Dans un lieu de perdition, là où même Galactica a oublié sa nature polluée, et où l'on trouve enfants au jeu, dirigeants en pleine discussion, ou même criminels en rédemption, une femme aux cheveux verts, subtilement suivie d'une ombre imperceptible aux yeux des moins avertis, circule entre les allées. Son fin visage affiche un air grave, ses yeux expressifs humides se baladant des plantes luxuriantes aux arbres rares dissimulent par leur dynamisme la figée expression de sa bouche, qui en laisse tout autant dire sur ses funestes pensées qu'une guerre universelle annoncée.
<<Les calmes jardins de la Corporation, m'a-t-on toujours dit, portent conseil, sérénité, et lucidité dans les jugements. Aussi n'est-ce pas un total hasard si je m'y balade actuellement, n'est-ce pas ?>>
L'ombre ne répond pas, ce qui ne semble pas inquiéter la jeune femme qui, au contraire, semble soudain plus réfléchie, et son air sérieux a chassé la mélancolie que l'on prêtait si peu au visage de la meneuse des Alanhaviens.
<<Alors il faut qu'il en soit ainsi, n'est-ce pas ? Celui qui a le plus de puissance fait trembler le reste. Les Templiers qui devant l'Oracle s'inclinent mais face à l'IG ne branlent, pire : se révoltent. Les Cendres Célestes qui subitement dans leur guerre annoncée par la Division choisissent d'y inclure, par on ne sait quelle folie, notre pacifique groupe. Et enfin, alliance qui si ironiquement semble animé de la volonté de s'allier, ne se gêne pour piller nos membres et provoquer de désastreux dégâts lorsque nous leur rendons la pareille.
Dis-moi, Quesae, pourquoi toujours la violence ? Qu'avons-nous donc fait ?>>
La mine sérieuse s'entiche d'une tension des traits, s'acoquine d'une légère dilatation des yeux.
<<Ne peux-tu nous sauver, Ô déesse ? Je t'ai pourtant donné une victoire évidente contre Errecas, en y perdant la confiance de tous mes collègues, et nul ne sait combien de temps Aeeni pourra encore parvenir à me maintenir au pouvoir, mais je doute que tout se fasse dans le mutisme et l'isolement.
Certes, je dirige l'Areia d'une main de fer, que moi-même d'ailleurs je ne me serais prêtée auparavant, mais qu'en est-il d'Alanhav, dis-moi... ? J'en suis de plus en plus éloignée, je trahis mes plus proches amis, et les laisse sous le coup d'attaques nucléaires et destruction de flottes armées sans bouger. Sans même les consoler. Toujours avec ce ton froid et distant que l'on confie au conventionnel, et que pourtant je me plais à utiliser régulièrement... non, bien plus que cela.
Alanhav, je dois te réveiller, je dois te protéger.
...
Alanhav, je dois te venger.>>
Une seconde ombre apparaît plus distinctement derrière Epahelia, et de plus vives couleurs effacent le placide bleu, la couleur du sang envahit soudain les jardins si verdoyants, et un sourire enfin se dessine sur la bouche de la belle.
<<Désolée, Quesae. Nous nous reverrons une fois que tout cela sera fini, je te l'assure.>>
[Les Jardins] Une balade...pour le bien de l'univers
Modérateur : Modérateurs
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« Altea seit Ethel. Ton nom ne sera jamais oublié... » - Kami Raykovith
Re: Une balade...pour le bien de l'univers
Les jardins de la coporation, voila un endroit jamais visité par cet hoome approchant de cette belle demoiselle aux cheveux verts. Le jeune homme s'approcha de celle-ci, sans qu'elle le remarque au premier abord.
Les allées de ce jardin étaient entourées de jolies fleurs, d'arbustes de tout genre. Un véritable havre sur une planète qui ne libère aucune once d'espace pour ce genre d'endroit.
Agamemnis s'approcha de cette belle créature Aréiane, celle qui est pure et incarnant l'équilibre universel, tel que les Alanhaviens le connaisse.
Son coeur battait de plus en plus vite lors de son approche, son estomac se noua, son corps se faisait néant, sa respiration anormale...
Longtemps il ne l'avait vue, mais l'opposé de Quesae lui insuffla l'endroit où elle se trouvait.
Il est vrai que les évènements au sein de l'Imperemus Galacte se sont multipliés et que la présence de la créatrice de cette alliance faisait défaut. Agamemnis ne s'en inquièta pas; il savait, ou du moins se doutait du pourquoi, mais le garda pour soi et n'en discuta avec personne.
Il était à présent à quelques mètres d'Epahelia, il sentait son doux parfum qui se dégageait de cette structure merveilleuse....
Bonjour Agamemnis, cela fait longtemps n'est-ce-pas?
L'homme fut surpris que l'Aréiane avait noté sa présence, mais lorsque celle-ci se retourna, le visage d'Agamemnis devint plus rayonnant, mais à la fois il faisait mine d'être embêté, comme un petit garçon de 15 ans qui faisait la cour à sa demoiselle pour la première fois.
