Lord Qwendal avez-vous été suivi ?
Non, j’ai fait attention à ce que ça n’arrive pas.
Très bien, fermez la porte s’il vous plait. La réunion peut commencer.
Lord Qwendal ferma la porte et rejoignit les autres. Un homme resta en dehors pour monter la garde. La réunion avait lieu dans une bâtisse en ruine, en retrait de la ville. Toutes les classes sociales étaient représentées, du noble au paysan.
Le conseiller Octanpus était un homme d’une quarantaine de printemps, le crane dégarnie au devant de toute chevelure. Il portait le costume de Conseiller, ainsi, il était reconnaissable par tous, ceux qui aidait lorsque l’on voulait faire soumettre des idées ou même se faire entendre lors des réunions des sages.
Le costume de conseiller se composait de trois partie. La première était une chemise en soie d’un blanc éclatant. La lumière se reflétait dessus et rendit aveugle pendant quelques secondes quiconque regardant en sa direction. La deuxième était un pantalon fait en toile, sa couleur paraissait plus timide, au soleil on pouvait voir à travers. La troisième partie était une écharpe en cachemire rouge porté en tunique.
Conseiller Octanpus : « Commençons ! Comme vous le savez, depuis quelque temps la reine agit bizarrement, ses ordres vont à l’encontre de nos principes les plus sacrés. Pas plus tard qu’hier, elle a ordonné à nos troupes d’attaquer une planète pacifiste. Nous pouvons et nous devons arrêter cela ! »
Le conseiller Octanpus emporté par la situation perdit son calme et frappa la table avec ses poings.
Lord Qwendal était un noble de Manala. Mais, il était plus cultivé que ses comparses, et bien plus sage. Il prit la parole pour soumettre les craintes dont il souffrait.
Mais comment, rien que sa garde personnel compte vingt hommes. Et qui plus est, on été choisis pour leurs capacités naturels et on été entrainé par Toffeur.
Le général Toffeur prit à son tour la parole. Sa voix était grave, et d’une puissance à peine maitrisée ; quand il prenait la parole, même en temps de crise, sa voix suffisait pour que tous la fermèrent. Il était le commandant suprême des armées.
Il avait obtenu ce poste car il était un fort stratège, et les qualités dont il fit preuve lors des guerres du passés lui avait permit de sauvé d’innombrable vie, ainsi que la sauvegarde de Manala.
Qwendal a raison. Ces hommes sont d’une force impressionnante, et l’entraînement qu’ils ont suivis les ont préparés à tous les cas de figures, même un coup d’état. Je conseillerai donc de ne pas attaquer, cela aura pour seul effet d’envoyer les hommes dont nous disposons à une mort, rien de plus.
Très bien, me que faisons nous ? Si, on nous surprend vous savez tous que c’est la mort pour trahison qui nous attend !
Une femme, d’une beauté et d’une élégance que peu à Manala avait se leva de sa chaise. Elle avait une longue chevelure, lisse. Sa couleur de cheveux, d’un bleu nuit, était plus belle que la couleur des océans d’aquablue. Ses yeux avaient la couleur des pierres de jade de vertana. Un seul regard suffisait pour qu’on tombe éperdument amoureux d’elle. Son visage avait la fraicheur de la rosée du matin, et son teint était d’un rose léger. Sa voix était douce, reposante et aussi pure que le cristal. Quand on l’écoutait, on était comme envouté.
Princesse Néalia : "Nous n’avons qu’à partir de la planète, et allez nous installer ailleurs. Des astronomes assurent avoir trouvé la planète qui est décrite dans la prophétie de Pandora. Des montagnes à perte de vue, des forêts d’une diversité incroyable se trouvent sur cette planète. Ils n’ont décelé aucune trace de pollution, ni de présence humaine. Seule la question de comment s’y rendre pose problème. J’espère qu’avec votre aide Général Toffeur, nous pourrons disposer d’assez de vaisseau pour y emmener ceux qui le voudront."
He bien !? Si vous me laissez encore quelques jour, disons sept, je pense que je pourrai mettre la main sur trois ou quatre vaisseau que je ferai laisser au hangar.
Sept jours, c’est trop long. Nous risquons à chaque minute d’être découverts, nous ne pouvons attendre guère plus de trois jours.
Je comprends, je ferai de mon mieux, mais en si peu de temps, il se peut que je ne puisse disposer que d’un seul vaisseau. Enfin, je m’en chargerai dès que la réunion prendra fin.
Soit, ensuite, il nous faut également savoir combien voudront venir. Léonas, avez-vous pu faire un décompte des partisans qui nous soutiennent ?
Léonas : D’après les dernières informations que j’ai pus obtenir, il s’avère qu’environ deux cents personnes, de classes diverses, nous suivrons.
Bien, Général, combien de vaisseau devons nous disposer pour environ deux cents personnes ?
