Du chaos naitra l'espoir
Publié : 08 mai 2010, 10:38
Lord Qwendal avez-vous été suivi ?
Non, j’ai fait attention à ce que ça n’arrive pas.
Très bien, fermez la porte s’il vous plait. La réunion peut commencer.
Lord Qwendal ferma la porte et rejoignit les autres. Un homme resta en dehors pour monter la garde. La réunion avait lieu dans une bâtisse en ruine, en retrait de la ville. Toutes les classes sociales étaient représentées, du noble au paysan.
Le conseiller Octanpus était un homme d’une quarantaine de printemps, le crane dégarnie au devant de toute chevelure. Il portait le costume de Conseiller, ainsi, il était reconnaissable par tous, ceux qui aidait lorsque l’on voulait faire soumettre des idées ou même se faire entendre lors des réunions des sages.
Le costume de conseiller se composait de trois partie. La première était une chemise en soie d’un blanc éclatant. La lumière se reflétait dessus et rendit aveugle pendant quelques secondes quiconque regardant en sa direction. La deuxième était un pantalon fait en toile, sa couleur paraissait plus timide, au soleil on pouvait voir à travers. La troisième partie était une écharpe en cachemire rouge porté en tunique.
Conseiller Octanpus : « Commençons ! Comme vous le savez, depuis quelque temps la reine agit bizarrement, ses ordres vont à l’encontre de nos principes les plus sacrés. Pas plus tard qu’hier, elle a ordonné à nos troupes d’attaquer une planète pacifiste. Nous pouvons et nous devons arrêter cela ! »
Le conseiller Octanpus emporté par la situation perdit son calme et frappa la table avec ses poings.
Lord Qwendal était un noble de Manala. Mais, il était plus cultivé que ses comparses, et bien plus sage. Il prit la parole pour soumettre les craintes dont il souffrait.
Mais comment, rien que sa garde personnel compte vingt hommes. Et qui plus est, on été choisis pour leurs capacités naturels et on été entrainé par Toffeur.
Le général Toffeur prit à son tour la parole. Sa voix était grave, et d’une puissance à peine maitrisée ; quand il prenait la parole, même en temps de crise, sa voix suffisait pour que tous la fermèrent. Il était le commandant suprême des armées.
Il avait obtenu ce poste car il était un fort stratège, et les qualités dont il fit preuve lors des guerres du passés lui avait permit de sauvé d’innombrable vie, ainsi que la sauvegarde de Manala.
Qwendal a raison. Ces hommes sont d’une force impressionnante, et l’entraînement qu’ils ont suivis les ont préparés à tous les cas de figures, même un coup d’état. Je conseillerai donc de ne pas attaquer, cela aura pour seul effet d’envoyer les hommes dont nous disposons à une mort, rien de plus.
Très bien, me que faisons nous ? Si, on nous surprend vous savez tous que c’est la mort pour trahison qui nous attend !
Une femme, d’une beauté et d’une élégance que peu à Manala avait se leva de sa chaise. Elle avait une longue chevelure, lisse. Sa couleur de cheveux, d’un bleu nuit, était plus belle que la couleur des océans d’aquablue. Ses yeux avaient la couleur des pierres de jade de vertana. Un seul regard suffisait pour qu’on tombe éperdument amoureux d’elle. Son visage avait la fraicheur de la rosée du matin, et son teint était d’un rose léger. Sa voix était douce, reposante et aussi pure que le cristal. Quand on l’écoutait, on était comme envouté.
Princesse Néalia : "Nous n’avons qu’à partir de la planète, et allez nous installer ailleurs. Des astronomes assurent avoir trouvé la planète qui est décrite dans la prophétie de Pandora. Des montagnes à perte de vue, des forêts d’une diversité incroyable se trouvent sur cette planète. Ils n’ont décelé aucune trace de pollution, ni de présence humaine. Seule la question de comment s’y rendre pose problème. J’espère qu’avec votre aide Général Toffeur, nous pourrons disposer d’assez de vaisseau pour y emmener ceux qui le voudront."
He bien !? Si vous me laissez encore quelques jour, disons sept, je pense que je pourrai mettre la main sur trois ou quatre vaisseau que je ferai laisser au hangar.
Sept jours, c’est trop long. Nous risquons à chaque minute d’être découverts, nous ne pouvons attendre guère plus de trois jours.
Je comprends, je ferai de mon mieux, mais en si peu de temps, il se peut que je ne puisse disposer que d’un seul vaisseau. Enfin, je m’en chargerai dès que la réunion prendra fin.
Soit, ensuite, il nous faut également savoir combien voudront venir. Léonas, avez-vous pu faire un décompte des partisans qui nous soutiennent ?
Léonas : D’après les dernières informations que j’ai pus obtenir, il s’avère qu’environ deux cents personnes, de classes diverses, nous suivrons.
Bien, Général, combien de vaisseau devons nous disposer pour environ deux cents personnes ?
Deux serons suffisant, et vue le nombre qu’il faut, je pense que je serai prêt d’ici le délai.
Informer ceux qui viennent avec nous, qu’ils se préparent au départ. La séance est levée.
La réunion prit fin. Ils partirent les un après les autres, regardant au alentour si personne les espionnaient. Ils retournèrent à leurs occupations, tout en gardant à l’esprit les taches dont on les avait accablées.
Le temps était compté, la vie ou la mort les attendait, et tous le savaient. L’heure de leur réussite sonnera peut-être ou es-que ce sera le son de l’exécution qui sonnera ?
