Fatigue, quand tu nous tiens
Publié : 16 mai 2010, 08:42
L'aube se lève doucement, berçant dans ses reflets orangés, la brume du petit matin, humide et glacial comme à son habitude ne laissant aucune entité vivante se promener.
La température avoisinant les -35 degrés celsius une fois l'un des 3 soleils proche couchés, la lueur étincelante oblige les Baltukiens à se cloîtrer, calfeutrer pour ne pas se voir déranger dans leur repos mérité pas ses soleils proches en pleine journée et tellement éloigné la nuit.
Au faite pourquoi je vous dit tous ça, je sais plus, à oui voilà, je dois vous raconter, vous conter les ragots de couloirs du Palais du Miyard, ce gigantesque sanctuaire abritant multitudes de bâtiments divers dans des architectures venu de tous horizons, une forêt de verre d'Améthyste et d'acier, renvoyant votre image de drôle de manière et la lumière violine journalière, illuminant le moindre recoin de sa beauté.
Un homme courant dans les interminables et étroits couloirs de se labyrinthe infini s'arrêta devant une immense porte en bois à l'effigie de notre joyaux éternel, il se râcla la gorge afin de ne pas garder les mots qu'il a préparé à l'encontre de son maître, être sur de bien se faire comprendre et de ne pas recevoir de punition en retour.
Il frappa, timidement en premier lieu et puis accentua les coups afin esperer se faire entendre, tremblant à l'idée de se faire fouetter en infligeant au Superviseur et Maitre de cette demeure un réveil brutal.
La porte s'ouvrit devant Barrabas, vétu d'un simple pyjama à fleur d'hybiscus, le messager retenu son rire à l'intérieur, se disant que le cadeau offert pour les 200 ans de son protecteur faisait des plus beaux effets, un petit matin glauque.
Faut que je le décrive aussi Barrabas, vous êtes pointilleux avec mon histoire, bon voilà, je fais vite, c'est pas le but de ma venue, Grand, non très Grand, je mets des majuscule pour que vous vous rendiez compte de sa grandeur, moi humain je suis tout petit, aussi grand qu'un navi du peuple des Otikayas, une long chevelure blanche, la peau bleu du au manque de sang qui coule dans ses veines, enfin c'est peut être pas du sang, qui coule en lui sûrement de l'acide, ça collerai bien avec sa cruauté, bon mais cruel, oui ça lui va très bien comme qualificatif, bleu comme la couleur de sa maudite planète remplie d'eau, bon ca va comme ça.
- Excusez moi mon maitre, de vous levez alors que vous venez à peine de vous couchez mais on subit des bombardements à la frontière de notre état.
- Quoi, qui ose venir troubler mon sommeil, déjà qu'il n'est pas des plus régulier ses temps si tellement mes sujets sont casse-pieds, que veut tu je n'ai pas le temps pour ses balivernes.
- Mais maitre, on nous attaque....la frontière Est, des Cuirassers....
- Et alors, ses hangars sont vides, les vaisseaux sont partis déposer les ressources hier soir donc il ont choisis le mauvais endroit pour espérer remplir leur soute, alors laisse moi dormir.
- Maitre, votre commandant m'a demandé de venir vous chercher, les hangars ont été endommagé, les tourelles n'ont pas fonctionné à plein régime, résultat on a perdu un peu de terrain sur notre propriété, il ne reste plus un seul endroit libre sur cette maudite planète et nous en perdons un peu chaque jour.
- Tais-toi je t'ai dis, peu m'importe, qui sont cette fois ces voleurs.
- J'ai visionné les bandes vidéos, maitre et les vaisseaux portait la marque de l'état d'Aetherys .
- Ce chacal, encore lui, je n'arrête pas d'entendre son nom, autant les antres essayent chaque jour de nous grappiller un peu d'argents, mais c'est compréhensible, et du à leur ignorance de nos coutumes mais lui, elle, je sais pas qui dirrige cette état mais il commence à m'échauffer les oreilles.
- Maitre que faisons nous, devons nous riposter?
