Lettre envoyée à tous les Débonnaires par l'alliance Imperium Novus:
Bonjours à vous membres du concile.
Ceci est un message envoyé par les novus à chaque membre du concile.
Il y a plus d'un mois vous avez décider de nous attaquer. A plusieurs reprises vous avez rasé nos états, détruit nos bâtiments et nos flottes. Puis viens une trêves.
A l'issue de cette trêve vous avez détruit le Zortor, premier état Novus. Puis ce fût le Néant. Plus aucune action.
Sachez que nous n'avons pas oublié toutes les offenses que vous nous avez faites subir et aujourd'hui nous venons réclamer notre vengeance. Trop de bâtiments, trop de vaisseaux ont été perdu sans avoir été vengée.
Aujourd'hui le sort des armes nous est favorable. Et pourtant fidèle à notre idéal de paix nous voulons vous offrir une dernière chance de conclure la paix.
Les termes que nous vous offrons sont très simple: Partez, quittez cette alliance et vous ne subirez plus aucune attaque de notre part. En effet votre alliance à commis trop d’atrocités sur nos états et nous ne nous reposerons que lorsque le dernier de ses membres sera détruit ou aura quitté cette alliance.
Si vous voulez la paix, la tranquillité quittez cette alliance sinon soyez assurer que chaque jours, chaque semaines nos flottes et nos missiles vous frapperons sans répit jusqu’à votre fin.
Ne soyez pas fou, songez à vos frères qui ont tout perdu par orgueil, mettez fin à cette guerre.
Réponse de Drim l'Ancien, dirigeant de l'Ean Feria:
Bonsoir Imperii,
Je suis Drim l'Ancien, Grand Conseiller et dirigeant de l'Ean Feria.
Je ne suis pas de ceux qui fuit devant la guerre, je l'ai connu comme jamais aucun d'entre vous ne l'a jamais connu. J'ai marché sous la pluie des bombes, j'ai couvert les sentiers du sang de mes organes, mon repas quotidien est douleur, est souffrance.
J'ai créé le Concile il y a de cela plusieurs mois. Lors de sa création, le Concile s'est voulu pivot de la stabilité, centre de la pacification de l'univers, silos des passions, conteneur des meurtrissures. Le Concile se voulait dévoué à la naissance d'un univers paisible. Vous nous avez donné à manger aux lions, répandu la rumeur de nos prétendus envies de conquête, envoyez vos flottes et vos missiles pourrirent les paisibles contrées qui jadis égayaient chaque journées de nos vies.
Après avoir rendu nos plaines stériles, empli le cœur de nos hommes et femmes d'une noirceur si profonde qu'on les croit aveugles, après avoir amené la désolation de vos âmes jusque dans nos chaumes, après avoir supprimé tout espoir, après avoir fait de nos idéaux des utopies, qu'espériez vous?
Le Concile a toujours été à propos de puissance et d'orgueil, tout à propos de pouvoir et d'indépendance et c'est ces ambitions qui ont fait de nos dirigeants des personnes responsables. Nous avons fait vibrer la croute de vos états sous le feu de notre vengeance, bafouer vos idéaux et piétiner ce qu'il vous restait de fierté et vous n'avez rien apprit, vous n'avez rien comprit. Les porcs qui ont fait du Concile une machine de guerre sont toujours à la tête de vos états et ce n'est pas la puissance de vos armées ni même le nombre de vos vaisseaux qui me feront baisser la tête devant vos pitoyables visages terrifiés.
Et maintenant vous nous offrez votre pitié, vous nous offrez la droit de venir manger dans votre main? Que le Shadowsong l'emporte au plus profond de ses tourments, je n'ai que faire de votre mauvaise conscience.
Pointez vos armes dans une autre direction, le Concile n'a plus rien à vous offrir, pas même nos vies. Je ne me battrai pas, je ne ferai pas plus souffrir mon peuple contre un ennemie invincible: la stupidité. Si nous devons lutter, nous lutterons lorsque vous serez sans défense. Mais ne doutez pas que nous prendrons cette fois toutes vos raisons de vivre une à une, absolument tout jusqu'à vos agonies. Nous laisserons d'espoir en vous que de quoi vous voir ramper tout le long du tunnel et puis nous vous détruirons de nouveau, supprimant à nouveau "joie" de votre vocabulaire.
Tout ceci n'a rien à voir avec la vengeance, tout ceci n'a rien à voir avec la fierté. Vous ne savez pas même ce que cela signifie. Tout ce que vous retenez de vos défaites sont les erreurs de vos ennemis et depuis tant d'années que je vous observe, vous répétez sans cesse vos erreurs. Sans aucun doute, la prochaine des guerres sera encore notre victoire quoi que vous pensiez, quoi que vos chiffres annoncent, puissance et victoire sont deux choses différentes.
Victoire vient toujours avec Mémoire, la mémoire c'est l'histoire, vos "victoires" ne sont rien de plus que des conquêtes, éphémères, volatiles, sans ancre pour les retenir et la première vague arrive, effaçant des sables du temps les mots que vous vouliez y graver.
Je vous pris d'accepter mes plus sincères condoléances pour les futures défaites que nous vous infligerons, pour les futures familles que vous sacrifierez, pour les futures échecs que vous subirez.
Drim