Deux serons suffisant, et vue le nombre qu’il faut, je pense que je serai prêt d’ici le délai.
Informer ceux qui viennent avec nous, qu’ils se préparent au départ. La séance est levée.
La réunion prit fin. Ils partirent les un après les autres, regardant au alentour si personne les espionnaient. Ils retournèrent à leurs occupations, tout en gardant à l’esprit les taches dont on les avait accablées.
Le temps était compté, la vie ou la mort les attendait, et tous le savaient. L’heure de leur réussite sonnera peut-être ou es-que ce sera le son de l’exécution qui sonnera ?
Du chaos naitra l'espoir
Modérateur : Modérateurs
Re: Du chaos naitra l'espoir
Le crépuscule venait d’apparaître dans le ciel. Le soleil laissa peu à peu la place à la lune. L’horizon semblait saigner, son teint était rouge, annonciateur de fléau et de catastrophe. L’air demeurait chaud, pourtant le temps courait à l’humidité en cette période de l’année.
Dans le palais impérial, où nobles et seigneurs demeuraient, l’ambiance était palpable, chargée d’ondes négatives. Le silence habituelle qui résonnait en ce lieu n’était plus, on entendait des voix discrètes mais nombreuses, qui réunis formèrent une cacophonie des plus infâmes. En écoutant attentivement, on pouvait s’apercevoir que les discutions, responsable de cette braillerie générale, tournaient autour de la reine. Tous discutèrent sans retenue, ne pesant aucunement leurs paroles. Les rumeurs les plus folles circulèrent. Bien qu’ils soient virulent en parole, ils étaient tout de même discret, se faire prendre à parler de la sorte couterait la vie à n’importe qui, et ceci pour trahison.
Conseiller Octanpus : Princesse, ne restez pas ici. Venez, vous serez mieux dans vos appartements.
Princesse Néalia : Je sais, Conseiller. Ne vous pressez pas non plus, ces murs dans lesquels vous m’enfermez m’insupportent de plus en plus. J’ai besoin de respirer un peu. Et que pourrait-il m’arriver dans le palais ? Rien !
Conseiller Octanpus : Soyez raisonnable. Et devrais-je vous rappeler ce qui c’est passez cette après-midi ?
Princesse Néalia : Non, nul besoin, je m’en souviens parfaitement.
Ils arrivèrent aux appartements de la princesse. Le conseiller Octanpus ouvrit la porte pour laisser entrer la princesse. La princesse vivait au deuxième étage du palais. Ses appartements se composaient de sa chambre, d’une salle de bain et d’un salon où elle pouvait recevoir ses invités en toute intimité.
La princesse entra dans le salon, suivi du conseiller qui referma la porte derrière lui.
Le salon était de grande taille. La décoration ressemblait à un jardin où l’on aurait mis des meubles. La pièce disposait de quatre fenêtres qui laissaient passer la lumière du jour et de la nuit, comme ci on se trouvait dehors. Une table faite de chênes et de marbres se trouvait au milieu de la salle. Sur cette table pouvait s’asseoir six personnes. A quelques pas de la, un canapé de soie et de dentelle faisait face à une cheminée ; celle-ci n’était que pur décoration. La cheminée était taillée dans le Quartz, une pierre rare et onéreuse. Elle était gravée de motifs de plante, de grappes de raisins plus exactement. Sur le haut de la cheminée, on avait taillé le nom de la princesse et recouvert d’une fine couche d’or.
La princesse se mit à bailler, avec une élégance dont elle seul à le secret.
Princesse Néalia : Veuillez m’excuser, la journée a été longue. Je devrais, je pense, me reposer.
Conseiller Octanpus : Très bien, Princesse. Dormez bien, les journées vont être des plus éprouvantes maintenant. Bonne nuit.
Le conseiller baisa la main de la princesse et se retira. Il referma la porte derrière lui en sortant.
La princesse entra dans sa chambre, se dirigea vers sa coiffeuse. Elle retira les barrettes de ses cheveux bleutés. Elle se démaquilla, son visage était emplit de doutes et d’incertitudes. Quand elle eut fini de se démaquiller, elle se déshabilla. Elle retira une à une les bretelles de sa robe de soie. Elle la laissa tomber. Son corps était nu, comme celui décrit dans les anciens testaments. La princesse aimait dormir nue, la sensation qu’elle ressentait lorsque son corps flirtait avec la soie n’avait nul égal. Elle comparait cela aux caresses que pouvait offrir un amant. La princesse se plongea dans ses draps de soie, et se laissa emporter par le sommeil.
Néalia était maintenant dans le monde du rêve. Son esprit tourmenté lui fit revivre les évènements qui la bouleversaient, ainsi que les autres.
***
L’obscurité grandissant
Ma reine, qu’es-ce que vous portez autour de votre cou ?
