L'Aube d'Arrakis
Publié : 22 juil. 2008, 02:04
Tous les Arrakes connaissent leur histoire. Nous étions des nomades, un peuple très ancien qui vivaient en harmonie avec le sable de Désertica. Parfois en gros grains, parfois si fin telle la poussière. Nous vivions la nuit et dormions le jour pour éviter les bains de sécheresse du grand Tlavak, le Démon Éblouissant qui puisaient l'eau malgré nos plus puissants mahr'j, lorsque il est à son apogé. Quand un Arrakes mourrait, il donnait son âme liquide à la tribu, son râmhr, son âme solide à la terre, son frâmhr, et gardait son prâmhr aux cotés du grand Shaï-Hulud. Ainsi, nous buvions l'eau des morts, faisions de l'engrais des corps, nous leur laissions seulement leur âme. La fragile harmonie entre les Arrakes et leur terre a été détruite lorsque les hommes de Tlavak, car ils venaient le jour, sont arrivés avec leur technologie qui avait pour but de «faciliter» nos vies. Elles ne firent qu'amener l'ancien peuple Arrakes vers les difficultés de la vie Galacticaine.
Farrok Bulsara ferma son livre et écouta la maîtresse d'école continuer la lecture.
«Aujourd'hui, toutes les coutumes sont disparues: on ne porte plus l'habit traditionnel qui empêche de perdre l'eau de son corps, le mahr'j; on ne «cultive» nos morts et ainsi de suite. Non, maintenant, on gaspille l'eau et on mange de la nourriture synthétique. Le peuple Arrakes vit dans la nostalgie et rêve de retourner en arrière. On accuse les hommes de Tlavak, mais dans nos coeurs, nous savons que nous y sommes pour quelque chose. Les choses n'étaient plus comme avant, la famine règnait et l'air n'était plus aussi pure qu'avant. Quand nous marchions quelques jours, nous pouvions voir au loin des colonnes immenses de fumée noir. Les animaux sauvages migraient vers les zones extrêmes, l'équateur, où ne pouvions suivre. Les hommes de Tlavak sont arrivés et leur technologies semblaient si tentantes, mais les chefs Arrakes n'en voulaient pas. Le peuple, au début, suivaient leurs chefs devant les discours religieux et prophétiques. Mais Shaï-Hulud ne venaient pas en aide.
C'est alors qu 'un des chefs, Ishaq G'Hjed, compris qu'en s'alliant avec les hommes de Tlavak, ils pouvaient mener les Arrakes vers un vie meilleure. Ainsi débuta la Révolution du Jagh Ar. Dans les livres, la propagande règna, on disait que Ishaq G'Hjed était notre sauveur, mais il ne fit que s'enrichir sur le dos des Arrakes. Il ne développa les industries que pour les plus riches familles. Son règne dura 20 ans. Son fils, qui prit la suite, était pire. Son règne n'a duré que 5 ans, car une autre révolution a eu lieu il y a 39 jours : La Révolution d'Ael Ishaq, notre Cejid, ce qui veut dire «Grand Camarade». La révolution n'a duré que deux jours, mais elle fût sanglante. Elle opposait les mercenaires et le peuple contre les olygarches et l'armée corrompue. Sans les stratégies de notre Cejid, nous aurions perdu la révolution.
Suites aux événements, notre Cejid ne nous a pas menti. On ne pouvait revenir en arrière, car les hommes de Tlavak nous anéantiraient. Il faut évoluer et tout reconstruire dans un monde moderne, mais la différence sera qu'il n'y aura plus d'injustice. Nous nous somme donc prononcés en tant qu'État Indépendant. Mais la vie n'est pas facile sous les pillages et très rapidement, nous avons dû nous allier à l'Alliance des Cavaliers du Chaos. (La cloche sonna à cet instant) Au prochain cours nous verrons la fuite des Sereins.»
Farrok Bulsara ferma son livre et écouta la maîtresse d'école continuer la lecture.
«Aujourd'hui, toutes les coutumes sont disparues: on ne porte plus l'habit traditionnel qui empêche de perdre l'eau de son corps, le mahr'j; on ne «cultive» nos morts et ainsi de suite. Non, maintenant, on gaspille l'eau et on mange de la nourriture synthétique. Le peuple Arrakes vit dans la nostalgie et rêve de retourner en arrière. On accuse les hommes de Tlavak, mais dans nos coeurs, nous savons que nous y sommes pour quelque chose. Les choses n'étaient plus comme avant, la famine règnait et l'air n'était plus aussi pure qu'avant. Quand nous marchions quelques jours, nous pouvions voir au loin des colonnes immenses de fumée noir. Les animaux sauvages migraient vers les zones extrêmes, l'équateur, où ne pouvions suivre. Les hommes de Tlavak sont arrivés et leur technologies semblaient si tentantes, mais les chefs Arrakes n'en voulaient pas. Le peuple, au début, suivaient leurs chefs devant les discours religieux et prophétiques. Mais Shaï-Hulud ne venaient pas en aide.
C'est alors qu 'un des chefs, Ishaq G'Hjed, compris qu'en s'alliant avec les hommes de Tlavak, ils pouvaient mener les Arrakes vers un vie meilleure. Ainsi débuta la Révolution du Jagh Ar. Dans les livres, la propagande règna, on disait que Ishaq G'Hjed était notre sauveur, mais il ne fit que s'enrichir sur le dos des Arrakes. Il ne développa les industries que pour les plus riches familles. Son règne dura 20 ans. Son fils, qui prit la suite, était pire. Son règne n'a duré que 5 ans, car une autre révolution a eu lieu il y a 39 jours : La Révolution d'Ael Ishaq, notre Cejid, ce qui veut dire «Grand Camarade». La révolution n'a duré que deux jours, mais elle fût sanglante. Elle opposait les mercenaires et le peuple contre les olygarches et l'armée corrompue. Sans les stratégies de notre Cejid, nous aurions perdu la révolution.
Suites aux événements, notre Cejid ne nous a pas menti. On ne pouvait revenir en arrière, car les hommes de Tlavak nous anéantiraient. Il faut évoluer et tout reconstruire dans un monde moderne, mais la différence sera qu'il n'y aura plus d'injustice. Nous nous somme donc prononcés en tant qu'État Indépendant. Mais la vie n'est pas facile sous les pillages et très rapidement, nous avons dû nous allier à l'Alliance des Cavaliers du Chaos. (La cloche sonna à cet instant) Au prochain cours nous verrons la fuite des Sereins.»