Bien qu'au sein de la Confédération Vulka il avait la réputation de diriger son état avec fermeté, ici plus rien de ces traits de caractère n'apparaissaient.
Pourquoi était-il ici d'ailleurs? Par envie de la voir? Pour discuter de l'avenir? Pour rien? Agamemnis ne savait plus trop bien.
Une voix lointaine lui dit de s'emparer de son âme pour ne faire plus qu'un, mais l'autre lui dit de se tenir à distance....
Bonjour Epahelia, je....je....., sa voix fut fébrile, il ne savait pas trop quoi dire.
suis content de te revoir ma belle Epahelia. Je savais que tu étais ici et je n'ai pas hésité de venir à ta rencontre pour......,te tenir dans mes bras, pensa-t-il, mais se ravisa. pour te voir.
Des choses plus importantes toutefois devaient être discutées, mais finalement, pourquoi pas se gratifier de passer un moment en tête à tête avec celle qu'il convoita depuis l'entrée du Drakone au sein de l'Imperemus.....
Les allées de ce jardin étaient entourées de jolies fleurs, d'arbustes de tout genre. Un véritable havre sur une planète qui ne libère aucune once d'espace pour ce genre d'endroit.
Agamemnis s'approcha de cette belle créature Aréiane, celle qui est pure et incarnant l'équilibre universel, tel que les Alanhaviens le connaisse.
Son coeur battait de plus en plus vite lors de son approche, son estomac se noua, son corps se faisait néant, sa respiration anormale...
Longtemps il ne l'avait vue, mais l'opposé de Quesae lui insuffla l'endroit où elle se trouvait.
Il est vrai que les évènements au sein de l'Imperemus Galacte se sont multipliés et que la présence de la créatrice de cette alliance faisait défaut. Agamemnis ne s'en inquièta pas; il savait, ou du moins se doutait du pourquoi, mais le garda pour soi et n'en discuta avec personne.
Il était à présent à quelques mètres d'Epahelia, il sentait son doux parfum qui se dégageait de cette structure merveilleuse....
Bonjour Agamemnis, cela fait longtemps n'est-ce-pas?
L'homme fut surpris que l'Aréiane avait noté sa présence, mais lorsque celle-ci se retourna, le visage d'Agamemnis devint plus rayonnant, mais à la fois il faisait mine d'être embêté, comme un petit garçon de 15 ans qui faisait la cour à sa demoiselle pour la première fois.
Bien qu'au sein de la Confédération Vulka il avait la réputation de diriger son état avec fermeté, ici plus rien de ces traits de caractère n'apparaissaient.
Pourquoi était-il ici d'ailleurs? Par envie de la voir? Pour discuter de l'avenir? Pour rien? Agamemnis ne savait plus trop bien.
Une voix lointaine lui dit de s'emparer de son âme pour ne faire plus qu'un, mais l'autre lui dit de se tenir à distance....
Bonjour Epahelia, je....je....., sa voix fut fébrile, il ne savait pas trop quoi dire.
suis content de te revoir ma belle Epahelia. Je savais que tu étais ici et je n'ai pas hésité de venir à ta rencontre pour......,te tenir dans mes bras, pensa-t-il, mais se ravisa. pour te voir.
Des choses plus importantes toutefois devaient être discutées, mais finalement, pourquoi pas se gratifier de passer un moment en tête à tête avec celle qu'il convoita depuis l'entrée du Drakone au sein de l'Imperemus.....

Re: Une balade...pour le bien de l'univers
<<Alors, comment m'as-tu trouvée ?>>
<<Oh, toujours aussi ravissante, mais ... quand cela ?>>
Epahelia rit, retrouvant là un de ses charmes depuis quelques temps perdu.
<<Voyons, Agamemnis, tu me gênes, je parlais de ma localisation !>>
Gêné, le président de la Confédération Vulka marmonna quelques mots à peine audibles qui rendirent l'Areiane d'autant plus hilare. Pour se rattraper, elle lui tendit son bras, ce petit sourire animant toujours son visage.
<<Voudriez-vous me faire visiter, vous grand diplomate qui ces lieux si bien connaissez ?>>
La meneuse de l'Imperemus Galacte, qui semblait bien loin du poste qu'elle occupait, perdue qu'elle était dans ce jardin des plaisirs, se rapprochait du diplomate, à mesure que leurs pas s'enchaînaient, jusqu'à se coller à lui. Poussée qu'elle était par un Errecas qui n'avait manqué d'éveiller ses plus fidèles instincts, elle sentait comme une vague d'excitation l'emporter.
Aussi est-il inutile de préciser que le couple ne manqua pas de se faire remarquer.
<<Dites-moi, monseigneur, vous n'avez toujours pas répondu à ma question, maintenant que j'y pense...
Allez, dis-moiii, comment m'as-tu trouvée ?>>
Ce dernier, silencieux, observait le ciel déjà rouge en cette fin d'après-midi, et, comme influencé par les tons primaires d'Errecas, son coeur s'accéléra lentement. Prenant la main d'Epahelia, son compagnon lui montra un point abstraitement lointain dans le ciel, et, approchant sa bouche de son oreille gauche, lui glissa ces quelques mots...
