Elle interrogea méticuleusement tous les nobles de sa connaissance, tout le personnel du palais ainsi que ses gardes. Personne ne l'avait vu. Désespérée, elle s'effondra de fatigue.
-Mais où tu es Jess'? Tu es pire qu'un enfant, une seconde d'inattention est tu disparais...c'est ma faute! Tout est ma faute!
Les pleures de la jolie princesse inondaient son visage aux traits fins. Ses cries retentissait dans les couloirs. Certaines personnes entendaient le chant d'une sirène, d'autres furent si émus devant la tristesse de cette magnifique créature qu'ils ne purent s'empêcher de verser une larme bien qu'ils ne la connaissent pas.
Tout semblait désespéré et Éléonore pensait commencer à organiser les enterrements des personnes qui avait enlever sa sœur quand soudain...
- Je l'ai vu! Je l'ai vu moi!
Éléonore se souleva d'un bond comme repris d'une énergie sans limite, Maximum power!
- Elle se dirigeait vers son croiseur, elle semblait pressée. Je crois qu'elle est parti rejoindre notre Noble Dame Aetherya au palais de la corporat....
Le jeune homme n'eut pas le temps de finir sa phrase que l'ange qu'il contemplait s'envolait déjà vers un des transports diplomatiques.
- A la corporation je vous prie monsieur Pilote! C'est urgent!
L'homme resta bouche bée. Essoufflé par la beauté de la jeune fille. On lui avait déjà parlé de celle ci, elle était une légende et sa sœur aussi. Jamais il n'aurait espéré pouvoir la voir en vrai. Il vérifia que sa sœur n'était pas présente, sa réputation la précédait, ordonna à l'ordinateur la fermeture de la soute et décolla sans autorisation ce qui lui valu quelques tirs de tourelles qu'il pu esquiver grâce à son expérience et à la volonté de mener la charmante jeune femme à destination. Qu'importe ce qu'elle demanderait, il obéirait.
Il ne fallu que quelques minutes pour attendre son objectif. La planète Galactica était immense et sa surface recouverte de goudron et de métal. L'attraction magnétique était telle qu'il fallait systématiquement enclencher les stabilisateurs sous peine de perdre le contrôle de l'appareil pendant la descente. Parfois, lors de grands combats, des centaines de vaisseaux se percutent et explosent à cause de cette attraction. Malgré la vitesse, le pilote parvint à garder le contrôle et survolait maintenant la ville entourant la corporation.
Éléonore n'avait pas dit un mot durant le voyage. Elle regardait la ville à travers les hublots, ses larmes toujours en train de sécher, quelques unes coulaient encore mais alors que le vaisseau s'approchait du spatioport, Éléonore éclata de rire. Sous ses yeux, un immense cratère de 30m de diamètre au moins s'étendait comme une cicatrice sur la mégalopole. Les badauds et les secours occupaient la zone. Éléonore riait aux éclats car pour elle, n'y avait pas de doute: ce cratère là était signé Jessica.
- Merci monsieur Pilote! Merci beaucoup! Je ferai en sorte que vous soyez récompensé! Merci Merci!
Éléonore courait en riant, comme une jeune fille. Elle était rayonnante, de toute sa splendeur elle était le soleil, elle était la lumière.
Personne ne pu lui indiquer où était sa sœur, de nouveau il fallait fouiller toutes les salles mais cette fois ci elle le faisait en riant, s'excusant poliment de déranger les débats en cours. A chaque pas, son cœur battait plus fort, elle sentait la présence de sa sœur.
Mais alors qu'elle continuait sa course folle dans les couloirs de la corporation, au détour d'une porte elle entendit une voix. Une voix pleine de rancœur et de haine, une voix qui en disait long sur la capacité de son propriétaire à se tenir en société. Pour Eléonore, il n'y avait que deux choses intolérables pour un humain, l'une d'entre elle est de ne pas savoir se tenir en société. Alors qu'elle était rassurée par rapport à sa sœur, il lui fallait intervenir. Étonnamment, elle n'avait toujours pas remarqué que le discours portait sur l'Aetherys, son état natal. Ce ne fut que peu avant de rentrer qu'elle s'en aperçu et cela la choqua profondément. Comment pouvait on se méprendre à se point sur les réelles intentions de la Noble Aetherya?
N'osant pas affronter le regard effrayant du grand monsieur fantomatique, elle préféra se cacher dans l'ombre. Elle semblait phosphorescente tant elle était éclatante de beauté.
