…VERSET DES ORIGINES…

Tout le role-play qui ne rentre dans aucune autre catégorie

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Van Shyrius

…VERSET DES ORIGINES…

Message par Van Shyrius »

I LE COMMENCEMENT…


Avant que les hommes, les constellations, les planètes, et toutes autres créature ne naquirent, il n’y avait rien.
Le néant absolu, seule une planète était dans l’espace de cette époque, ETERNELIA, la planète des dieux Saints.

Cette planète etait gouvernée par huit dieux du culte de l’Ombre Stellaire que nous illustrons dans l’ordre de leur grandeur:
Le Roi des Dieux :

ALU'KLEI : Seigneur des Dieux, dieu de la sagesse, des arts


Les Dieux majeurs :

ALKA'HIR : Dieu majeur de la justice

ELOUN : Déesse de la grâce et de la beauté

CAEL'LAN: Dieu Majeur du commerce et du pillage

MIL'AZEN : Déesse majeure de la guerre et de l'honneur

MITZU'MOS : Dieu majeur de la mort, et des enfers

Les Dieux Mineurs :

BAEL'MON : Dieu de l'amour et l'amitié

JAIL'OUN : Déesse de la miséricorde, et de la tendresse

ILUN : Déesse de la nature, et des soins

Chacun des dieux avait une portion de la planète, vivant en harmonie les uns les autres.
Cette planète était un haut lieu saint que nul adorateur ne trouva durant notre ère.

Sur cette planète, les dieux créèrent les hommes, les animaux, ils leurs inculquèrent, les rudiments d’une civilisation.
Ces humains apprirent vite, et les dieux étaient toujours plus étonnés des créations de ceux-ci jusqu’au jour ou ils commencèrent à fabriquer des armes…
Les dieux les chassèrent de la planète sacrée, et les envoyèrent sur 5 planètes de différentes compositions élémentaires.
Mitzu’Mos le dieu de la mort, envoya sur ces 5 mêmes planètes, 5 démons, devant détruire ces créatures perfides et avides de pouvoir, les 5 fléaux des enfers supérieurs furent envoyés.

Mais les hommes n’étaient certes que trop faibles contre ces créatures, pourtant, ils acquirent des pouvoirs magiques, et sous l’œil médusé de Mitzu’Mos, ces créatures mortelles que furent les humains vainquirent les démons.
Les hommes commencèrent le culte de L’Ombre Stellaire et, disait ont, furent longtemps, sous les grâces de tous les dieux sauf de Mitzu’Mos.

LA GRANDE EXTINCTION…

Deux milles longues années, passèrent depuis les balbutiements des humains, le culte de l’Ombre Stellaire disparaissait, oublié bien vite, après tant de guerres, ils étaient aujourd’hui peu a savoir encore l’histoire des hommes.
Hélas pour eux, durant deux milles ans, de puissants démons apparurent sur différent monde, libérés de leurs prisons multidimensionnelles.
Les Dieux tremblèrent a leur arrivé sur les mondes humains, il ne restait plus qu’une poignée de magiciens puissants pour repousser ces terrifiants seigneurs démons.
Les dieux sauvèrent les quelques humains encore en vie, en les envoyant sur ETERNELIA, fournissant nourriture mortelle et eau pour leurs « hôtes ».

ALU’KLEI et les autres dieux descendirent sur les mondes infestés de démons et commencèrent a se battre contre ceux-ci, les batailles étaient rudes et les dieux exténués, bien que secondés par quelques mortels ayant de hauts pouvoirs magiques.
Après quelques siècles de lutte acharnée, quatre vingt pour cent de l’univers étaient infestés de démons…
Les dieux souhaitant se reposer quelques temps sur leur royaume, découvrirent la planète recouverte d’une ville ou l’atmosphère y était nauséabonde, il y avait de grands champs où des millions de soldats semblaient s'entraîner à utiliser leurs pouvoirs magiques.

Les dieux comprirent qu’ils étaient temps pour eux de rejoindre leur ancienne demeure, en se transformant en étoile, dans les archives de cette antique ville, on fait encore référence à un puissant flash ayant aveuglé tout le monde durant plus d’une journée, non sans y avoir vu une colère et à la fois une tristesse.


