Fatigue, quand tu nous tiens

Le sénat galactique accueille toutes formes de débats politiques qui s'adressent à une importante partie des états de la galaxie. Il est situé dans le cœur du siège et comprend plus de cent salles.

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Bl@cky du Miyard
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Fatigue, quand tu nous tiens

Message par Bl@cky du Miyard »

L'aube se lève doucement, berçant dans ses reflets orangés, la brume du petit matin, humide et glacial comme à son habitude ne laissant aucune entité vivante se promener.
La température avoisinant les -35 degrés celsius une fois l'un des 3 soleils proche couchés, la lueur étincelante oblige les Baltukiens à se cloîtrer, calfeutrer pour ne pas se voir déranger dans leur repos mérité pas ses soleils proches en pleine journée et tellement éloigné la nuit.
Au faite pourquoi je vous dit tous ça, je sais plus, à oui voilà, je dois vous raconter, vous conter les ragots de couloirs du Palais du Miyard, ce gigantesque sanctuaire abritant multitudes de bâtiments divers dans des architectures venu de tous horizons, une forêt de verre d'Améthyste et d'acier, renvoyant votre image de drôle de manière et la lumière violine journalière, illuminant le moindre recoin de sa beauté.
Un homme courant dans les interminables et étroits couloirs de se labyrinthe infini s'arrêta devant une immense porte en bois à l'effigie de notre joyaux éternel, il se râcla la gorge afin de ne pas garder les mots qu'il a préparé à l'encontre de son maître, être sur de bien se faire comprendre et de ne pas recevoir de punition en retour.
Il frappa, timidement en premier lieu et puis accentua les coups afin esperer se faire entendre, tremblant à l'idée de se faire fouetter en infligeant au Superviseur et Maitre de cette demeure un réveil brutal.
La porte s'ouvrit devant Barrabas, vétu d'un simple pyjama à fleur d'hybiscus, le messager retenu son rire à l'intérieur, se disant que le cadeau offert pour les 200 ans de son protecteur faisait des plus beaux effets, un petit matin glauque.
Faut que je le décrive aussi Barrabas, vous êtes pointilleux avec mon histoire, bon voilà, je fais vite, c'est pas le but de ma venue, Grand, non très Grand, je mets des majuscule pour que vous vous rendiez compte de sa grandeur, moi humain je suis tout petit, aussi grand qu'un navi du peuple des Otikayas, une long chevelure blanche, la peau bleu du au manque de sang qui coule dans ses veines, enfin c'est peut être pas du sang, qui coule en lui sûrement de l'acide, ça collerai bien avec sa cruauté, bon mais cruel, oui ça lui va très bien comme qualificatif, bleu comme la couleur de sa maudite planète remplie d'eau, bon ca va comme ça.


- Excusez moi mon maitre, de vous levez alors que vous venez à peine de vous couchez mais on subit des bombardements à la frontière de notre état.

- Quoi, qui ose venir troubler mon sommeil, déjà qu'il n'est pas des plus régulier ses temps si tellement mes sujets sont casse-pieds, que veut tu je n'ai pas le temps pour ses balivernes.

- Mais maitre, on nous attaque....la frontière Est, des Cuirassers....

- Et alors, ses hangars sont vides, les vaisseaux sont partis déposer les ressources hier soir donc il ont choisis le mauvais endroit pour espérer remplir leur soute, alors laisse moi dormir.

- Maitre, votre commandant m'a demandé de venir vous chercher, les hangars ont été endommagé, les tourelles n'ont pas fonctionné à plein régime, résultat on a perdu un peu de terrain sur notre propriété, il ne reste plus un seul endroit libre sur cette maudite planète et nous en perdons un peu chaque jour.

- Tais-toi je t'ai dis, peu m'importe, qui sont cette fois ces voleurs.

- J'ai visionné les bandes vidéos, maitre et les vaisseaux portait la marque de l'état d'Aetherys .

- Ce chacal, encore lui, je n'arrête pas d'entendre son nom, autant les antres essayent chaque jour de nous grappiller un peu d'argents, mais c'est compréhensible, et du à leur ignorance de nos coutumes mais lui, elle, je sais pas qui dirrige cette état mais il commence à m'échauffer les oreilles.

- Maitre que faisons nous, devons nous riposter?

- je t'ai dit qu'il n'y avait rien dans ses hangars, il a du siphonner les réservoirs des vaisseaux et faire exploser tous les bâtiments ce serai tous à fait son style à la soldes de la corporation certainement, le CEI, se disent banquier, économiste et commerçant, durant des desertans et vertans, il ont demander des pacte de non -agressions de toute part pour finir par enrôler des chiens de guerre, belle mentalité.
- En plus il ne respecte rien, même pas le peu de repos que nous avons, le conseil Améthyste, rahahaha il va finir par me mettre en côlère.


Le prompteur posé sur la table basse sonna, Barrabas le saisi et répondu comme à son accoutumé.