- Pardon...excusez moi monsieur? Je n'ai pas entendu votre nom, je m'en excuse profondément. Je tenais à vous dire que ce n'est pas une façon de parler de quelqu'un ce que vous faites! Ce n'est pas bien et je ne sais pas si je vous aimerai encore après cela! Mais comme je n'aime pas les conflits, je voudrai vous donner une chance d'apprendre car peut être n'est ce qu'un problème d'éducation? Je la ferai donc pour vous. Tout d'abord, je me présente, car l'on se présente toujours aux personnes qu'on ne connait pas. Je suis Éléonore, issue de la noblesse Aetheryienne, j'appartiens de cœur et de sang à mon bel état. Je ferai simplement une petite précision, il n'y a qu'un seul dirigeant à la tête de l'Aetherys, si Dame Aetherya était là, elle vous aurait botté les fesses pour avoir dit ca (dit-elle en se moquant légèrement de l'ignorance de son interlocuteur). Bien, maintenant, nous pouvons commencer. Je suppose que puisque personne ne vous a interrompu, personne ne m'interrompra? C'est une des règles de la courtoisie. Alors je commence:
-Tout d'abord, il faut toujours sourire or, vous semblez ignorer cette règle et persister à avoir cette expression de tristesse coller à votre visage. Cela ne va pas à votre teint monsieur, je vous le garanti le résultat est affreux. Je sais bien que la vie ne vous a pas gâté (dit elle en toute innocence) mais il faut savoir tenir son rang même s'il n'est pas des plus glorieux. Un sourire, des dents bien propres, voilà une hygiène de vie qui permet d'être apprécié en société. Essayez avec moi si vous voulez. Regardez, un sourire propre, blanc qui donne envie aux autres de vous aimer tout comme vous devez aimer les autres et c'est d'ailleurs d'abord pour eux que vous le ferez. Montrer que vous êtes aigri ou bien que vos rêves et ambitions, même aussi faibles que les votre (dit elle sans se rendre compte de la méchanceté de ses propos), se sont envolés ne vous mènera à rien! Au contraire, vous passerez pour une personne sans avenir, ce que vous êtes peut être, je ne veux pas me mêler de votre vie privé, je ne suis pas là pour juger.
- D'ailleurs, voilà un nouveau point de notre leçon d'aujourd'hui: ne jamais juger les autres trop rapidement, surtout sans les connaitre! C'est très mal et mène à des a priori préjudiciables pour l'amour entre les gens. Or l'amour est la plus belle chose qui existe au monde. Je ne vous permettrai donc jamais de porter attente à mon idéal de paix interplanétaire. En société, il est important de ne pas juger selon les apparences, elles sont souvent trompeuses. Vous êtes bien crédule de croire tout ce que vous voyez. Il y a toujours une raison derrière un acte. Ce qui vient clore la leçon d'aujourd'hui. Je vous invite à venir me rejoindre quand vous voulez en Aethérys pour une leçon plus complète. Vous en avez bien besoin, je vous assure, votre savoir vivre est assez lamentable. Mais suivez les conseils d'aujourd'hui et je vous aimerai toujours.
- Bien, maintenant que vous maitrisez la forme, il est temps de vous apprendre le fond. Car vous vous méprenez sur nos intentions. C'est certain.
En effet, je vais vous expliquer la raison de ces attaques. Comme vous le savez surement, l'Aetherys recherche la paix entre les hommes et sa dirigeante, Dame Aetherya, est une profonde humaniste qui n'a de cesse de vouloir enseigner aux autres ce qu'elle a apprit de sa longue expérience. Or, lors du scan de l'état Akyolis, dame Aetherya m'a expliqué avoir décelé des failles dans vos structures. Laissez moi je vous pris regarder de nouveau ce rapport ci.
Eleonore détailla d'un peu plus près le document, d'un regard plissé.
Et bien voyez vous, il semble clair que les bâtiments de ce monsieur là allaient bientôt s'écrouler de toute manière. Encore une fois, je le répète, l'état Aetherys fera tout ce qu'il peut, sous la direction de mon propre programme humanitaire, pour sauver chaque créature de notre univers car je vous aime tous!! La destruction de ces structures n'est que la première leçon: il faut toujours vérifier les malfaçons avant d'occuper un bâtiment. Comme vous pouvez vous même le constater, les victimes de cette apprentissage sont peu nombreuses. Nous avons frappé de manière à faire le moins de victimes possible, le plus précisément que l'on puisse. Seulement, il y a toujours un missile qui ne tombe pas au bon endroit. Malheureusement. Et je prie le dirigeant de l'Akyolis d'excuser cette erreur de notre part. Nous sommes près à financer entièrement les funérailles.
