[Archives] Dans les coulisses des SN

[Lanthia]

[Explications HRP : Les RPs qui vont suivre proviennent des archives du forum des Soleils Noirs. Pour ne pas les perdre, et pour vous en faire profiter à vous tous, on va soigneusement les compiler au fur et à mesure. Autant vous prévenir tout de suite, il y en a pas mal xD]

Chapitre 1- L’arrivée de Lanthane

Le Chancelier Lanthane était nouveau dans les Soleils Noirs. Il avait été convié dans la salle des conseils. Il arriva avec son vaisseau dans un hangar, et le commandant McKay l’interpela :

Chancelier, nous somme arrivé dans le hangar bâbord au milles-cinq-centièmes étages, selon vos instructions.

Merci commandant.

Il se dirigea vers la porte arrière du transporteur puis rentra dans un couloir. Au fur à mesure qu’il avançait, les gardes, les autres membres de l’Alliances dans la salle des conseils pouvaient entendre la grande canne sur laquelle il s’appuyait. Une fois arrivé devant la porte, il entra. C’était une immense salle vitrée. Au milieu se trouver une immense table de réunion ronde. Au plafond était fixée une énorme lumière, c’était un soleil. Il vit chaque dirigeant des membres du Soleils Noirs ; Kafelor, Delamarre, Alteran, Rebux, Ravenguard, Styx, etc. Je me mis au centre de la salle et je me présentai :

Salutation à vous. Je suis le Chancelier Lanthane chef du Lanthia, ou Lanthane le Sage car mon peuple me considère comme étant un homme sage mais bon, comme je le dit la sagesse s’acièrent en suivant sa propre voie, en même temps, personne ne peut le faire pour nous.

Un des membres se leva et lui demanda :

Qu’est-ce que vous pouvez nous apporter en venant chez nous dans notre alliance ? Sur un ton provocateur.

Eh bien, je pense que je peux vous apporter plein de chose. Que ce soit dans l’économie, la politique ou même militaire.

Puis je reçu l’autorisation de m’assoir, un siège m’étais assigné. Et pris place puis demanda l’autorisation de prendre une dernière fois la parole avant le début du conseil.

J’aimerais juste rajouter quelque chose si voulais bien ?

Allez-y Chancelier Lanthane. Lui répondit un des chefs.

Je veux juste terminer par, l’union fait la force.

Oui mais la force de qui ?

La nôtre bien sur......la nôtre.

Puis le conseil repris sont cours.

[Delamarre]

C'est avec un regard accusateur qu'il prenait de haut l'entrée de ce nouveau dirigeant. L'amiral Delamarre était assis, les dos enfoncé dans son confortable fauteuil de cuir que le grade de chef associé lui permettait d'utiliser.

On le remarquait à peine dans la salle, dissimulé dans la pénombre sur son bout de table, il s’affairait avec son oreillette et son commutateur pour envoyer des ordres à ses abrutis d'officier.

La salle était redevenue silencieuse, le dirigeant du Lanthia venait de lancer en vent de sagesse qui inonda toute la salle, ceci n'était pas pour déplaire à certains chefs qui en manquent d'un tout petit peu comme les chefs du Ravenguard ou de l'Alteran, mais cela ennuyait profondément notre Amiral.

D'un geste brusque il se leva, sa grande cape cramoisie rapiécé voleta dans son sillage, il se hissa sur la table et pris la parole.

- Tiens tiens vieux gribou, tu veux jouer aux malins avec ta pseudo sagesse et ta barbichette de bouc sénil... sache que que tu vas vite la perdre dans cette alliance, accroche toi et tu seras accepté.

Il pris un air sombre et récusateur.


Plus de 1000 tortures m'ont été infligées et imposée pour que j'arrive ou j'en suis maintenant, par la fautes de ces autres chefs ici présent, les femmes, mes femmes ont été violé par des mercenaires venues de contrées lointaines, bien entendu je ne les aient pas pleurée, mais j'ai due me résigner à les faire exécuter, souillée par cette purée blanchâtre que ces hommes avaient laissés en elles, et depuis je pleure ma solitude, il n'y a plus que les chèvres vierges qui me sustentes.

Laissant esquisser une petite larme de bonheur en pensant à son harem de chèvre, il reprit:

- Et vous autres bandes d'incapables...

Il fit une volt laissant apparaitre tout le brillo et la quintessence de sa cape en montrant du doigt tous les dirigeants ici présent.

