Tous les Arrakes connaissent leur histoire. Nous étions des nomades, un peuple très ancien qui vivaient en harmonie avec le sable de Désertica. Parfois en gros grains, parfois si fin telle la poussière. Nous vivions la nuit et dormions le jour pour éviter les bains de sécheresse du grand Tlavak, le Démon Éblouissant qui puisaient l'eau malgré nos plus puissants mahr'j, lorsque il est à son apogé. Quand un Arrakes mourrait, il donnait son âme liquide à la tribu, son râmhr, son âme solide à la terre, son frâmhr, et gardait son prâmhr aux cotés du grand Shaï-Hulud. Ainsi, nous buvions l'eau des morts, faisions de l'engrais des corps, nous leur laissions seulement leur âme. La fragile harmonie entre les Arrakes et leur terre a été détruite lorsque les hommes de Tlavak, car ils venaient le jour, sont arrivés avec leur technologie qui avait pour but de «faciliter» nos vies. Elles ne firent qu'amener l'ancien peuple Arrakes vers les difficultés de la vie Galacticaine.
Farrok Bulsara ferma son livre et écouta la maîtresse d'école continuer la lecture.
«Aujourd'hui, toutes les coutumes sont disparues: on ne porte plus l'habit traditionnel qui empêche de perdre l'eau de son corps, le mahr'j; on ne «cultive» nos morts et ainsi de suite. Non, maintenant, on gaspille l'eau et on mange de la nourriture synthétique. Le peuple Arrakes vit dans la nostalgie et rêve de retourner en arrière. On accuse les hommes de Tlavak, mais dans nos coeurs, nous savons que nous y sommes pour quelque chose. Les choses n'étaient plus comme avant, la famine règnait et l'air n'était plus aussi pure qu'avant. Quand nous marchions quelques jours, nous pouvions voir au loin des colonnes immenses de fumée noir. Les animaux sauvages migraient vers les zones extrêmes, l'équateur, où ne pouvions suivre. Les hommes de Tlavak sont arrivés et leur technologies semblaient si tentantes, mais les chefs Arrakes n'en voulaient pas. Le peuple, au début, suivaient leurs chefs devant les discours religieux et prophétiques. Mais Shaï-Hulud ne venaient pas en aide.
C'est alors qu 'un des chefs, Ishaq G'Hjed, compris qu'en s'alliant avec les hommes de Tlavak, ils pouvaient mener les Arrakes vers un vie meilleure. Ainsi débuta la Révolution du Jagh Ar. Dans les livres, la propagande règna, on disait que Ishaq G'Hjed était notre sauveur, mais il ne fit que s'enrichir sur le dos des Arrakes. Il ne développa les industries que pour les plus riches familles. Son règne dura 20 ans. Son fils, qui prit la suite, était pire. Son règne n'a duré que 5 ans, car une autre révolution a eu lieu il y a 39 jours : La Révolution d'Ael Ishaq, notre Cejid, ce qui veut dire «Grand Camarade». La révolution n'a duré que deux jours, mais elle fût sanglante. Elle opposait les mercenaires et le peuple contre les olygarches et l'armée corrompue. Sans les stratégies de notre Cejid, nous aurions perdu la révolution.
Suites aux événements, notre Cejid ne nous a pas menti. On ne pouvait revenir en arrière, car les hommes de Tlavak nous anéantiraient. Il faut évoluer et tout reconstruire dans un monde moderne, mais la différence sera qu'il n'y aura plus d'injustice. Nous nous somme donc prononcés en tant qu'État Indépendant. Mais la vie n'est pas facile sous les pillages et très rapidement, nous avons dû nous allier à l'Alliance des Cavaliers du Chaos. (La cloche sonna à cet instant) Au prochain cours nous verrons la fuite des Sereins.»
