Un jour, une soirée. Une rencontre, des retrouvailles. Une délivrance, un heurtoir. Des souvenirs, des épreuves. Un amour, des amours. Un rire, des sanglots.
Loin, loin derrière moi.
Si près, si près de toi.
Ton cadeau, celui qui à Noël me manqua.
Ta vie, tout simplement.
Et la mienne, nécessairement.
Ton sourire, le sien, le leur. Le mien, absent.
Dix années, une mort. Sans laquelle cette mélancolie jamais n'aurait existé.
Ce trouble hâtivement gommé, éminemment reparu ;
Abruti fini.
Ces pleurs, leur impact. Ce sourire terne que des câlins auraient peut-être embelli.
Ton sourire à toi, rassurant.
Son sourire à elle, rayonnant.
Cette funeste soirée, d'un semblant de recouvrement animée ; jamais, jamais.
Ses yeux, sa bouche, ton cœur, tes mots. Le premier arrêté, les autres envolés.
Et les miens qui n'ont fonctionné...
Je me hais.
Je l'aime.
Et t'aimais.
Ne comptez pas sur Kossnei pour signer ce torchon humide, ce...
...Chant des Larmes.
Le Chant des Larmes
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Le Chant des Larmes
« Altea seit Ethel. Ton nom ne sera jamais oublié... » - Kami Raykovith