... vous vous dites commerçants, chefs de guerres, mais qu'attendez vous? que l'on nous attaque, que vos productions s'arrêtent?, l'ennemi est à nos portes, plus puissant, plus violent que vous ne pouviez l'imaginer, allez vous le laisser sonder vos États, se jouer de vos défenses, violer tuer vos hommes et violer vos chèvre, euhh excusez moi... vos femmes?.

Je dis NON, s'en est assez!

D'un geste énervé il écrasa tel une vermine le verre d'eau du Sage Lanthane, l'éclaboussant au passage.

Tout d'un coup, son commutateur se mit à vibrer et il reçut un appel, le sortant de sa colère.

-Oui chérie....
- Bêêêêêê
- D'accord j'arrive et je t'amène un bouquet d'herbe comme tu me l'a demandé...


Heuuu excusez moi dirigeants, dirigeantes, il se fait tard et ma femme, euuhh ma chèvre voudrais que nous dinions ensemble pour fêter nos 6 mois.

Je vous laisse mon mandant le Lieuteunant-Colonel Longuekeu, je suis en communication radio permanente avec lui donc n'ayez de craintes, évitez seulement pour les hommes de vous mettre fesse à l'air il ne résisterais pas.

Sur ces mots, il s'en alla, traversa la table et sorti de la salle d'un pas précipité.

[Lanthia]

Au moment où l’Amiral sortit et qu’il ouvrit les portes, il vit un visage qu’il n’avait pas vu depuis le mariage du GMS Kafelor, l’Amiral Merdinn. Il le prit par le col de sa chemise et lui dit :

Tu parles pas comme ça a mon papa, vilain monsieur. Je vais t’apprendre moi à insulter mon vieux.....euh... Je veux dire..... Je vais t’apprendre moi.

Le Chancelier se leva et interpella son fils :

Merdinn veut tu cesser. Quel la première règle que je t'ai apprise ?

Désoler père, la violence engendre la violence.

Non, ça c’est la deuxième.

Ah oui...alors c’est quoi....Ah, La violence est une forme de faiblesse.

Oui exacte. Et pourquoi tu continu à le frapper ?

Eh bien, on dit aussi que la violence, c'est un manque de vocabulaire, est tu me dis souvent que je ne sais pas discourir donc bon.

Veux-tu arrêter.

Puis, comme Merdinn n’arrêtait pas de secouer le pauvre Amiral, il brandit sa canne et invoqua une formule en une langue que personne ne comprenait. Le ciel devint sombre et la pierre de sa canne se mit à briller. Le tonnerre frappa le ciel. Les deux compères arrêtèrent de ce chamaillé. Puis Merdinn prit la parole :

Va voir si ta chèvre jardine, elle a peut-être tondu toute la pelouse ou c’est elle qui a été tondu.

Oh Merdinn, tire-toi avant que je t’attrape.

Ahhhhh, Père, règle numéro Un.

Le Chancelier s’asseya affaiblit par son « crétin de fils », Merdinn repartit vers la sortit. Lanthane murmura.

Toujours en train de se battre celui-là, je vais devoir le boucler pour qu’il arrête.
Puis le conseil repris.

[Delamarre]

Malheureux et frustré de s'être fait chamaillé de la sorte, par Merdinn ce fils qui paraissait être le doux croisement entre un troll et le sage Lanthane (et oui tout le monde n'as pas été sage dans vie
héhé) Se vit surprendre par une fourberie dont l'Amiral avait la botte
secrète.

Hey mon gaillard....

Il lui tapota sur l'épaule gauche, toute la salle regardait de biais ce triste spectacle, en un geste un seul, il se joua de sa stupidté et par un mouvement de roulades et de cavalcades l'Amiral lui tira son pantalon, sans caleçon, le jeune Merdinn se retrouva seul, nu comme un ver.

Mouahahah, je t'ai bien eu pauvre fou.

Immédiatement le sbire de l'Amiral, à l'odeur et à la vue bondit sur la table commençant à dégrafer son pagne de cuire et sauta sur Merdinn, L'amiral referma la porte derrière eux et retourna s'asseoir, il appela sa chèvre de femme.

Désolé ma biquette d'amour mais j'ai à faire, les autres généraux me rendent chèvre et j'ai des dossier à boucler..

Mes plus humbles condoléances Sage Lanthane,.. pour votre fils.

Les cris perçants du jeune homme faisaient peine à entendre, tant les attributs du Lieutenant-Colonel étaient imposant.