- Oui, quoi encore....

- C'est le poste de commandement, bonjour Superviseur.

- Oui bonjour, blablablabla, vous avez décidé de me pourrir mon repos alors dépêchez vous et annoncez la couleur.

- Nous avons repris l'espace perdu cette nuit Superviseur, les hangars sont intacts et vides, les vaisseaux stationnés devant sont entier, leur réservoir sont vide, il faudra les ravitailler et les rentrer, on a quand même perdu un chasseur dans ce pillage Superviseur, le pilote n'a pas survécu, devons nous remettre la surveillance?

- Oui faites ça, non plutôt mettez 2 vaisseaux et des pilotes drônes dedans, je veux pas continuer à perdre mes hommes bêtement, quoi d'autres maintenant que je suis réveillé?

- Un blocus détruit par les pilleurs de Smallcity en surveillance poste 7, pas reçu encore de rapport de la part du dirigeant, cela ne serait tarder, je vous tiens au courant Superviseur

- Merci, il faudra réunir la FAAFl, je veux un topo complet sur ce mercenaire à la soldes du CEI, il faudra bien qu'il s'explique, une petit faction, la peur les empêcherai de proclamer Alliance, eux les fervents défenseurs de Galactica, encore des soucis en plus, j'en ai déjà pas assez, je sais pourquoi je n'ai que des cheveux blanc, bon boulot.

- A vos odres, Superviseur, nous nous y attelons immédiatement, terminés.


Un sifflement, puis le silence, Barrabas le jeta sur le lit et se mit à faire les 100 pas, non 200, 300, 400, d'interminables secondes ou le gnomes, planté devant la porte n'osa interrompre.

- Bon filez maintenant, je vous ai assez vu, vous m'avez mis de mauvaise humeur, je ne répond de rien si vous rester.

- Bien Maitre, je vous apporte votre déjeuner !

- Rahahahaha, il m'énerve ses mercenaire, des lâches, toujours la nuit dans notre sommeil, je déteste ces méthodes de chacals, de hyènes puantes, va falloir encore leur botter les fesses, on pourrait pas cette fois dormir tranquille, 5 desertans d'insomnie par leur fautes, et pas un seul instant de gratitude pour le travail accomplie à réparer leur connerie.
- Cette univers devra-t-il encore s'unifier pour éradiquer cette vermine de soit-disant grand guerrier devenus charognards?


Il repris son prompteur jeté sur le lit et appuya sur le bouton d'appel, s'en suivit un sifflement aigu et la vois du poste de commandement.

- Poste de contrôle, j'écoute.

- Ou est le commandant?

- parti sur le lieu du pillage, Superviseur.

- Quand il revient, dites lui de convoquer le Conseil, je veux passer à la corporation aujourd'hui pour trouver des alliés près à signer se traité de l'UNION et enfin avoir du soutien pour éradiquer ses pilleurs sans scrupules.

- A vos ordres, Superviseur.

Barrabas se remit à déambuler dans la chambre, n'ayant plus l'envie de se recoucher, nuit courte et gâchée, mais se ne serai sûrement pas la dernière vu leur façon de procéder, d'attaquer uniquement la nuit.
Barrabas exécrais depuis longtemps ses lâches nocturnes, obligés à se terrer la journée pour ne sortir que la nuit tombée, quand les travailleurs s'écroulent, affaiblis par la fatigue de leur dur labeur, alors qu'eux ne font que dormir, piller, s'abreuver et violer tous se qui trouve ayant allure de femelle, rahahah, quel ignoble personnage, il ouvrit grand la porte-fenêtre de son balcon surplomba la serre tropicale et cria de tous ses poumons pour évacuer sa colère.
pui s'assit et attendit le déjeuner, songeur....
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Bl@cky du Miyard
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Re: Fatigue, quand tu nous tiens

Message par Bl@cky du Miyard »

Voilà plusieurs jours et nuit que Blacky ne dormait pas, ressassant sans arrêt ses attaques, pillages. vols, destruction, les rapports ne cessaient de s'empiler.
Il avait envoyé son meilleur atout pour le représenter à la corporation, son fils Hyrial du Zatura, chargés de faire la communication entre la salle des plaintes et son sanctuaire, trop vieux et très fatigué, il ne souhaitait pas partager des longues journées de vol interminables.
les plaintes à l'encontre des dirigeants d'Aetherys s'accumulaient également auprès du greffier des plaintes galactiques, et il fallait y mettre un terme, comme
le passé, la Fédération de l'Améthystes reformée se devait de réagir et montrer la voix de la réunification.
A peine avait t-il fini sa transmission holographique, Blacky pris son prompteur et appela le poste de commandement.
Un sifflement aiguë, puis une voix retentit.


- Poste de contrôle, j'écoute...


- Ici votre Superviseur, envoyé moi Mon fils Jémilo immédiatement, j'ai une mission importante à lui confié.

- A vos ordres Superviseur.