Ainsi disparut alors les Dieux de l’Ombre Stellaire…
Van Shyrius

Re: …VERSET DES ORIGINES…

Message par Van Shyrius »

La Fin d'un Monde

Je suis Aldraïk Van Shyrius, j'étais Dirigeant de l'Etat Aelendil, aujourd'hui je suis sur un pont d'environ cent cinquante mètres de long, reliant les deux plus grandes îles de l'état du même nom, on m'a remplacé car le temps me devenait impossible à suivre, et le temps, quand on ne l'a pas, on ne l'a pas et on ne l'aura jamais... Mais cet état était maudit... les démons des entrailles étaient de retour...

Mais pourquoi là, maintenant sur ce pont, suis-je accroché entre la vie et la mort me direz vous?

Parce que le néant m'a recouvert finalement... Vous savez, comme toute ces publicités qui vous vantent toutes ces choses dont vous n'aurez jamais besoin et qui seront périmées deux mois après, et bien c'est de ce genre de choses dont je parle...

Vous savez cet amour qui n'existe que dans les histoire au coin du feu, c'était mon truc, ma "drogue" comme disent ceux qui sont touchés par ce mal incurable.

En fait ce n'est qu'un prétexte dans une vie qui est minable, minable... c'est ce mot dont on qualifie plus petit que soi, de nos jours, l'ego est si surdimensionné que rien ne le fait se dégonfler comme il devrait l'être; souvent, au jeu de la plus longue j'en tenais aussi une couche...

Mais pour l'heure je suis sur ce pont, prêt à tout, prêt à rien.... Prêt à vivre, prêt à mourir, vivre comme un chien ou mourir comme un con, le choix n'est pas toujours ce qu'on aimerait qu'il soit...

La fin du monde, ha ! la fin du monde autour de moi tout s'en va, tout disparait... les pauvres crèvent et les riches s'enfuient... ces futurs "colons" qui ne serviront à rien... Si ce n'est être des bouches à nourrir en trop...

Comment cet Etat en est arrivé là, me direz vous?
Cela fait maintenant cent ans, que notre état puisait son énergie au cœur même de la planète, le noyau de la planète était une centrale énergétique de grande envergure, au vu de sa taille, seulement, plus le temps passait plus nous creusions profond, et de plus en plus grand, au début tout allait bien, rien; pas de risques, puis quelque chose l'a réveillé....

Ce qui dort ne doit pas être réveillé.
A sa prison de terre toujours il doit être.
Si sa prison est percée,
La mort dès sa libération dispensera...


Tel est le texte retranscrit de la tablette que nous avions trouvée il y a 20 ans, sans jamais y prêter attention, jusqu'à il y a deux mois... De puissants flux sont sortis de la terre, détruisant Alendipolis, la capitale éternelle aux tours d'or scintillantes sur une mer posée et calme...

Une créature sortie des entrailles de la planète, aussi grande que cent hommes, nous l'avions prise pour un serviteur de démon, et avions utilisé un de nos systèmes habituels en ce cas de force majeure, utilisant des bombes à uranium enrichi, mais grande était notre erreur... A chaque explosion, un morceau du monstre vola en l'air, à chaque fois revenant à son propriétaire, tous ceux qui étaient à portée de bras de cet être, perdaient leur âme comme aspirée et rendaient une enveloppe charnelle vierge de toute âme, un pantin désarticulé, que plus rien ne fait vivre.

Les explosions des bombes d'uranium irradièrent l'atmosphère de la planète petit à petit... le taux de mortalité de la population en augmentation constante, personne n'y réchappait dans les zones proches du conflit... personne ne pouvait être immunisé contre une telle irradiation; la population qui approchait les douze milliards d'individus, diminua de quatre vingt dix pour cent en seulement un petit mois... Depuis deux semaines le plan d'évacuation de l'état a été décrété, et la planète devrait être détruite... Tout ce qu'il attendent c'est un cargo... et nous autres restons à terre, attendant la mort... attendant la mort...

Ha si les dieux de l'Ombre Stellaire étaient encore là... Il auraient eu peut-être pitié de nous... pauvres mortels dont l'éternelle agonie est de vivre pour mourir sans avoir aucun autre but que manger, forniquer dormir... jusqu'à ce que dame nature nous renvoie à la terre qui nous a vu naître...