L'amiral continua sur ces bonnes paroles.

Méfiez vous vous autres, ce qui arrive à ce Merdinn pourra également vous arrivez si vous me manquez de respect. Comme je le dis toujours :
Ce que tu gagneras par la violence, une violence plus grande te la fera perdre.

JE VOUS DÉFIE DE ME DIRE LE CONTRAIRE.

Satisfait et encore ébouriffé par ce qui venait de se passer, l'Amiral repris son confortable fauteuil laissant transparaître un sourire satisfait en pensant à tous ce que devais être en train de subir Merdinn. Ses cris se faisaient de plus en plus aigües dans le couloir faces aux cris rauquent du Lieutenant-Colonel qui s'intensifiaient.

Puis se fut le silence et Longueukeu revint dans la salle dénudé mais l'air heureux et apparemment vidé.

[Sovietia]

C'était la première fois que Boris Alanovitch Strelok franchissait la porte du conseil. Jadis, il avait été trop occupé a repousser les attaques des pillards et a tenter de donner a son état la puissance des anciens Soviets. Mais aujourd'hui, A force de planification industriel de répression et de propagande, son état avait atteint un stade plutôt stable, développant peu a peu ses forces militaires. Le Soviet suprême, qui dirigeait son état d'une main de fer, pouvait désormais se permettre de s'absenter quelques temps et de s’intéresser au affaires étrangères sans craindre un putch ou autre menace interne.
Le Dirigeant Sovietian franchis la porte du conseil accompagné de ses Soviets. Il observa la foule quelques instants qui semblait de même pas faire attention a lui tellement elle était occupé a se chamailler, puis il retira ses X-Ray Ban avant de se diriger vers un large siege en cuir noir orné d'une Faucille a plasma et d'un marteau a impulsion, armoiries du gouvernement Sovietian.

Il glissa au Soviet des affaires étrangères:

-C'est amusant cette manière que tout le monde a de parler en même temps... On dirait une fête populaire... N'y en a il pas un qui ai le pouvoir de faire taire tout les autres?...

-C'est ce qu'on appelle la démocratie Oh grand Soviet Suprême!

A l'entente de ce mot, le soviet suprême lança un regard noir a son conseiller. Le quel prit peur et se corrigea tout de suite:

-Évidemment ce genre de concepts sont totalement dépassés et inefficaces! Oh Grand dirigeant!

-Bon passons... quel est le sujet de la séance? Reprit le dirigeant qui avait laissé les questions informatives a ses Soviets.

Le soviet des affaires étrangères répondit fièrement:

-Oh Sublimisime Soviet Suprême! J'ai moi même composé un dossier sur la question que j'ai remis au Soviet de l'industrie ici présent! tout est expliqué dedans!

Le soviet de l’industrie blêmit:

-Hein? Mais je croyais que c'était le Soviet Militaire qui devait s'en charger!

Le Soviet militaire, un homme plus bardé de médaille qu'un frigidaire de magnet repris:

-Pas du tout! Je me chargeais de préparer l'escorte de notre grand dirigeant! C'était au Soviet de la propagande de le prendre!

Les 10 soviets en présence commencèrent a se disputer sur la question de qui avait le dossier. Boris alanovitch leur hurla:

-ASSEZ!

Les Soviets se turent.
-Y a il quelqu'un ICI qui a ce foutu dossier OUI OU NON?

Ils bafouillèrent tous en même temps un charabia incompréhensible que Boris alanovitch ne compris que trop bien. Il sorti son T923 LaserMakarov et vida son chargeur sur ses soviets qui eurent tout juste le temps de se cacher sous les sièges tout en hurlant:

-RAAAAAH! JE SUIS ENTOURÉ D'INCAPABLES!!! BANDE DE SPATIO-CAPITALISTES!!!! VOUS CROUPIRIEZ 50 ANS AU GOULAG SI JE N’ÉTAIS PAS AUSSI INDULGENT!!!

Cette fois, ce fut la salle toute entière qui se tut pour observer la scène d'un air incrédule.

Une fois le chargeur vide, les Soviets encore tremblants de peur sortirent de derrière leurs sièges troués et fumants.

Le soviet des affaires étrangères pris la parole d'une voix chancelante:

-Vous etes trop bon oh Magnifissime Soviet suprême! Nous ne méritons pas votre...

-SILENCE! TROUVEZ MOI CE DOSSIER! ET TROUVEZ VOUS DE NOUVEAUX SIÈGES BON SANG!