<<Oh, toujours aussi ravissante, mais ... quand cela ?>>
Epahelia rit, retrouvant là un de ses charmes depuis quelques temps perdu.
<<Voyons, Agamemnis, tu me gênes, je parlais de ma localisation !>>
Gêné, le président de la Confédération Vulka marmonna quelques mots à peine audibles qui rendirent l'Areiane d'autant plus hilare. Pour se rattraper, elle lui tendit son bras, ce petit sourire animant toujours son visage.
<<Voudriez-vous me faire visiter, vous grand diplomate qui ces lieux si bien connaissez ?>>
La meneuse de l'Imperemus Galacte, qui semblait bien loin du poste qu'elle occupait, perdue qu'elle était dans ce jardin des plaisirs, se rapprochait du diplomate, à mesure que leurs pas s'enchaînaient, jusqu'à se coller à lui. Poussée qu'elle était par un Errecas qui n'avait manqué d'éveiller ses plus fidèles instincts, elle sentait comme une vague d'excitation l'emporter.
Aussi est-il inutile de préciser que le couple ne manqua pas de se faire remarquer.
<<Dites-moi, monseigneur, vous n'avez toujours pas répondu à ma question, maintenant que j'y pense...
Allez, dis-moiii, comment m'as-tu trouvée ?>>
Ce dernier, silencieux, observait le ciel déjà rouge en cette fin d'après-midi, et, comme influencé par les tons primaires d'Errecas, son coeur s'accéléra lentement. Prenant la main d'Epahelia, son compagnon lui montra un point abstraitement lointain dans le ciel, et, approchant sa bouche de son oreille gauche, lui glissa ces quelques mots...
« Altea seit Ethel. Ton nom ne sera jamais oublié... » - Kami Raykovith
Re: Une balade...pour le bien de l'univers
...Vois-tu le point qui brille là-haut, juste à côté de la constellation Vulcane? Ce point qui brille de milles feux? Là, l'autre moitié de notre âme se trouve. De là, nous provenons, de là il m'a parlé....
Cette réponse laissa le belle Aréiane sans voix, mais Agamemnis ne savait pas ce qu'elle pensait sur ce coup là!
Jadis, il fût fort longtemps, un temps où les hommes tel que nous les connaissons, n'existaient pas encore. Seuls les dieux érraient de par les mondes en s'amusant à des jeux peu lucratifs et embêtants à la fois.
Epahelia, je suis tout d emême intrigué par le fait que tu n'ais rien remarqué! ou alors tu es très bonne actrice. Mais peu importe, je t'ai retrouvé et le principal, c'est que...là, encore une fois, les sentiments d'Agammenis remontanient à la surface, le laissant sans voix.
Oui, mon ptit Volcanien, que voulais-tu dire?
c'est que .....Il rassembla ses forces du mieux qu'il pu, mais maladroitement, son visage le trahissait et Epahelia avait l'air de savourer ce moment de supériorité. L'image d'un homme d'état, dirigeant une Nation de plus de 1 million de superficie galacticaine! et le voila incapable de dire à haute voix, quelque chose à une créature magnifique n'occupant pas 1 superficie galacticaine!
Finalement, après des nouements dans son estomac qui lui procura des crampes, il pris son courage à deux mains.
c'est que nous soyons ensemble mon Epahelia. Oui, toi, mon Epahelia, toi qui m'a frappé de plein fouet et qui dirige ma vie de l'aube au couché du soleil.
Ce fut dit et à présent, les dès étaient jetés. De tout ce que le Président voulait dire, il le dit.
Cette réponse laissa le belle Aréiane sans voix, mais Agamemnis ne savait pas ce qu'elle pensait sur ce coup là!
Jadis, il fût fort longtemps, un temps où les hommes tel que nous les connaissons, n'existaient pas encore. Seuls les dieux érraient de par les mondes en s'amusant à des jeux peu lucratifs et embêtants à la fois.
Epahelia, je suis tout d emême intrigué par le fait que tu n'ais rien remarqué! ou alors tu es très bonne actrice. Mais peu importe, je t'ai retrouvé et le principal, c'est que...là, encore une fois, les sentiments d'Agammenis remontanient à la surface, le laissant sans voix.
Oui, mon ptit Volcanien, que voulais-tu dire?
c'est que .....Il rassembla ses forces du mieux qu'il pu, mais maladroitement, son visage le trahissait et Epahelia avait l'air de savourer ce moment de supériorité. L'image d'un homme d'état, dirigeant une Nation de plus de 1 million de superficie galacticaine! et le voila incapable de dire à haute voix, quelque chose à une créature magnifique n'occupant pas 1 superficie galacticaine!
Finalement, après des nouements dans son estomac qui lui procura des crampes, il pris son courage à deux mains.
c'est que nous soyons ensemble mon Epahelia. Oui, toi, mon Epahelia, toi qui m'a frappé de plein fouet et qui dirige ma vie de l'aube au couché du soleil.
Ce fut dit et à présent, les dès étaient jetés. De tout ce que le Président voulait dire, il le dit.