Les pauvres n'ont jamais d'avenir... L'argent domine la survie... des plus forts, et moi je suis là, debout sur ce pont, restant sur cette bombe à retardement... Attendant la libération, ces démons étaient si nombreux...

Le cargo s'envole finalement, la fin du monde est donc pour aujourd'hui... Ma vie aura été courte, dans cet univers, peut-être reviendrais-je un jour, qui sait, l'avenir est souvent incertain, et nos croyances peut-être hérétiques, mais il est toujours bon d'y croire quand tout va mal...

Je suppose que la bombe vient d'être larguée, une boule de feu gigantesque parcourt le ciel, tout semble s'arrêter autour de moi, je les vois tous pleurer, et moi je suis toujours là... sur ce pont, et finalement j'ai choisi... je plonge dans l'obscur en sautant, plutôt que de mourir d'une explosion je voudrais connaître la joie des souffrances d'une chute aussi grande, quelque chose a touché le sol, tout autour de moi résonne d'un grondement étrange, auraient-ils largué cette bombe dans le coeur de la planète?

J'en ai l'impression il est trop tard... je ne peux plus sauter, ce flash il me brûle les yeux, cette douleur... insoutenable, je vais mourir enflammé, je sens les flammes me recouvrir, et sans un bruit je finis en cendres, et tout ce qui m'entoure se consume dans une gigantesque explosion,

là ou la vie était...
Luxuriante,
la mort prédomine,
Par la folie
Plus rien n'existe
Van Shyrius

Re: …VERSET DES ORIGINES…

Message par Van Shyrius »

Ici tout s'arrête quand on est mort, rien ne bouge rien ne vit, rien : le néant, la solitude, vêtu de ce qu'on porte avant de mourir...

Je revois ma vie défiler devant moi, on croirait un de ces immenses panneaux de publicité comme ceux d'où je viens ... C'est nul... Ha... j'avais oublié combien, quand j'étais jeune, j'aimais à voler, tuer... toute ces forfaitures dignes d'un malandrin de ces temps anciens...

C'est donc à ça que ressemble leur pseudo paradis, être dans ses souvenirs, prendre une porte et se retrouver dans la pièce à coté de celle où son corps matériel se trouve au même moment, dans ma mémoire, regardant mourir ceux que j'ai pu aimer, et voir tuer ceux que je détestais...

Crève-coeur que de revoir tout ça, et une envie dérangeante de me laver les mains... Tout autour de moi, tout tremble, comme si une lame d'Adel venait de me transpercer de six pouces dans le dos, et je m'écroule de tout mon long, sur un sol froid et poussiéreux...

Combien de temps ai-je été dans cet état, je ne saurais le dire, peut être dix...quinze ou vingt jours, entre la mort, et la disparition totale de mon âme, pourquoi n'est elle pas disparu? Je ne saurais le dire...

L’envie de redevenir vivant?
Ou encore l'envie de rester à errer sans fin?


Je ne pourrais le dire, quand je me réveillai enfin, avec une "vitalité" abondante, pour un mort, il faisait un froid plus que mordant, j'étais nu, comme un ver en haut d'une montagne, comment y suis je arrivé? Mystère, qui me reste encore incompris...

Je restais assis à méditer durant des semaines, ou des mois, ma notion du temps était altérée du fait que lorsque nous sommes mort, rien n'est pareil que de son vivant, on ne ressent ni faim, ni soif, ou encore de fatigue et sommeil, on peut rester sans bouger, durant des mois sans ressentir de douleur, on est comme... Un pauvre pantin désarticulé, qui ne ressent aucun sentiment ou douleur, si ce n'est un froid mortel...

Chaque moment nous apprend quelque chose de la vie, de ce qui nous entoure, sans savoir comment cela est possible, sur chaque chose un mot, chaque odeur a son nom qui me revient, et les gens que l'ont voit au travers de la mort ont un nom sur leur visage...

Tous parait si familier que l'on croirait que la vie et la mort sont liées... Pourtant je sens sa présence, je la sens tout proche sans arriver à le découvrir, elle est aussi proche de moi, elle m'appelle sans savoir comment cela est possible, un voile se serait-il brisé entre vie et mort?