Donc, a retenir: engager de meilleurs équipes de construction et vérifier les structures. Maintenant que vous êtes au courant de vos défauts, faites en sorte que vos bâtiments puisse supporter au moins la faible envergure de cette attaque. Pour le propre bien de vos peuples, pour sa sécurité.
Soyez rassurés, nous serons toujours là, au dessus de vous, comme un petit ange gardien et nous vous ferrons remarquer vos erreurs le plus subtilement possible.
Comme il est bientôt temps pour moi, je conclue. J'ai entendu une histoire de regroupement? Je serai ravi de vous accueillir en personne car j'adore les Garden Party et autre réception. Ne vous sentez pas obligé cependant de venir avec des cadeaux, si nous vous protégeons c'est par plaisir, par devoir mais jamais par obligation! Faites moi parvenir la liste des invités pour que le banquet soit parfait et surtout n'hésitez pas à inviter le plus grand nombre possible de vos amis! Je dois bientôt m'en retourner chercher ma Soeur que j'aime donc si vous souhaitez me remercier ou tout simplement vous excuser, vous le pouvez encore pendant quelques minutes, après il sera trop tard je ne serai plus là! Allons Allons, merci qui? merci qui?
Votez Kaly, la maîtresse des soulis !
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- Inscription : 23 mars 2008, 11:16
Re: Le lâche
_Lâche ?
Un homme c'était levé tranquillement on ne distinguait pas du tout ses traits derrière un grand abat noir. Sa voix était dur et ampli de haine. Il s'avança dans la salle jusqu'à venir juste devant le présentoir à pigeons ou les régents se pose pour déblatérer des inepties. _Vous traitez cette impératrice de lâche ? Apprenez donc à ramper avant de marcher misérable cloporte...
L'adolescente pré pubère à cheveux blanc m'excusera de ne pas me présenter, mais n'étant plus régent d'empire je n'aie cure que vous me connaissiez ou pas.
Donc Mr. Vous assénez des coups d'épée dans l'eau, le verbe ne détruira pas un méta empire, il faut la force, mais dans un monde ou la peur règne et ou tout les plus gros empires sont allié il n'y a aucun attrait à posséder une province. De plus, le traiter de lâche, alors qu'ici le seul à demander de l'aide pour attaquer UN seul seigneur, c'est bien vous, il a utilisé l'arme nucléaire, et il à raison car bien sur cela empêche de voir mourir plus d'homme que nécessaire, dans une guerre, le meilleur commandant n'est pas celui dont l'armé est toujours debout à la fin, mais celui qui sait avoir le moins de perte tout en massacrant l'armé adverse.
L'empereur sans nom reprit doucement son souffle avant de reprendre d'une voix plus souple et légèrement ponctuée d'amertume.
Le fils du grand chef de la Fédération de l'Améthyste, vous êtes une relique dans ce monde, vous n'avez rien à y faire, votre disparition serait dans l'ordre logique des choses. J'ai crus entendre parlé du Seigneur Noir et du Necrolia... Il semblerait qu'il y ai une méprise, car ce sont les seigneurs de la cabale noir qui ont décidés du génocide et ont conviés les plus grands empereurs de la galaxie à se joindre à eux, dans le but de créer un groupuscule dont le pacte de sang devait les rendre indestructible. Il y a un dicton qui dît, quand on ne sais pas, on ne parle pas.
Maintenant que ce point est éclaircît, j'aimerais poser une question au gentil fiston, vous avez commencez votre discours par un « restez chers empereur », mais même si je me fais vieux, je ne crois pas avoir vu un seul de ces empereurs vouloir quitter la salle.
M'enfin, vous semblez être du genre à aimer donner de la matière aux autres régents pour montrer votre infériorité, la destruction immédiate et sans conditions de la Fédération de l'Améthyste semble le seul et unique moyens de régler ce problème.
Donc pour revenir à ce que notre planche à pain écolo, la garden party aura lui dans les jardins impériaux des différentes fédérés. Je me joindrais bien à vous, mais je n'aie toujours pas le droit de posséder d'empire sous peine de me voir exécuter sur le champs... Comme quoi les Grand Conseiller sont là pour veiller au grains, enfin quand le bérichampagne ne leur monte pas trop à la tête.
L'homme une fois sa phrase fini reparti s'asseoir dans une rangé centrale, quand un robot serveur vînt vers lui. Il lui dit tout bas : « _Penses tu ? ». Le robot qui s'apprêtait à répondre à l'interrogation se vît tout de suite fracassé par un énorme coup qui le fît dégringoler les escaliers. A l'arrivée des autorités, l'empereur déclara qu'il ne voulait pas lui rendre sa monnaie. Cet incident réglé par le paiement d'une grosse amende, la vie reprit son cours.