L'Aube d'Arrakis
Modérateur : Modérateurs
Re: L'Aube d'Arrakis
-Ce sont juste des vaniteux et des orgueilleux, dit Cejid d'une voix brouillée
-Qui sont-ce, Cejid?
-Qui cela. demanda Cejid, l'air perdu
-Et bien les vaniteux.
-Ah oui... eux.
-Auriez-vous bu, Cejid?
-Bien sûr que j'ai bu petit idiot, l'alcool est bien plus présente que l'eau sur cette foutue planète depuis l'arrivée de ces étrangers, les hommes de Tlavak. (soupir) Désolé, mon cher bras droit Khamour, c'est juste que ce qui se passe en ce moment me trouble parti (coup de hoquet)... particulièrement.
-Libérez-vous.
-C'est cette maudite alliance Vae Victis, cria Cejid
-Pas si fort, répondit nerveusement l'autre, quelqu'un pourrait nous entendre.
-Je pèse mes mots malgré tout.
-Bon, continuez
-La Vae Victis rassemble les plus grands État du Système de Galactica pour le dominer, c'est évident et par leur principe, ils m'énervent. Lis cet extrait de la charte de leur alliance.
-N'y a-t-il personne qui réagit?, continua Cejid envers lui-même
Le Vertigo, et les hautes murailles de son palais blanc, surplombe Vertana la pure. L’Aegir, et ses infernaux gisements galeux, toise tout entier la nauséabonde en rubis. La base aérospatiale la plus importante de la galaxie tout entière, se penchant même pour la Corporation, voici le Jumi. Plus bas, camouflés par les plus beaux hologrammes de notre monde, invisible, pas même des dieux ; l’Empire Platin et sa science de la rhétorique —dans tous les sens du terme, même les plus virulents. Tous ici ne connaissez le dernier. Il est la province fondatrice. Celle qui épaulera éternellement tous les autres ; elle est la maîtresse de Désertica la brune ; Le Zécilyor. Enfin, le Kleidoven, veillera sur Aquablue. Le Lejhakiel, le Kantrael et le Babass, assoiront sur le sol, la domination aérienne et galacticaine de Jumi. Le Lejha, le Kashyyk ainsi que quelques jeunes pousses, jouiront du voisinage rassurant de Vertigo pour grandir et instaurer la totale possession de Vertana. Le Darkness Empire et son jouissant passé émergera du sable, pour épauler le Zécilyor
-Ils se prennent pour les plus forts et s’en vantent mutuellement: C’est sûr que leur palais est plus beau que mon taudis, mais eux abusent de leur pouvoir pour se rassembler et faire trembler les fondements des plus respectables dirigeants d'États dont leur but est de faire régner la paix.
-Quelqu’un comme vous?
-Ouais, par exemple.
-Ne soyez pas hypocrite, aujourd’hui même, vous avez envoyé un transport voler les crédits d’un état plus faible que le nôtre et nous sommes dans une alliance dont le fondement est le pillage.
-O.K. j’suis pas parfait, mais notre État est en plein essor, nous avons besoin de crédits. À chaque fois qu’une chose comme ça arrive, ça me met mal à l’aise… En plus, ça faisait très longtemps que ce n’était pas arrivé et nous n’avons collecté que 5000 crédits environ. Et pour ce qui en est des Cavaliers du Chaos... et bien, je ne suis pas obligé de tout suivre ce qui disent, je suis mon propre dirigeant après tout. Donc, ne venez plus m’emmerder avec cela, compris?
-Du calme, Cejid, restez poli.
-Désolé…Pour en revenir aux membres de l’alliance Vae Victis, je les trouve prétentieux de se donner comme rôle les «Dieux Protecteurs», nul n’a le droit de se prendre pour Shaï-Hulud, sinon il sera puni par Sa divine main.