Et il s'assit, las de ses incapables de Soviets de ne pouvoir participé au débat encore une fois tandis que le brouha reprit.

[Alteran]

Le Lieutenant-colonel Altan, assit dans son fauteuil en faux cuir, n'en croyait pas ses yeux. Il se leva rapidement et poussa un cri dans la salle:

Comment osez-vous vous comporter ainsi! Tout ceci est de votre faute!

Il pointa du doigt le vieux Lanthane. Le silence se prolongea, devenant inquiétant. Altan respira un bon coup et répliqua:

Vous vous croyez sage alors que vous êtes à deux année lumière de cette idée! A cause de vous on s'écarte du sujet! Et vous aussi mon cher Amiral, votre stupidité égale celle de votre sbire Longueukeu....mais tu vas me lâcher oui! Ranges ça et remontes ton pantalon, tu vas en mettre partout...Bon où j'en étais.

Le Lieutenant-colonel se rassit et continua de fixer les yeux du Lanthane. Aucun bruit ne se fit entendre, même pas un battement de mouche. Altan reprit:

Jamais de tel comportement n'avaient été vu! A par la scène de ménage entre le GMS et Adime. J'aimerai un peu plus de sérieux. Même vous, Boris Alanovitch! Vous voulez tuer tout le monde! Bon maintenant que nous sommes calme, nous pouvons reprendre le conseil. Et cette fois si on demande la parole et celui qui m'énerve je le mets aux cachots!

Tout le monde regarda l'officier Altan avec de grand yeux. Celui-ci pris un verre d'eau. Son cyber-phone se mit à vibrer. C’était un appel de ça femme, Zames:

Allô....Oui....Désolé, je suis un peu énervé mais bon c'est que certain se comporte comme de vrai gamin....C'est ce que je leur ai dit....Je te jure....Oui, à ce soir.....Moi aussi je...moi aussi.

Longueukeu était à moitié courbé sur Altan, écoutant l'appel téléphonique.

Mais! Qu'est ce que je viens de dire! Tu me cherches! Va t'asseoir! Bon reprenons le conseil.

Le conseil redémarrait mais l'ambiance allait sans doute redevenir rapidement énervante.

[Lanthia]

Le Chancelier Lanthane n'en croyait pas ses yeux. Personne n'avait jamais pris le chancelier d'aussi haut. Il se leva de son siège en Yeuse, avec des feuille de laurier, et répondit.

Vous savez, Lieutenant-Colonel Altan, vous vous croyez fort, votre arrogance n'a d'égale que la chutes qui va suivre, et elle va faire mal sa je vous le dit. Vous avez beau être jeune, votre force n'est qu'un mythe mon cher. Et je vous ferait dirent que ce n'est pas moi qui me prétend être sage mais se sont les dire de mon peuple et par rapport au votre, le miens et fort.

Puis il s’essaya. Vous voulez que le conseil commence, il va falloir d'abord commencer par la fermer, monsieur Lieutenant-colonel Altan. Et peut être que j'en ferait autant. J'ai plus de 3000 ans, et je peut vous dire que j'ai vu beaucoup plus de chose que vous n'en verrai jamais.

Un des chefs du conseil se leva:

Maintenant vous allez tous arrêter de vous parlez ainsi. Lanthane vous me décevez, comme vous Altan, Amiral Delamarre, Amiral Merdinn...qui n'est plus la et vous, Boris Alanovitch Strelok. Vous me décevez tous, on dirai des gamin a la maternelles. Maintenant tous ce qui ne sont pas dirigeant d’état foutait moi le camp.

Les ministres et autre personne concerner sortirent de la salle.

Et que le dernier ferme la porte.

Une fois la porte fermer, il s’essaya.

Bon commençons la réunion....euh Lanthane...

Chancelier Lanthane, monsieur, Chancelier.

Il le fixa d'un air, plutôt énervé.

Enfin moi, ce que j'en dit.

.....Chancelier Lanthane, juré vous de servir l'alliance sans coup fourré et en total fidélité ?

Euh.... Oui je le jure.

Bon voila une page fini et de tournée, passons a la discussion suivante.

[Sovietia]

Boris Alanovitch n'en croyait pas ses oreilles. Dans tout cet Univers, personne n'avait encore jusque la osé le traiter de la sorte... L'appeler par son prénom! Il avait envoyé sa propre famille au Goulag pour ça!
Il parla a son soviet le plus proche:

-Pour qui se prennent ils pour s'adresser a moi de la sorte? Faites leur savoir que les règles élémentaires de la diplomatie indiquent qu'ils doivent m'appeler par mon titre.