La transmission s'interrompu par un sifflement, puis le silence.
pendant se temps, dans la salle de contrôle du commandement FA, le contrôleur en poste composa le code de la salle des diplomates.


- Ici le centre de contrôle, le Fils du Superviseur, seigneur Jémilo est demandé immédiatement en salle de conférence 4.

- Ici Jémilo, je vais de suite dite à mon père que je le rejoint, terminé

- Ici contrôle bien compris.

Blacky faisait déjà les 100 pas en salle de conférences 4, comme à son habitude, étant le plus anciens des Baltukien encore en vie, son grand âge l'avait rendu aigri, obtus et très rapidement irascible, il détestait attendre et avais besoin très vitre de réponses, la salle était grande, avec une vue magnifique sur les jardins suspendus des collines de pandora, il avait appelé cette endroit paradisiaque pour faire plaisir à sa femme aujourd'hui décédée, la Reine LadyAngel leader des amazones de jahila, il trépignait d'impatiente, Mais que faisait son fils, il savait très bien qu'il fallait un temps interminable pour se rendre
à la salle de conférence et que la tolérance n'était pas son point fort.
la porte s'ouvrit enfin et le garde du corps personnel du superviseur laissa entrer son fisl
.

- AH, enfin tu fais exprès de faire attendre si longtemps, tu sais bien que je n'aime pas ça.


- Désolé Père, je suis venu le plus vite possible, ne commençons pas à se disputer, dis moi se que tu attends de moi que je parte immédiatement.

- Je viens de parler en conférence et en direct, salle des plaintes de la corporation, sur un sujet épineux, les attaques et les destructions sur des FA venu du Aetherys et apparemment elles se multiplient jours et nuits et les plaintes s'accumulent.
- prend la navette diplomatique et rend toi sur leur colonie, débrouille toi comme tu veux mais je veux une audience, ou au moins une conférence si ils ne veulent pas me voir débarquer, ils sont peut être parano au point de ne pas vouloir recevoir d'étrangers.


- Mais Père, c'est périlleux comme mission, je sais bien qu'on ne détruit pas une navette diplomatique mais suivent ils les lois et charte de leur faction, ou de la Corporation, qui me garantit qu'il ne tireront pas.


- C'est pour ça que je veux t'envoyer toi, tu as toujours ceux trouver les mots, tes missions ont toujours été remplies, celle-là est important et tu le feras,
j'en suis sûr, allez file maintenant, le temps presse.


- A vos ordres, Père, je ne vous desservez pas.


- Oui je sais, mais file donc je te dis.

Sur ces mots Jémilo, Diplomate des FA sorti de la salle et se dirigea vers le hangars 3.
Il appuya sur sa montre bracelet, et attendit la communication tous en hâtant le pas vers le hangar.


- Ici poste de contrôle, je vous écoute.

- C'est Jémilo, Karl, demande qu'on prépare la navette diplomatique de suite, plein et armement stp, je veux pas prendre de risque, je veux aussi un commando de Techno-guerriers, avec moi, une escorte sera sûrement utile, je me rend pas à une garden-party au bar à sans-peur, saurait été certainement plus amusant.


- A vos ordres, diplomate Jémilo.

il r'appuya sur sa montre et la communication fût interrompue.
15 minutes plus tard la navette décollait avec à son bord son fils et un commando d'élite, Blacky, rester devant la baie vitrée de la salle regarda la navette décollé puis appuya sur le prompteur posé sur la table.


- Ici poste de contrôle, je vous écoute.

- C'est votre superviseur, appelé Hyrial et mettez moi en communication avec lui à la corporation.


- A vos ordres, Superviseur.


Le contrôleur karl, composa le code de Hyrial et la communication fût établie.

- Ici le poste de contrôle du Miyard, je vous met en relation avec votre Père.

- merci Karl.sssss..ssssss.ssss...Père je t'écoute.

- Hyrial, comment se passe les débats, on a d'autres infos.


- Non Père, rien pour le moment, je fais quoi je rentre ou je reste encore.

- Tu restes, je veux un émissaire sur place, j'ai envoyé ton frère Jémilo sur Aetherys pour cette audience, on verra bien, au moins une conférence
on peut pas continuer attendre ses énergumènes éternellement et ne rien comprendre de leur message.


- A vos ordres, Père, tiens moi au courant, j'ai pris une chambre au PalaceCorp. je mettrai la note à ton nom, tu me dois bien ça.


- pas de souci fils, continue et contacte moi dés que tu as du nouveau, je te laisse.

Blacky tapa d'un grand coup fort sur le prompteur, de rage il avait l'impression que cette situation lui échappait, comment allait-il accueillir son diplomate en leur terre, seront-il hostile à sa venue, que de questions et toujours pas de réponses.
le regard dans le vague, parti dans ses inquiétudes, il se remit à faire les 100 pas, comme si le vent de son déplacement pouvait lui rendre les idées plus fraîches.
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