Un homme c'était levé tranquillement on ne distinguait pas du tout ses traits derrière un grand abat noir. Sa voix était dur et ampli de haine. Il s'avança dans la salle jusqu'à venir juste devant le présentoir à pigeons ou les régents se pose pour déblatérer des inepties. _Vous traitez cette impératrice de lâche ? Apprenez donc à ramper avant de marcher misérable cloporte...
L'adolescente pré pubère à cheveux blanc m'excusera de ne pas me présenter, mais n'étant plus régent d'empire je n'aie cure que vous me connaissiez ou pas.
Donc Mr. Vous assénez des coups d'épée dans l'eau, le verbe ne détruira pas un méta empire, il faut la force, mais dans un monde ou la peur règne et ou tout les plus gros empires sont allié il n'y a aucun attrait à posséder une province. De plus, le traiter de lâche, alors qu'ici le seul à demander de l'aide pour attaquer UN seul seigneur, c'est bien vous, il a utilisé l'arme nucléaire, et il à raison car bien sur cela empêche de voir mourir plus d'homme que nécessaire, dans une guerre, le meilleur commandant n'est pas celui dont l'armé est toujours debout à la fin, mais celui qui sait avoir le moins de perte tout en massacrant l'armé adverse.
L'empereur sans nom reprit doucement son souffle avant de reprendre d'une voix plus souple et légèrement ponctuée d'amertume.
Le fils du grand chef de la Fédération de l'Améthyste, vous êtes une relique dans ce monde, vous n'avez rien à y faire, votre disparition serait dans l'ordre logique des choses. J'ai crus entendre parlé du Seigneur Noir et du Necrolia... Il semblerait qu'il y ai une méprise, car ce sont les seigneurs de la cabale noir qui ont décidés du génocide et ont conviés les plus grands empereurs de la galaxie à se joindre à eux, dans le but de créer un groupuscule dont le pacte de sang devait les rendre indestructible. Il y a un dicton qui dît, quand on ne sais pas, on ne parle pas.
Maintenant que ce point est éclaircît, j'aimerais poser une question au gentil fiston, vous avez commencez votre discours par un « restez chers empereur », mais même si je me fais vieux, je ne crois pas avoir vu un seul de ces empereurs vouloir quitter la salle.
M'enfin, vous semblez être du genre à aimer donner de la matière aux autres régents pour montrer votre infériorité, la destruction immédiate et sans conditions de la Fédération de l'Améthyste semble le seul et unique moyens de régler ce problème.
Donc pour revenir à ce que notre planche à pain écolo, la garden party aura lui dans les jardins impériaux des différentes fédérés. Je me joindrais bien à vous, mais je n'aie toujours pas le droit de posséder d'empire sous peine de me voir exécuter sur le champs... Comme quoi les Grand Conseiller sont là pour veiller au grains, enfin quand le bérichampagne ne leur monte pas trop à la tête.
L'homme une fois sa phrase fini reparti s'asseoir dans une rangé centrale, quand un robot serveur vînt vers lui. Il lui dit tout bas : « _Penses tu ? ». Le robot qui s'apprêtait à répondre à l'interrogation se vît tout de suite fracassé par un énorme coup qui le fît dégringoler les escaliers. A l'arrivée des autorités, l'empereur déclara qu'il ne voulait pas lui rendre sa monnaie. Cet incident réglé par le paiement d'une grosse amende, la vie reprit son cours.
Re: Le lâche
Un maître, un roi, un empereur ?
Ne m'étant certainement pas supérieur !
Halte aux misérables dictatures prônant un culte autre que le seul dieu valant d'être adulé !
Halte aux pseudo-forces intersidérales maniant avec uniquement brio la lacheté et la vantardise !
Halte aux gueux, à leurs désirs supérieurs à leurs capacité ; aux paysans, à leurs croyances de possibilités dépassées ; aux commandants achevés par le temps, à leurs rêves de gloire trop longtemps remâchés ; aux empereurs finis, à leur passé, d'échecs immaculés !
Halte aux ténèbres futures pas ces fous engendrées !
Halte à la décadence peuplant notre monde d'énergumènes de ce type !