- je t'ai dit qu'il n'y avait rien dans ses hangars, il a du siphonner les réservoirs des vaisseaux et faire exploser tous les bâtiments ce serai tous à fait son style à la soldes de la corporation certainement, le CEI, se disent banquier, économiste et commerçant, durant des desertans et vertans, il ont demander des pacte de non -agressions de toute part pour finir par enrôler des chiens de guerre, belle mentalité.
- En plus il ne respecte rien, même pas le peu de repos que nous avons, le conseil Améthyste, rahahaha il va finir par me mettre en côlère.
Le prompteur posé sur la table basse sonna, Barrabas le saisi et répondu comme à son accoutumé.
- Oui, quoi encore....
- C'est le poste de commandement, bonjour Superviseur.
- Oui bonjour, blablablabla, vous avez décidé de me pourrir mon repos alors dépêchez vous et annoncez la couleur.
- Nous avons repris l'espace perdu cette nuit Superviseur, les hangars sont intacts et vides, les vaisseaux stationnés devant sont entier, leur réservoir sont vide, il faudra les ravitailler et les rentrer, on a quand même perdu un chasseur dans ce pillage Superviseur, le pilote n'a pas survécu, devons nous remettre la surveillance?
- Oui faites ça, non plutôt mettez 2 vaisseaux et des pilotes drônes dedans, je veux pas continuer à perdre mes hommes bêtement, quoi d'autres maintenant que je suis réveillé?
- Un blocus détruit par les pilleurs de Smallcity en surveillance poste 7, pas reçu encore de rapport de la part du dirigeant, cela ne serait tarder, je vous tiens au courant Superviseur
- Merci, il faudra réunir la FAAFl, je veux un topo complet sur ce mercenaire à la soldes du CEI, il faudra bien qu'il s'explique, une petit faction, la peur les empêcherai de proclamer Alliance, eux les fervents défenseurs de Galactica, encore des soucis en plus, j'en ai déjà pas assez, je sais pourquoi je n'ai que des cheveux blanc, bon boulot.
- A vos odres, Superviseur, nous nous y attelons immédiatement, terminés.
Un sifflement, puis le silence, Barrabas le jeta sur le lit et se mit à faire les 100 pas, non 200, 300, 400, d'interminables secondes ou le gnomes, planté devant la porte n'osa interrompre.
- Bon filez maintenant, je vous ai assez vu, vous m'avez mis de mauvaise humeur, je ne répond de rien si vous rester.
- Bien Maitre, je vous apporte votre déjeuner !
- Rahahahaha, il m'énerve ses mercenaire, des lâches, toujours la nuit dans notre sommeil, je déteste ces méthodes de chacals, de hyènes puantes, va falloir encore leur botter les fesses, on pourrait pas cette fois dormir tranquille, 5 desertans d'insomnie par leur fautes, et pas un seul instant de gratitude pour le travail accomplie à réparer leur connerie.
- Cette univers devra-t-il encore s'unifier pour éradiquer cette vermine de soit-disant grand guerrier devenus charognards?
Il repris son prompteur jeté sur le lit et appuya sur le bouton d'appel, s'en suivit un sifflement aigu et la vois du poste de commandement.
- Poste de contrôle, j'écoute.
- Ou est le commandant?
- parti sur le lieu du pillage, Superviseur.
- Quand il revient, dites lui de convoquer le Conseil, je veux passer à la corporation aujourd'hui pour trouver des alliés près à signer se traité de l'UNION et enfin avoir du soutien pour éradiquer ses pilleurs sans scrupules.
- A vos ordres, Superviseur.
Barrabas se remit à déambuler dans la chambre, n'ayant plus l'envie de se recoucher, nuit courte et gâchée, mais se ne serai sûrement pas la dernière vu leur façon de procéder, d'attaquer uniquement la nuit.
Barrabas exécrais depuis longtemps ses lâches nocturnes, obligés à se terrer la journée pour ne sortir que la nuit tombée, quand les travailleurs s'écroulent, affaiblis par la fatigue de leur dur labeur, alors qu'eux ne font que dormir, piller, s'abreuver et violer tous se qui trouve ayant allure de femelle, rahahah, quel ignoble personnage, il ouvrit grand la porte-fenêtre de son balcon surplomba la serre tropicale et cria de tous ses poumons pour évacuer sa colère.
pui s'assit et attendit le déjeuner, songeur....