Non, j’ai fait attention à ce que ça n’arrive pas.
Très bien, fermez la porte s’il vous plait. La réunion peut commencer.
Lord Qwendal ferma la porte et rejoignit les autres. Un homme resta en dehors pour monter la garde. La réunion avait lieu dans une bâtisse en ruine, en retrait de la ville. Toutes les classes sociales étaient représentées, du noble au paysan.
Le conseiller Octanpus était un homme d’une quarantaine de printemps, le crane dégarnie au devant de toute chevelure. Il portait le costume de Conseiller, ainsi, il était reconnaissable par tous, ceux qui aidait lorsque l’on voulait faire soumettre des idées ou même se faire entendre lors des réunions des sages.
Le costume de conseiller se composait de trois partie. La première était une chemise en soie d’un blanc éclatant. La lumière se reflétait dessus et rendit aveugle pendant quelques secondes quiconque regardant en sa direction. La deuxième était un pantalon fait en toile, sa couleur paraissait plus timide, au soleil on pouvait voir à travers. La troisième partie était une écharpe en cachemire rouge porté en tunique.
Conseiller Octanpus : « Commençons ! Comme vous le savez, depuis quelque temps la reine agit bizarrement, ses ordres vont à l’encontre de nos principes les plus sacrés. Pas plus tard qu’hier, elle a ordonné à nos troupes d’attaquer une planète pacifiste. Nous pouvons et nous devons arrêter cela ! »
Le conseiller Octanpus emporté par la situation perdit son calme et frappa la table avec ses poings.
Lord Qwendal était un noble de Manala. Mais, il était plus cultivé que ses comparses, et bien plus sage. Il prit la parole pour soumettre les craintes dont il souffrait.
Mais comment, rien que sa garde personnel compte vingt hommes. Et qui plus est, on été choisis pour leurs capacités naturels et on été entrainé par Toffeur.
Le général Toffeur prit à son tour la parole. Sa voix était grave, et d’une puissance à peine maitrisée ; quand il prenait la parole, même en temps de crise, sa voix suffisait pour que tous la fermèrent. Il était le commandant suprême des armées.
Il avait obtenu ce poste car il était un fort stratège, et les qualités dont il fit preuve lors des guerres du passés lui avait permit de sauvé d’innombrable vie, ainsi que la sauvegarde de Manala.
Qwendal a raison. Ces hommes sont d’une force impressionnante, et l’entraînement qu’ils ont suivis les ont préparés à tous les cas de figures, même un coup d’état. Je conseillerai donc de ne pas attaquer, cela aura pour seul effet d’envoyer les hommes dont nous disposons à une mort, rien de plus.
Très bien, me que faisons nous ? Si, on nous surprend vous savez tous que c’est la mort pour trahison qui nous attend !
Une femme, d’une beauté et d’une élégance que peu à Manala avait se leva de sa chaise. Elle avait une longue chevelure, lisse. Sa couleur de cheveux, d’un bleu nuit, était plus belle que la couleur des océans d’aquablue. Ses yeux avaient la couleur des pierres de jade de vertana. Un seul regard suffisait pour qu’on tombe éperdument amoureux d’elle. Son visage avait la fraicheur de la rosée du matin, et son teint était d’un rose léger. Sa voix était douce, reposante et aussi pure que le cristal. Quand on l’écoutait, on était comme envouté.
Princesse Néalia : "Nous n’avons qu’à partir de la planète, et allez nous installer ailleurs. Des astronomes assurent avoir trouvé la planète qui est décrite dans la prophétie de Pandora. Des montagnes à perte de vue, des forêts d’une diversité incroyable se trouvent sur cette planète. Ils n’ont décelé aucune trace de pollution, ni de présence humaine. Seule la question de comment s’y rendre pose problème. J’espère qu’avec votre aide Général Toffeur, nous pourrons disposer d’assez de vaisseau pour y emmener ceux qui le voudront."
He bien !? Si vous me laissez encore quelques jour, disons sept, je pense que je pourrai mettre la main sur trois ou quatre vaisseau que je ferai laisser au hangar.
Sept jours, c’est trop long. Nous risquons à chaque minute d’être découverts, nous ne pouvons attendre guère plus de trois jours.
Je comprends, je ferai de mon mieux, mais en si peu de temps, il se peut que je ne puisse disposer que d’un seul vaisseau. Enfin, je m’en chargerai dès que la réunion prendra fin.
Soit, ensuite, il nous faut également savoir combien voudront venir. Léonas, avez-vous pu faire un décompte des partisans qui nous soutiennent ?
Léonas : D’après les dernières informations que j’ai pus obtenir, il s’avère qu’environ deux cents personnes, de classes diverses, nous suivrons.
Bien, Général, combien de vaisseau devons nous disposer pour environ deux cents personnes ?
Deux serons suffisant, et vue le nombre qu’il faut, je pense que je serai prêt d’ici le délai.
Informer ceux qui viennent avec nous, qu’ils se préparent au départ. La séance est levée.
La réunion prit fin. Ils partirent les un après les autres, regardant au alentour si personne les espionnaient. Ils retournèrent à leurs occupations, tout en gardant à l’esprit les taches dont on les avait accablées.
Le temps était compté, la vie ou la mort les attendait, et tous le savaient. L’heure de leur réussite sonnera peut-être ou es-que ce sera le son de l’exécution qui sonnera ?