Ces quelques phrases me revenaient tout le temps, sans jamais comprendre...


Dans l'année du nouveau siècle et neuf mois,
Du ciel viendra un grand roi de terreur...
Le ciel brûlera à quarante-cinq degrés.
Le feu approche la grande nouvelle ville...



Ces quelques vers me rappelaient mes derniers instant avant la mort, ces vers furent écrits par un grand philosophe il y a si longtemps.... Mais du ciel viendra un grand roi que pouvait être cela? Une prophétie? Ou bien encore une hérésie poétique, un simple essai sans aucune conviction...

Le vide, le néant.. Une rivière près de moi, aucun autre chemin, aucune voie ne s'ouvre... je saute dans cette rivière me laissant porter, vers je ne sais où...

Englouti dans une rivière j'ai fermé les yeux, je n'ai pas bougé d'un poil, j'attendais... plusieurs heures passèrent sans que je ne sente rien qu'un mal-être en moi-même, je finis par ouvrir mes yeux, je me retournai, je me vis: une taille de géant, hurlant, gigotant dans tout les sens, sans rien comprendre, je me regardais inquiet, je regardai à ma gauche, je vis un "sosie" de moi-même me faisant signe de venir, sans jamais rien comprendre mon corps le suivit sans rien dire, pas un mot, un silence pesant, il me fit signe d'aller devant lui vers ce que je voyais, toujours sans un mot...

Un flash jaillit et je me revis il y a trente cinq ans en arrière, avec tous ces visages dont je ne me souvenais même pas après tant d'années...

Alistol cette cité misérable où j'ai vu le jour, où j'ai grandi... Une ancienne ville minière, qui récoltait tout les matériaux pour les centrales nucléaires d'une époque qui nous parait si lointaine aujourd'hui... Tout autour de moi semble pourtant bien plus beau que maintenant...enfin était maintenant, vu que le fléau est apparu, plus rien n'est...

Pourquoi je ne me rappelle pas de tout ça... Comme si j'avais voulu effacer ça de mon passé, de mes souvenirs... Qu'ai-je pu faire pour vouloir l'oublier?

Tiens... me voici devant ma maison, enfin ce qui me servait de maison dans ma jeunesse... Un toit, quatre murs, des lits à même le sol, mon père alcoolique, et une mère absente tout le temps... C'était donc ça? que je voulais effacer? Ou bien est-ce encore pire?
J'ai l'impression d'être là dans la pièce réellement mais je n'y suis pas... Tout est réel pourtant! J'entends, je vois, je sens comme si j'étais là...

Des coups de feu??
Voila que je sors... Ma mère... Mes amis de l'époque et moi même abattu?
Dans ce cas, je ne devrais pas être encore en vie juste avant la fin du monde... Pourquoi comment?

Un flash réapparut m'obligeant à fermer les yeux, durant plusieurs heures à ce qu'il m'a semblé... Quand je l'es ai rouverts, j'étais dans un caisson plein d'un liquide bleu comme l'eau et aussi translucide qu'un cristal...

Des médecins? Ou bien des scientifiques? Qu’en sais-je... Ils parlent sans que je comprenne ce qu'ils racontent, quelques mots me reviennent à ce qu’ils disent... "Il va mourir" " si on utilisait notre dernière création, foutu pour foutu, il a pas grand chose à perdre..."

Ils tentèrent sur moi leurs expériences... Ils firent de moi un surhomme pire même... une machine à tuer, sans état d'âme... Ils m’injectèrent des cellules d'animaux extrêmement dangereux... et autres créatures inconnues créées en laboratoire... Un monstre, j'étais un monstre créé de toutes pièces... Assemblé à la hâte avant d'être abandonné à mon sort parce que j'étais un échec et qu'ils réussirent à créer le "surhomme" qu'il leur fallait... je n'étais qu'un rat de laboratoire... un rat....

Encore un flash... ça devient vraiment monotone... Tout se répète... tout se succède toujours sans jamais avoir un autre intérêt que de n'être rien que de la poussière... un souffle perdu au centre d'un abîme...