La température avoisinant les -35 degrés celsius une fois l'un des 3 soleils proche couchés, la lueur étincelante oblige les Baltukiens à se cloîtrer, calfeutrer pour ne pas se voir déranger dans leur repos mérité pas ses soleils proches en pleine journée et tellement éloigné la nuit.
Au faite pourquoi je vous dit tous ça, je sais plus, à oui voilà, je dois vous raconter, vous conter les ragots de couloirs du Palais du Miyard, ce gigantesque sanctuaire abritant multitudes de bâtiments divers dans des architectures venu de tous horizons, une forêt de verre d'Améthyste et d'acier, renvoyant votre image de drôle de manière et la lumière violine journalière, illuminant le moindre recoin de sa beauté.
Un homme courant dans les interminables et étroits couloirs de se labyrinthe infini s'arrêta devant une immense porte en bois à l'effigie de notre joyaux éternel, il se râcla la gorge afin de ne pas garder les mots qu'il a préparé à l'encontre de son maître, être sur de bien se faire comprendre et de ne pas recevoir de punition en retour.
Il frappa, timidement en premier lieu et puis accentua les coups afin esperer se faire entendre, tremblant à l'idée de se faire fouetter en infligeant au Superviseur et Maitre de cette demeure un réveil brutal.
La porte s'ouvrit devant Barrabas, vétu d'un simple pyjama à fleur d'hybiscus, le messager retenu son rire à l'intérieur, se disant que le cadeau offert pour les 200 ans de son protecteur faisait des plus beaux effets, un petit matin glauque.
Faut que je le décrive aussi Barrabas, vous êtes pointilleux avec mon histoire, bon voilà, je fais vite, c'est pas le but de ma venue, Grand, non très Grand, je mets des majuscule pour que vous vous rendiez compte de sa grandeur, moi humain je suis tout petit, aussi grand qu'un navi du peuple des Otikayas, une long chevelure blanche, la peau bleu du au manque de sang qui coule dans ses veines, enfin c'est peut être pas du sang, qui coule en lui sûrement de l'acide, ça collerai bien avec sa cruauté, bon mais cruel, oui ça lui va très bien comme qualificatif, bleu comme la couleur de sa maudite planète remplie d'eau, bon ca va comme ça.
- Excusez moi mon maitre, de vous levez alors que vous venez à peine de vous couchez mais on subit des bombardements à la frontière de notre état.
- Quoi, qui ose venir troubler mon sommeil, déjà qu'il n'est pas des plus régulier ses temps si tellement mes sujets sont casse-pieds, que veut tu je n'ai pas le temps pour ses balivernes.
- Mais maitre, on nous attaque....la frontière Est, des Cuirassers....
- Et alors, ses hangars sont vides, les vaisseaux sont partis déposer les ressources hier soir donc il ont choisis le mauvais endroit pour espérer remplir leur soute, alors laisse moi dormir.
- Maitre, votre commandant m'a demandé de venir vous chercher, les hangars ont été endommagé, les tourelles n'ont pas fonctionné à plein régime, résultat on a perdu un peu de terrain sur notre propriété, il ne reste plus un seul endroit libre sur cette maudite planète et nous en perdons un peu chaque jour.
- Tais-toi je t'ai dis, peu m'importe, qui sont cette fois ces voleurs.
- J'ai visionné les bandes vidéos, maitre et les vaisseaux portait la marque de l'état d'Aetherys .
- Ce chacal, encore lui, je n'arrête pas d'entendre son nom, autant les antres essayent chaque jour de nous grappiller un peu d'argents, mais c'est compréhensible, et du à leur ignorance de nos coutumes mais lui, elle, je sais pas qui dirrige cette état mais il commence à m'échauffer les oreilles.
- Maitre que faisons nous, devons nous riposter?
- je t'ai dit qu'il n'y avait rien dans ses hangars, il a du siphonner les réservoirs des vaisseaux et faire exploser tous les bâtiments ce serai tous à fait son style à la soldes de la corporation certainement, le CEI, se disent banquier, économiste et commerçant, durant des desertans et vertans, il ont demander des pacte de non -agressions de toute part pour finir par enrôler des chiens de guerre, belle mentalité.