-Vous savez que si quiconque apprend vos dires, l’alliance Vae Victis en sera informé et qui sait ce qui peut arriver. Vous ne devriez pas dire ces propos dans un endroit aussi ouvert que celui-ci, car comme dit le proverbe : le Gros Vent emporte les voix. Calmer votre colère, car elle vous apportera malheur. Vous l’avez dit vous-même l’alliance sera puni par Sa divine main, donc rien ne sert de se fâcher. D’accord, Cejid?
-Ouais, dit-il dans un haussement d’épaules.
-Tout ce que j'espère, c'est qu'aucune guerre ne soit déclaré pour le moment, ajouta khamour.
-Franchement moi non plus, je regrette de m'être laissé emporté tout à l'heure, il y a tellement de personnes qui veulent ma peau que si je suis enregistré en ce moment même, ils risquent de me vendre.
-À qui?
-Je préfère ne plus m'enfoncer.
Il se mit à genoux et commença à prier:
-Au nom du Grand Shaï-Hulud, je jure que je regrette ces paroles de haine et que je ne veux pas apporter sur le peuple Arrakes ainsi que tous les humains de l'univers la guerre et la misère. Je ne faisais que dire mon opinion, mais je le regrette, je ne déclarerai jamais la guerre et je ne provoquerai jamais à partir de maintenant qui que ce soit, car je ne suis qu'un misérable humain. Toi seul décidera de ce qu'il en sera. Ce que j'en retiendrai, c'est que la liberté d'expression s'arrête quand elle insulte quelqu'un d'autre. Si l'alliance Vae Victis décide de réunir les plus forts, ce sont ses choix et j'y devrai m'y soumettre. Toi seul décidera de ce qu'il en sera, Amen.
Et ils partirent sans remarquer un homme qui les écoutait depuis le début.
-Qui sont-ce, Cejid?
-Qui cela. demanda Cejid, l'air perdu
-Et bien les vaniteux.
-Ah oui... eux.
-Auriez-vous bu, Cejid?
-Bien sûr que j'ai bu petit idiot, l'alcool est bien plus présente que l'eau sur cette foutue planète depuis l'arrivée de ces étrangers, les hommes de Tlavak. (soupir) Désolé, mon cher bras droit Khamour, c'est juste que ce qui se passe en ce moment me trouble parti (coup de hoquet)... particulièrement.
-Libérez-vous.
-C'est cette maudite alliance Vae Victis, cria Cejid
-Pas si fort, répondit nerveusement l'autre, quelqu'un pourrait nous entendre.
-Je pèse mes mots malgré tout.
-Bon, continuez
-La Vae Victis rassemble les plus grands État du Système de Galactica pour le dominer, c'est évident et par leur principe, ils m'énervent. Lis cet extrait de la charte de leur alliance.
-N'y a-t-il personne qui réagit?, continua Cejid envers lui-même
Le Vertigo, et les hautes murailles de son palais blanc, surplombe Vertana la pure. L’Aegir, et ses infernaux gisements galeux, toise tout entier la nauséabonde en rubis. La base aérospatiale la plus importante de la galaxie tout entière, se penchant même pour la Corporation, voici le Jumi. Plus bas, camouflés par les plus beaux hologrammes de notre monde, invisible, pas même des dieux ; l’Empire Platin et sa science de la rhétorique —dans tous les sens du terme, même les plus virulents. Tous ici ne connaissez le dernier. Il est la province fondatrice. Celle qui épaulera éternellement tous les autres ; elle est la maîtresse de Désertica la brune ; Le Zécilyor. Enfin, le Kleidoven, veillera sur Aquablue. Le Lejhakiel, le Kantrael et le Babass, assoiront sur le sol, la domination aérienne et galacticaine de Jumi. Le Lejha, le Kashyyk ainsi que quelques jeunes pousses, jouiront du voisinage rassurant de Vertigo pour grandir et instaurer la totale possession de Vertana. Le Darkness Empire et son jouissant passé émergera du sable, pour épauler le Zécilyor
-Ils se prennent pour les plus forts et s’en vantent mutuellement: C’est sûr que leur palais est plus beau que mon taudis, mais eux abusent de leur pouvoir pour se rassembler et faire trembler les fondements des plus respectables dirigeants d'États dont leur but est de faire régner la paix.