C'est la fin de mon voyage dans mes souvenirs... la fin d'un premier voyage vers la fin, vers mon destin...


Tout est blanc, je ne comprend pas... tout est blanc archi blanc... rien que du blanc et seul... pourquoi n'y a t'il personne? Suis-je le seul de mon espèce?

Suis-je inhumain?

Ou bien suis-je voué à une solitude sans faille? Pourquoi ai-je l'impression d'être vu? D’être touché physiquement et pourquoi entends-je des voix m'appeler? Par le nom "Lurtz"? Ne suis je pas Aldraïk? Van Shyrius? Et les voix me répondent : "non, non, il n'est plus, tu le sais bien"

Je fermai mes yeux... puis les ouvrirent, je n'en croyais pas mes yeux, j'étais en vie... Comment était-ce possible, n'avais-je pas traversé la Materia de la mort? N’avais-je pas été détruit dans l'explosion?

Ou bien notre vieille planète n'aurait-elle pas décelé une certaine "pureté" ou quelque chose d'autre en moi et m'aurait fait revivre?
Encore aujourd’hui je ne saurais vous le dire... Je ne comprends toujours pas...

J'appris que le démon fut désintégré et que notre peuple partit à la recherche d'un nouveau monde et de recommencer leurs exploitations sur une autre planète, en entendant cela je fus transpercé de mille lances dans le corps, ce n'était pas vraiment moi qui ressentit ça mais une force autre...

Une force de la nature, comme un appel à l'aide des morts pour cesser le massacre de l'autre monde servant d'énergie ou de quoi que ce soit d'autre...

J'appris aussi que mon corps d'emprunt "Lurtz" était maintenant Dirigeant à nouveau de l'Aelendil sous sa forme humaine, et non Ourouk comme avant, à croire que les sorts d'enchantements faits sur lui sont plus forts que la mort de son créateur... Toujours un bon point peut-être... Mais vers où nous tourner?

Vers une planète de profils Vertana? Volcano? Desertica ? Galactica ou encore comme notre ancienne planète? La belle Aquablue? Et pourquoi changer le nom? Pour oublier notre passé et tirer sur lui un trait définitif?

Histoire de dire, reste en paix toi qui est tombé pour l'Aelendil, aujourd'hui tu auras ton repos éternel et ton honneur plus jamais souillé?

Pourquoi pas finalement? Pourquoi pas...

En sentant cette force en moi, une chose se passa, je ne contrôlais pas mes pensées, deux pensées restées en tête comme un échos.

" Vertana va et protége-nous"
"Melwasul sera votre patrie, la renaissance de la nature protège là... chéris-là, la nature vous le demande, et vous lui devez protection..."



Qui ? Je ne saurais le dire, pourquoi moi, même chose... Mais je sais que je ne pourrais plus jamais faire de mal à ce qui m'entoure... D'autres m'en empêchent en moi... une sorte de frein à ce que je souhaite être...faire.... Les réacteurs créés pour pomper l'énergie terrestre... Abomination crée par des ingénieurs... Prêts à recommencer leur forfaiture pour quelques gils ou crédit comme vous voulez... Voilà où en est le monde...

La Terre promise approche, il faudra rester humble comme le pénitent, et ne pas déshonorer ce qui nous accueille aujourd'hui...

Tel est notre destin, défenseur de la futur Melwasul, joyau de Vertana, ce que l'avenir me réserve? Je n'en sais rien, mais je sais que je n'aurai plus le même destin que certains...

Pourquoi je fus choisi?

Je ne sais, mais je ne pourrai pas dormir avant d'avoir appris à ces hommes de protéger ce qui les a vu naître... ce qui les a nourris, et protéger de tout temps, mère nature qui est une planète, nous tolère tant que nous sommes amicaux, mais si vous commencez à pomper son sang, sa vie, la mort vous assure un destin sombre et inamical... Réfléchissez-y et n'oubliez jamais que la vie est courte et la mort un éternel monde de solitude avant d'aller en enfer, ceux qui en revinrent devenaient soit fous, soit changeaient et tuaient tout ce qui vit... Ne franchissez pas ce voile, il risquerait de vous emporter là d'où nul ne revient jamais...
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