Le Soviet au affaires étrangères se leva:

-Le Supremissime Soviet Suprême vous fait savoir que votre attitude est intolérable et qu'il éxige que vous vous agenouillez devant lui pour lui présenter ses excuses si vous ne voulez pas finir sous les roues d'un char!

Boris Alanovitch le reprit:

-Je n'ai jamais dit ça! je pensais a quelque chose de moins violent!

Le conseiller s'excusa et repris:

-Le Sublimissime Boris Alanovitch vous fait savoir que vous ne finirez pas sous les roues d'un char mais que seules milles tortures et 8 heures d'humiliation par des prolétaires s’abattront sur vous et votre familles si vous avez au moins la décence de vous excuser!

Boris alanovitch le secoua:

-Mais qu'es-ce que vous racontez? Vous cherchez a déclencher une guerre?

Le conseiller repris:

-Le Sovietissime Soviet Suprême vous fait savoir que c'est la guerre et que...

Il n'eut pas le temps de finir sa phrase, ni le soviet militaire de finir de sautiller sur place en chantonnant "Oh oui! La guerre la guerre! Lançons leurs 3 bonnes centaines d'ogives comme sur ces imbéciles de Gormack..."
Car Boris Alanovitch avait déja ressorti son arme et recommença a vider son chargeur sur ses conseillers en hurlant:
-IMBECILE!! ARRÊTEZ DE MODIFIER MES PROPOS! JE SUIS ENTOURÉ D'UNE BANDE D'INCAPABLE!!
Puis il se calma et s'adressa au chancelier Lanthane et au Lieutnant Altan

- Qui êtes vous pour OSER vous adresser a moi de la sorte?
Les Règles Élémentaires de la diplomaties impliquent que vous vous adressiez a moi par mon titre! Et non par mon nom! Soit Soviet suprême! Ne prêtez cependant pas attention au inepties de mes conseillers. Et quelqu'un va il ENFIN me dire quel est l'ordre du débat du jour?

Puis il se rassis tandis que ses conseillers sortirent lentement de leur cachettes

[Alteran]

Sur ces mots, Altan s'empressa de se lever:

Vous êtes un des membres du Soleil Noir! Et en tant que chef j'ai le droit de vous appeler Boris! Oui Boris, je viens de le redire! Borquinou! Et oui j'ose!

Le Lieutenant-colonel se rassit lentement, il ramassa son verre et commença à boire. Un des chefs se leva et demanda:

Attendez attendez! Ce conseil part n'importe comment. Le sujet est clair! Voulez-vous qu'on perde un atout, Lanthane le sage...

Lanthane le sage, pfff ennuyeux. Vos paroles son sage et vous prétendez mal. Si vous étiez vraiment sage vous n'auriez même pas du répondre à ma requête! Donc c'est bon le sage vous l'oubliez!

Coupa l'officier Altan. Le chef reprit son discours:

Comme je disais à l'instant avant que vous me coupiez, Lanthane est un atout pour le Soleil Noir comme tout le monde dans cette salle! A par Longueukeu...

Le silence s'installa de nouveau. Altan prit son cyber-phone et appela Zames:

Allô chérie...Oui...Dis donc tu peux m'emmener ma batte de cyberball....Pourquoi? Bah disons que je vais faire un massacre...Oui...C'est ce que je leur ais dit...Moi aussi je t'aimes.

Altan plaça son appareil de communication. Le conseil continua.

[Sovietia]

Le Soviet Suprême lança un regard noir au lieutenant-colonel Altan. Puis s'adressa a son Soviet du NKGB.

-Fait moi des recherches sur ce type! Et que ça saute.

Le soviet ouvrit son bracelet de communication s'y concentra quelques secondes et murmura a l'oreille du Soviet Suprême qui se mit a sourire d'un air sadique.

Il se leva et repris la parole.

-Dans ce cas vous ne verrez aucun inconvénient a ce que je vous appel par votre prénom? Votre VRAI prénom! Celui que vous avez abandonné quelques années après votre naissance? N'es ce pas JEAN-MARINA-BARTOHOLOMÉ????

Un silence pesant se fit dans la salle. Toutes les personnes présentes fixaient Le lieutenant colonel d'un air incrédule.