C’est un collier, tu ne vois pas ?
Si, mais vous ne l’aviez pas hier. Puis-je vous demander qui à un gout aussi subtil ?
C’est un de mes garçons de cours, il m’a dit qu’il avait trouvé cette pierre dans un puits, il l’a fait taillé pour moi et me la offert comme présent en guise de déclaration.
Et bien, vous avez de la chance ma reine, un homme avec autant de gout et de raffinement ce fait rare.
Néalia, vient voir je t’en prie.
Vous vouliez me voir ma reine ?
Oui. Dis moi comment trouve tu cette homme ? C’est un noble, un peu âgé mais beau garçon, tu ne trouves pas ?
Il est vrai qu’il n’est pas déplaisant à regarder. Vous connaissez mes gouts, je préfère les hommes se rapprochant de mon âge.
Sotte ! Ne sois pas aussi difficile, cet homme est celui qu’il te faut.
Que dites-vous ? Il n’est est pas question, vous m’aviez promis que mon mari serai choisi par mes soins uniquement.
Il suffit. Qui écouteront vos sornettes ? Voila, vous me donnez mal à la tête. Allez donc rêvassez dans vos appartements, et que je ne vous revois pas de la journée.
Si cela peut vous apaisé, soit.
* Tu ne vois donc pas que la rêne change ? Elle est avide, agressive, méprisable. Elle qui, il y a encore peu, était une femme aimante, adorable. Son cœur noirci de jour en jour, son jugement est obscurcis, ses décisions dictées par la haine et la soif de pouvoir.
Je le sais, mais que puis-je y faire ? Lui parler ?
Et pourquoi pas, c’est toujours mieux que de rester ici à rien faire. Mais si, on se fait insulter, c’est déjà pas mal je l’admets.
Non, je dois l’aider, c’est ma mère tout de même. Comment l’aider à reprendre ses esprits. Que luis est-il arrivé ?
Tu ne vois pas ? Depuis quand est-elle comme ça ? Tu le sais, souviens tant.
Le collier ? –Voila.*
* Regarde là ! Ecoute sa voix, elle n’est plus celle qui fut.*
R : Commandant Octanpus, je vous donne l’ordre d’attaquer le peuple de Nappo. Prenez autant d’homme que nécessaire.
O : Ma reine, vous êtes sur ?
R : Tu oses discuter mes ordres ?
O : Je n’oserai jamais, mais le peuple de Nappo sont des pacifistes.
R : Ils ont trop longtemps tenté de nous inculquer leurs croyances pitoyables, cela doit cesser.
O : Bien, je ferai selon vos ordres.
*Elle attaque Nappo. Lis dans son regard la soif de pouvoir et de sang. – Non ce n’est pas possible. Je fais un cauchemar. –C’est la stricte réalité. La reine a perdu définitivement la tête. Son cœur est noir comme le carburant des chasseurs qui parte attaquer Nappo.*
***
Dans le palais impérial, où nobles et seigneurs demeuraient, l’ambiance était palpable, chargée d’ondes négatives. Le silence habituelle qui résonnait en ce lieu n’était plus, on entendait des voix discrètes mais nombreuses, qui réunis formèrent une cacophonie des plus infâmes. En écoutant attentivement, on pouvait s’apercevoir que les discutions, responsable de cette braillerie générale, tournaient autour de la reine. Tous discutèrent sans retenue, ne pesant aucunement leurs paroles. Les rumeurs les plus folles circulèrent. Bien qu’ils soient virulent en parole, ils étaient tout de même discret, se faire prendre à parler de la sorte couterait la vie à n’importe qui, et ceci pour trahison.
Conseiller Octanpus : Princesse, ne restez pas ici. Venez, vous serez mieux dans vos appartements.
Princesse Néalia : Je sais, Conseiller. Ne vous pressez pas non plus, ces murs dans lesquels vous m’enfermez m’insupportent de plus en plus. J’ai besoin de respirer un peu. Et que pourrait-il m’arriver dans le palais ? Rien !
Conseiller Octanpus : Soyez raisonnable. Et devrais-je vous rappeler ce qui c’est passez cette après-midi ?
Princesse Néalia : Non, nul besoin, je m’en souviens parfaitement.
Ils arrivèrent aux appartements de la princesse. Le conseiller Octanpus ouvrit la porte pour laisser entrer la princesse. La princesse vivait au deuxième étage du palais. Ses appartements se composaient de sa chambre, d’une salle de bain et d’un salon où elle pouvait recevoir ses invités en toute intimité.
La princesse entra dans le salon, suivi du conseiller qui referma la porte derrière lui.