-Quelqu’un comme vous?
-Ouais, par exemple.
-Ne soyez pas hypocrite, aujourd’hui même, vous avez envoyé un transport voler les crédits d’un état plus faible que le nôtre et nous sommes dans une alliance dont le fondement est le pillage.
-O.K. j’suis pas parfait, mais notre État est en plein essor, nous avons besoin de crédits. À chaque fois qu’une chose comme ça arrive, ça me met mal à l’aise… En plus, ça faisait très longtemps que ce n’était pas arrivé et nous n’avons collecté que 5000 crédits environ. Et pour ce qui en est des Cavaliers du Chaos... et bien, je ne suis pas obligé de tout suivre ce qui disent, je suis mon propre dirigeant après tout. Donc, ne venez plus m’emmerder avec cela, compris?
-Du calme, Cejid, restez poli.
-Désolé…Pour en revenir aux membres de l’alliance Vae Victis, je les trouve prétentieux de se donner comme rôle les «Dieux Protecteurs», nul n’a le droit de se prendre pour Shaï-Hulud, sinon il sera puni par Sa divine main.
-Vous savez que si quiconque apprend vos dires, l’alliance Vae Victis en sera informé et qui sait ce qui peut arriver. Vous ne devriez pas dire ces propos dans un endroit aussi ouvert que celui-ci, car comme dit le proverbe : le Gros Vent emporte les voix. Calmer votre colère, car elle vous apportera malheur. Vous l’avez dit vous-même l’alliance sera puni par Sa divine main, donc rien ne sert de se fâcher. D’accord, Cejid?
-Ouais, dit-il dans un haussement d’épaules.
-Tout ce que j'espère, c'est qu'aucune guerre ne soit déclaré pour le moment, ajouta khamour.
-Franchement moi non plus, je regrette de m'être laissé emporté tout à l'heure, il y a tellement de personnes qui veulent ma peau que si je suis enregistré en ce moment même, ils risquent de me vendre.
-À qui?
-Je préfère ne plus m'enfoncer.
Il se mit à genoux et commença à prier:
-Au nom du Grand Shaï-Hulud, je jure que je regrette ces paroles de haine et que je ne veux pas apporter sur le peuple Arrakes ainsi que tous les humains de l'univers la guerre et la misère. Je ne faisais que dire mon opinion, mais je le regrette, je ne déclarerai jamais la guerre et je ne provoquerai jamais à partir de maintenant qui que ce soit, car je ne suis qu'un misérable humain. Toi seul décidera de ce qu'il en sera. Ce que j'en retiendrai, c'est que la liberté d'expression s'arrête quand elle insulte quelqu'un d'autre. Si l'alliance Vae Victis décide de réunir les plus forts, ce sont ses choix et j'y devrai m'y soumettre. Toi seul décidera de ce qu'il en sera, Amen.
Et ils partirent sans remarquer un homme qui les écoutait depuis le début.
Re: L'Aube d'Arrakis
-HAAAAAAA!!!
Les crises du Cejid devenaient de plus en plus fréquentes et de plus en plus angoissantes. Et à chaque fois, il faisait sa prière pour pardonner sa colère. Il buvait de plus en plus et commençait même à se droguer pour s'enfuir de la réalité. L'inquiétude de Khamour se faisait grandissante. La communauté Arrakes avait encore besoin de son Cejid et si quelque chose arrivait, qui succéderait au Cejid, sûrement pas son taré de fils qui ne pensait qu'à s'amuser. Lui n'était pas fait pour diriger et ne connaissait personne dans ses connaissances qui soit apte et bien sûr digne de succéder au Cejid. Le mieux était de soigner le Cejid et décida donc de se référer à l'unique Maître Mage du Grand Conseil Arrakes (GCA), le Kharala Jouar. Il monta la tour du Kharal Jouar et frappa à la porte.