- En plus il ne respecte rien, même pas le peu de repos que nous avons, le conseil Améthyste, rahahaha il va finir par me mettre en côlère.
Le prompteur posé sur la table basse sonna, Barrabas le saisi et répondu comme à son accoutumé.
- Oui, quoi encore....
- C'est le poste de commandement, bonjour Superviseur.
- Oui bonjour, blablablabla, vous avez décidé de me pourrir mon repos alors dépêchez vous et annoncez la couleur.
- Nous avons repris l'espace perdu cette nuit Superviseur, les hangars sont intacts et vides, les vaisseaux stationnés devant sont entier, leur réservoir sont vide, il faudra les ravitailler et les rentrer, on a quand même perdu un chasseur dans ce pillage Superviseur, le pilote n'a pas survécu, devons nous remettre la surveillance?
- Oui faites ça, non plutôt mettez 2 vaisseaux et des pilotes drônes dedans, je veux pas continuer à perdre mes hommes bêtement, quoi d'autres maintenant que je suis réveillé?
- Un blocus détruit par les pilleurs de Smallcity en surveillance poste 7, pas reçu encore de rapport de la part du dirigeant, cela ne serait tarder, je vous tiens au courant Superviseur
- Merci, il faudra réunir la FAAFl, je veux un topo complet sur ce mercenaire à la soldes du CEI, il faudra bien qu'il s'explique, une petit faction, la peur les empêcherai de proclamer Alliance, eux les fervents défenseurs de Galactica, encore des soucis en plus, j'en ai déjà pas assez, je sais pourquoi je n'ai que des cheveux blanc, bon boulot.
- A vos odres, Superviseur, nous nous y attelons immédiatement, terminés.
Un sifflement, puis le silence, Barrabas le jeta sur le lit et se mit à faire les 100 pas, non 200, 300, 400, d'interminables secondes ou le gnomes, planté devant la porte n'osa interrompre.
- Bon filez maintenant, je vous ai assez vu, vous m'avez mis de mauvaise humeur, je ne répond de rien si vous rester.
- Bien Maitre, je vous apporte votre déjeuner !
- Rahahahaha, il m'énerve ses mercenaire, des lâches, toujours la nuit dans notre sommeil, je déteste ces méthodes de chacals, de hyènes puantes, va falloir encore leur botter les fesses, on pourrait pas cette fois dormir tranquille, 5 desertans d'insomnie par leur fautes, et pas un seul instant de gratitude pour le travail accomplie à réparer leur connerie.
- Cette univers devra-t-il encore s'unifier pour éradiquer cette vermine de soit-disant grand guerrier devenus charognards?
Il repris son prompteur jeté sur le lit et appuya sur le bouton d'appel, s'en suivit un sifflement aigu et la vois du poste de commandement.
- Poste de contrôle, j'écoute.
- Ou est le commandant?
- parti sur le lieu du pillage, Superviseur.
- Quand il revient, dites lui de convoquer le Conseil, je veux passer à la corporation aujourd'hui pour trouver des alliés près à signer se traité de l'UNION et enfin avoir du soutien pour éradiquer ses pilleurs sans scrupules.
- A vos ordres, Superviseur.
Barrabas se remit à déambuler dans la chambre, n'ayant plus l'envie de se recoucher, nuit courte et gâchée, mais se ne serai sûrement pas la dernière vu leur façon de procéder, d'attaquer uniquement la nuit.
Barrabas exécrais depuis longtemps ses lâches nocturnes, obligés à se terrer la journée pour ne sortir que la nuit tombée, quand les travailleurs s'écroulent, affaiblis par la fatigue de leur dur labeur, alors qu'eux ne font que dormir, piller, s'abreuver et violer tous se qui trouve ayant allure de femelle, rahahah, quel ignoble personnage, il ouvrit grand la porte-fenêtre de son balcon surplomba la serre tropicale et cria de tous ses poumons pour évacuer sa colère.
pui s'assit et attendit le déjeuner, songeur....