Le salon était de grande taille. La décoration ressemblait à un jardin où l’on aurait mis des meubles. La pièce disposait de quatre fenêtres qui laissaient passer la lumière du jour et de la nuit, comme ci on se trouvait dehors. Une table faite de chênes et de marbres se trouvait au milieu de la salle. Sur cette table pouvait s’asseoir six personnes. A quelques pas de la, un canapé de soie et de dentelle faisait face à une cheminée ; celle-ci n’était que pur décoration. La cheminée était taillée dans le Quartz, une pierre rare et onéreuse. Elle était gravée de motifs de plante, de grappes de raisins plus exactement. Sur le haut de la cheminée, on avait taillé le nom de la princesse et recouvert d’une fine couche d’or.
La princesse se mit à bailler, avec une élégance dont elle seul à le secret.
Princesse Néalia : Veuillez m’excuser, la journée a été longue. Je devrais, je pense, me reposer.
Conseiller Octanpus : Très bien, Princesse. Dormez bien, les journées vont être des plus éprouvantes maintenant. Bonne nuit.
Le conseiller baisa la main de la princesse et se retira. Il referma la porte derrière lui en sortant.
La princesse entra dans sa chambre, se dirigea vers sa coiffeuse. Elle retira les barrettes de ses cheveux bleutés. Elle se démaquilla, son visage était emplit de doutes et d’incertitudes. Quand elle eut fini de se démaquiller, elle se déshabilla. Elle retira une à une les bretelles de sa robe de soie. Elle la laissa tomber. Son corps était nu, comme celui décrit dans les anciens testaments. La princesse aimait dormir nue, la sensation qu’elle ressentait lorsque son corps flirtait avec la soie n’avait nul égal. Elle comparait cela aux caresses que pouvait offrir un amant. La princesse se plongea dans ses draps de soie, et se laissa emporter par le sommeil.
Néalia était maintenant dans le monde du rêve. Son esprit tourmenté lui fit revivre les évènements qui la bouleversaient, ainsi que les autres.
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L’obscurité grandissant
Ma reine, qu’es-ce que vous portez autour de votre cou ?
C’est un collier, tu ne vois pas ?
Si, mais vous ne l’aviez pas hier. Puis-je vous demander qui à un gout aussi subtil ?
C’est un de mes garçons de cours, il m’a dit qu’il avait trouvé cette pierre dans un puits, il l’a fait taillé pour moi et me la offert comme présent en guise de déclaration.
Et bien, vous avez de la chance ma reine, un homme avec autant de gout et de raffinement ce fait rare.
Néalia, vient voir je t’en prie.
Vous vouliez me voir ma reine ?
Oui. Dis moi comment trouve tu cette homme ? C’est un noble, un peu âgé mais beau garçon, tu ne trouves pas ?
Il est vrai qu’il n’est pas déplaisant à regarder. Vous connaissez mes gouts, je préfère les hommes se rapprochant de mon âge.
Sotte ! Ne sois pas aussi difficile, cet homme est celui qu’il te faut.
Que dites-vous ? Il n’est est pas question, vous m’aviez promis que mon mari serai choisi par mes soins uniquement.
Il suffit. Qui écouteront vos sornettes ? Voila, vous me donnez mal à la tête. Allez donc rêvassez dans vos appartements, et que je ne vous revois pas de la journée.
Si cela peut vous apaisé, soit.
* Tu ne vois donc pas que la rêne change ? Elle est avide, agressive, méprisable. Elle qui, il y a encore peu, était une femme aimante, adorable. Son cœur noirci de jour en jour, son jugement est obscurcis, ses décisions dictées par la haine et la soif de pouvoir.
Je le sais, mais que puis-je y faire ? Lui parler ?
Et pourquoi pas, c’est toujours mieux que de rester ici à rien faire. Mais si, on se fait insulter, c’est déjà pas mal je l’admets.
Non, je dois l’aider, c’est ma mère tout de même. Comment l’aider à reprendre ses esprits. Que luis est-il arrivé ?
Tu ne vois pas ? Depuis quand est-elle comme ça ? Tu le sais, souviens tant.
Le collier ? –Voila.*
* Regarde là ! Ecoute sa voix, elle n’est plus celle qui fut.*
R : Commandant Octanpus, je vous donne l’ordre d’attaquer le peuple de Nappo. Prenez autant d’homme que nécessaire.
O : Ma reine, vous êtes sur ?
R : Tu oses discuter mes ordres ?
O : Je n’oserai jamais, mais le peuple de Nappo sont des pacifistes.
R : Ils ont trop longtemps tenté de nous inculquer leurs croyances pitoyables, cela doit cesser.
O : Bien, je ferai selon vos ordres.
*Elle attaque Nappo. Lis dans son regard la soif de pouvoir et de sang. – Non ce n’est pas possible. Je fais un cauchemar. –C’est la stricte réalité. La reine a perdu définitivement la tête. Son cœur est noir comme le carburant des chasseurs qui parte attaquer Nappo.*
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