Halte aux haltes intempestives ! (et aussi au tempêtes peu tempêstives)
Fort de mon futur discours, je naviguais entre le salles de la Corpo. Fort de ma connaissance des lieux, de mon histoire, ici, au milieu de ces paysans dont les mains ne pétrissent pas la terre, mais préparent la guerre. Fort, évidemment, et nul n'en aurait disconvenu, de toute l'étendue de mon savoir, de mon intelligence, de mon humilité, sans doute, aussi. Les mots jaillissaient en moi comme un torrent au bord d'une falaise, comme une bonne grosse giclée de mouille au sortir d'une femme-fontaine. Oh, oui, c'était un tel plaisir, une telle satisfaction : après toutes ces années, j'allais intervenir dans la Corpo. Depuis combien d'années errais-je dans les tréfonds de ma sordide planète ? Depuis combien de temps n'avais-je pas pu m'exprimer, et dire à quel point la cruauté m'épouvantait, devant une foule d'empereurs venus m'acclamer ? Je sentais déjà le discours que j'allais prononcer, j'allais les épater, à coup de citations latines, j'allais les soullettre tous, et dans les ténèbres, les faire chier.
J'arpentais avec une vigueur d'antan nouvellement retrouvée les couloirs. Je me préparais déjà à les insulter, ces philistins vivant dans le stupre et venant ici ébaudir la foule avec le coquecigrues ! Soudain, devant moi, se dressait la porte que je cherchais. Je pris naturellement ma respiration, je fermai les yeux quelques secondes, et puis, décidé, j'ouvris grand la porte, prêt à voir les visages interloqués se tourner vers moi avant que tous ne se lèvent et se prosternent devant ma grandeur
Et là, se dressaient devant moi, hautaines et fières, les chiottes du siège de la Corpo, qui avaient mystérieusement atterri dans ce qui semblait manifestement être, heu, ben, les chiottes de la Corpo. Bon, tant pis, ce sera pour une autre fois, quand je ne me tromperai pas de porte...
Ne m'étant certainement pas supérieur !
Halte aux misérables dictatures prônant un culte autre que le seul dieu valant d'être adulé !
Halte aux pseudo-forces intersidérales maniant avec uniquement brio la lacheté et la vantardise !
Halte aux gueux, à leurs désirs supérieurs à leurs capacité ; aux paysans, à leurs croyances de possibilités dépassées ; aux commandants achevés par le temps, à leurs rêves de gloire trop longtemps remâchés ; aux empereurs finis, à leur passé, d'échecs immaculés !
Halte aux ténèbres futures pas ces fous engendrées !
Halte à la décadence peuplant notre monde d'énergumènes de ce type !
Halte aux haltes intempestives ! (et aussi au tempêtes peu tempêstives)
Fort de mon futur discours, je naviguais entre le salles de la Corpo. Fort de ma connaissance des lieux, de mon histoire, ici, au milieu de ces paysans dont les mains ne pétrissent pas la terre, mais préparent la guerre. Fort, évidemment, et nul n'en aurait disconvenu, de toute l'étendue de mon savoir, de mon intelligence, de mon humilité, sans doute, aussi. Les mots jaillissaient en moi comme un torrent au bord d'une falaise, comme une bonne grosse giclée de mouille au sortir d'une femme-fontaine. Oh, oui, c'était un tel plaisir, une telle satisfaction : après toutes ces années, j'allais intervenir dans la Corpo. Depuis combien d'années errais-je dans les tréfonds de ma sordide planète ? Depuis combien de temps n'avais-je pas pu m'exprimer, et dire à quel point la cruauté m'épouvantait, devant une foule d'empereurs venus m'acclamer ? Je sentais déjà le discours que j'allais prononcer, j'allais les épater, à coup de citations latines, j'allais les soullettre tous, et dans les ténèbres, les faire chier.
J'arpentais avec une vigueur d'antan nouvellement retrouvée les couloirs. Je me préparais déjà à les insulter, ces philistins vivant dans le stupre et venant ici ébaudir la foule avec le coquecigrues ! Soudain, devant moi, se dressait la porte que je cherchais. Je pris naturellement ma respiration, je fermai les yeux quelques secondes, et puis, décidé, j'ouvris grand la porte, prêt à voir les visages interloqués se tourner vers moi avant que tous ne se lèvent et se prosternent devant ma grandeur
Et là, se dressaient devant moi, hautaines et fières, les chiottes du siège de la Corpo, qui avaient mystérieusement atterri dans ce qui semblait manifestement être, heu, ben, les chiottes de la Corpo. Bon, tant pis, ce sera pour une autre fois, quand je ne me tromperai pas de porte...
"When I despair, I remember that all through history the way of truth and love has always won. There have been tyrants and murderers and for a time they seem invincible, but in the end, they always fall — think of it, always."