-Qui est-ce?
-C'est moi, tête de noeud. Arrête tes bêtises et ouvre la porte, 'faut que j't'parle, c'est sérieux.
Il est à noter que Khamour et Jouar sont de vieux amis, ils se permettent donc une certaine familiarité, de plus, le bras droit du Cejid sait parfaitement que le Kharala sait qui est à la porte.
-C'est à propos du Cejid?
-Comme tu es perspicace, répondit Khamour et il rajouta: je ne sais plus quoi faire, son état empire.
-Sa chute est inévitable. Depuis l'attaque qu'il a subi de l'État Kubilkhan, qui n'était qu'intimidation, il semble oublié ses craintes derrière l'alcool et la drogue. Je peux retarder sa chute, mais pendant ce temps, tu devras trouver un succéseur, de préférence un Magicien, pour qu'il puisse durer plus longtemps. Et je te préviens, ne me choisi pas, je ne veux pas assumer de telles responsabilités.
-C'est cela le problème, dans la communauté Arrakes tout le monde semble honnête, personne semble vouloir le pouvoir...
-Oh non, l'homme restera homme, la plupart d'entre nous sont vaniteux, orgueilleux et avare. C'est juste que la Communauté Arrakes a tellement été persécuté que le citoyen moyen a perdu un peu de sa confiance en soi, mais ne t'inquiète pas, tu trouveras le bon succéseur.
-Je l'espère bien
Les crises du Cejid devenaient de plus en plus fréquentes et de plus en plus angoissantes. Et à chaque fois, il faisait sa prière pour pardonner sa colère. Il buvait de plus en plus et commençait même à se droguer pour s'enfuir de la réalité. L'inquiétude de Khamour se faisait grandissante. La communauté Arrakes avait encore besoin de son Cejid et si quelque chose arrivait, qui succéderait au Cejid, sûrement pas son taré de fils qui ne pensait qu'à s'amuser. Lui n'était pas fait pour diriger et ne connaissait personne dans ses connaissances qui soit apte et bien sûr digne de succéder au Cejid. Le mieux était de soigner le Cejid et décida donc de se référer à l'unique Maître Mage du Grand Conseil Arrakes (GCA), le Kharala Jouar. Il monta la tour du Kharal Jouar et frappa à la porte.
-Qui est-ce?
-C'est moi, tête de noeud. Arrête tes bêtises et ouvre la porte, 'faut que j't'parle, c'est sérieux.
Il est à noter que Khamour et Jouar sont de vieux amis, ils se permettent donc une certaine familiarité, de plus, le bras droit du Cejid sait parfaitement que le Kharala sait qui est à la porte.
-C'est à propos du Cejid?
-Comme tu es perspicace, répondit Khamour et il rajouta: je ne sais plus quoi faire, son état empire.
-Sa chute est inévitable. Depuis l'attaque qu'il a subi de l'État Kubilkhan, qui n'était qu'intimidation, il semble oublié ses craintes derrière l'alcool et la drogue. Je peux retarder sa chute, mais pendant ce temps, tu devras trouver un succéseur, de préférence un Magicien, pour qu'il puisse durer plus longtemps. Et je te préviens, ne me choisi pas, je ne veux pas assumer de telles responsabilités.
-C'est cela le problème, dans la communauté Arrakes tout le monde semble honnête, personne semble vouloir le pouvoir...
-Oh non, l'homme restera homme, la plupart d'entre nous sont vaniteux, orgueilleux et avare. C'est juste que la Communauté Arrakes a tellement été persécuté que le citoyen moyen a perdu un peu de sa confiance en soi, mais ne t'inquiète pas, tu trouveras le bon succéseur.
-Je l'espère bien